« Waw… faudra que tu me montres tout hein ! Je suis curieuse… » avoua-t-elle bien que dans la seconde qui suivit l’explication liée à la télécommande fut reléguée au placard. Elisandra était déjà enivrée par les gestes et la chaleur d’Hippolyte qu’elle ne désirait que depuis trop longtemps. « Sérieux ? On peut baptiser le bureau, le canapé… moi je suis opé, j’ai pas envie de partir à moins que tu me foutes dehors » minauda-t-elle avant de reprendre ses lèvres pour mieux déchirer sa chemise. « Si quelqu’un vient je le fracasse, j’en peux plus de rêver que tu es enfin à moi dans tous les sens du terme ! »
« Je ne suis on ne peut plus sérieux. Je veux pouvoir t’aimer dans tous les sens du terme… je vais devenir dingue si je ne peux pas te posséder comme par le passé » soufflais-je entre deux baisers pour mieux soulever sa robe et la jeter dans un coin du bureau. Je n’en pouvais plus et je me fichais bien qu’il y ait des voyeurs. Pour la première fois de ma vie, je serais capable de passer outre ce détail gênant si jamais cela signifiait que nous ne serions pas interrompus. Mon téléphone portable se mit à sonner à ce moment-là. « Attends, deux secondes ! »lui dis-je en me reculant légèrement pour l’attraper dans la poche de mon pantalon et le balancer au travers de la pièce pour qu’il aille se fracasser contre le mur. « Voilà, enfin seuls ! »
« Mais je demande pas mieux ! Moi j’ai envie que tu me possèdes du matin au soir sans aucun problème tu sais très bien qu’il n’y a que toi qui m’importe » avoua-t-elle surtout qu’Hippolyte faisait preuve d’une folie on ne peut plus étonnante lui donnant de larges frissons d’un coup d’un seul. Le mieux fut lorsqu’il balança son téléphone portable à travers la pièce avant même qu’elle n’ait eu le temps de râler… « Tu sais quoi Hippo ? Je t’aime t'es mon héros !! » s’exclama-t-elle en s’emparant furieusement de ses lèvres et entourant ses hanches de ses cuisses, avant de déposer un suçon contre son pectoral droit. « Voilà ! A moi ! »
J’éclatais de rire lorsqu’elle m’annonça que j’étais son héros. Je voulais bien fracasser tous les téléphones portables du monde si cela la mettait dans un état pareil. « Je t’aime aussi mon étoile » murmurais-je en plongeant ma main dans ses cheveux alors qu’elle réalisait un parfait suçon. « A mon tour de te marquer mienne » soufflais-je pour mieux la faire ployer en arrière et marquer son adorable cou d’un suçon. « Bon sang, j’ai cru que ce moment n’arriverait jamais ! » avouais-je avant que je la forçais à s’allonger sur mon bureau. Je déposais de nombreux baisers sur son ventre puis, mes lèvres vinrent entourer un petit bonbon de la culotte pour mieux le croquer. « Délicieux ! »
« Ça faisait longtemps que tu ne m’avais pas appelé comme ça… » Elisandra en était presque émue, et à tout le moins on ne peut plus charmée car elle avait toujours adoré ce surnom. « Tu sais que t’es un chameau parce que moi je te l’ai pas fait dans le cou là où tout le monde peut le voir ! Pour la peine après je t’en ferai un deuxième… » décréta-t-elle par principe même si Elie perdit rapidement pied de la réalité alors qu’il venait de l’allonger sur le bureau et commençait doucement mais sûrement à dévorer la culotte bonbons qu’elle avait achetée spécialement pour lui. « Je suis bonne ? »
« Tu pourras me faire tous les suçons de la terre mon étoile, je suis tout à toi ! » répondis-je même si sûrement allais-je regretter mon emportement quand je verrais les regards presque choqués de mes collaborateurs. Pour l’heure, je m’en fichais totalement car seule cette femme comptait. Oui, ma petite étoile, celle qui m’avait toujours guidé dans l’obscurité qu’était ma vie sans elle. « Tu n’es pas bonne, tu es exquise » lui dis-je alors que je continuais de la dévorer, écartant légèrement le vêtement de sucrerie pour venir la goûter sans fioriture.