WYÉO ❥ Deux hommes et la danse !

« T'es vraiment un trou duc malodorant rempli de pelouse qu'il faut tondre. J'te haie ! » C’était tellement gentil de sa part ! « T’as été vérifié mon trou de bal pour supposer ça ? Contrairement à toi, je suis imberbe du cul ! » Bah oué ! Comme tout bon mec qui se respecte, je prenais soin de moi. « Ou je vais aller me plaindre à Torrey pour la peine. » disait-il en s’épongeant. Qu’il se plaigne ! En attendant, ce n’est pas moi qui avait de l’alcool sur le visage. « Je crois que t’es le dernier de ses soucis (a) » Quoi qu’elle pourrait en profiter pour me gifler ! Alors que je tenais toujours mon verre dans le main, ce petit con foutait un coup dedans. Le liquide bleu venait alors, arroser mon pantalon. Super ! On allait croire que je mettais pissé dessus ! « Œil pour œil, dent pour dent. » Il pouvait sourire de ses dents blanches emplis de tâches bleues, il ne perdait rien pour attendre ! Posant mon verre, je prenais une serviette pour m’éponger. « Ça t’amuse ? Bien. » Sans prévenir, je me jetais sur lui et lui mettais ma serviette humide dans la bouche. « T’as la langue trop pendu turluberlu !! »

« T’as été vérifié mon trou de bal pour supposer ça ? Contrairement à toi, je suis imberbe du cul ! » Haha. Genre. Levant les yeux au ciel, je ne pus m'empêcher de rire. « Oui c'est ça. Tu te fais l'épilation intégrale hein ? Telle la minette que tu es. » Ben quoi ? Tous les coups étaient permis pour se foutre de la gueule de son meilleur ami ! Et voilà qu'il me renversait mon verre sur mon smoking. « Je crois que t’es le dernier de ses soucis (a) » ALBARTARD FOIS DEUX PUISSANCE DIX. Je m'épongeais comme je pouvais alors que je décidais de ne pas me laisser faire et venant donner un grand coup dans son verre, je renversais du liquide sur son pantalon. « Ça t’amuse ? Bien. » Oh, oh. Méchant Wyatt. Sans prévenir, il se jeta sur moi et m'enfonça une serviette dans la bouche. « T’as la langue trop pendu turluberlu !! » Aaaaaaaah. Réagissant au quart de toi, j'attrapais son bras, le retournant derrière son dos, ensuite je crachais la serviette et d'un coup de revers de pied, je l'explosais au sol, m’asseyant sur lui. « Tu disais chéri ? Je me considère comme un Ninja alors fais gaffe à toi ! »

« Oui c'est ça. Tu te fais l'épilation intégrale hein ? Telle la minette que tu es. » Qu’il laisse mes poils de cul tranquille ! « J’assume ! » J’étais un nageur, je n’allais pas laisser des bouclettes dépassées ! Après lui avoir fait bouffer sa serviette, car il venait de me renverser mon cocktail sur mon seul et unique smocking, je tentais une petite vanne. Sauf que ce petit con, me faisait une prise digne d’un judoka. Si bien, que je me retrouvais allongé au sol et lui assis sur mon dos. « Tu disais chéri ? Je me considère comme un Ninja alors fais gaffe à toi ! » Qu’est-ce qu’il racontait celui la ! Retournant mon bras du mieux que je pouvais, j’atteignais ses fesses pour les lui pincer. Ainsi, j’arrivais à me dégager de lui. « ESPECE DE RUSARD !! » disais-je en hurlant. Puis, je partais en courant pour me planquer dans la foule.

« J’assume ! » Ah ! Donc il s'épilait bel et bien le trou de balle. Mon Dieu ! Je n'avais pas un meilleur ami sinon une meilleure amie. Alors, quand il me renversa mon verre dessus, j'en profitais pour en faire de même, je ne me laissais certainement pas faire. Surtout lorsqu'il accouru vers moi afin de me coltiner sa serviette dans la bouche. Le porc. Lui faisant une prise de judo, j'en profitais pour crâner en faisant le mec ninja. Il se retrouvait désormais ventre au sol, mon cul sur son dos. « ESPECE DE RUSARD !! » Il avait réussi à me pincer le boule et se relevant, il se mit à courir dans la foule. « OUAIS C'EST ÇA CASSE-TOI DU GLAND ! » Puis soupirant, je me mettais à lui courir après, le rattrapant en deux trois mouvements, je vins à lui sauter sur le dos. « BOUYAAAA ! » Néanmoins, celui-ci termina sa course dans une troupe de jeunes filles. «  Oups ! »

A moi la libération ! Le tortionnaire était K.O ! « OUAIS C'EST ÇA CASSE-TOI DU GLAND ! » Il gueulait aussi fort que moi le couillon. « MON GLAND ET MOI ON SE PORTE TRES BIEN » Je trouvais le moyen de brailler en levant le point, évitant de justesse le blondinet des echecs. Soudain, je sentis un poids lourd me sauter dessus. « BOUYAAAA ! » Impuissant, je me vis foncer dans un tas de jeune vierge effarouchée. Punaise, c’est qu’il était lourd le couillon. «  Oups ! » Je m’étais fait un plat sur une des jeunes femmes. Poussant Théo sur le côté, je me relevais. « Peurdon mesdames » Si un agent de la sécurité nous repérait, nous allions être foutu. D’ailleurs, un agent se rapprochait de nous. « COURT !! » Courant, je trouvais le moyen de me planquer dans un petit coin sombre. Alors que Théo passait à ce moment-là, je le chopais et le balancer dans le coin. « Chut » Le sol tremblait, car le gorille arrivait !

Il venait de se barrer en courant ce con ! J'allais pas le laisser s'échapper comme ça non mais oh ! « MON GLAND ET MOI ON SE PORTE TRES BIEN » Ben voyons, quel banane ! La rattrapant alors qu'il s'était barré dans la foule, je lui sautais littéralement dessus. Oh ouais, c'était marrant ! Mais le fait de lui sauter dessus, le fit foncer dans des petites minettes. « Peurdon mesdames » Me poussant, il se releva alors que je riais comme un idiot. « Le monsieur qui est là à besoin de lunettes. D'ailleurs vous avez des jolies p'tis culs. » Oula, moi ça n'allait plus. Quand soudain : « COURT !! » Quoi ? Tournant ma tête, je vis l'arrivé d'un agent de sécurité venir vers nous. Et alors que je suivais Wyatt, celui-ci disparu avant que je ne disparaisse moi-même, attrapé par bras. « Aie ! » Mais non. « Chut » Nous étions dans un petit coin solitaire qui tremblait. « C'est intime ici, hein mon lapin ? » Évidemment je chuchotais mais c'était assez dérangeant. « J'vous ai repéré les gars sortez ! »

« C'est intime ici, hein mon lapin ? » Ce mec était pire qu’un gosse ! Il fallait toujours, qu’il en rajoute ! En parlant de ça, sa remarque eu le don de nous faire démasquer par le gorille. « J'vous ai repéré les gars sortez ! » Me visualisant à la place du vigile, je nous imaginais tous les deux, recroquevillé dans ce coin sombre. Bon sang, on devait vraiment avoir l’air con. Surtout deux guignols de notre gabarit. « Mais de quoi vous parlez ? » Je tentais de faire l’ignorant, en espérant qu’il n’est pas imprimé nos tronches dans son cerveau. « Vous devez nous confondre, nous sommes en train de parler… » En deux, trois mouvements, le gorille nous chopait par le col pour nous mettre à la porte. « C’est ça » disait-il avec sa grosse voix. « Prenez l’air et revenez quand vous aurez décuvé » Il nous lâchait dans le froid, avant de nous faire un signe. « J’vous surveille »

Prit au piège ! Nous étions prit au piège par tous les saints de la famille de Wyatt le macaque. Coincés dans un coin dans le noir, je me demandais comment nous avions fait pour tomber si bas et voilà que le gorille se ramenait. Merde donc car ils nous avait repéré. Bon et plus on du sortir de notre cachette...Heureusement que Wyatt le sauveur prenait sa tête de petit innocent effronté. « Mais de quoi vous parlez ? » De la pluie et du beau temps pardis ! « Ne nous passez pas les menottes monsieur l'agent, nous être des gentils garçons. » Je riais alors qu'on pouvait bel et bien imaginer que j'avais un coup dans le nez. « Vous devez nous confondre, nous sommes en train de parler… » Oui...Avec Dipsy et Poo des Teletubbies. Mais rien n'y faisait, nous étions ratrapé par le col de nos veste. « C’est ça. Prenez l’air et revenez quand vous aurez décuvé. J’vous surveille » Me retournant, je résistais à l'envie de lui présenter un doigt. « Surveille mon cul espèce d’orang-outan ! » Je boudais désormais, bras croisés sur ma poitrine. « Voilà, c'est malin. En plus j'ai pas de clope et on se gèle les miches ! »

« Ne nous passez pas les menottes monsieur l'agent, nous être des gentils garçons. » Son intervention n’avait pas suffi non plus. Le gorille nous avait balancé dehors en nous faisant un signe avec ses gros doigts boudinés. Nous avions reçus un ordre direct : ne pas revenir tant que nous n’avions pas fait baisser le taux d’alcool. « Surveille mon cul espèce d’orang-outan ! » Théo le ouistiti et son magnifique vocabulaire. Sérieux, il ressemblait plus à un petit singe face au gros gorille. « Pardonne-nous Ô maitre de la forêt mi jungle ! » Je faisais des moulinets avec mes bras. Je finissais quand même par reculer. Le type était trop menaçant et bien que je sois fou, je ne me sentais pas d’attaque contre sa masse. « Voilà, c'est malin. En plus j'ai pas de clope et on se gèle les miches ! » Bras croisé, il boudait comme un gamin qui n’avait pas eu son gâteau. « C’est de ta faute si on est là ! » C’est lui qui nous avait poussés sur les filles. Alors que je lui tournais le dos, j’eu une brillante idée ! M’approchant des fleurs, je faisais signe à Théo de se rapprocher. « On va reconquérir notre dû ! On a pas à être traité comme de vulgaires merdes ! A genoux !» Ne s’exécutant pas, je lui donnais un coup pour qu’il se force. Puis, me mettant de la terre légèrement humide sur les doigts, j’entonnais quelques mots : « J’en appelle aux forces guerrières de la nuit, qu’elles nous donnent puissant pour reconquérir la salle. HOUKAKA !! » La fin fut un cris digne des mecs de rugby. J’étalais la terre, mais ça ne marquait pas trop. « Bon tant pis, c’est l’intention qui compte » A lui de me faire la bénédiction.

Il nous avait collé dehors ce gros tas de graisse là. Azy', j'étais chaud. J'allais retrousser les manches de ma veste et lui foncer dessus comme un bon taureau noir et prendre ce gorille par les cornes. Même si techniquement, les gorilles et ben, ils n'ont pas de cornes. Je lui disais de mater mon boule pour nous surveiller. « Pardonne-nous Ô maitre de la forêt mi jungle ! » Quoi ? « Tu t'es cru dans le Roi Lion toi ou quoi ? » Cette fois-ci je riais boudant limite, apte à recevoir les reproches de Wyatt, car je me doutais bien qu'il allait y en avoir. « C’est de ta faute si on est là ! » Ma faute mon cul na mais oh ! Cette fois-ci lui il n'y échappa pas, et je lui foutais mon majeur sous le nez. « Et à lui c'est de sa faute p'être ?! » Et voilà, récurage de nez gratuit, sisi ! « On va reconquérir notre dû ! On a pas à être traité comme de vulgaires merdes ! A genoux ! » Peurdon ? Et le voilà qui me collait un coup monumentale pour que je ne tombe à genoux. « J’en appelle aux forces guerrières de la nuit, qu’elles nous donnent puissant pour reconquérir la salle. HOUKAKA !! » Et le voilà qui se collait de la terre sur les doigts ce porc ! Mais le grand malade ! ET VOILÀ QU'IL ME LE COLLAIT SUR LE VISAGE ! « Bon tant pis, c’est l’intention qui compte » Je le repoussais. « Casses-toi avec tes conneries du gland ! » N'empêche je riais. « Allez à ton tour nunga-nunga ! » Le baissant par le froc pour qu'il soit à genoux à son tour, je lui collais de la terre des les cheveux. « J'en appelle au nanana nénénénéné blahblahmacarena le roi Wyatt...bamboula hé bamboula oh ! » Riant, je me relevais en me secouant la terre sur les genoux. « Il va pas nous tenir dehors toute la soirée celui-là, j'vais lui coller sa raclée et l'écraser comme une crêpe il va rien comprendre. » Reculant je fis un grand sourire au gorille à la porte avec un signe de la main. « Ok, à trois on lui fonce dedans ! »