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I just can't stop loving you ♥ Thélia

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Thélia ღ

Si on m’avait dit que tout allait aussi bien se passer après notre dispute de tout à l’heure, j’aurais rien cru de tout ça. J’aurais pas pensé que ce week end puisse être aussi bien sans dispute mais alors après une, comment cela était possible ? Je me le demandais mais je comptais pas changer ça, pour rien au monde. J’avais eu droit à le retoucher et ainsi pouvoir faire l’amour avec lui, à un repas dans une belle ambiance puis là désormais j’avais le pompom avec un strip. J’étais probablement la fille la plus chanceuse du monde pour la journée. Ratant absolument rien du spectacle, je bavais intérieurement en contemplant son corps parfait. & quand il se stoppa, me laissant mettre de mes décisions et ainsi que de la suite des évènements, j’hésitais en rien à l’attirer avec moi sur le lit. « Crois-moi, à ton anniversaire, tu croiras que c'est noël. » Un sourire s’étira sur mes lèvres, cette phrase voulait tout dire et c’était une chance que mon anniversaire soit dans pas si longtemps. J’espérais simplement qu’il me supporte encore jusque là et qu’il veuille toujours autant être à mes côtés mais là c’était la dernière chose dont je voulais penser. Pas en cet instant, pas avec lui au dessus de moi, me regardant avec ses yeux magnifiques et son corps à moitié dénudé. « C'est un compliment, rassure-moi ? Ou tu ne me considère que comme un objet sexuel qui adore te toucher ? » Balançant les yeux de gauche à droite je lui laissais croire que je le considérais comme un objet sexuel, rien de plus alors qu’en fait non c’était pas du tout ça. Bien sur que ça en est un et non t’es pas juste un objet sexuel. Lui prenant une main je la posais sur mon cœur, plongeant mon regard dans le sien. Sinon il battrait pas aussi vite. & les battements rapides de mon cœur n’était en rien la cause qu’il était torse nu, c’était juste sa présence en lui-même qui le faisait agir ainsi. Habillé du coup jusqu’au pied, il avait toujours cette emprise sur ma personne, emprise que moi-même je comprenais pas. Mais on avait assez parlé. Je le fis basculer sur le dos, me mettant au dessus de lui, une jambe entre les siennes, venant l’embrasser sur son torse pour remonter m’en prendre à son cou. La musique toujours en fond sonore c’est comme si je l’entendais pas, tellement captivé par l’homme avec qui j’étais. Homme qui me repoussa alors que je mangeais son cou. Le suivant du regard alors qu’il sortait du lit, je levais un sourcil. Je comprenais pas ce qui lui prenait tout a coup et encore moins quand il m’attira pour que moi aussi je descends du lit. Je sentis son bras contre ma taille alors qu’il enlaçait nos mains et qu’il commençait à danser. Qu’est ce que tu fais ? lui demandais je avec un air interrogateur. Est-ce qu’il kiffait cette musique au point de vouloir danser dessus alors qu’à côté j’étais en train de l’embrasser dans le cou, sensuellement et qu’il était censé apprécier ? Ouais non y avait un truc qui cloche. C’était pas vraiment le lieu ni le moment pour danser, qu’est ce qu’il essayait de faire ? « J'espère que tu comprends que je suis simplement en train de faire diversion pour tenter de freiner mes ardeurs et pour un peu contredire cette espèce d'attirance sexuelle qui s'invite partout où toi et moi nous allons... » Je me mis à rire avec lui alors qu’il s’éloigna de moi pour me faire tourner sur moi-même. Est-ce qu’il savait que j’avais pas dansé depuis plus d’un mois et que ne serait ce que ça me donnait envie de danser dans toute la pièce ? « J'ai des envies pas très catholiques qui me viennent à l'esprit quand on se retrouve allongés sur ce lit...Et avec ta condition, je pense que nous avons prit assez de risque... » Ah voilà c’était donc ça le problème et la raison de cette danse si soudaine. J’en étais flattée, je le perturbais autant qu’il devait trouver un moyen pour se calmer mais après tout c’était lui qui cherchait le bâton pour se faire battre à chaque fois. C’était lui qui avait à nouveau fait des sous entendu et qui m’avait tenté. Pour une fois je n’avais rien fait, regardant le film simplement comme une bonne enfant. Basculant un peu en arrière, je le regardais alors que ça devait être ridicule vu nos tenues pas très glamour pour ce type de danse mais osef. « C'est mon cœur qui lâchera en premier si tu continues à me toucher comme tu le fais... » A cet instant le mien s’arrêta tellement j’aimais ce qu’il venait de dire. Comment pouvais je résister de le toucher ? Cet homme était bien trop tentant et j’étais juste trop faible face à lui. & tu crois que cette danse ne me donne pas que plus envie de te toucher ? Il était si proche et même si on était ni habillé pour ce genre de danse, ni dans un décor pour danser, ça en restait pas moins beau et je pouvais que vouloir encore plus lui sauter dessus. Je sais que tu fais ça juste parce que je suis malade et t’es adorable je passais à nouveau une main sur sa joue, le caressant tendrement. Mais j’ai tenu le coup une fois et si je me sens pas bien tu sais que je te le dirais. Ouais j’étais en train de le convaincre que c’était pas grave si on le faisait une nouvelle fois et ça sonnait presque bizarre car il prenait soin de moi et c’était moi qui refusait ça. Tu sais autant que moi que ça reste difficile de me retrouver dans un lieu qu’avec toi, surtout un lieu intime comme ce chalet ou ton appartement. Parce que là je peux encore moins me retenir de vouloir te dévorer. Si tu veux j’arrête et je me décalais de lui pour lui montrer ma bonne foi, que je le toucherais plus si c’est ce qu’il voulait mais après trois semaines sans toi je vois pas où est le mal. Je prends très bien mon traitement et je peux juste pas être avec toi et renoncer à te toucher. Ils m’en ont interdit pendant tout ce temps, je veux pas encore ou je préfère te voir quand je serai guéris disais je en diminuant ma voix comme pour pas dire ce que je disais à la fin. Cette idée me déplaisait et je priais pour qu’il ne prenne pas cette décision à ma place, car je le voulais pas mais si j’avais pas le droit de le toucher, d’agir avec lui comme à mon habitude je préférais encore ne pas le voir, ne pas me torturer a devoir garder une certaine distance. C’était mal de l’avoir sous mes yeux, mourir d’envie de le sentir et devoir rien faire.


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Je ne savais pas comment allait se terminer cette nuit, et plus particulièrement si nous comptions nous en sortir vivants. Tout chez la jeune femme m'invitait à venir lui faire des folies, me donnais mille idées et me faisais progressivement perdre la tête. Et même si nous avions déjà succombé au désir charnel et que nous avions prit d'énormes risques par la même occasion, je n'étais jamais rassasié d'elle et en demandais toujours et beaucoup plus. C'est ainsi qu'après avoir réalisé un espèce de strip-tease improvisé à la jeune femme qui m'avait regardé comme si j'avais été comestible, elle m'avait attiré contre elle afin de nous faire basculer sur le lit, me retenant à la dernière minute pour ne pas l'écraser avec tout mon poids.   «  Bien sur que ça en est un et non t’es pas juste un objet sexuel. » C'était en effet très rassurant, bien que je devais reconnaître que je me serais totalement contenter d'être son superbe objet sexuel rien que pour être sur que la jeune ne veuille toujours de moi à ses côtés. Elle prit alors sa main et la plaqua contre son cœur et je pus constater qu'il battait aussi fort et à l'unisson avec le mien.   «  Sinon il battrait pas aussi vite. » Argh, je meurs. J'étais complètement raide dingue d'elle et je devais aussi reconnaître que ça me faisais carrément flipper.  Elle prenait tellement de place dans mon cœur et dans mon esprit que je ne m'imaginais pas sans elle. J'avais déjà vécu un bon nombre de fois l'expérience et encore plus durant notre semaine de rupture et je ne voulais plus jamais avoir à subir ce genre de chose...Et alors que j'étais perdu dans mes pensées tentant de tout faire pour me contrôler et ne pas plaquer la jeune femme contre le matelas alors qu'elle s'entêtait à m'embrasser dans le cou et à aspirer ma peau comme elle seule savait le faire, quelque chose retint mon attention. J'allais mourir d'envie avant qu'il ne soit minuit, voilà c'était dit. Et donc, lorsqu'une chanson dont j'aimais bien la mélodie retentit à la radio, je repoussais la jeune femme avant de l'attirer avec moi hors du lit et de commencer à la faire danser contre moi.   «  Qu’est ce que tu fais ? » Un rire nerveux s’échappa de mes lèvres, elle avait probablement pas du réellement apprécier que je la coupe dans son élan mais ça avait été nécessaire. Je n'allais pas tenir bien longtemps à garder mon sang-froid si elle me faisait de telles choses. Ce fut donc le plus naturellement du monde que je lui répondis: « Je fais des crêpes, ça ne se voit pas ? » Un grand sourire s'afficha sur mes lèvres alors que je la faisais tourner sur elle-même tout en lui expliquant pourquoi je l'avais si subitement arrêté. Si je m'attendais à de la compréhension de sa part, je pouvais en fait tout de suite remettre ma chemise.   « & tu crois que cette danse ne me donne pas que plus envie de te toucher ? » Je fis une moue avec ma bouche et un mouvement de tête sur le côté. Je la touchais tout en lui faisant pratiquer ce sport qu'elle aimait tant et qui était la danse, elle devrait se réjouir.   «  Je sais que tu fais ça juste parce que je suis malade et t’es adorable. Mais j’ai tenu le coup une fois et si je me sens pas bien tu sais que je te le dirais. » Elle passa une main sur ma joue alors que je fronçais les sourcils. Était-elle en train de me persuader la ou j'étais en train de rêver ? «  Tu n'es pas sérieuse... » Non, elle ne l'était pas, c'était pas possible. Comment pouvait-elle vouloir mettre sa santé en danger juste pour du sexe ? Je n'étais totalement pas d'accord.   « Tu sais autant que moi que ça reste difficile de me retrouver dans un lieu qu’avec toi, surtout un lieu intime comme ce chalet ou ton appartement. Parce que là je peux encore moins me retenir de vouloir te dévorer. Si tu veux j’arrête. » Si j'avais dans un premier temps hoché la tête avec un grand sourire en mode Simplet dans Blanche-Neige, je me stoppais subitement en la regardant avec des gros yeux, juste à temps pour la voir se décaler sur le côté. Je croissais donc les bras sur ma poitrine, pas content mais alors pas du tout. Faisant par la même occasion ressortir mes biceps pour qu'elle ne regrette ses paroles.   « Mais après trois semaines sans toi je vois pas où est le mal. Je prends très bien mon traitement et je peux juste pas être avec toi et renoncer à te toucher. Ils m’en ont interdit pendant tout ce temps, je veux pas encore ou je préfère te voir quand je serai guéris. » À l'entente de ses paroles, je ne pus m'empêcher d'opter pour une expression triste mais colérique. Elle ne pouvait pas me dire ça comme ça. Elle n'en avait pas le droit. Et elle n'allait certainement pas s'en tirer comme ça. « Bien. Prépares tes affaires, je te ramène chez toi. On se reverra lorsque tu seras guérie. » Je tournais le dos, ayant affiché une mine sévère et catégorique alors qu'un sourire s'affichait sur mon visage maintenant qu'elle ne me voyait plus. Je fis quelques pas en avant comme si je me dirigeais vers la salle de bain avant de subitement changer la donne et revenir sur mes pas d'un mouvement de jambe rapide et de l’accueillir dans mes bras en un rien de temps, plaquant mes lèvres sur les siennes. « Je t'interdis de me dire ce genre de choses. J'ai horriblement souffert alors qu'on était séparés par cette fichue vitre et maintenant tu me dis ça ? » Sans qu'elle ne s'en rende compte, je la fis pivoter sur ses jambes et la fis reculer vers le lit, alors que j'avançais vers elle. « Tu vas payer très cher ce que tu viens de me dire, crois-moi... » Faisant un dernier pas de trop, elle tomba sur le lit, sur le dos alors que je venais à me positionner au-dessus d'elle. « Et je compte tellement te faire crier que tu en perdras la tête et que tu me suppliera d'arrêter (a) » Et sans attendre une quelconque protestation de sa part, j'étouffais sa voix avec ma bouche, tantôt j'embrassais et mélangeais ma langue à la sienne, tantôt j'aspirais et mordillais sa lèvre inférieure alors que déjà je faisais glisser une main sous son haut tout en faisant rouler mes doigts sur la peau de son ventre en des caresses lentes et sensuelles. Puisque c'était ce qu'elle voulait, elle allait l'avoir.



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Il m’avait entrainé pour danser avec lui alors que j’étais quelques secondes auparavant en train de l’embrasser sensuellement dans le cou. Le questionnant sur ce qu’il faisait avec cette danse et en m’ayant coupé dans mon élan, j’attendais une réponse mais surement pas celle qu’il allait me sortir. « Je fais des crêpes, ça ne se voit pas ? » Je me mis à rire deux secondes. Oui j’avais remarqué qu’il était en train de nous faire danser mais quel en était le but, c’était surtout ça ma question et il m’en informa bien vite. Il voulait juste pas tenter le diable et stopper le jeu auquel on avait commencé et tout ça parce que bibi était malade et que tout sport lui était déconseillé. Il était adorable de se soucier de moi, j’appréciais vraiment mais j’étais pas d’humeur à laisser des médecins me dicter ce que je dois ou non faire. Ils m’avaient déjà privé de lui pendant des semaines, il manquait plus qu’encore je m’en prive. Mon cœur était solide, je le savais après tout ce qu’il avait enduré les dernières années, c’était pas un grand moment de plaisir avec l’homme que j’aime qui allait me faire peur. « Tu n'es pas sérieuse... » Si si j’étais très sérieuse et sans attendre je continuais sur ma lancée lui disant que j’avais été trop privé de lui, c’était hors de question que ça continue sinon autant ne pas le voir pour m’éviter de ne pas pouvoir le toucher et être avec lui comme je l’ai toujours été. J’espérais qu’il comprenne où je voulais en venir, que c’est pas ce que je voulais ne pas le voir mais que ça serait bien moins pénible que si je suis avec lui alors que je peux pas le toucher et que j’aurais l’impression de ne pas être entièrement avec lui. « Bien. Prépares tes affaires, je te ramène chez toi. On se reverra lorsque tu seras guérie. » Ma mâchoire se desserra alors que je le regardais bêtement tandis qu’il me tournait le dos. Vraiment ? Il le prenait comme ça ? J’avais eu un pincement au cœur rien qu’en l’entendant me dire ces mots, qu’il me ramenait chez moi. Pourquoi devait il voir le mauvais dans ce que je disais au lieu du bon ? Théo dis je d’une voix limite désespérée. Non je voulais pas qu’il me ramène ni qu’il croit ça. Je voulais pas que ça repart en dispute ou que ce soit froid. Non et non ! Quand il se tourna après que je l’ai appelé, mon cœur fit un tour sur lui-même craignant qu’il soit vraiment en colère par mes propos mais encore sous le choc de ce qu’il avait dit et de comment ça risquait de finir, j’eus pas le temps de capter qu’il était pas aussi sincère qu’il me l’avait laissé croire. J’eus seulement le temps de le sentir me prendre contre lui alors que ses lèvres se déposaient sur les miennes. Sayé mon cœur battait à nouveau la chamade. « Je t'interdis de me dire ce genre de choses. J'ai horriblement souffert alors qu'on était séparés par cette fichue vitre et maintenant tu me dis ça ? » Parce que j’avais pas souffert ? C’était une chance que je l’avais durant ce moment là car avec Sacha ça n’avait pas été la choix et si je l’avais pas eu ça aurait juste été le pompom de trop. « Tu vas payer très cher ce que tu viens de me dire, crois-moi... » Il marchait et je pouvais que reculer jusqu’à me retrouver sur le lit. Est-ce qu’il avait changé d’avis et il ne voulait plus calmer ses ardeurs ? Tu sais que si je dis ça c’est parce que te voir sans être avec toi, te toucher c’est encore plus de la torture que ne pas te voir. Est-ce qu’il comprenait ? Peut être que c’était différent pour lui qu’il se contentait juste de me voir mais moi j’étais insatisfaite si je me contentais juste de le voir. Je voulais tout, pas juste un regard sur lui. Je voulais tous les droits (a) « Et je compte tellement te faire crier que tu en perdras la tête et que tu me suppliera d'arrêter (a) » S’il n’avait pas pris possession de mes lèvres aussi rapidement, je lui aurais clairement dit qu’il pouvait faire ce qu’il voulait, y avait pas de voisins aux alentours, juste nous et j’y voyais aucun inconvénient. Sentant sa main glisser sur ma peau, des frissons parcouraient chaque centimètre de ma peau. A mon tour, je faisais glisser les miennes du bas de son dos jusqu’en haut puisqu’il avait déjà plus de vêtement sur son torse. Y avait seulement sa chair. M’approchant de son oreille, je lui chuchotais alors Le désir est désir de l’Autre. C’était une citation et une qui correspondait exactement à combien je le désirais et pas seulement sexuellement parlant. Sur ces belles paroles je reprenais possession de ses lèvres pendant que mes mains continuaient à le caresser. Glissant celles-ci dans ses cheveux de temps en temps alors que ma langue faisait des roulades avec la sienne par moment.


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Sur le coup, elle avait sûrement du avoir peur. Peur que je ne la prenne au mot et que je ne me fâche réellement. Peur que je ne veuille réellement la ramener chez elle et ne plus la voir avant qu'elle ne soit totalement guéri. Et je pouvais affirmer ça, car en lui faisant croire que ses paroles m'avait blessé et que je me retournais pour faire semblant de m'en aller, elle prononça mon prénom d'une petite voix, juste avant que je ne fasse demi-tour pour venir l'embrasser et la prendre dans mes bras. Elle n'avait pas le droit de me dire une telle chose. Peut-être qu'elle ne pouvait pas s'empêcher de me toucher comme moi j'étais obligé de l'embrasser à chaque fois que je la voyais ou qu'elle se tenait près de moi. Il fallait même parfois que je prenne sur moi pour ne pas totalement lui sauter dessus et l'embrasser comme jamais. Je ne voulais pas lui faire peur après tout. Mais même si là, c'était ce que j'étais en train de faire. La faisant reculer pour finir sur le lit, je la menaçais de lui faire payer très cher les paroles qu'elle avait prononcé, finissant ensuite ma course sur elle. « Tu sais que si je dis ça c’est parce que te voir sans être avec toi, te toucher c’est encore plus de la torture que ne pas te voir. » Elle devrait pourtant s'en contenter si me toucher était totalement impossible. Je me limitais à un espèce de grognement sourd alors que je dévorais son cou de baiser avant de m'emparer de ses lèvres comme jamais je ne l'avais encore fait. Je ne savais pas ce que j'étais en train de faire ni ce que j'étais en train de prévoir. C'était mal, nous avions déjà eu le droit de nous divertir tout à l'heure dans la cuisine, et avec son traitement maintenant, nous devions faire attention. Elle était pourtant interdit de sexe, alors pourquoi m'acharnai-je à vouloir dépasser les limites et braver l'interdit ? Parce que je l'aimais tout simplement, et qu'il n'y avait rien que je ne ferais pour elle. De plus, elle me tendait presque la main pour venir faire ce genre de chose, me donnant carrément son consentement. Si ça ce n'était pas me prouver qu'elle en avait vraiment envie, je ne m’appelais plus Théophyl. Et pendant que je lui disais que j'allais la faire crier, une de mes mains était venue se loger sous son haut avant de caresser la peau douce de son ventre alors que je l'embrassais toujours mêlant ma langue à la sienne. « Le désir est désir de l’Autre. » Elle avait glissé ses lèvres près de mon oreille pour me chuchoter ces mots alors que ses mains parcouraient mon dos, m'arrachant plus d'un frisson à la fois. Elles glissaient aussi de temps en temps dans mes cheveux alors que nos lèvres remuaient toujours ensemble et j'étais tellement perdu par la proximité de la jeune femme que je ne fus pas capable de comprendre ce qu'elle me disait. Qu'elle me fasse crier si elle le voulait, bien que je doute que ce ne soit possible avec sa condition. Je n'étais pas capable de me la jouer grand poète non plus, si bien que tout ce dont j'étais capable d'accomplir, était de me relever coupant court au baiser avant de me mettre debout, et de soulever la jeune femme pour qu'elle se lève à son tour avant de faire en sorte qu'on soit debout l'un face à l'autre. «  Saches juste qu'il n'y a plus aucun retour en arrière. Je te donne quand même trois minutes pour changer d'avis. » Il fallait qu'elle soit sur aussi, et qu'elle ne regrette pas si son petit cœur en prenait un coup. Je me dirigeais pour éteindre la radio ainsi que la lumière alors que la chambre fut soudainement plongée dans l'obscurité totale alors que la seule lumière qu'il y avait, provenait des rayons de la lune qui s'infiltraient à travers les grandes fenêtres qui donnait sur un balcon. Ces rayons me permettais parfaitement, et vice versa, de distinguer chaque courbes du corps de la jeune femme, si bien que je me postais devant elle, attendit quelques secondes en scrutant son visage dans la pénombre. « Oh et puis tant pis pour toi...Tu me rends fou ! » Je revins alors subitement prendre possession de ses lèvres alors que mes mains venaient à descendre le long de son corps sans plus attendre. Si elle devait protester c'était maintenant, car déjà je relevais son haut, l'obligeant à lever les bras en l'air pour faire passer le vêtement par-dessus sa tête. Et pour ma plus grande joie elle ne portait rien en-dessous. Laissant le haut rejoindre ma chemise, je la repris dans mes bras pour l'embrasser de nouveau, faisant glisser mes mains dans son dos alors que je plaquais son corps contre le mien.



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Alors qu’il m’embrassait et que je sentais sa main sous mon haut et sur ma peau, je lui avais murmuré quelques mots doux, une citation plus précisément. Une citation qui exprimait assez ce que je ressentais alors que mon corps lui exprimait ce qu’il ressentait au jeune homme par le biais de mes mains sur son corps ou de mes lèvres collaient aux siennes. Quand il coupa le baiser pour se lever et qu’il me leva par la suite, je me demandais s’il allait pas encore vouloir faire une danse pour calmer ses ardeurs. Une fois je veux bien mais pas deux non ? « Saches juste qu'il n'y a plus aucun retour en arrière. Je te donne quand même trois minutes pour changer d'avis. » Trois minutes ? Non mais pourquoi m’en donnais juste une déjà ? J’avais pas dit avoir besoin d’un quelconque nombre de minutes pour changer d’avis, j’avais ni besoin de secondes, j’avais pas envie de changer d’avis point. Il partit éteindre la radio ainsi que la lumière de la chambre et je ne disais aucun mot. J’avais pas à répondre à sa question, j’avais été suffisamment clair normalement. Si je lui avais dit que je craignais rien et que je lui dirais si j’allais pas bien, c’était pas juste pour lui mettre l’eau à la bouche et le tenter pour au final lui dire bonne nuit. C’est que je comptais pas changer d’avis, je pensais lui avoir même donner l’impression de le convaincre que je voulais à nouveau qu’on fasse qu’un. Je le regardais donc faire jusqu’à qu’il se poste devant moi et que mon cœur accélère ses battements. « Oh et puis tant pis pour toi...Tu me rends fou ! » Eh bien on était deux alors car il me rendait folle. On pouvait donc se comprendre ce qui était une bonne chose. Je ressentais ce qu’il ressentait et réciproquement. Répondant à son baiser je frissonnais sous la sensation de ses mains qui descendaient petit à petit. Le sentant soulever mon haut de pyjama, je le laissais faire, répondant plus que positivement en levant les bras pour qu’il puisse l’enlever. Nos deux corps à moitié nus, il me rapprocha contre lui, plaquant son torse contre ma poitrine et j’aimais savoir nos peaux collaient l’une à l’autre, transpirant l’une contre l’autre. J’avais même pas la joie de pouvoir moi aussi lui enlever son haut mais sans rompre le contact entre nos bustes je glissais mes mains jusqu’en bas de son ventre pour faire tomber son pantalon tout en effleurant ses fesses. Changeant ensuite nos positions je le poussais d’une main sur le lit pour qu’il tombe dessus, m’avançant vers lui et me positionnant à califourchon sur lui pour reprendre le baiser là où on l’avait stoppé. Il allait répliquer, il avait céder peut être pour qu’on remet ça mais il cédera surement pas pour me laisser au dessus, c’est pourquoi je profitais des quelques secondes ou minutes ou j’allais pouvoir être sur lui et faire ce que je voulais. Séparant nos lèvres après avoir tiré sensuellement sur sa lèvre inférieur, je le regardais dans les yeux avant de me diriger vers son cou. Cou sur lequel je faisais glisser doucement ma langue du bas vers le haut, venant planter mes dents dans sa chair de façon douce et charnelle pour terminer par le lobe de son oreille comme dernière victime pour le moment. Perdant rien de ce moment, je laissais mes mains descendre sur le côté de son corps, le frôlant du bout des doigts pour remonter et attraper ses mains avec les miennes, tandis que de mon index je frottais le creux de sa main. Il savait déjà que je le désirais mais ce geste lui montrait un peu plus.


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Je ne savais plus vraiment si écouter ma raison ou mes envies et bien que mon esprit était déterminé à être totalement embué par la présence de la jeune femme, je ne voulais pas non plus dépasser les limites qu'elle était capable d'imposer. Elle n'avait pas le droit au sport ni de trop se forcer et je ne voulais pas plus la fatiguer qu'elle ne l'était déjà. Et même si les propos qu'elle avait eut à mon égard sur le fait qu'elle préférait amplement me voir qu'une fois qu'elle serait guérie plutôt que d'être contrainte de ne pas me toucher, m'avait pousser à la pousser elle-même sur le lit afin de lui faire regretter ses paroles, je me reculais un temps histoire de lui donner quand même la chance de pouvoir reculer et me dire qu'elle préférait juste dormir finalement. Et après avoir éteint la radio et la lumière et être revenu vers elle, je ne m’inquiétais même pas de son manque de réaction. C'est ainsi qu'après lui avoir dit qu'elle me rendait fou, que je m'emparais à nouveau de ses lèvres, mélangeant ma langue à la sienne avant de faire en sorte à ce qu'elle ne lève les bras afin de pouvoir lui retirer son haut comme bon me semblait. Pour mon plus grand bonheur, elle ne portait rien en-dessous et elle venait ainsi compléter ma nudité alors que je la serrais contre moi, collant sa poitrine contre mon torse tandis que je reprenais possession de ses lèvres que j'adorais tellement. Je n'avais même plus envie de lui faire payer quoique ce soit, je voulais juste qu'elle profite de l'instant présent alors que j'entendais les battements effrénés de mon cœur qui me faisaient comprendre que j'aimais énormément ce qu'il était en train de se renouveler. Et alors que j'étais perdu dans la découverte de son dos avec mes mains, je ne me rendis même pas compte que la jeune femme avait glissé ses mains jusqu'à mon bas ventre pour faire en sorte que mon pantalon ne tombe à mes chevilles. Un sourire se peigna sur mes lèvres alors que je l'embrassais toujours, puis, rompant le baiser, je me sentis tomber en arrière alors que la jeune femme m'avait en quelque sorte poussé sur le lit et je songeais avec un rire que c'était chacun son tour. Sans plus attendre, elle vint à se positionner en amazone sur ma personne alors que je plaçais mes mains sur ses hanches, les faisant remonter tout doucement vers le haut, savourant le contact de sa peau douce et nue. Elle était revenue m'embrasser afin de m'aspirer la lèvre inférieure et je frissonnais de plaisir. Je ne savais pas d'ailleurs si c'était l'obscurité dans laquelle nous étions plongés ou l'ambiance érotique qui régnait dans cette chambre, mais j'avais le sentiment que tous mes sens étaient décuplés. Et lorsqu'elle se stoppa finalement pour venir plonger son regard dans le mien, je ne bougeais pas étant presque comme hypnotisé par sa présence et ce qu'elle me faisait. Quand je pus sentir ses lèvres dans mon cou, je m'allongeais entièrement sur le lit en soupirant, rejetant la tête en arrière avant de venir embrasser l'épaule qu'elle me présentait et de doucement la mordiller. À chaque coup de langue qu'elle me donnait, je faisais glisser une main sur sa peau tout en la malaxant par moment comme si j'étais en train de la masser dignement. Je pouvais carrément dire que j'étais victime d'elle et que j'étais totalement soumis à sa personne. Elle pouvait carrément faire ce qu'elle voulait de moi et c'est exactement ce qu'elle était en train de faire lorsqu'elle fit descendre ses mains le long de mon corps pendant qu'elle mordillait le lobe de mon oreille. Et lorsqu'elle vint à unir nos mains ensemble et que je pus sentir le toucher de son index au creux de ma paume, mon sang ne fit qu'un tour dans mes veines. « Bon sang...t'es en train de me tuer. » Retirant une de mes mains des siennes, je la plaçais derrière sa nuque pour l'obliger à m'embrasser et pendant que je détournais ainsi son attention, j’échangeais nos places alors que cette fois-ci j'étais logé entre ses jambes. Et alors que je l'embrassais toujours, je me séparais de son autre main afin la glisser le long de sa cuisse, la remontant le long de mon corps par la même occasion, alors que même si je portais encore mon boxer et elle son leggings, je donnais des petits coups de bassin pour qu'elle puisse comprendre l'étendu de mon désir pour elle. Lorsque je rompais le baiser, ce fut pour descendre mes lèvres le long de son cou pour terminer sur sa poitrine et jouer avec l'un de ses petits bout rose avec ma langue. Enfin, je fis glisser mes mains jusqu'à l'élastique de son bas et me relevant avec un sourire, je le lui retirais avec une lenteur démesuré. Puis une fois la chose faite, j'attrapais une de ses jambes avant de déposer mes lèvres sur son mollet et de toujours remonter plus haut progressivement, passant par son genoux et l'intérieur de sa cuisse, jusqu'à arriver jusqu'à son intimité que je dépassais pour remonter le long de son ventre puis de sa poitrine, de son cou et enfin pour arriver à mon but ultime: ses lèvres. J'avais exercé tout cela avec une lenteur extrême si bien que je changeais la donne en l'embrassant activement et passionnément tout en reprenant mes coups de bassin.




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Il n’avait pas encore réagit et il me laissait totalement faire alors que j’étais au dessus et lui en dessous. Ca n’allait surement pas durer alors j’en profitais au maximum, l’embrassant dans le cou, le léchant avec le bout de ma langue et le mordant même de temps en temps ou aspirant simplement sa peau. Je sentais ses mains à lui se balader sur ma peau alors qu’il me masser en même temps et il faisait que accentuer ce que je faisais à son petit cou. Je le désirais comme jamais et je regrettais de ne pas être en forme, de ne pas pouvoir faire tout ce que je voulais, ni même qu’on soit chez lui. Ici j’avais pas tout ce que je voulais, on avait quelques affaires mais sans plus alors que dans son appartement on avait tout le nécessaire, des cravates si on voulait ou des ingrédients à manger, mais là pas vraiment et je me voyais mal tout couper pour fouiller la maison de fond en comble. Je prenais donc sur moi, pensant déjà à ce que je pourrais lui faire quand on serait de retour et quand j’irais mieux également. « Bon sang...t'es en train de me tuer. » Etait ce, ce que je lui avais explicitement fait comprendre avec mon doigt au creux de sa main, qui le tuer ainsi que ma langue et mes lèvres loger dans son cou ? Peut être et j’aimais savoir et l’entendre me dire ça. J’aimais savoir que je lui faisais plaisir, que je le poussais à bout et que je le rendais fou. Parce qu’au moins on était ex aequo. A nouveau mes lèvres collaient aux siennes, je l’embrassais avec passion stoppant tout mouvement que je faisais tandis que monsieur en profita pour échanger nos places. Je me doutais bien qu’il allait pas tenir bien longtemps à me laisser au dessus de lui. Ou bien c’est moi qui n’allait pas tenir bien longtemps quand il commença à donner des coups de bassins alors que ma jambe était relevé. C’est moi qu’il allait tuer et avec ses coups de bassins il faisait qu’augmenter la température et ne parlons pas de ses lèvres qui parcouraient mon cou. Respirant fortement, je balançais légèrement ma tête en arrière quand il descendit jusqu’à ma poitrine. Appuyant fermement sur sa peau à l’aide de mes doigts, il m’avait déjà foutu en feu alors que c’était que le commencement. Ses mains juste en dessous de mon nombril, je sentais comme des papillons volant dans tout mon être. Ma respiration gardait la même intensité alors que chaque souffle se rapprochait de plus en plus quand il se chargea d’enlever mon legging avec toute la lenteur possible du monde. Il jouait clairement avec moi là et même si je le détestais pour faire ça il fallait avouer qu’il arrivait terriblement à m’enflammer. Puis ses baisers sur ma peau, remontant de l’intérieur de ma cuisse jusqu’à mon ventre et ma poitrine, je me mordais la lèvre inférieure pour me retenir au maximum bien qu’il y allait doucement et que sa lenteur ne faisait que faire monter le plaisir en moi. Croisant à nouveau mes lèvres avec les siennes, je lui montrais combien il m’avait stimulé. Quant à ses coups de bassins qu’il donnait encore, je fis passer mes jambes autour de sa taille re serrant l’étreinte entre nos deux corps mais n’ayant pas la possibilité de faire ce que je voulais ici, je comptais pas non plus être la seule qui subissait. Changeant à nouveau la donne, j’enlevais mes jambes de sa taille et le mettant sur le dos je fis glisser mes mains à son bas ventre tout en l’embrassant. Quittant alors ses lèvres, je descendais doucement dans son cou déposant des petits baisers et tout en continuant sur son torse jusqu’à son nombril, déposant un baiser à l’intérieur. Je faisais chemin inverse, continuant avec mes baisers en remontant jusqu’à lui alors qu’en même temps je faisais glisser ma poitrine contre chaque partie de son corps. A nouveau à sa hauteur, à califourchon sur lui, c’est moi qui donnait des petits coups de bassin, frottant mon intimité contre la sienne de façon bien lente. Non j’étais pas du tooooout en train de lui mettre l’eau à la bouche. Prenant encore possession de ses lèvres, je mélangeais nos langues ensemble tout en continuant à le rendre fou en me frottant contre lui. Seuls nos sous vêtements du bas étaient entre nous mais ils étaient si fin que lui comme moi pouvions sentir parfaitement chaque mouvement. Tu vois l’effet que tu me fais lui chuchotais je entre des baisers. Si la il comprenait pas je voyais pas comment il pouvait plus le comprendre.


CREDIT TO KAIJI FROM ILH

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Thélia


Je faisais un rêve idyllique qui était réellement en train de se produire et dans lequel l’héroïne était la jeune femme qui m'embrassait à en perdre haleine. Je tremblais presque légèrement tellement l'excitation chez moi était en train d'attendre son apogée. J'avais réussi à retirer le leggings de la jeune femme et j'en avais profité pour embrasser chaque centimètre carré de son corps sans omettre une seule parcelle de sa peau. Puis lorsque j'étais revenu vers son visage, seuls nos sous-vêtements nous empêchait d'avoir une totale symbiose entre nos deux corps alors que j'avais entrepris de lui donner des petits coups de bassin tout en embrassant ses lèvres. Elle enserra néanmoins ma taille de ses jambes afin d'encore plus m'attirer à elle alors que nos lèvres dansaient de nouveau ensemble. J'étais totalement en feu, elle ne pouvait pas vraiment savoir à quel point sa simple présence arrivait à m’électriser tout entier, comment je mourrais un peu plus chaque fois qu'elle me touchait avec une lenteur extrême. Soudain, elle changea la donne encore une fois afin de reprendre le dessus et je me demandais comment elle arrivait à me faire changer de place avec une telle vitesse si elle était mal en point. Un sourire s'échappa de mes lèvres alors que mon dos buttait de nouveau contre le matelas, et alors qu'elle avait entreprit de venir embrasser mon corps, je me relevais sur les coudes pour observer la vision très érotique qu'elle m'offrait, car elle avait une façon bien sensuelle et bien à elle de m'embrasser comme elle le faisait. Ce soir elle allait totalement être mienne et je voulais lui prouver à quel point j'étais totalement sien. Elle avait déposé ses mains sur mon ventre et déposait ses lèvres un peu partout sur mon corps et pour moi, c'était comme si elle me brûlait après chacun de ses passages sur ma peau. J'étais littéralement en train de mourir de désir pour elle et je ne savais pas si j'allais pouvoir survivre encore bien longtemps avec ce qu'elle était en train de me faire. Si seulement une telle chose avait été possible, je l'aurais déjà dévoré sur place, là, à même ce lit. Lorsque je compris qu'elle faisait glisser sa poitrine contre mon corps, je me laissais tomber entièrement sur le lit en gémissant presque bruyamment. S'en était bien plus que ce que je ne pouvais supporter, j'avais amplement l'impression qu'elle ne se rendait pas compte de l'effet et de l'emprise qu'elle avait sur moi. Elle vint enfin se positionner à califourchon sur moi et je plaçais mes mains sur son ventre, les faisant descendre vers son bas-ventre pour venir jouer avec l'élastique de son sous-vêtement tandis qu'elle-même donnait des coups de bassin, frottant son intimité contre la mienne, reprenant mes propres mouvements d'avant ou se vengeant tout simplement. « Tu vois l’effet que tu me fais. » Oh bordel... Dans tous les cas, elle pouvait totalement sentir à quel point moi j'étais excité par-dessous mon boxer et à quel point je la désirais, tellement que s'en était presque douloureux. Elle avait prononcé ces paroles à travers quelques baisers et je compris alors que je n'en pouvais réellement plus. Posant une de mes mains dans son dos et une autre sur sa joue, j'échangeais une nouvelle fois nos places, la déposant délicatement sur le lit avant de me positionner au-dessus d'elle et de venir faire danser mes lèvres avec les siennes. Me décollant de son corps, je lui retirait l'unique vêtement qu'il lui restait avec un sourire non sans quitter son visage de mon regard. Je revins ensuite prendre possession de ses lèvres pendant que je faisais descendre une main le long de son corps afin de la faire arriver vers son intimité et de commencer à jouer avec ce petit bout de chair qui était censé lui donner tant de plaisir tout en détournant son attention avec mes baisers. Je l'embrassais sur les lèvres, sur les joues, sur le front, dans le cou, partout où mes lèvres avaient accès car c'était mon truc ça, l'embrasser partout et assez rapidement. Puis sans qu'elle ne s'y attende réellement, j'insérais un doigt en elle, remarquant à quel point elle était prête pour moi, puis j'en insérais un deuxième avant de réaliser des espèces de va-et-viens qui ne pouvait que lui prouver ce qui l'attendait par la suite. Je l'embrassais toujours descendant parfois vers sa poitrine, écoutant tous les moindres bruits qu'elle faisait avec plaisir. Je remontais le long de son cou avant de déposer mes lèvres sur son oreille et de murmurer d'une voix taquine et avec un sourire : « Je t'avais dit que j'allais te faire crier...Tu peux y aller.. fais-toi plaisir. » Mes paroles avaient probablement un double sens précis mais j'avais l'esprit tellement absorbé par sa présence et tout ce qu'elle était, que même à moi il m'échappait.




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Thélia ღ

Ayant repris le dessus sur la situation, à mon tour je lui montrais combien je mourais de désir pour lui. Certes j’étais pas des plus gentille en jouant ainsi avec lui alors que nos sous vêtements nous empêchait toute action pour le moment, mais c’était à mon tour de lui montrer qu’il me rendait folle. Je savais qu’il comprendrait parfaitement la chose et qu’il serait lire entre les lignes pour voir combien j’avais envie de lui avec les mouvements que je faisais. Il changea à nouveau la donne, venant se remettre au dessus de moi. Il était vraiment pas croyable, il pouvait pas rester plus longtemps que cinq pauvre minute en dessous de moi. Il fallait que monsieur soit au dessus, que ce soit lui qui gère la danse et qui domine. C’était pas un mec pour rien et ça me déplaisait pas mais j’aimais aussi avoir le contrôle. Embrassant ses lèvres j’échappais pas au fait qu’il enleva mon sous vêtement et encore moins quand il m’embrassait encore et encore alors que je sentais chaque mouvement de sa main descendre sur ma peau et m’arrachait des frissons. Il avait cette façon de le faire qui rien qu’en sentant sa main sur moi me faisait me mettre dans tous mes états. Il savait y faire avec moi et il savait parfaitement quoi faire pour me faire craquer ou me mettre l’eau à la bouche. Oh que oui il savait très bien tout ça et il en jouait mais je pouvais pas lui reprocher, il savait aussi l’effet que ça me faisait et qu’il me rendait encore plus folle en agissant ainsi. Ses doigts glissant sur mon intimité, je mordais sa lèvre sensuellement alors que chaque mouvement qu’il faisait avec me faisait perdre un peu plus pieds. Ses baisers également et je pouvais que balancer ma tête en arrière quand il en déposait dans mon cou et qu’il continuait ce qu’il faisait un peu plus bas. Me mordant la lèvre je me retenais comme je pouvais mais quand un de ses doigts franchir la barrière s’en était bien trop pour moi et détachant mes lèvres je laissais un gémissement sortir sans tenter de le retenir. Je me laissais aller alors qu’un autre sortait quand il y introduit un second et qu’il faisait des mouvements. Il allait me perdre je vous le dis, encore plus quand il s’approcha de mon oreille. Son souffle dans mon oreille ne faisait que me donner encore plus envie de lui. « Je t'avais dit que j'allais te faire crier...Tu peux y aller.. fais-toi plaisir. » Non mais il voulait vraiment que je meurs ? Lui faisant une grimace en pliant mon nez l’air de dire « haha joue toi de moi » je glissais à mon tour une main vers son bas ventre. Non je pouvais pas rester sans rien faire alors qu’il abusait de moi, que j’étais faible et qu’il pouvait faire ce que bon lui semble. Je pouvais pas rester les bras croisés quand même non ? Dépassant l’élastique de son boxer, je laissais ma main se faufiler à l’intérieur, venant tout comme lui m’occuper de son intimité. S’il comptait me faire crier, je comptais bien faire la même pour lui. Je voulais pas être la seule a prendre un tel plaisir, j’aimais le savoir au summum grâce à moi. Je te suis si tu me suis lui chuchotais je entre deux baisers que je déposais dans son cou. J’allais au rythme qu’il prenait avec moi, suivant la même cadence. Accélérant les mouvements et freinant légèrement de temps en temps comme pour pas qu’il soit au bout, pour le faire mourir de désir un peu plus mais sans pour autant lui stopper toute envie. Après quelques minutes, plusieurs mouvements et évidement plusieurs soupirs et gémissements, il était temps de mettre fin à ce jeu dangereux. Sortant ma main de son boxer j’attrapais son cou, l’obligeant à l’attirer plus contre moi, le faisant même arrêter tout mouvement qu’il faisait. Il est temps de passer aux choses sérieuses. Ouais je devenais impatiente et puis s’il continuait il allait me perdre en chemin. Faufilant mes mains sur le côté de son corps je pris l’élastique du boxer pour le faire descendre et que celui-ci ne soit plus un frais a l’union de nos deux corps. Restant en dessous car je savais pertinemment qu’il me laisserait pas encore reprendre la main, je le laissais se positionner, sentant son intimité contre la mienne, comprenant combien il était tout aussi près que moi. Je sentais désormais qu’il était en moi, qu’on faisait enfin plus qu’un et cette idée me faisait libérer un gémissement de malade. Attirant sa nuque alors que mes yeux étaient plantés dans les siens je l’embrassais, faisant un accès à ma langue pour qu’elle rejoigne la sienne. Je voulais que chaque partie de nous soit en total fusion. M’abandonnant complètement pour lui, je succombais à chaque coup de bassins, laissant chaque gémissement s’évadait. Il pouvait compter sur moi pour me laisser aller, je comptais pas étouffer le moindre bruit pour une fois ni me retenir. J’allais bien lui montrer entièrement combien j’étais à lui et quels effets il me faisait.


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