Hot ! (+ Ruben) ~ Je vais te faire un beau gâteau !

Jouant avec les parties intimes d'Athina, Ruben perdit totalement le contrôle lorsqu'il sentit la main de la rousse entourer son membre durcit par le plaisir de la chair. Les petits va et viens qu'elle faisait avec ne le laissait pas du tout indifférent. Au contraire. Ruben ferma les yeux, profitant pleinement de chacune sensation, essayant d'en donner tout autant à sa princesse. Un plaisir partagé était la clé d'un galipette réussie. Il entremêla ses doigts de sa main libre dans la chevelure de feu de sa petite amie, répondant à ses baisers de plus en plus passionnés. Leurs langues s'entremêlent, leurs salive se mélangent. Les petits gémissements de plaisirs qu'Athina produisait donnaient plus de niaque à Ruben. Il la voulait, elle, tout de suite, maintenant. Il voulait que leurs corps ne forment plus qu'un, cette nuit. J'ai envie de toi Athina.. lui souffla-t-il avec une respiration saccadée.

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Je perds toute ma conscience. Ou alors elle est trop occupée par les mille et unes sensation que Ruben me fait ressentir... Je caresse son membre avec ma main dans un léger mouvement de va et vient, essayant de donner autant de plaisir à mon petit copain qu'il m'en donne. Mon autre main est posée sur son dos et je la fait redescendre sur ses bras. Ces bras qui m'ont portée plus d'une fois dans cette soirée. J'ai envie de toi Athina.. Je l'embrasse au niveau de sa clavicule, dans le creux. Et je lui réponds, haletante : "Fais-moi l'amour Ruben..." J'ai envie de lui, qu'il me possède, là. J'en ai envie depuis longtemps, depuis le moment où on s'est rencontrés, quand il s'est avancé vers moi à cette soirée. On a attendu, le temps de faire mûrir nos sentiments et ce moment en est encore plus beau ! J'ai pas eu des centaines d'amants dans mon lit, mais je peux d'ors et déjà déclarer que cette fois-ci sera une de mes meilleures fois. Je lèche ses lèvres du bout de ma langue en savourant les sensations qui me parcourent.

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Ses mots saccadés par sa respiration et le plaisir qui l’enivrai avaient sonné comme une permission, la permission de prendre possession du corps de la gazelle rousse. La main d'Athina qui parcourut son bras le fit frissonner de plus belle. Il était bien, il ne voulait que jamais ce moment ne s'arrête. A l'entente de la volonté d'Athina, Ruben attrapa son jean du bout des pieds et extirpa un préservatif de la poche du pantalon. C'est qu'il avait tout prévu, au cas où les choses tourneraient... comme ça. Il déchira le paquet et déroula le préservatif sur son membre durcit par le plaisir qui n'en finissait pas d'augmenter. Jetant le petit paquet il ne sait où, Ruben repris les doux baisers qu'ils s'échangeaient avec la belle, entremêlant toujours plus vite et intensément leurs langues. A califourchon sur Athina, Ruben commença de doux vas et viens en elle, assouvrant un plaisir trop fort depuis le temps. Il lui faisait l'amour, comme elle le lui avait demandé.

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Mes mains parcourent son corps et je ferme les yeux pour mieux apprécier les frissons et les sensations que le bel australien me procurent. Je sens mon corps s'enflammer quand Ruben attrape un préservatif et le passe sur son membre. Il accède à ma demande, à mon besoin plutôt. Le besoin irrépressible de le sentir en moi, de réunir nos corps dans cette étreinte splendide. Sa langue s'enroule autour de la mienne avec plus d'avidité et nos baisers se font de plus en plus brûlants. Je profite de cet instant intense, la main dans les cheveux du Dunster. Je veux que ça ne s'arrête jamais et qu'il me possède comme ça toute la nuit. Cette sensation, ce plaisir... Ce ne peux pas s'arrêter. Nos souffles saccadés qui s'entrelacent, sa peau contre la mienne. Je veux qu'il me donne tout, et tout ce qu'il a, il me me donne.

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Sa main caressait la poitrine de la rousse tandis que l'autre se glissait dans celle d'Athina. Il jouait avec la vitesse de ses vas et viens, concentré sur la respiration de sa partenaire. Il voulait lui donner un maximum de plaisir. Quant à lui, on pouvait dire qu'il était aux anges. Si on lui avait dit, le jour où il avait rencontré la douce, qu'il serait avec elle dans ce lit à faire ce qu'ils faisaient moins d'un an plus tard, Ruben ne l'aurait jamais cru. Et pourtant. Après de longues minutes, ce merveilleux moment touchait à sa fin. Essoufflé par l'effort, Ruben se laissa tomber sur Athina, posant sa tête dans le creux de son épaule. Il avait aimé ce moment, était prêt à recommencer quand elle le désirait. Mais pas tout d'suite. Repos avant. C'était... parfait... murmura-t-il, légèrement haletant.

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Ce moment, je l'ai attendu, espéré. Il m'a fallu de la patience pour sentir éclore en moi les sentiments qui nous ont conduits ici, ce soir. Je repense à la nuit en Afrique, à ses baisers dans mon cou qui me faisaient frissonner. Je repense à ces moments qu'on a passé ensemble en tant qu'amis. Même là, l'étincelle dans ses yeux ne me trompaient pas. Alors que mon souffle s'accélère et que Ruben continue ses va et vient en moi. Je touche du doigt le paradis dans les bras de Ruben. Et lorsque notre douce étreinte prend fin, je ressens un bonheur immense et une sensation de plénitude m'envahie. Ruben se laisse tomber sur moi et je caresse sa joue, reprenant mon souffle. C'était... parfait... A qui le dis-tu ! Je passe mon autre main dans ses cheveux et je lui murmure doucement : "Magnifique. Y a pas de mot pour ça mon coeur." Pour une fois, pas d'ironie ou d'humour. Je suis sincère et ce que je ressens en ce moment vaut plus que tous ses mots que je pourrais employer.

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La main d'Athina sur sa joue l'électrisa, une dernière fois. Ruben était bouillant, et la main même chaude de sa rousse lui provoqua un choc de températures. Il sourit simplement à propos du ressentit d'Athina, déposant une dernière fois ses lèvres contres les siennes avant de se relever et d'enfiler son boxer après avoir retirer le petit morceau de plastique de son sexe. Ruben attrapa une bouteille d'eau posée sur le bureau de la Quincy et la vida en quelques gorgées. C'est que c'était physique tout ça. Il retourna auprès de sa puce dans le lit, et se cala à côté d'elle. Tu aurais une petite place pour moi dans ton lit cette nuit ? demanda-t-il en posant sa main sur le ventre de la jolie rouquine. Il n'avait pas envie de partir, pas tout de suite, pas comme ça. Il voulait rester avec elle le plus longtemps possible, à commencer par cette nuit.

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Je regarde Ruben aller remettre son boxer. Je sais pas vraiment où sont mes vêtements pour ma part. Éparpillés autour du lit, gisant à la cuisine. Faudrait peut-être aller ramasser ça avant que les filles rentrent. Non, ça attendra... On va quand même pas aller faire du ménage après ce moment parfait ! On a fait mieux comme retour à la réalité ! Ruben revient se blottir tout contre moi, posant sa main brûlante sur mon ventre. "Y aura toujours de la place pour toi dans ce lit..." Je veux pas qu'il parte, on est trop bien tous les deux, et puis je dois dire que l'idée de me réveiller auprès du beau jeune homme m'enchante assez ! Je pose un bisou sur sa joue et part à la recherche de mes propres sous-vêtements. Je parviens à trouver ma culotte et le débardeur que j'avais enfilé quand Chrissy était venue faire irruption dans notre soirée. J'enfile ces petits morceaux de tissus, bon sang qu'il fait chaud ! Je reviens dans le lit et je me colle tout contre lui, une main parcourant les tatouages de son bras. Je les adore ces tatouages...

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La regarder sa pavaner nue dans la chambre était un spectacle devant lequel il ne pourrait se lasser. Elle enfila sa petite culotte et son débardeur qu'il lui avait sauvagement retiré un peu plus tôt dans la soirée. Pendant sa courte absence, Ruben prit possession du lit, tassant comme il faut son oreiller derrière sa tête pour passer une bonne nuit. Il ne lui manquait qu'une chose. Ah, bah la voilà justement. Athina revint enfin à ses côtés, prenant contact avec le corps toujours brûlant de Ruben. Bonne nuit petit ange. murmura-t-il en jouant avec une mèche de sa chevelure couleur feu. Il déposa un dernier bisou sur les lèvres douces de la Quincy et ferma les yeux. A ce moment, plus rien ne pouvait aller mieux pour le Dunster. Il était bien et heureux.

TO BE CONTINUED...

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