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PRÉO ❥ Why not start again where we had stopped everything ?

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« Vraiment ? Tu te dis en couple mais tu agis comme-ci tu ne l'étais pas. Je ne suis pas un modèle mais je n'aimerais pas être à la place de ton petit-ami. » Je venais de lui dire que je n’étais pas vraiment en couple, mais il n’avait pas l’air de comprendre. Levant les yeux en l’air en signe d’agacement, je croisais à mon tour les bras. « Tu me rends un baiser, tu te montre nue sans retenue, tu me rejoins dans la douche, là tu m'embrasse. Tu sais je suis peut-être un imbécile mais j'ai un cœur et je ressens des choses. » Inutile de parler, il ne m’écoutait pas et son ‘’je ressens des choses’’ ne m’avait pas l’air si sincère. Comme tout être humain normalement constitué, il devait ressentir des choses, mais pas avec moi. Je n’étais qu’une simple nana n’ayant aucune valeur à ses yeux. « Il le sait ? Je veux dire, il le sait que tu l'aime et que tu te torture pour ça ? » M’avançant d’un pas, je levais mon visage vers lui. « Je viens de te dire que je n’étais pas en couple. Qu’est-ce que ça peut bien faire ? » Agacer, je reculais, me sentant juger par sa personne. Chose que je détestais plus que tout. « Et pour ta gouverne, je ne suis pas pudique, alors prendre une douche nue avec un homme ne me dérange en rien du tout. Nous sommes des êtres humains, alors pourquoi avoir honte de son corps ?! » Je me plantais mon regard dans le sien. « Excuse-moi de ne pas avoir assouvie ton besoin, mais si tu me voulais, il fallait me sauter dessus comme un homme et on n’en parlerait plus à l’heure qu’il est »
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« Je viens de te dire que je n’étais pas en couple. Qu’est-ce que ça peut bien faire ? » Quoi ? Décidément je ne comprenais vraiment plus rien, puisqu'en lui demandant si elle était bien célibataire, celle-ci m'avait répondu qu'elle ne l'était pas. S'étant rapprochée de moi en croisant elle aussi ses bras sur sa poitrine, j'avais l'étrange sentiment que de l'orage était en train de couvrir nos environs. Je décidais de ne pas répliquer haussant juste les épaules alors qu'elle continuait. « Et pour ta gouverne, je ne suis pas pudique, alors prendre une douche nue avec un homme ne me dérange en rien du tout. Nous sommes des êtres humains, alors pourquoi avoir honte de son corps ?! » Non là je n'acceptais pas ce genre d'excuse, c'était carrément tiré par les cheveux et alors que j'ouvris la bouche pour tenter de dire quelque chose, je la refermais aussitôt en voyant qu'elle recommençait à se défouler sur moi. « Excuse-moi de ne pas avoir assouvie ton besoin, mais si tu me voulais, il fallait me sauter dessus comme un homme et on n’en parlerait plus à l’heure qu’il est » Si je la voulais ? Fronçant les sourcils limite choqué, je ne compris pas du tout pourquoi elle se braquait ainsi contre moi. « Oui, c'est sur que tout à l'heure dans la douche je te parlais de la pluie et du beau temps. Cesses ce genre de commentaire, c'est ridicule. Cesse surtout le cynisme ça ne te vas pas du tout. » Me rapprochant alors d'elle, un regard de prédateur s'affichait sur mon visage. Si je la voulais, je devais la prendre ? Ainsi, tel quel ? Quel honneur. Mon corps se retrouva à quelques centimètres du sien et je me mis à parler d'une voix lente et faible, tellement que mon haleine ne pouvait pas arriver jusqu'à elle. « Je n'ai aucun besoin à assouvir et tu n'as fais que me repousser au final. Car si sa n'en tenait qu'à moi, tu ne serais pas là à porter un de mes boxers. »


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« Oui, c'est sur que tout à l'heure dans la douche je te parlais de la pluie et du beau temps. Cesses ce genre de commentaire, c'est ridicule. Cesse surtout le cynisme ça ne te vas pas du tout. » Il me regardait d’un air menaçant, se rapprochant un peu plus de moi. J’avais détesté l’entendre me parler ainsi. « Je n'ai aucun besoin à assouvir et tu n'as fais que me repousser au final. Car si sa n'en tenait qu'à moi, tu ne serais pas là à porter un de mes boxers. » Si ça ne tenait qu’à lui ? Ben voyons ! « Ce ne sont que des paroles » La bonne entente avait disparus et une fois de plus, nous nous affrontions. « C’est vrai que je n’étais pas à moitié nue dans ton lit » disais-je d’un ton qui se voulait sarcastique. Faisant un pas en arrière, je finissais par me reculer. « Je devrais te laisser en paix, toi et ta mauvaise humeur » Quoi qu’il dise, il l’était clairement et je prenais ses mots comme une attaque envers ma personne. Je ferais surement mieux de rentrer pour le laisser tranquille. Quoique sortir dehors à cette heure-ci, n’était pas une perspective très réjouissante. Autant faire la paix. « Ecoute, je suis désolé, je me suis mal exprimé. Regardons ton…quoi..ton reportage sur les pingouins » disais-je en gloussant.
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Je devais reconnaître que la situation commençais un tant soit peu à me taper sur le système nerveux, qu'elle commençait à me taper sur le système nerveux. Elle se croyait carrément supérieur et son petit air de princesse effarouchée par mes propos ne me plaisait pas du tout. Elle se braquait tout le temps contre moi, me laissant penser qu'elle supportait ma compagnie juste parce qu'elle n'avait pas envie d'aller voir ailleurs et de rentrer chez elle.« Ce ne sont que des paroles. C’est vrai que je n’étais pas à moitié nue dans ton lit » Affichant une moue qui disait carrément que ce qu'elle disait était carrément vrai, je pensais en mon fort intérieur que je n'étais pas un animal qui se permettait de sauter sur tout ce qui pouvait bouger. « Je devrais te laisser en paix, toi et ta mauvaise humeur » Ben voyons ! Je levais les yeux en l'air face à aussi peu de gratitude de sa part alors qu'elle reculait et que je me rapprochait toujours plus près d'elle, avançant d'un pas à chaque pas fois qu'elle en reculait à son tour d'un. « Ecoute, je suis désolé, je me suis mal exprimé. Regardons ton…quoi..ton reportage sur les pingouins » Fronçant les sourcils, je savais qu'il était hors de question que je ne regarde quoique ce soit avec elle. Elle tentait de faire la paix mais je n'étais absolument pas de cet avis. M'approchant totalement d'elle, je posais un bras contre la fenêtre alors qu'elle avait buté contre celle-ci, se retrouvant coincée entre le mur, mon bras et mon corps devant elle. « Laisses les pingouins où ils se trouvent, ils sont très bien. » Laissant courir ma main de libre du bas de sa cuisse jusqu'à l'élastique du boxer, j'entrepris de jouer avec d'un air absent, guettant la moindre réaction de sa part. « Tu sais..parfois, je ne te comprends pas du tout... Le mythe que les femmes sont compliquées est bien vrai. » Affichant un sourire, je me sentis lunatique, alors que mon esprit repoussait l'image que j'avais trouvé dans mon téléphone. « Puisque tu m'as dit que si je te voulais, je devais te sauter dessus, je suis en d'entrevoir cette possibilité...Qu'en dis-tu ? » N'attendant pas sa réponse, je fis glisser mes lèvres sur les siennes en un baiser puissant, avant de reculer entièrement et d'observer sa réaction. Je savais qu'elle allait encore me repousser mais tant pis.


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Je tentais une minable réconciliation, mais cela n’avait pas l’air de lui plaire. Je tentais de me défaire de son emprise en reculant, mais mes efforts furent vains. A présent, je me retrouvais coincé contre la fenêtre, tandis qu’il me dominait de toute sa hauteur. « Laisses les pingouins où ils se trouvent, ils sont très bien. » Ma raison me soufflait de fuir et d’être sage ce soir, mais quelque chose au fond de moi, ne voulait pas céder. Je savais que ses mots n’annonçaient rien de bon et pourtant, je restaus immobile, attendant ma punition. D’une caresse, il laissait courir sa main sur ma cuisse jusqu’à l’élastique du boxer que je portais. Le souffle court, je me mordais la lèvre pour ne pas montrer ce qu’il me faisait ressentir. Il était en train de jouer avec la plus fatale des armes et ne me laissait aucune chance de me battre. « Tu sais..parfois, je ne te comprends pas du tout... Le mythe que les femmes sont compliquées est bien vrai. » J’esquissais un faible sourire, tout en me demandant ce qu’il allait me faire subir. « Les hommes ne sont pas mieux » Je tentais de lui tenir tête pour lui montrer que son attaque ne me faisait rien du tout. « Puisque tu m'as dit que si je te voulais, je devais te sauter dessus, je suis en d'entrevoir cette possibilité...Qu'en dis-tu ? » Je n’eue pas le temps de lui répondre, que ses lèvres s’emparaient des miennes, me faisant ressentir tout l’agacement qu’il avait eu à mon écart. Puis, il s’écartait, espérant peut-être que je le repousse. Chose que j’aurais surement dû faire, mais je n’en fis rien. Me comporter de façon lunatique avec lui, était une manière de faire le vide sur moi-même. Je me sentais de plus en plus attacher à Andrew et cela me faisait atrocement peur. J’avais du mal à saisir le sens de notre relation. Me laisser aller dans les bras d’un autre était une façon de me prouver, que je n’appartenais à personne. Le souffle court, je plongeais mes yeux émeraude dans les siens, puis, d’une seule enjambée, je me dirigeais vers lui. Plaquant mes lèvres sur les siennes, j’enroulais mes bras autour de son cou, tout en forçant le barrage de sa bouche pour mêler ma langue avec la sienne. De mes maigres forces, je le poussais contre le mur derrière lui, faisant vibrer les quelques photos accrochés dessus.
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J'aurais pus croire, si j'avais été un spectateur externe qui observait les scènes qui étaient en train de se dérouler en compagnie de cette sublime jeune femme, qu'un jeu de chat et de la souris avait été instauré entre nous. Malheureusement, depuis ses fameux mots à partir desquels elle me faisait comprendre que si je la voulais, je n'avais qu'à me comporter comme un homme, je n'avais plus envie de jouer. Je voulais passer aux choses sérieuses, tout oublier, ne plus penser. Seulement et uniquement se laisser aller, sachant que les conséquences ne seraient que minimes. La coinçant avec mon corps, je m'amusais à taquiner le sous-vêtement qu'elle m'avait emprunté, savourant le contact de sa peau nue sous mes doigts  « Les hommes ne sont pas mieux » Souriant à mon tour après que son propre sourire bien que faible, ne m'eut pas échappé, je laissais finalement mes pulsions prendre le dessus, n'ayant plus envie de lutter contre quoique ce soit. Que ce soit mes sens, mes sensations de déjà-vu et j'en passe. Ni même elle. Je voulais tout bonnement me laisser aller et quoi de mieux que maintenant dans cet appartement ? Posant mes lèvres sur les siennes avec une impatience qui me laissa perplexe, je me reculais ensuite afin d'observer sa réaction, m'attendant surtout à ce qu'elle ne me repousse. Mais contre toute attente, elle n'en fit rien et se jeta -pour mon plus grand plaisir- littéralement sur moi. Esquissant un faible sourire tout contre ses lèvres, je me laissais faire quand ses bras se nouèrent autour de mon cou et qu'elle me plaqua contre le mur qui se trouvait derrière. Nos langues faisaient désormais connaissance, et je me permis de franchir la barrière qui se trouvait sous son tee-shirt, caressant la peau nue de son dos, resserrant l'éteinte de mes bras autour d'elle, comme dans un bref espoir de la protéger. Inversant nos positions, je la plaquais à son tour contre le mur avant d'attraper ses jambes et de les enrouler autour de mes hanches. Embrassant désormais son cou, je fis remonter progressivement son haut sur sa poitrine, ayant bloqué mon bassin contre le sien et le mur pour ne pas qu'elle m'échappe. Il n'y avait plus de retour en arrière désormais et si elle ne voulait plus continuer, c'était maintenant qu'elle devait parler. Maintenant alors que je faisais passer le tee-shirt par-dessus sa tête, avant de pouvoir replonger dans son cou.



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Sa main glissait sous mon t-shirt, caressant du bout des doigts ma peau nacrée. Ses bras entouraient ma taille, resserrant leur étreinte, alors qu’il me plaquait contre le mur. Un sourire malicieux se dessinait sur mes lèvres, alors que le désir prenait possession de mon corps. Ses mains remontèrent jusqu’au haut de ma cuisse, me forçant à enrouler mes jambes autours de lui. De cette façon, je pouvais sentir la bosse qui prenait forme sous son jogging. Rapidement, il se débarrassait de mon haut, plongeant ses lèvres dans mon cou. Mon corps se tendait sous l’envie, alors que mes mains glissaient sous son t-shirt, enfonçant mes ongles dans la peau de son dos. La chaleur s’emparait de mon être, alors que je tirais sur son haut, le forçant à cesser ses baisers. Je le passais au-dessus de ses bras, avant de le laisser choir sur le sol de son salon. Attrapant son visage avec mes deux mains, je forçais le barrage de ses lèvres. Sa langue avait le goût de la cigarette, mais cela ne me dérangeait en rien. Accentuant notre baiser avec plus d’ardeur, une de mes mains exploraient son torse nu, se rapprochant de l’élastique de son pantalon. Si je laissais mon cœur prendre le dessus, je lui demanderais certainement d’arrêter ce qu’il faisait, mais toutes émotions avaient quittés mon esprit. Je faisais la chose pour laquelle j’étais le plus doué : du sexe sans sentiment. Après tout, je ne faisais que répondre à un vieux désir refoulé. Nous n’avions jamais eu l’occasion de mettre fin à cette tension sexuelle et ce soir, j’avais le sentiment, que ça serait notre dernière chance. Faisant à nouveau le vide dans mon esprit, je faisais glisser ma main sous son jogging en cachemire, ainsi que son boxer, pour venir caresser son sexe fièrement tendu.
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Je n'aurai jamais cru, en m’asseyant sur le canapé, que les choses prendraient une telle tournure entre cette jeune femme dont je ne me souvenais pas et moi. Par contre, ce que j'avais parfaitement ressenti, c'était cette espèce d'alchimie sexuelle aussi minime soit-elle, qui existait entre nous. J'avais tout de suite été tactile avec elle, et le fait de savoir qu'elle me connaissait, m'aidait énormément avec ça. Après qu'elle eut tenté de me plaquer contre un mur, j'avais retourné la situation à mon avantage, avant d'attraper ses jambes et de les enrouler autour de mon bassin, bloquant celui contre le sien et le mur, pour ne pas qu'elle ne tombe. Ayant remonter le tee-shirt que je lui avais prêté, je laissais glisser mes mains sur son corps parfait, avant de le lui retirer et de le laisser tomber au sol. Je pouvais sentir ses doigts s'enfoncer dans ma chair et cela me plaisait intensément. Tentant de reprendre le court des choses, elle me força à lever les bras afin de retirer mon propre tee-shirt avant d'attraper mon visage pour me donner un baiser passionné auquel je répondis avec toute l'ardeur que je possédais. Et alors que ma langue jouait avec la sienne, je pus sentir une de ses mains se rapprocher dangereusement de mon entrejambe et lorsque celle-ci se faufila dans mon boxer afin de la caresser, je coupais cours au baiser, assez essoufflé car trop d'émotions contradictoires étaient en train de s'approprier de mon être. Elle n'engendra que quelques caresses, mais c'était déjà trop pour moi et je retirais sa main avec un hochement de tête avant de l'attraper ensuite par la taille sans décroiser ses jambes de ma taille, pour la porter avec rapidité jusqu'à ma chambre avant de la déposer avec douceur sur les draps imbibé d'alcool par sa faute. Lui retirant ensuite tranquillement le boxer qu'elle m'avait emprunté, je le jetais au loin, avant de flâner contre son corps, déposant mes lèvres dans son cou, sur sa poitrine et son ventre, dans le but de laisser tranquillement ma langue venir jouer avec son intimité pendant que mes mains agrippaient fermement ses cuisses.

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Il retirait brusquement ma main de son boxer comme si je lui avais fait du mal. Je comptais m’en offusquer, mais finalement, je laissais tomber. Si c’était ce qu’il voulait, très bien ! Rapidement, il décroisait mes jambes, avant de m’emporter jusqu’à son lit. De ce mouvement, il faisait naitre une certaine adrénaline, provoquant une délicieuse chaleur au niveau de mon bas-ventre. D’un geste puissant, il m’allongeait sur son lit. Les draps étaient encore humides à cause de l’alcool, mais cela ne me dérangeais plus. De ses mains expertes, il me retirait son boxer, le faisant glisser le long de mes jambes nacrées, avant de le laisser choir lamentablement sur le sol. Je me mordillais la lèvre inférieure en sentant ses lèvres parcourir mon corps. Soudainement, sa langue venait caresser mon clitoris, tandis qu’une bouffée de chaleur envahissait tout mon être. Ondulant des hanches, je venais à sa rencontre. Ses mains s’accrochaient fermement à mes cuisses, pinçant légèrement ma peau. Je n’aimais pas les relations trop douces et un peu de douleur ne faisait jamais de mal. Haletante, je plongeais une main dans ses cheveux, tirant légèrement sur quelques mèches rebelles. Nous retrouvé dans cette position était étrange, mais d’un autre côté, nous n’assouvissions qu’une attirance que nous avions longtemps refoulé et cette fois, il était célibataire. Je pouvais me laisser aller sans éprouver de culpabilité. Ce soir, je ne voulais plus penser à rien. Je m’empêchais de penser à Andrew, de peur de flancher une seconde fois.
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J'essayais amèrement de ne penser à rien, d'éviter toute pensée s'approprier de mon être. Je ne voulais plus rien connaître, je ne voulais plus me souvenir, juste vivre l'instant que j'étais en train d'expérimenter avec cette jeune femme. Je savais que quelque chose nous unissait mais n'arrivait point à y mettre la main dessus. Néanmoins, la main de la jeune femme sur mon troisième bras, j'avais réellement bien réussi à la sentir, si bien que la retirant, je décidais de changer la donne. Elle semblait difficilement accepter le fait qu'elle était en train de se soumettre à moi, d'accepter ses propres désirs, alors la brusquer était bien la dernière chose que je souhaitais. Au contraire. La ramenant dans ma chambre, je la couchais sur le lit humide avant de la déshabiller entièrement et de plonger mes lèvres sur son intimité, aspirant et suçotant ce petit morceau de chair qui était sensé lui donner du plaisir. Je pouvais ressentir ses mains enfouis dans ma chevelure courte alors que mes mains pressaient sensuellement la chair de ses cuisses. Elle se laissait totalement faire et cela me plaisait à un point inimaginable. Sentant comme elle ondulait des hanches pour être mieux réceptive, je décidais d'introduire un doigt en elle afin de voir si elle était prête ou pas. Réalisant quelque va-et-viens aider par d'autre artifice de ma main, je me retirais ensuite afin de me redresser et d'enlever mon pantalon d'un coup de jambes. Gardant uniquement mon boxer, je replongeais sur ses lèvres en prenant soin de ne pas trop l'écraser par mon poids, donnant quelque coups de bassin entre ses jambes, lui laissant réaliser la puissance de mon désir. Tout en gardant ma langue collé à la sienne, j'ouvris sans regarder ce que je faisais, un tiroir de la table de nuit afin d'en extraire une protection. Gardant la chose dans ma main, je laissais mes lèvres descendre jusqu'à sa poitrine sans penser à rien d'autre.


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