TG Winthrop + invité(s) ❥ It's a party rock !

« Vous vous connaissez tous les deux? J’croyais qu’elle était là pour voir quelqu’un d’autre comme Dexter dormait et que c’est moi que tu as invité chéri… » Jalouse ? Rien qu’un peu. Le fameux Dexter ne prenait pas la peine de me répondre. « Oui, ça va et toi? Je suis contente de te voir aussi depuis le temps. » me disait Orlane. Je n’eue pas le temps de lui répondre, car Dexter l’emmenait loin de nous. Apparemment, ils avaient des choses à régler tous les deux. Je me tournais vers Torrey et la faisait pivoter devant moi, un bras encerclant sa taille. « Seriez-vous jalouse, mademoiselle Morgan » 

Camille ne cessait plus de se débattre parce que non, franchement, elle n'avait pas vraiment envie d'aller faire un plongeon là tout de suite. Mais Charlie finit par exaucer ses prières et la fit doucement descendre de son épaule. Désolé, j'ai été con. Tu sais.. Je. J'ai vraiment envie que tu craque alors, je réagis parfois maladroitement, et.. tout d'un coup sa voix était devenue plus grave, comme un murmure, Camille ne s'écarta pas de lui et doucement, il vint placer sa main contre son visage, écartant l'une de ses mèches de cheveux. Sentant petit à petit l'alcool embrumer son esprit, Camille ne sut comment réagir et se laissa porter par les palpitations de son coeur de plus en plus présentes. Il l'embrassa alors sur la joue, tout en descendant sa main contre sa hanche, lui provoquant un petit frisson. Il la regarda alors dans les yeux avec un sourire pour lui dire: Echec et Mat. Camille. Et là en moins d'une seconde, il la prit dans ses bras et sauta avec elle dans la piscine. Lorsqu'elle sentit le froid envahir son corps, Camille hurla sous l'eau, même si personne ne pouvait l'entendre. En quelques brasses elle rejoignit la surface avec un Sa mère elle est froiiiiiiiide ! dès que sa tête sorti de l'eau, et elle se rua vers Charlie. Tu es... complètement malade ! Tu vas me le payer Charlie ! dit-elle l'air vengeur mais tout de même avec un petit sourire. Elle l'avait cherché, elle ne pouvait pas vraiment se plaindre. Elle tenta d'appuyer sur sa tête pour le couler, mais c'est à peine si elle le fit bouger. Ils se débattirent ainsi quelques minutes comme des gamins mais bien vite elle se mit à claquer des dents, complètement frigorifiée. Elle s'extirpa alors de l'eau, passant ses bras autour d'elle contre ses vêtements trempés qui lui collaient à la peau. Dis moi qu'il y a moyen de prendre une douche chaude ici, sinon je risque vraiment de t'en vouloir Wilcox ! dit-elle avec un petit sourire, claquant toujours des dents.

Peu à peu je m'étais éloigné de la table de ping pong, laissant à mon plus grand regret Ezrael seul. Mais en temps qu'ami et confident, je suis juste obligé de voir ce qui se passe du côté de mon invité. Je ne lui ai même pas dit bonjour. Honte à moi. J'ignore ce qui s'est passé avec Dexter mais apparemment ce n'est pas positif. A ma plus grande surprise et aussi à mon plus grand regret, j'aperçu la jeune mather avec des larmes aux yeux. Je me déteste tellement. Pourquoi tant de haine à son égard ? Qu'est-ce qu'il s'est passé avec lui ? Pourquoi est-ce que je suis toujours obliger de souffrir ? Je m'approcha d'elle pour la prendre dans mes bras. Parfois les simples gestes peuvent être réconfortant. Qu'est-ce qui s'est passé ? Si Dexter n'aurait pas été mon bizut il aurait déjà eu mon poing dans sa gueule pour avoir fait pleurer Orlane.

Reprenant son souffle qu'il avait perdue en plongeant de son propre chef dans l'eau, il finit par tousser. Charlie venait de boire la tasse alors que c'était son propre plan, pas très futé en effet. Mais au moins, son objectif avait été atteint, et c'est seulement en voyant la tête de la jolie blonde refaire surface qu'il éclata de rire. Tu es... complètement malade ! Tu vas me le payer Charlie ! Chère ? Les affaires reprenaient peut être enfin finalement, mais pour le moment, Charlie essayait de se calmer en s'appuyant contre le bord de la piscine. Bien qu'il soit habillé et complètement trempé, il faisait complètement abstraction du froid pour se concentrer seulement sur ce qu'il avait devant les yeux. « Quoi ? Tu compte me jeter un sort ? Tu devrai admettre que je gagne toujours Camille. » Finit-il par dire en plongeant ses pupilles devenues turquoise à cause des reflets de la piscine. Il la regardait donc venir vers lui en essayant de le couler, chose qu'elle ne réussit pas vue la stature du jeune homme, qui n'avait pas bougé d'un poil.   « Et en plus de cela, t'a une force de mouche. Nous voila bien. » Disait-il en plaisantant avant de plisser son nez face à elle, afin de la narguer. S'amusant dans l'eau quelques minutes, la jolie blonde finit par s'extraire de l'eau, visiblement frigorifié. Dis moi qu'il y a moyen de prendre une douche chaude ici, sinon je risque vraiment de t'en vouloir Wilcox ! Il esquissa un fin sourire en faisant de même afin de la rejoindre. « Je peux trouver ça. Viens, on va monter à l'étage, on va dans ma chambre. » Dit-il avec aisance, en pensant à son état de santé. Décidément, l'eau, Charlie et Camille, c'était une grande histoire d'amour, c'était indéniable. Le jeune Wilcox, lui prit de nouveau la main pour s’immiscer dans la Wintrhop House, où l'on pouvait entendre ses confrères s'amuser et rire. Sentant peu à peu le froid l'envahir, il commença a accélérer le pas sans être vu par les autres. Une fois les escaliers montés, ils arrivèrent tout deux dans sa chambre, qu'il partageait avec Dylan. Le jeune Winthrop lâcha la main de la jolie jeune femme afin de fermer la porte. « La douche est juste en face de toi. » Disait-il en pointant du doigt la porte en question.  « Je passerai après toi, alors dépêche toi Dickens, et fait pas ta fille, met pas trois heures. » Déclara-t-il en plissant légèrement les yeux avec toujours un fin sourire planté sur son visage.

Ce soir était organisé par ma maison une soirée pour fêter la fin de la quarantaine dont j'avais été bénévole étant interne en médecine, les malades allaient plus ou moins mieux et c'est donc tout naturellement que je décida d'y aller. J'espérais croiser des têtes que je connaissais de la maison, même si je ne connaissais pas grand monde en 4 ans que je suis ici. J'avais proposé à Sio de m'y accompagner et elle avait acceptée. J'avais trop hâte de pouvoir partager une soirée avec elle. Alors je m'habilla sur mon 31 mais pas trop non plus, je voulais rester normal mais classe. J'attendis ma puce à l'entrée pour ne pas qu'elle se perde. Je la vis arriver, elle était sublime comme toujours dans cette robe qui mettait en valeur son corps. Alors je la salua en lui faisant une bise sur sa joue.

Coucou ma puce, tu es magnifique dans cette robe, prête pour cette soirée ?

Je lui souria, bien que je n'avais qu'une envie, l'embrasser comme n'importe quel homme amoureux d'une femme.

Une préparation rapide et une robe qui mettait mon petit corps en valeur, j’avais pris le temps de regarder l’heure régulièrement de façon à ne pas être en retard. Il ne fallait pas non plus que je fasse attendre Klaus trop longtemps. J’arrivais finalement avec mon manteau qui allait jusqu’à mes genoux et ma robe qui était en-dessous. Bien qu’on soit en hiver, je ne tenais pas à attraper froid. M’approchant de Klaus, je lui disais : « Coucou mon cœur, je suis ravie que la robe te plaise. Je suis prête allons-y. » M’approchant pour l’embrasser tendrement, j’avais fais cela comme ça. Prise par mon élan tout simplement. Rougissant alors un peu, je me demandais comment est-ce qu’il allait réagir.

J'attendais ma chère et tendre devant ma maison sur le campus quand je la vis apparaître vêtue d'un manteau mais où on pouvait apercevoir sa robe en dessous, elle était sublime comme toujours, elle me répondit qu'elle était ravie que sa robe me plaise et qu'elle était prête à rentrer mais avant que je puisse dire quoique ce soit, ses lèvres touchèrent les miennes sans que je m'y attende et elle se mit à rougir. Alors je répondit à son baiser le plus tendrement possible car j'attendais ce moment depuis que je la connais, soit un mois. Après ce baiser, je lui tendit mon bras et nous rentrons à l'intérieur car je ne voulais pas qu'elle attrape froid. A ce moment là, j'étais le plus heureux des hommes d'avoir la femme que j'aime à mon bras pour passer une superbe soirée en sa compagnie et de celles de mes compagnons de maison.

Le voyant répondre à mon baisé par un autre baisé tendre me faisait sourire. Et tout en acceptant son bras pour rentrer dans sa maison de confrérie, je regardais alors autour de moi. Il y avait une bonne ambiance. Je trouvais donc que pour le moment tout se passait bien. Je demandais à Klaus : « C’est une soirée en quel honneur ? Tu y vas souvent dans ce genre de fête ? » C’était un moyen pour moi de le connaître un peu plus et déboutonnant mon manteau, une robe bleu se baladait en-dessous. Mes chaussures assorties avec la robe, je lui souriais. Il était beau dans cette tenue, et je lui disais (Klaus) : « J’ai de la chance de t’avoir. » Je me demandais bien aussi comment est-ce que ces compagnons de confrérie allaient réagir en me voyant avec Klaus.