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Je ne sais pas où toute cette histoire va nous mener et en faite je ne chercher pas vraiment à comprendre comment j'ai fais pour en arriver là. Depuis cette nuit, il y a ce manque et même si il m'a fallut plus d'un mois pour m'en rendre compte, la source de mon problème c'était lui. Oui, ce manque que j'avais, c'était sa présence, ces baisers qui me faisait sentir meilleur comme personne, cette sensation que j'ai lorsque ses doigts touchaient ma peau... Enfin tant de petite choses qui ont fait de lui ma "cible" numéro un. Je ne connais peut-être pas grands choses sur son passé avec les filles et d'un coté je ne cherche pas vraiment à la savoir, mais il y a ce coté mystérieux qui se dégage de sa personne et c'est ce que j'adore. Une fois à l'extérieur, je pouvais enfin me coller contre lui sans sentir une quelconque gène ou obstacle et j'ai souris en sentant ses bras venant s'enrouler autour de moi. Un geste peut-être banal, mais qui fait un bien fou « J'crois pas que t'aimerais le savoir » répondais-je en me mordillant la lèvre « Mais j'ai bien envie de voir ta belle déco' d'appartement » disais-je en souriant, bon c'était plus une excuse pour être seule avec lui qu'autre chose.
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J'étais content d'être en dehors, libéré des contraintes de la salle de cinéma, je me sentais plus libéré et c'était pas seulement dut au fait qu'on soit sortit de la salle de cinéma. Non, j'avais cette gêne qui s'était dissipée depuis qu'on s'était mit d'accord Deirde et moi sur ce qu'on était, au lieu de rester comme ça, avec ce brouillard brumeux entre nous. C'était plus facile maintenant, enfin disons que j'avais pas peur de faire une bourde. Ouais, c'était mieux, beaucoup mieux. Je lui retourna la question. En fait, je me moquais d'ou on allait bien pouvoir aller tant que ça ne nécessitait pas qu'elle se décolle de moi, ne serais-ce qu'un petit peu. Ainsi, sa réponse me fit sourire. Ca me va lui répondis-je avant de m'incliner légèrement, l'embrassant à nouveau tendrement, mes bras toujours noués autour de sa taille. Allons-y.