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« Je viens de te dire que je n’étais pas en couple. Qu’est-ce que ça peut bien faire ? » Quoi ? Décidément je ne comprenais vraiment plus rien, puisqu'en lui demandant si elle était bien célibataire, celle-ci m'avait répondu qu'elle ne l'était pas. S'étant rapprochée de moi en croisant elle aussi ses bras sur sa poitrine, j'avais l'étrange sentiment que de l'orage était en train de couvrir nos environs. Je décidais de ne pas répliquer haussant juste les épaules alors qu'elle continuait. « Et pour ta gouverne, je ne suis pas pudique, alors prendre une douche nue avec un homme ne me dérange en rien du tout. Nous sommes des êtres humains, alors pourquoi avoir honte de son corps ?! » Non là je n'acceptais pas ce genre d'excuse, c'était carrément tiré par les cheveux et alors que j'ouvris la bouche pour tenter de dire quelque chose, je la refermais aussitôt en voyant qu'elle recommençait à se défouler sur moi. « Excuse-moi de ne pas avoir assouvie ton besoin, mais si tu me voulais, il fallait me sauter dessus comme un homme et on n’en parlerait plus à l’heure qu’il est » Si je la voulais ? Fronçant les sourcils limite choqué, je ne compris pas du tout pourquoi elle se braquait ainsi contre moi. « Oui, c'est sur que tout à l'heure dans la douche je te parlais de la pluie et du beau temps. Cesses ce genre de commentaire, c'est ridicule. Cesse surtout le cynisme ça ne te vas pas du tout. » Me rapprochant alors d'elle, un regard de prédateur s'affichait sur mon visage. Si je la voulais, je devais la prendre ? Ainsi, tel quel ? Quel honneur. Mon corps se retrouva à quelques centimètres du sien et je me mis à parler d'une voix lente et faible, tellement que mon haleine ne pouvait pas arriver jusqu'à elle. « Je n'ai aucun besoin à assouvir et tu n'as fais que me repousser au final. Car si sa n'en tenait qu'à moi, tu ne serais pas là à porter un de mes boxers. »
Je devais reconnaître que la situation commençais un tant soit peu à me taper sur le système nerveux, qu'elle commençait à me taper sur le système nerveux. Elle se croyait carrément supérieur et son petit air de princesse effarouchée par mes propos ne me plaisait pas du tout. Elle se braquait tout le temps contre moi, me laissant penser qu'elle supportait ma compagnie juste parce qu'elle n'avait pas envie d'aller voir ailleurs et de rentrer chez elle.« Ce ne sont que des paroles. C’est vrai que je n’étais pas à moitié nue dans ton lit » Affichant une moue qui disait carrément que ce qu'elle disait était carrément vrai, je pensais en mon fort intérieur que je n'étais pas un animal qui se permettait de sauter sur tout ce qui pouvait bouger. « Je devrais te laisser en paix, toi et ta mauvaise humeur » Ben voyons ! Je levais les yeux en l'air face à aussi peu de gratitude de sa part alors qu'elle reculait et que je me rapprochait toujours plus près d'elle, avançant d'un pas à chaque pas fois qu'elle en reculait à son tour d'un. « Ecoute, je suis désolé, je me suis mal exprimé. Regardons ton…quoi..ton reportage sur les pingouins » Fronçant les sourcils, je savais qu'il était hors de question que je ne regarde quoique ce soit avec elle. Elle tentait de faire la paix mais je n'étais absolument pas de cet avis. M'approchant totalement d'elle, je posais un bras contre la fenêtre alors qu'elle avait buté contre celle-ci, se retrouvant coincée entre le mur, mon bras et mon corps devant elle. « Laisses les pingouins où ils se trouvent, ils sont très bien. » Laissant courir ma main de libre du bas de sa cuisse jusqu'à l'élastique du boxer, j'entrepris de jouer avec d'un air absent, guettant la moindre réaction de sa part. « Tu sais..parfois, je ne te comprends pas du tout... Le mythe que les femmes sont compliquées est bien vrai. » Affichant un sourire, je me sentis lunatique, alors que mon esprit repoussait l'image que j'avais trouvé dans mon téléphone. « Puisque tu m'as dit que si je te voulais, je devais te sauter dessus, je suis en d'entrevoir cette possibilité...Qu'en dis-tu ? » N'attendant pas sa réponse, je fis glisser mes lèvres sur les siennes en un baiser puissant, avant de reculer entièrement et d'observer sa réaction. Je savais qu'elle allait encore me repousser mais tant pis.
J'aurais pus croire, si j'avais été un spectateur externe qui observait les scènes qui étaient en train de se dérouler en compagnie de cette sublime jeune femme, qu'un jeu de chat et de la souris avait été instauré entre nous. Malheureusement, depuis ses fameux mots à partir desquels elle me faisait comprendre que si je la voulais, je n'avais qu'à me comporter comme un homme, je n'avais plus envie de jouer. Je voulais passer aux choses sérieuses, tout oublier, ne plus penser. Seulement et uniquement se laisser aller, sachant que les conséquences ne seraient que minimes. La coinçant avec mon corps, je m'amusais à taquiner le sous-vêtement qu'elle m'avait emprunté, savourant le contact de sa peau nue sous mes doigts « Les hommes ne sont pas mieux » Souriant à mon tour après que son propre sourire bien que faible, ne m'eut pas échappé, je laissais finalement mes pulsions prendre le dessus, n'ayant plus envie de lutter contre quoique ce soit. Que ce soit mes sens, mes sensations de déjà-vu et j'en passe. Ni même elle. Je voulais tout bonnement me laisser aller et quoi de mieux que maintenant dans cet appartement ? Posant mes lèvres sur les siennes avec une impatience qui me laissa perplexe, je me reculais ensuite afin d'observer sa réaction, m'attendant surtout à ce qu'elle ne me repousse. Mais contre toute attente, elle n'en fit rien et se jeta -pour mon plus grand plaisir- littéralement sur moi. Esquissant un faible sourire tout contre ses lèvres, je me laissais faire quand ses bras se nouèrent autour de mon cou et qu'elle me plaqua contre le mur qui se trouvait derrière. Nos langues faisaient désormais connaissance, et je me permis de franchir la barrière qui se trouvait sous son tee-shirt, caressant la peau nue de son dos, resserrant l'éteinte de mes bras autour d'elle, comme dans un bref espoir de la protéger. Inversant nos positions, je la plaquais à son tour contre le mur avant d'attraper ses jambes et de les enrouler autour de mes hanches. Embrassant désormais son cou, je fis remonter progressivement son haut sur sa poitrine, ayant bloqué mon bassin contre le sien et le mur pour ne pas qu'elle m'échappe. Il n'y avait plus de retour en arrière désormais et si elle ne voulait plus continuer, c'était maintenant qu'elle devait parler. Maintenant alors que je faisais passer le tee-shirt par-dessus sa tête, avant de pouvoir replonger dans son cou.
Je n'aurai jamais cru, en m’asseyant sur le canapé, que les choses prendraient une telle tournure entre cette jeune femme dont je ne me souvenais pas et moi. Par contre, ce que j'avais parfaitement ressenti, c'était cette espèce d'alchimie sexuelle aussi minime soit-elle, qui existait entre nous. J'avais tout de suite été tactile avec elle, et le fait de savoir qu'elle me connaissait, m'aidait énormément avec ça. Après qu'elle eut tenté de me plaquer contre un mur, j'avais retourné la situation à mon avantage, avant d'attraper ses jambes et de les enrouler autour de mon bassin, bloquant celui contre le sien et le mur, pour ne pas qu'elle ne tombe. Ayant remonter le tee-shirt que je lui avais prêté, je laissais glisser mes mains sur son corps parfait, avant de le lui retirer et de le laisser tomber au sol. Je pouvais sentir ses doigts s'enfoncer dans ma chair et cela me plaisait intensément. Tentant de reprendre le court des choses, elle me força à lever les bras afin de retirer mon propre tee-shirt avant d'attraper mon visage pour me donner un baiser passionné auquel je répondis avec toute l'ardeur que je possédais. Et alors que ma langue jouait avec la sienne, je pus sentir une de ses mains se rapprocher dangereusement de mon entrejambe et lorsque celle-ci se faufila dans mon boxer afin de la caresser, je coupais cours au baiser, assez essoufflé car trop d'émotions contradictoires étaient en train de s'approprier de mon être. Elle n'engendra que quelques caresses, mais c'était déjà trop pour moi et je retirais sa main avec un hochement de tête avant de l'attraper ensuite par la taille sans décroiser ses jambes de ma taille, pour la porter avec rapidité jusqu'à ma chambre avant de la déposer avec douceur sur les draps imbibé d'alcool par sa faute. Lui retirant ensuite tranquillement le boxer qu'elle m'avait emprunté, je le jetais au loin, avant de flâner contre son corps, déposant mes lèvres dans son cou, sur sa poitrine et son ventre, dans le but de laisser tranquillement ma langue venir jouer avec son intimité pendant que mes mains agrippaient fermement ses cuisses.
J'essayais amèrement de ne penser à rien, d'éviter toute pensée s'approprier de mon être. Je ne voulais plus rien connaître, je ne voulais plus me souvenir, juste vivre l'instant que j'étais en train d'expérimenter avec cette jeune femme. Je savais que quelque chose nous unissait mais n'arrivait point à y mettre la main dessus. Néanmoins, la main de la jeune femme sur mon troisième bras, j'avais réellement bien réussi à la sentir, si bien que la retirant, je décidais de changer la donne. Elle semblait difficilement accepter le fait qu'elle était en train de se soumettre à moi, d'accepter ses propres désirs, alors la brusquer était bien la dernière chose que je souhaitais. Au contraire. La ramenant dans ma chambre, je la couchais sur le lit humide avant de la déshabiller entièrement et de plonger mes lèvres sur son intimité, aspirant et suçotant ce petit morceau de chair qui était sensé lui donner du plaisir. Je pouvais ressentir ses mains enfouis dans ma chevelure courte alors que mes mains pressaient sensuellement la chair de ses cuisses. Elle se laissait totalement faire et cela me plaisait à un point inimaginable. Sentant comme elle ondulait des hanches pour être mieux réceptive, je décidais d'introduire un doigt en elle afin de voir si elle était prête ou pas. Réalisant quelque va-et-viens aider par d'autre artifice de ma main, je me retirais ensuite afin de me redresser et d'enlever mon pantalon d'un coup de jambes. Gardant uniquement mon boxer, je replongeais sur ses lèvres en prenant soin de ne pas trop l'écraser par mon poids, donnant quelque coups de bassin entre ses jambes, lui laissant réaliser la puissance de mon désir. Tout en gardant ma langue collé à la sienne, j'ouvris sans regarder ce que je faisais, un tiroir de la table de nuit afin d'en extraire une protection. Gardant la chose dans ma main, je laissais mes lèvres descendre jusqu'à sa poitrine sans penser à rien d'autre.