WYÉO ❥ Deux hommes et la danse !

« Pourquoi...T'sais ce qu'on dit ? Ça rends aimable. » C’est le genre de truc que l’on nous disait pour manger les carottes. « ça te rend surtout le cul orange » Cela avait été vérifié ! C’est la même chose quand on mangeait trop de radis. A force, notre pisse devenait rouge. D’un coup, on se mettait à danser comme deux imbéciles, jusqu’à ce qu’une personne vienne se coller contre nous. « Et gars, faut payer pour avoir le droit de faire ça ! » Punaise, c’était le blondinet coincé ! Finalement, on l’avait sous-estimé, il n’était pas si coincé que cela. Théo n’était pas d’un vrai secours, car il n’arrêtait pas de rire. Je lui donnais un coup dans les côtes, avant de prendre la parole. « Désolé mec, mais on te faisait marcher. Nous, on n’aime la moule, tu comprends ? »

« Ça te rend surtout le cul orange » Quoi ? Explosant une nouvelle fois de rire, je me tenais limite le ventre. Puis, alors que nous étions en train de danser comme des cons, Wyatt vint à se faire pincer les fesses. Nous retournant alors, l'on pu constater que le blondinet qui avait répondu présent à ma demande pour celui qui pouvait être tenté par la kekette de Wyatt, venait de pas se gêner pour lui toucher le popotin. Et comme je riais encore plus fort, je me ramassais un coup dans les côtes. « Désolé mec, mais on te faisait marcher. Nous, on n’aime la moule, tu comprends ? » Le blond nous regarda comme si nous venions de lui annoncer qu'il avait été adopté. « Tenter de nouvelles expériences tue rarement les gens. » Hein ? Je jetais un regard paniqué à Wyatt. « Hum...Recules-toi... » Je marchais à reculons avec un grand sourire. « On va à la pêche nous.. »

« Tenter de nouvelles expériences tue rarement les gens. » What ? Mais il était fou cet enfant ! Automatiquement, Théo tentait de sauver notre cul. Oui, ‘’cul’’, car c’était le cas de le dire ! « Hum...Recules-toi... » Moué, pas sûr qu’il nous écoute. Imitant mon meilleur ami, je reculais. Je n’avais rien contre les gays, mais lorsqu’un mec se collait à mon cul, je commençais à m’inquiéter. « On va à la pêche nous.. » Bien dit ! J’esquissais un sourire, alors que le mec prenait la parole : « Vous êtes sûr ? Vous risqueriez de louper du grand sexe ! » Qui aurait cru que le petit intello était aussi cochon que Gaby ! « Bah tant pis. Aller adios amigos ! » Il ne manquait plus que ça : un mec en rute !

Qu'il se recule ce petit obsédé sexuel là. Non mais pour qui se prenait-il sérieusement ? Il me faisait peur s'ayez. Quelle idée m'était passé par la tête à moi aussi en voyant ces individus de leur dire de telles choses ? Je ne subissais que le bon retour des choses pour mon plus grand amusement. « Vous êtes sûr ? Vous risqueriez de louper du grand sexe ! » Pardon ? Mais nous étions en train de reculer là, il n'arrivait pas à comprendre ce que ça signifiait ? « Bah tant pis. Aller adios amigos ! » Acquiesçant, j'attrapais Wyatt par la nuque avec mon bras. « Quel malade ! Pas grave buddy, t'as toujours Torrey. » Puis je l’entraînais vers le bar en ricanant. «  Choisi l'ami, qu'on efface cette horrible chapitre avec cet ignoble individu qui te courrais aux miches. »

Théo finissait par m’attraper par la nuque comme un chiot égaré, pour m’emmener loin de l’obsédé. « Quel malade ! Pas grave buddy, t'as toujours Torrey. » Non, mais dit donc ! Je me dégageais de son emprise, avant de lui tirer sur les poils de son bras. « C’est de ta faute ! J’ai faillis me faire violer ! » C’était clairement, ce qui avait faillis se passer ! Arrivé devant le bar, il me faisait une proposition que je ne pouvais refuser : « Choisi l'ami, qu'on efface cette horrible chapitre avec cet ignoble individu qui te courrais aux miches. » Je me passais la langue sur la lèvre en imaginant ce que je pourrais répondre. « Deux blue lagoon pour nous ! » On peut dire, que ce cocktail était particulièrement fort.

Il fallait l'éloigner de là où nous nous trouvions et ce grand blond qui n'attendait plus qu'une chose maintenant: pouvoir peloter les jolies petites fesses roses et bien musclées de Wyatt. Argh. L'attrapant, je l'entraînais vers le bar et lui parlant de Torrey, il se dégagea de mon emprise et me tira les poils de bras. « C’est de ta faute ! J’ai faillis me faire violer ! » Esquissant une grimace, je reprenais un sourire de crâneur. « Mais non, je t'aurais sauver arrêtes...ou pas (a) » Riant, je lui demandais de nous commander des verres pour nous faire oublier ce malheureux épisode. « Deux blue lagoon pour nous ! » Vraiment ? Esquissant un sourire, je me tournais vers Wyatt. « Ben t'y vas pas de main morte toi, je voudrais pas à avoir à te ramasser à quattre pattes. ! » Quoi que ça pourrait être très drôle.. Je remerciais ensuite le barman qui venait de nous apporter nos boissons. «  À quoi pourrions-nous bien trinquer ? » Cette soirée synonyme de fiasco ?

« Mais non, je t'aurais sauver arrêtes...ou pas (a) » Le connaissant, il aurait été capable d’attendre que je me sois fait embrasser, avant de réagir. Histoire d’avoir quelque chose à se mettre sous la dent pour me taquiner. « Ou pas, oué ! » Bref, après cela, nous nous étions dirigés vers le bar et j’avais commandé deux Blue Lagoon. « Ben t'y vas pas de main morte toi, je voudrais pas à avoir à te ramasser à quattre pattes. ! » C’était plutôt moi qui allais le ramasser par terre. J’arquais un sourcil, suivis d’un sourire narquois. « On verra qui de nous deux sera le plus ivre » Automatiquement, je nous imaginais allongé par terre sur la piste de danse, en train de faire l’ange. Enfin, le barman nous servait nos boissons. « À quoi pourrions-nous bien trinquer ? » Je me le demandais. A mon tour, je prenais mon verre pour le lever. « Heu…A ce bal, totalement foireux ! » Il fallait dire les choses comme elles étaient.

« Ou pas, oué ! » Ce petit enfant me connaissait que trop bien. Évidemment, j'aurais attendu un long instant avant d'intervenir et de le sortir des griffes de ce blondinet en rûte. Mais plutôt la torture que de l'avouer. Bref, on termina par arriver près du bar et monsieur opta pour deux cocktails assez puissants quand même « On verra qui de nous deux sera le plus ivre » Ah oui carrément ? J’esquissais un sourire narquois alors que je savais qu'il savait parfaitement que je ne tenais pas du tout l'alcool. La preuve, j'avais presque trompé toutes mes copines sous l'influence de ce breuvage-là. « Tu seras le premier Guerin ! » Riant un peu. j'attrapais mon verre pour le faire trinquer contre le sien. « Heu…A ce bal, totalement foireux ! » Oh oui. Acquiesçant, je bus la première gorgée en grimaçant. « Bon et sinon, passons à des choses sérieuses. Je t'ai pas demandé depuis que tu es venu me chercher à l'hosto mais, la grossesse de Torrey se passe bien ? »

« Tu seras le premier Guerin ! » C’est ce qu’on allait voir. Levant mon verre, je trinquais à ce bal totalement foireux. « Bon et sinon, passons à des choses sérieuses. Je t'ai pas demandé depuis que tu es venu me chercher à l'hosto mais, la grossesse de Torrey se passe bien ? » Il voulait me casser le moral ? Pourquoi parler des sujets qui fâchent ou qui me mettent mal ? Je lui lançais un regard qui voulait dire ‘’ non, on ne parle pas de ça’’. « Bien, je présume » Je buvais mon cocktail et alors, qu’il allait boire le sien, je lui donnais une grande tape sur l’épaule, ce qui eut le don de faire renverser un peu de son verre sur lui. « Bah alors Théo, on a déjà trop bu »

J'allais le faire marcher à quatre pattes, ça allait être marrant. J'allais tout faire pour le faire boire et qu'il ne chute en premier comme ça j'aurais plein de bons dossiers bien juteux à lui raconter plus tard et je pourrais aussi ainsi, me foutre largement de la tronche de mon meilleur ami. « Bien, je présume » Son manque de réaction m'arracha une grimace alors que son regard voulait tout dire sauf, je vais être un papa joyeux. « Toi...toi t'as des problèmes. » Je me mis à rire en buvant une gorgée de mon verre. Mais en fait non, je n'eus pas le temps de boire qu'il m'infligea d'une grande tape sur l'épaule et je me renversais du liquide dessus. « Bah alors Théo, on a déjà trop bu » ALBÂTARD ! « T'es vraiment un trou duc malodorant rempli de pelouse qu'il faut tondre. J'te haie ! » M'épongeant un peu, je repris. « Ou je vais aller me plaindre à Torrey pour la peine. » Donnant ensuite un coup sous le bas de son verre, une masse de liquide tomba sur son pantalon. Je riais maintenant. « Œil pour œil, dent pour dent. »