Destination to the City of Light ▲ Prue & Drew

Destination to the City of Light
Prue & Drew ▲ Paris (France)

Il n’arrivait toujours pas à se remettre du fait qu’il avait réussi à lui avouer qu’il l’aimait ; cela rappelait tant ce fameux soir où il lui avait demandée de sortir avec lui… Il avait eu autant de mal qu’aujourd’hui à s’ouvrir à elle mais en fin de compte, il ne le regrettait pas. Il était en couple avec elle et même si parfois celui-ci était mis à l’épreuve par les tentations de la vie, ils étaient forts ensemble. Donc même si Prue n’avait pas répondu qu’elle l’aimait aussi, il avait l’espoir qu’elle l’aimait vraiment mais qu’elle avait peur. Et alors qu’il lui caressait doucement la joue, il lui avouait que derrière tout ça, il n’y avait qu’une seule personne : en l’occurrence son père. Elle lui demanda s’il était sûr de ce qu’il avançait parce que même s’ils ne s’entendaient pas, il s’agissait de son père… Elle ne comprenait pas les agissements de Mr Kenworth, d’ailleurs Drew non plus mais il connaissait mieux que personne son père.. Elle s’était arrêtée de parler avant de se presser contre lui, entourant ses bras autour de son cou. Puis elle l’embrassa… Un baiser qu’il rendit avec la même intensité alors qu’elle lui faisait promettre de faire attention… « Je te le promets, Prue » murmura-t-il avant de l’embrasser avec passion. « En ce qui concerne mon père… Il est capable de tout faire lorsqu’il a un ennemi attitré… Aujourd’hui cet ennemi c’est moi »

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« Je te le promets, Prue » Ses mots étaient censés me rassurer, mais je n’étais pas tranquille. Connaissant Andrew, il allait en faire qu’à sa tête. Qui sait jusqu’où, il pourrait aller pour trouver la personne qui lui voulait du mal ? Il disait être l’ennemi numéro un de son père et que ce dernier était prêt à tout pour supprimer ses ennemies. Je trouvais cela tellement immonde. « C’est qu’il ne me connait pas. » J’étais peut-être qu’une jeune femme, il ne savait pas de quoi je pouvais être capable. Surtout, avec la puissance dont disposait ma famille. A présent, nous étions entourés de buées et je ne saurais dire, depuis combien de temps, nous étions dans cette douche. Je me perdais dans l’étreinte de son corps, alors que je tentais désespérément de positiver. La réalité, était qu’intérieurement, j’étais terrifié par ce qu’il venait de m’annoncer. Détournant le regard, je me reculais de lui pour mettre du gel douche dans ma main, avant de le passer machinalement sur le torse d’Andrew. Nerveuse, j’avais besoin de ce contact pour me sentir mieux et penser à autre chose. Je ne voulais pas croire que quelqu’un lui veuille du mal.

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Lorsqu’elle lui avait demandé de promettre de faire attention, il avait donné sa parole mais le jeune homme ne pourrait guère tenir en place, sachant qu’une personne souhaitait sa mort : une personne qui n’était autre que son paternel qui avait fait de lui désormais son ennemi mortel numéro un et Drew savait mieux que quiconque que lorsqu’on était dans le collimateur de Lord Kenworth Sr on risquait de finir très mal… Il affronterait son père si réellement c’était lui qui commanditait tout cela. Prue disait qu’il ne la connaissait pas… « Tout va bien se passer, chérie. Je te le promets ! » Le jeune homme ne disait rien d’autre tandis qu’il la serrait tout contre lui. Elle se libéra de son étreinte afin de récupérer du gel douche tandis qu’elle se mettait à lui laver le torse. Il se pencha pour l’embrasser passionnément avant de prendre le gel et en versa légèrement son contenu sur le dos de la jeune femme… Il vint lui caresser délicatement le dos répandant sur toute la surface le gel… Il avait l’impression que ça faisait une éternité qu’il ne s’était retrouvé ainsi avec sa petite amie. Elle lui avait manqué énormément.

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« Tout va bien se passer, chérie. Je te le promets ! » Il me promettait que tout allait bien se passer, mais comment pouvait-il me promettre une chose dont, il n’était pas sûr. Après tout, ce n’était pas lui qui décidait des actions des autres. Il ne pouvait donc pas prévoir quand les autres attaqueront. « Tu es trop confiant » disais-je en lâchant un léger rire. Versant du gel douche dans mes mains, je commençais à laver son torse, mais très vite, je fus interrompu par Andrew. Il m’embrassait avec une passion presque déstabilisante, tant elle était pure. Puis, me tournant dos à lui, il m’appliquait du gel douche sur le dos. Ce fut seulement maintenant, que je lâchais prise, me laissant aller à ses caresses. Le contact de ses mains puissantes sur mon corps m’avais manqué. Cela faisait une éternité que je n’avais pas passée un moment calme en sa présence. Parlé sincèrement avec lui, me donnait l’impression de rattraper le retard que nous avions accumulé. Néanmoins, je ne pouvais pas m’empêcher de m’inquiéter pour lui.

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Finalement maintenant qu’ils se lavaient dans la douche, le jeune homme se disait qu’il n’avait aucun regret et qu’il avait bien fait de l’avoir annoncé à sa petite amie. Il aurait du le faire bien plus tôt mais il n’était pas prêt et il n’était pas encore sûr que c’était bel et bien lui qui était visé. Cependant aujourd’hui, il l’était vraiment et il avait plus que jamais augmenté la sécurité autour de lui mais également autour des personnes qui lui étaient chères. Néanmoins, il promettait à Prue que tout se passerait bien mais elle lui répondait qu’il était bien trop confiant. « Tu me connais… Je suis toujours d’un optimisme déconcertant » murmura-t-il alors qu’il lui caressait toujours tendrement le dos, étalant bien comme il fallait le gel qu’il avait lentement fait couler sur son dos. Puis au bout de quelques temps, il la retourna pour lui faire face et tout en lui souriant, il prit un peu de gel qu’il se mit à étaler sur le corps s’attardant sur la poitrine de la jeune femme avant de l’embrasser de nouveau. Entre deux baisers, il lui souffla à l’oreille : « Tu m’as manqué… »

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« Tu me connais… Je suis toujours d’un optimisme déconcertant » On ne pouvait pas le lui reprocher cette optimisme. Je ne pouvais qu’être admirative. Néanmoins, je continuais de m’inquiéter pour lui. Ce qui lui arrivait, n’était pas quelque chose de commun, ni de normal. Comment pourrais-je être bien, alors que mon homme était en danger. Je ne voulais pas me retrouver comme Jackie Kennedy. Pitié, tous sauf ça. Je ne voulais pas que l’on tombe dans ce cliché dramatique. Me faisant pivoter face à lui, il me savonnait le corps de gel douche. Comme une vraie princesse, je me laissais faire, profitant du bien fait qu’il me prodiguait. Ses grandes mains s’attardaient sur ma poitrine, dressant leur extrémité. Se penchant vers moi, il s’emparait de mes lèvres, faisant naitre se même désir ardent qui pouvait me consumer rapidement. « Tu m’as manqué… » A ce point-là ? Pourtant, nous nous étions vu, il n’y a pas longtemps. « Il semblerait que vous ne pouvez plus vous passer de moi, monsieur Kenworth. » disais-je malicieusement.

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Il était en danger de mort constant mais le jeune homme gardait tout de même son optimisme légendaire parce qu’en fin de compte, il n’avait pas peur de perdre la vie et si jamais cela devait arriver, il emmènerait ses assassins dans l’au-delà avec lui. La seule chose qui lui faisait réellement peur en réalité, c’était de perdre les deux femmes de sa vie… Prudence et Aliénor : sa chérie et sa fille ! Il fallait cesser de penser à ça, il était l’heure de profiter de ce petit séjour à Paris avec sa petite amie qui lui avait énormément manqué, d’ailleurs après lui avoir savonné son corps si sexy tout en s’attardant avec délice sur sa belle poitrine. Il l’avait embrassée avant de lui murmurer qu’elle lui avait manqué. En guise de réponse, elle disait malicieusement qu’il semblerait qu’il ne pouvait plus se passer d’elle. « Je le crois bien, Miss Rothschild ! Et j’espère que c’est réciproque parce que je compte profiter au maximum de notre séjour ici… ». Il dut s’arrêter de parler parce qu’une sonnette venait de retentir. « Je crois que notre room service arrive… Et flûte ! » dit-il avec amusement même s’il était un peu frustré en fin de compte et après un dernier baiser fougueux, il sortit de la douche en revêtant le peignoir qui se trouvait proche de lui et il alla ouvrir le room service. Il lui donna un petit pourboire avant de revenir dans la salle de bains. « N’avais-tu pas faim, chérie ? » sourit-il malicieusement… Lui c’était d’une toute autre faim qu’il avait !

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« Je le crois bien, Miss Rothschild ! Et j’espère que c’est réciproque parce que je compte profiter au maximum de notre séjour ici… » Il n’avait pas à s’inquiéter de ça. C’était réciproque et ce que je ressentais pour lui, était bel et bien présent. Mes mains parcouraient dangereusement son corps, lorsque soudain, la sonnette de la chambre, retentissait. « Je crois que notre room service arrive… Et flûte ! » Avec cette conversation, j’avais totalement oublié qu’il avait commandé une collation au room service. Quittant la douche, il allait récupérer notre nourriture. Lorsqu’il revenait dans la salle de bain, j’étais déjà vêtue du fameux peignoir blanc, identique au sien. « N’avais-tu pas faim, chérie ? » Une question qui avait l’air innocente en apparence, mais qui en réalité, ne l’était pas. Je savais parfaitement à quoi il faisait allusion et pour mon bon plaisir, j’allais me faire difficile. « Extrêmement faim. Le room est arrivé à tant » Un grand sourire sur les lèvres, je passais devant lui sans le frôler. Arrivé dans la chambre, je découvrais des gaufres avec des fraises et toute sorte de plat. « T’as commandé pour tout un régiment ou quoi ! » Piochant une fraise au hasard, je m’installais sur le lit. Mordant dans la fraise, je lançais un regard innocent à Andrew. « Tu ne viens pas ? »

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Lorsqu’il avait entendu la sonnette de la chambre retentir alors que l’ambiance devenait un peu plus chaude dans l’espace réduit de la douche, il avait légèrement maudit le room service qui arrivait un peu trop au mauvais moment. Mais comme il fallait qu’il récupère vite le repas, il s’était empressé de se vêtir du fameux peignoir blanc avant de se rendre jusqu’à la porte d’entrée afin d’y récupérer tout ce dont ils avaient besoin. Une fois la nourriture récupérée, il était revenu dans la salle de bain en lui faisant remarquer qu’elle était censée avoir très faim. Avec le malice qu’elle savait bien faire preuve, elle lui répondait qu’elle avait extrêmement faim. Le jeune homme fit mine d’être déçu mais il souriait en réalité. Elle passa en trombe devant lui avant de s’exclamer qu’il avait commandé à manger pour tout un régiment. « La gastronomie française quoi ! Il faut goûter à tout ! » répondit-il avec un regard empli de désir et alors qu’elle s’installait sur le lit mangeant une fraise, elle lui demandait s’il venait ou non. Il ne se fit pas prier pour s’installer auprès d’elle et prendre une fraise qu’il engloutit rapidement avant d’en prendre une nouvelle qu’il tendit vers la bouche de sa petite amie.

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« La gastronomie française quoi ! Il faut goûter à tout ! » Les français était réputé pour leur nourriture excellent. Même si je trouvais que certains plats étaient étranges. En observant Andrew me rejoindre sur le lit, je fus étonné de le voir feindre l’indifférence. Bien, il ne faisait qu’amplifier mon envie de jouer. Finissant ma fraise, je fus vite devancé par le jeune homme, qui m’en tendait une. Mordant dans cette dernière, je savourais la saveur exquise du fruit, tout en colorant mes lèvres d’un rouge profond. M’asseyant en face de lui, je faisais exprès de me positionner d’une façon à ce que mon peignoir se relève pour dévoiler un peu plus de peau sur ma cuisse. « Hm, elles sont bonne » Les yeux brillants, je pensais à autre chose qui aurait très bien pu rassasié une faim spéciale. « On doit se lever tôt pour demain ? » Je changeais de sujet de discussion comme pour le faire s’impatienter et lui faire croire que j’étais éveillé pour tout, sauf le sexe.

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