KENYA ♥ Mr. & Mme. Patate

Huuum bien tu vois l'escalier ? Il m'fait de l'oeil depuis tout à l'heure si tu vois ce que je veux dire J'arquais les sourcils avant de me faire plonger la tête sous l'eau. Il voulait me tuer. J'en étais certaine maintenant. T'es jaloux tu propre cadeau que tu me fais, t'es pas croyable lui dis-je en sortant enfin de la baignoire. Je m'enroulais dans ma serviette pour me poser au dessus de mon mari. Je posais mes lèvres contre ses pommettes, sa mâchoire, son front, son nez, son cou, son torse pendant qu'il me disait que j'allais mettre le pancho. Mais il fait chaud et tu pourras pas voir le body que tu m'as acheté .. dis-je en me redressant un peu assise sur lui, tandis que je faisais tomber la serviette de par et d'autre de mon corps. J'me penchai sur le côté pour prendre le fameux body histoire de le passer. La tête puis, je soulais un peu la jambe pour l'attacher entre mes jambes. Alors ? Waouh c'est vrai que c'était transparent. C'est comme ci mon corps était fleuri. Tu sais toujours pas le prononcer ... Bexi pas Mexi bah ouai je pensais qu'il parlait d'un bar ou nous avions pu aller lors de notre dernier voyage dans ce pays. Non mais vraiment, j'vais mourir de chaud là dedans Je faisais tomber le pancho par terre en posant mon buste contre le torse de Kenny. Me menaces pas, je resterais coller à toi dans ce cas

CREDIT TO KAIJI FROM ILH

Elle me faisait des bisous, jeu cruel. "Non on ne m'achète pas !" dis-je en me laissant faire, mes mains me trahissaient alors que je caressais son dos doucement, j'avais envie de câlin mais ce genre de câlin pas un très gros, juste des bisous, parler et se chamailler un peu comme on faisait. "Si je le verrais ce soir tous les deux…" Je lâcherais pas, je vais être fort et lui tenir tête seulement quant elle laissait tomber sa serviette, j'étais bon à enterrer tellement son corps était parfait. Ma main passait même sur son ventre, aucunes traces de la grossesse, c'était fou. "On voit tout !" Je faisais les gros yeux, je mis même mon pouce à l'endroit ou je voyais son téton. "Alors là c'est mort !" dis-je en secouant la tête. J'avais même faillit me vendre sur notre destination tellement j'étais perturbé, heureusement elle ne percutait pas. "Bah ouais mais regarde comment je vois Sophia et Andréa !" Oui chaque jours ses seins avaient des prénoms différents, fallait pas chercher plus loin, j'étais étrange. Elle se posait sur moi, mes mains se renfermaient sur elle jusqu'à ce que je cède. "Bon ok tu peux mettre ça…" Autant lui dire oui tout de suite, je lui soulevais sa tête pour lui voler un baiser. "Continue de t'habiller, je vais m'habiller aussi et comme ça on y va !" Il était presque 19 h30 passé, on pouvait aller manger avant sans compter qu'on devait aussi compter le voyage en bateau, déposant des bisous partout sur son visage, je me levais, elle jouait ? Ok. Je mettais un débardeur blanc qui moulait mes pectoraux ainsi qu'un pantalon en toile blanc qui me serrait bien le devant.

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A qui la faute, c'est toi qui m'a acheté ça lui dis-je en riant doucement, terminant d'attacher le body. Le visage baissait sur mon buste,je le regardais faire avant de lui virer la main. Arrêtes avec les prénoms j'aime pas en plus c'était jamais les mêmes, puis sérieusement, j'aimais pas ça. C'est comme si j'appelais ses bijoux. Knacki 1 et Knacki 2. Après un petit baiser pour finalement me faire attaquer par une myriade de baisers, je me laissais tomber sur le côté pour mettre mon short ainsi que les accessoires qu'il avait prit, mais le drame fut quand je me retournais vers mon mari. Je ne pu m'empêcher d'éclater de rire. OH MON DIEU ! riais-je de plus en plus. On dirait un gay ! OH NON J'AI MIEUX je me relevais, encore morte de rire pour tourner autour de lui. C'est tellement serré qu'on dirait un préservatif , pour le bien de l'humanité, changes toi, je marche pas à côté de toi c'était juste horrible, cette façon que ça avait de le mouler de partout.

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J'avais envie de l'embêter, qu'elle soit jalouse mais tout ce que je venais de gagner c'était le rire tonitruant de ma compagne. Elle riait, m'insultant de gay en plus, je n'étais pas homophobe mais ça blessait ma virilité que je la fusillais du regard. "Bah marche pas à coté de moi écoute !" Je boudais et le pire c'est que j'étais capable de rester ainsi toouuuute la soirée rien que pour lui faire payer ce genre de remarque. Elle allait loin, comparant se pantalon à un préservatif, je me mordais un peu la joue pour ne pas rire et surtout ne pas perdre la face. "ça peux pas être pire que le maillot que mademoiselle m'a offert !" Je me regardais et franchement non, oui ça me faisait des fesses un peu plus marqué et le devant aussi mais y avait pas de quoi en faire un drame. Ma main dans mes cheveux, je me peignais rapidement donnant une allure coiffé-décoiffé parce que j'avais une flemme de mettre du gel dans mes cheveux. "J'en déduis que tu viens pas avec moi mais vu que je suis sympa, je vais te conduire à l'endroit !" Je lui donnais son short, je prenais pas son poncho non, je le laissais au sol mais par contre mon téléphone et les clés de la maison terminait dans la poche de mon jean blanc, parfait.
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Ah ça c'est certain, je marche pas à côté de toi si t'y vas habiller comme ça c'est juste ... horrible mon mec n'avait décidément pas de gout. Oh ça va le maillot c'était fait exprès, mais c'était qu'entre nous là on dirait Comdoman, le sponsor officiel, je suis certaine qu'on va venir t'en demander je le regardais à nouveau puis je riais encore, plus discrètement cette fois ci. J'enfilais le short taille haute puis des chaussures plates pour une fois, c'est qu'en vacance j'aime bien qui plus est avec un short court comme celui-ci des talons rendrait l'ensemble vulgaire, or, j'étais tous sauf vulgaire. On fait comme ça alors, puis on s'appelle quand on a fini ? J'espérais tellement qu'il change de tenue, s'il n'a pas honte, moi si.
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"Horrible, tout de suite !" Je ne disais rien me regardant dans le miroir de la salle de bain franchement elle abusait, je faisais des efforts niveau vêtement pour une fois que ce n'était ni noir, ni bleu. J'allais pas me laisser faire, j'allais sortir dehors comme ça tant pis. "Ok on s'appelle après !" dis-je un peu ailleurs. Je prenais mon téléphone que j'avais mis dans ma poche pour regarder mon téléphone et m'assoir sur le lit. "Le boulot…" dis-je en regardant mes mails et les pièces jointes. "Sympa on dit que je suis-je cite "pas talentueux ou douer pour diriger une maison de disque, un fils à papa qui a bénéficié du travail acharné de son paternel" comme si mon père avait été plus doué ! Il faisait juste peur à tout le monde…" Question talent, je ne m'y connaissais pas mais la musique oui, je possédais l'oreille absolue, je pouvais jouer de tous les instruments que je voulais en une fraction de seconde, c'était un don qui m'avait fait devenir le musicien que j'étais aujourd'hui sans compter que je composais aussi de temps en temps mélodie comme chanson. Je soupirais pour finalement me lever et aller chercher un autre pantalon, autant éviter le ridicule dehors si des gens ou journalistes nous traquaient. "Et après on veut que j'aille à New York pour chercher un prix, vla la blague !" Je m'en rendais pas compte, je crois que j'étais un peu naïf mais c'était juste une manière de me décrédibiliser et me faire perdre ce prix tant convoiter. Changeant de pantalon rapidement, je mis mes chaussures sans lacets elles aussi en toile. "Prête ?"

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Kenny prenait son téléphone après un mail. Je le regardais faire en soupirant T'es chiant quand même on a dit qu'on coupé les téléphone, c'est notre lune de miel ... J'avais fait l'effort de laisser mon téléphone se vider, de ne pas le rechargé, juste pour être tranquille avec lui. Cependant, quand il lu l'article à voix haute, je passais derrière lui à genoux sur le lit pour lui masser les épaules et lire par dessus en même temps Tu sais très bien que c'est faux tout ça, le chiffre d'affaire ne fait qu'augmenter grâce à toi et t'as de nouveau poulain dans l'écurie. Laisses tomber, ils sont jaloux alors oui tu vas aller à New York pour aller chercher ton prix et regarder tous le monde avec le plus beau des sourire. Tu les emmerdes ! la critique était une chose facile,c'est pour ça qu'il ne faut pas s'y attarder dessus. Un baiser contre sa joue et monsieur enfilait un jeans. Ah c'était bien mieux ainsi. Oui , je crois bien que je vais même pouvoir marcher à tes côtés maintenant Ma main allait chercher la sienne pour entrelacer nos doigts. Personnellement je prenais rien. Ni de téléphone, ni de porte monnaie. FREE jusqu'au bout.

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[quote="Kenny Kovalevski-Kataïeva"]

"Faut bien que quelqu'un regarde si notre princesse va bien, j'ai décidé d'être volontaire !" Je souriais mais il se perdait bien rapidement, j'avais beau écouter Anya qui me rassurait dans ma tête les critiques étaient encore présentes, je ne faisais qu'entendre les gens parler sur moi et sur notre couple. "Je sais pas si j'irais, j'ai pas envie honnêtement !" dis-je en haussant les épaules. Je souriais quand même à son bisou pour enfin me lever et changer de pantalon. "Même avec l'autre pantalon j'aurais trouvé le moyen de te coller !" riais-je en nouant mes doigts autour des siens. Les clés, le téléphone et mon portefeuille dans ma poche, j'étais prêt à partir descendant les marches de l'escalier avec ma belle pour aller jusqu'au petit port vers notre bateau. J'étais silencieux, perdu dans mes pensés alors que j'aidais ma belle à rentrer dans le bateau sans encombre. Anya avait raison, le chiffre d'affaire allait parfaitement bien même mieux qu'avant, j'avais de nouveaux chanteurs et on trouvait le moyen de me critiquer. Moteur allumé, je poussais la vitesse à fond pour aller rejoindre la terre, la capital, Rio.

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ouai mais en voyant le boulot, t'aurais pu ne pas regarder.. dis-je en haussant une épaule. Pour une fois qu'on avait du temps rien qu'à nous deux ... et c'était pas n'importe quel temps, c'était notre lune de miel. C'est pas le genre de chose qu'on fait tous les jours. Malgré mes paroles de soutient, il ne voyait que le point négatif des critiques. Combien de fois lui avais-je dis de ne pas s'arrêter sur ça, c'est qu'on ne vit plus après. Personnellement, si je devais m'arrêter aux critiques, cela ferait bien longtemps que je serais plus de ce monde. En bien ou en mal, le principal c'est qu'on parle de toi baby je lui faisait un clin d'oeil un bisous avant de me relever pour aller jusqu'au bateau. Une fois arrivé au petit ponton, Kenny m'aida en me soulevant et en me posant dans le bateau. Salut, j'ai l'impression d'être une cargaison. Kenny conduisait, le gouvernail en main. Je me posais de nouveau derrière mon cher et tendre pour enrouler mes bras autour de son torse et poser mon visage dans le haut de son dos. Fais moi plaisir et arrête d'y penser bah ouai quoi, j'étais pas venue ici pour passer ma soirée avec qu'une enveloppe charnelle.

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Elle contre moi, c'était assez pour me détourner l'attention quelques secondes. "Ouais j'arrête…" dis-je en souriant un peu. "Tu es d'accord qu'on y aille à New York ?" C'était notre lune de miel, je sais que je ne devais pas mêler boulot et vie personnelle mais j'avais envie de montrer que je m'en moquais des critiques, que je pouvais venir même en perdant, que j'étais bon joueur, Anya avait encore une fois de plus raison, je devais continuer d'avancer, ne pas penser aux points négatifs. "On va chercher le prix et on s'en va OU on viendra un peu plus tôt, on va faire les boutiques pour toi et après on s'en va !" Attention, je m'incluais dedans, j'étais vraiment sérieux, j'étais prêt même à faire son homme à porter les sacs. "Viens…" dis-je en lui caressant les mains. "tu vas conduire un peu !" Je la faisais passer devant moi, les mains sur le gouvernail, je réduisais la vitesse du moteur, j'étais pas fou quand même. Je voulais lui faire plaisir, la voir sourire aussi.

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