Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityTG Winthrop + invité(s) ❥ It's a party rock ! - Page 24
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TG Winthrop + invité(s) ❥ It's a party rock !

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«Apprendre une nouvelle langue je sens que cela va être compliqué. Hihiihih, enfin, oui, on va bien s’amuser. » J’avais dis ça à Klaus et je me doutais bien que la suite allait sans doute être drôle. Je les observais tous les deux[b] et je leurs disais : [b] « Ahahah, on va rire…..» Regardant alors Lukas, je lui disais : « Tu veux m’apprendre aussi ? Cool, j’aurais deux profs rien que pour moi. Comment ça pas comme chez vous ? Et la mienne alors ? » Je souriais, et je riais sachant que le sujet de la bière était avant toute chose un truc assez amusant. Je lui disais joyeusement : « Hum, il en reste ? »
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Ma chérie était partante pour apprendre la langue qu'on avaient en commun avec Lukas, même si elle pensait que cela allait être compliqué mais l'allemand n'est pas plus compliquée que l'irlandais que je ne connais pas. Puis elle demanda à Lukas si elle pouvait avoir un peu de sa bière. Alors je lui répondit.

Et ben si Lukas est partant pour qu'on t'apprenne l'allemand ensemble ma puce, je suis partant aussi dans ce cas mais tu nous apprends l'irlandais, surtout qu'on risque d'aller en Irlande un jour en vacances et je ne veux pas que tu fasses la traduction toutes les vacances. Et si vous vous mettez à la bière, je vais m'en commander une aussi tiens.

Je fis signe au serveur pour qu'il me ramène la même bière que Lukas, Sio était entre moi et Lukas en train de goûter la bière de son meilleur ami pendant que j'attendais la mienne alors je leur souria.
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Ce baiser qu'il avait soudainement déposé sur mes lèvres avait redonner vie à mon coeur et à mon souffle. J'avais été revitalisée par ce simple contact, pourtant si expressif. J'aurai voulu qu'il ne se délaisse par de mes lèvres et que cela dure une éternité. Sa demande avait fait tout rechuter. Je savais pertinemment ce qu'il voulait entendre, mais j'étais incapable. Prononcer ces mots était ma plus grande vulnérabilité, il me fallait bien plus que du courage pour l'avouer. J'étais trop effrayée par cette chose qui me consumait. Je ne pouvais que le lui dire, le lui répéter aléatoirement dans mon esprit avec le plus de sincérité possible, mais aucune sonorité voulait se manifester dans l'air. Il n'y avait plus que ce silence, entre lui et moi, incapable de lui dire ce qu'il voulait entendre. « La peur n’a pas sa place en... » Il prenait du recul, sans doute trop déçu de ma réaction. « Je croyais que j’étais différent, mais voilà la preuve du contraire. » Il était différente, complètement, littéralement, follement. Il était sans aucun doute la plus belle chose qui m'était arrivé. Tout s'était précipité entre nous, mais ça n'enlevais en rien ma peur d'affronter l'amour. Ce n'était pas de lui que j'avais peur. Je restais immobile, ne prononcant aucun mot, préférant me morfondre en silence. Je ne tentais même plus de me justifier, je savais que ça ne servirait à rien. J'aurai voulu qu'il me comprenne en ce moment-même, qu'il agisse de manière à me mettre plus en confiance, à me libérer pour me délivrer complètement à lui. Je ne demandais que ça, son aide pour lui dire ce que j'avais sur le coeur. « Je ne veux plus te voir, rentres chez toi. » Ces mots me blessèrent au plus profond de moi-même. Je n'avais voulu rien de tout ça, j'étais juste vulnérable et sa compassion n'était pas au rendez-vous. En quelques secondes il avait disparu de mon champ de vision, caché par cette porte qui nous séparait. Ca ne servait plus à rien. Il ne voulait plus me voir, l'avait clairement dit avant de disparaître. Je restais pourtant là, sans même bouger d'un poil, mes paupières se fermant lourdement alors qu'un sensation désagréable me traversait tout le corps, le coeur et l'esprit. Je n'avais plus rien à faire ici. Je n'aurai même jamais du venir. Je trouvais enfin la volonté de partir de là, de quitter la maison sans même prendre la peine de saluer les personnes. Cette soirée avait été officiellement la pire de toute. Je n'avais envie de plus rien.

(c) TEENAGE.DREAM



OUT.
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Tout comme Ezra, Julian avait eu le déclic assez tôt. Il se rappelait son premier cours de biologie et bien que son professeur ait d'abord abordé l'anatomie animale, Julian avait su qu'il voulait plutôt s'occuper des humains. Son père n'avait pas pris au sérieux ces rêves d'enfant alors que sa mère y avait accordé beaucoup plus d'importance. Au moment de décider de son avenir professionnel, M. Sparks avait décidé de lui couper les vivres s'il choisissait d'étudier la médecine. Julian n'avait pas cédé pour autant et alors qu'il était bien décidé à subvenir lui-même à ses besoins, sa mère lui avait ouvert un compte parallèle. Il fallut plus de trois ans à M. Sparks pour accepter que son fils ne reprendrait pas le flambeau de l'entreprise familiale. Il fallut que Julian leur annonce qu'il souffrait d'une leucémie pour que les tensions s'apaisent. Peut-être qu'au fond, M. Sparks voulait faire la paix depuis longtemps mais qu'il ne savait pas comment s'y prendre. La maladie de son fils avait sûrement été un prétexte.

"Je suis parti pour faire de la chirurgie pédiatrique. Je fais mon internat dans ce service d'ailleurs."

Et il fallait s'accrocher car chaque situation lui rappelait son fils. Il ne pouvait s'empêcher de transposer certains cas et de faire un parallèle. Heureusement qu'il savait rapidement se reprendre pour être le plus efficace possible car ses mentors n'étaient pas toujours tendres avec lui. Mais bon, c'était le propre de l'internat: s'en ramassait plein la figure pour pas une tune. Mais il fallait s'accrocher et montrer qui était le meilleur et le plus résistant. Et Julian ne décrochait pas même si des jours, il serait bien resté à la maison.

"Il s'appelle Gabriel et il a cinq ans. C'est vrai qu'il y a des jours plus durs que d'autres mais j'ai trouvé un certain rythme."

C'était sans compter ses séances de chimiothérapie entre une garde et son temps consacré à son fils. Des fois, il se demandait vraiment comment il gérait sa vie sans péter un câble. Bah, il n'avait pas trop le choix, non?

"T'as une sacrée chance! Tu seras au taquet la prochaine fois comme ça!"

Avisant son verre, notre homme finit par céder et il alla se chercher une bière. Allez, un verre n'allait pas le tuer!

"Dis-moi, tu as toujours vécu par ici?"

Après tout, il y avait pas mal d'étudiants étrangers, tout comme lui, et Julian ne serait pas étonné qu'Ezraël vienne d'ailleurs.
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Sio était toujours prête à apprendre de nouvelles choses même si cela pouvait être difficile. Lukas aimait bien ça d’elle. Bien sûr qu’ils allaient rire. Lukas aimait bien apprendre de nouvelles langues. Lukas regarda Sio et lui dit : «Tu es chanceuse toi, avoir deux professeur. C’était on de la difficulté en avoir un. Dit-donc, tu attires les allemands…» Lukas éclata de rire. « Ouais, bah tout le monde sais que la bière Allemande est la meilleure. Richtig Klaus ?»  

Klaus avait accepté l’invitation à prendre une autre bière. Les allemands aimaient bien la bière. Même si cela était un stéréotype, il en reste que la majorité le suivait. Klaus appela le serveur qui avait été engagé pour l’occasion. Il commanda des bières. Klaus était bien gentil et pour l’instant Lukas s’entendait bien avec lui.


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« Tu veux venir chez moi ? » Je regardais Klaus comme ça et donc, je me demandais si j’avais bien entendu ce que j’avais entendu. Je ne comprenais pas vraiment ce que je pourrais donc faire maintenant qu’il me demandait bien de venir dans ma famille…Je ne disais rien de plus et je me demandais bien ce qu’il fallait donc que je fasse par la suite. Je me tournais vers Lukas, et je lui disais : « Deux profs pour le prix d’un. Les Allemands…. » Souriant, doucement, je me demandais bien ce que je pouvais alors rajouter par la suite. Tout en sachant que pour l’instant, je devrais aussi essayer de lui répondre. «Aux dernières nouvelles, je trouve que c’est l’irlandaise la meilleure. » Voyant le serveur, je prenais une irlandaise et je reposais l’allemande. Souriant doucement, je prenais donc ma bière irlandaise.
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Alors que Sio était toujours contre moi car je ne voulais pas qu'elle méchappe, Lukas lui répondit qu'elle avait de la chance d'avoir deux professeurs pour lui apprendre l'allemand. Il est vrai qu'elle était chanceuse, d'autant plus qu'un de ces professeurs l'aimait follement. Puis elle me demanda si je voulais venir chez elle, bien sur que je parlais de l'Irlande, je voulais l'emmener en Allemagne et je voulais découvrir son pays d'origine. Enfin, Lukas affirma que la bière allemande était la meilleure en me demandant s'il avait raison en allemand bien sur et ma chérie répliqua en disant bien entendu que celle de son pays est la meilleure. Alors je répondit d'abord à Sio puis à Lukas.

Bien sur que je veux aller en Irlande découvrir ton pays car j'espère qu'un jour on ira ensemble en Allemagne en vacances. Et oui, Lukas, la bière allemande est la meilleure quoique peut en dire ma chérie.

Je venais de répondre à Lukas en allemand et je me doutais que Sio n'avait pas compris mais pour me faire pardonner, je le pris dans mes bras et l'embrassa tendrement.

Spoiler:
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La fête battait son plein et j’avais d’autre idée en tête. Je finissais mon bière avant de me tourner vers ma petite amie. Ma chambre était déserte et j’avais bien l’attention d’en profiter. Un sourire plein de sous-entendu, apparaissait à la commissure de mes lèvres. « Viens » Je lui prenais la main pour l’emmener à l’étage. La maison était remplie de monde et c’était ce genre de soirée que j’adorais. En observant les personnes présentes, je me rendais compte que la Winthrop House revivait et sa faisait vraiment plaisir à voir.

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Comme la soirée tirait à sa fin et beaucoup de gens commençait à quitter les lieux, Lukas regardai Sio et Klaus et Lukas dit en haussant les épaules « Ouais, je crois que la soirée tire à sa fin. Ils ne partyent pas comme en Europe. Vous voulez allez ailleurs, comme dans un bar? » La soirée des Winthrops c'était bien passé et surtout qu'il avait rencontré quelqu'un de nouveau, le petit ami de sa meilleure amie. Il était mieux de faire aucun mal à Sio sinon il allait avoir à faire avec Lukas. Tout les trois nous nous levions et nous dirigions vers la sorti.  


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Toujours à la soirée avec ma chérie et son meilleur ami allemand comme moi qui nous avait rejoint, nous discutions de tout et de rien mais surtout de la bière allemande et irlandaise. On parlaient aussi que ma chérie allait pouvoir apprendre l'allemand correctement avec son chéri et son meilleur ami de la même nationalité. Puis Lukas nous demanda si on voulait aller ailleurs alors je lui répondit tout en gardant ma chérie dans mes bras.

Moi cela me tenterait de continuer notre conversation devant un autre pichet de bière et toi ma puce tu veux ?

J'embrassa ma chérie puis la prit par le bras pour qu'on suive Lukas vers la sortie. Son meilleur ami était quelqu'un de gentil et elle avait de la chance d'avoir un ami comme lui, même si j'étais là désormais dans sa vie.


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