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I just can't stop loving you ♥ Thélia

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Thélia ღ

« Dans la nature des choses, c'est plutôt moi qui te prends, chérie. » Je lui fis une tape sur l’épaule par rapport à sa remarque, non mais oh comment qu’il parle lui. & on monta dans la voiture, toujours l’idée en tête de lui faire cracher le morceau. J’étais peut être encore malade et sous traitement mais je perdais pas le nord. Je voulais savoir et je voulais le faire céder, par n’importe quel moyen. « Tu avais prévu des sous-vêtements mangeables, c'est ça ? » Je me mis à rire. Non mais lui je te jure. S’il croyait que c’était ça mon idée, c’était bien mieux encore et c’était plus romantique et plus parfait pour lui montrer combien il comptait vraiment pour moi. Même la pseudo menace au sujet de mon frère n’avait aucun effet. Ca l’inquiétait pas plus que ça et il crachait toujours pas le morceau. « Je ne tiens pas spécialement à ma vie, mais si tu veux éviter que ton frère m'assassine, tu pourrais tout simplement attendre les deux heures de route que nous devons faire pour constater les lieux et lui envoyer quoique ce soit là-bas. Comme ça je ne te dis rien et tu découvre tout par toi-même. » Je me mis à souffler, croisant les bras sur ma poitrine une fois que le sms était envoyé. Il était même pas drôle. Il profita de marquer l’arrêt à un feu rouge pour essayer de m’amadouer en déposant un baiser à l’intérieur de mon poignet. & je le regardais même pas, faisant toujours la moue alors que je récupérais mon poignet quand il eut terminé. Il avait vraiment pas l’air décidé a m’en dire plus puisqu’il alluma la radio, mettant bien a fond et chantant. Elle était plutôt calme mais ça restait bien trop fort. Diminuant clairement le volume, je tournais ma tête vers lui. Je prends assez de médicaments comme ça, évite moi les dolipranes stp. Habituellement ça m’aurait pas dérangé, j’adorais ça écouter la musique à fond et danser dessus comme une folle, mais là c’était pas vraiment possible. Théophyl, dit moi où on va ou j’appelle la police pour kidnapping. Je retenais le sourire qui voulait se dessiner sur mes lèvres, gardant un visage très sérieux pour ne rien laisser paraitre. Il m’emmenait je ne sais où, dans un lieu où y aurait que nous deux, ça pouvait passer pour un kidnapping surtout vu mon état c’était bien trop simple pour lui de m’obliger à faire quoique ce soit. Pauvre moi, pauvre petite âme inoffensive et fragile (a) Si tu me dis rien, essaye même pas de me demander ce que j’ai prévu pour toi pour bientôt, tu seras rien et je sais combien tu aimes pas les surprises. Ce qui n’était pas mon cas, je voulais juste savoir le lieu où on allait, j’avais rien contre le fait que ce soit une surprise. Puis c’était quoi le mal à me le dire hein ?


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Lorsque je lui avais murmurer qu'en un principe c'était moi qui étant censé la prendre et non l'inverse, elle me refila un coup sur l'épaule, ce qui eut le don de vraiment me faire sourire. Bon, j'admettais que ce n'était pas vraiment la chose à dire. Mais qu'y pouvais-je ? J'étais comme ça (a). Une fois dans la voiture, elle avait tenter de me pousser au maximum pour savoir où je comptais l'emmener mais j'avais tenu jusqu'au bout et n'avais rien laissé paraître du fameux endroit dans lequel je l'emmenais. J'avais alors allumé la radio et m'était mis à chanter tout seul, lui montrant en quelque sorte que la discussion était close et que je ne comptais pas en parler d'avantage. Néanmoins, la jeune femme assise à mes côtés avait clairement décidé de se comporter comme une petite fille et de me casser mon délire. Elle baissa le son de la radio et déjà lorsque j'avais tenté de me montrer doux envers elle, elle n'avait pas daigné réagir. Ça commençait décidément bien. « Je prends assez de médicaments comme ça, évite moi les dolipranes stp. » En effet, elle était pas d'humeur ni rien. Je me grattais la joue en conservant mon autre main sur le volant. « Désolé. » Là j'étais un peu gêné. Je ne voulais la fatiguer encore plus, surtout avec de la musique à fond. Mais, le truc que je n'avais pas encore compris était qu'elle n'avait absolument pas lâché l'affaire. «  Théophyl, dit moi où on va ou j’appelle la police pour kidnapping. » Pardon ? Je lui jetais un coup d’œil alors que je souriais comiquement. Si c'était une menace, elle ne m’effrayait absolument pas. Puis Théophyl, hein..? Bien. « Appelles la police si ça te chante. Comme ça je finirais en prison et on ne se reverra plus jamais. Ça nous fera une belle jambe. » J'avais gardé un ton neutre. J'allais finir par passer en mode très méchant si elle continuait. « Si tu me dis rien, essaye même pas de me demander ce que j’ai prévu pour toi pour bientôt, tu seras rien et je sais combien tu aimes pas les surprises. » J'haussais les épaules. « Tu ne m'auras pas comme ça. Veux-tu rester tranquille ? Qu'est-ce que ça te coûte d'attendre deux petites heures ? Tu le sauras bien assez tôt de toute façon. » C'était elle qui aimait les surprises à la base. Bien qu'impatiente, elle appréciait bien souvent mes surprises, du moins je l’espérais. « Tu peux dormir, parce que je n'ouvrirais pas plus la bouche pour t'en dire d'avantage. » Je détournais la tête, lui montrant que je passais à autre chose et que le dernier truc qui lui restait à faire était d'attendre.

Lorsque les deux heures de route furent passées ou du moins je dirais les une heure et vingt-cinq minutes à cause de ma conduite plus que rapide, je me demandais alors si elle avait commencé à se poser des questions en constatant que nous étions réellement sorti de Cambridge et que nous venions de longer une immense forêt, changeant complètement de paysage. J'empruntais alors un petit chemin sinueux, jusqu'à arrivé près d'un lac et d'un chalet. J'arrêtais le moteur et sans un regard vers elle, je sortis de la voiture, afin de m'étirer les jambes et la nuque. Puis faisant le tour du bolide je vins à venir ouvrir sa portière afin de l'aider à sortir de la voiture. « L'attente en valait la peine ou bien ? » J'étais plutôt fier de mon coup, même si maintenant je présentais qu'elle m'en voulait, car l'endroit était particulièrement beau. D'autant plus que la nuit commençait à tomber et que nous avions le droit à un merveilleux couché de soleil derrière l'horizon du lac. « Cependant tu as interdiction de t'aventurer ou que ce soit sans moi, me suis-je bien fait comprendre ? » Je la savais téméraire et prête à me défier à la moindre occasion, mais je savais aussi que les environs étaient dangereux et qu'il n'y avait pas de voisins, et rien à trois kilomètres à la ronde.






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« Appelles la police si ça te chante. Comme ça je finirais en prison et on ne se reverra plus jamais. Ça nous fera une belle jambe. » Je fis de gros yeux surtout parce qu’il disait que ça lui ferait de belle jambe qu’on se voit plus jamais. S’il c’était abstenu de dire cette phrase de trop ça aurait passé, je savais qu’il blaguait mais ça j’appréciais pas. Quand je suis enfermée tu voudrais être avec moi et là ça te ferait une belle jambe si on se revoit plus. Ca avait été plus fort que moi j’avais du lui dire ce que je pensais parce que c’était pas gentil et c’était pas justifié surtout. Je lui avais rien dit de méchant contrairement à lui. « Tu ne m'auras pas comme ça. Veux-tu rester tranquille ? Qu'est-ce que ça te coûte d'attendre deux petites heures ? Tu le sauras bien assez tôt de toute façon. » « Tu peux dormir, parce que je n'ouvrirais pas plus la bouche pour t'en dire d'avantage. » & qu’est ce que ça lui coûtait de me le dire ou juste un petit indice ? Ce qu’il pouvait être mauvais alors. Comme il l’avait suggéré et comme j’avais plus que ça a faire désormais, je me laissais glisser sur le fauteuil et me tourna pour pouvoir essayer de me trouver une position pour dormir. Je m’installais sur le côté et ferma les yeux. J’étais de son côté parce que je savais que si je me mettais dos à lui il allait mal le prendre et j’étais pas en état physique pour me battre contre lui. Puis passer un week end ensemble pour au final rester chacun de son côté, non merci. Sans m’en douter je m’étais endormie comme un bébé. Les médicaments devaient bien jouer et mes douleurs aussi. J’avais même pas vu le temps défilé tellement j’étais partie dans les bras de Morphée. Je sentis seulement la voiture s’arrêté. Il n’y avait plus de bruit autour de moi et je trouvais ça étrange, si bien que ça m’avait sorti de mon réveil. Ouvrant mes petits yeux marron, je regardais côté conducteur pour ne plus voir Théo. Ce qui me fit me retourner aussitôt du côté de la portière sans même prêter attention au décor où je me trouvais. « L'attente en valait la peine ou bien ? » Détachant la ceinture qui me serrait complètement, je regardais à travers le pare brise de la voiture. Aucun mot ne pouvait sortir de ma bouche. C’était si beau, si bien éclairé et j’en restais bouche bée. Oui ça en valait le coup, ça en valait juste pas le coup qu’il m’ait répondu comme ça tout à l’heure car ouais ça cassait un peu le charme du lieu et du geste qu’il avait fait. Je sortis donc de la voiture tout en douceur car mes jambes étaient complètement engourdies depuis le temps que j’étais restée à dormir dans cette position. « Cependant tu as interdiction de t'aventurer ou que ce soit sans moi, me suis-je bien fait comprendre ? » Mais c’est qu’il mordait celui là attention ! T’as peur qu’un grizzly vient me manger ? Il fallait qu’il soit complètement suicidaire parce que j’étais pas la meilleure des viandes depuis quelques semaines. Avec chaque médicament qui se faufile dans mon corps et mon sang, ça devait vraiment pas donner un bon goût. Tu pouvais juste me dire que tu m’emmenais dans un coin somptueux comme indice, j’aurais pas été capable d’imaginer le lieu. Non je remettais pas le sujet sur le tapis, je disais juste que ceci m’aurait suffit même si lui comme moi on savait que j'aurais essayé d’en savoir un peu plus je l’avoue, mais ça m’aurait déjà un peu suffit. Merci quand même dis je en déposant un petit baiser sur ses lèvres. Le soleil se couchait et il faisait pas si froid mais pour moi si. Est-ce que je t’ai autant manqué que ça durant ces semaines ? Mon sac sur l’épaule j’allais avec lui au coffre pour prendre les bagages. Je savais déjà qu’il allait pas me laisser porter la mienne mais elle avait des roulettes, je pouvais au moins la tirer. Tu me la sors et je l’emmène jusque là bas stp. J’avais pas envie de passer pour une incapable, j’étais fatiguée, je devais me reposer certes mais j’étais pas non plus devenu handicapée.


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« Quand je suis enfermée tu voudrais être avec moi et là ça te ferait une belle jambe si on se revoit plus. » Quoi ? Je me tournais vers elle en ouvrant des gros yeux. Ok, tip top, elle n'avait pas compris mon humour un peu dérisoire. De plus, elle avait l'air de vouloir commencer à encore plus bouder, ce qui eut le don de véritablement me taper sur le système. «  Ça nous fera une belle jambe, dans le sens on aura tout gagné péjorativement si on ne se voit plus, Elia. » Tss, j'avais pas envie d'en discuter plus et d'avantage. Je lui disais ensuite de rester tranquille et de carrément dormir, car je ne comptais pas lui dire un mot de plus, surtout si elle continuait à me poser des questions sur notre destination et surtout à essayer de me narguer avec ce qu'elle avait prévu de son côté. Contre toute attente, elle décida de m'obéir et je l'observais tourner son visage de mon côté puis fermer les yeux et je pus enfin me détendre même si je profitais désormais seul du trajet. Une fois arrivé près du chalet, je vins à sortir de la voiture en premier avant de venir lui ouvrir la portière pour qu'elle sorte à son tour, légèrement endormie suite à sa sieste. Je ne sus pas sur le coup si l'endroit lui plaisait ou pas, ou si elle m'en voulait de ne rien lui avoir dit et d'avoir été un peu froid car déjà je la menaçait presque. «  T’as peur qu’un grizzly vient me manger ? » Je levais les yeux au ciel, c'était vraiment pas drôle. Fallait que je me calme aussi. Je ne comprenais pas ce qui me mettais dans des états pareils. Peut-être que c'était du au fait que ça faisait presque un mois que nous n'avions pas passé du temps rien que tous les deux, et que je désirais plus que tout à ce que je ce soit parfait. « Tu pouvais juste me dire que tu m’emmenais dans un coin somptueux comme indice, j’aurais pas été capable d’imaginer le lieu. » Je secourais la tête. « Non, parce que tu aurais pu être déçu si tu avais imaginé quelque chose d'autre. » Puis qu'elle ne m'en reparle pas ou elle allait vraiment finir par connaître un Théophyl en colère. « Merci quand même. » Ah ben voilà quand même. « Je t'en prie. » Contre tout attente à nouveau, elle vint déposer chastement ses lèvres contre les miennes, me laissant carrément sur ma faim. «  Est-ce que je t’ai autant manqué que ça durant ces semaines ? » Si elle le disait en riant, ce n'était absolument pas drôle. Je penchais la tête sur le côté en l'observant afin de l’attraper par le bras et de la serrer contre moi. Enlaçant sa taille de mes bras, je déposais ensuite mes lèvres contre les siennes en un baiser plus long, en  profitant aussi pour suçoter un peu sa lèvre inférieur. C'était ce que j'appelais un vrai baiser. Puis je la relâchais en haussant les sourcils. « Ça te va comme réponse ? » Nous nous dirigeâmes ensuite vers le coffre de la voiture. « Tu me la sors et je l’emmène jusque là bas stp. » Je secouais la tête lui prenant la main. « Je viendrais chercher tout ça plus tard. Allons visiter les lieux. » Moi non plus je ne connaissais pas l'endroit et je voulais savoir à quoi ressemblait l'intérieur. L'entraînait avec moi vers la porte d'entrée, j'en sortis des clés afin de les introduire dans la serrure puis je poussais la porte, éteignais ce qui devait être l'alarme de sécurité avant de la pousser à l'intérieur. « Je pense qu'ici tu pourras te reposer. Je promets de ne pas trop te casser les pieds. »


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Telle blanche neige je venais de me faire réveiller par mon prince charmant (a) & aussi par le bruit de la voiture qui s’était stoppé et qui ne me faisait plus comme une berceuse à bouger. Il m’avait directement mis en garde de ne pas chercher à aller quelque part sans sa présence à mes côtés et je m’en était amusée en le taquinant légèrement. Sauf qu’il n’y répondit pas. J’espérais juste qu’il n’y avait pas vraiment de grizzly ici, je voulais pas en rencontrer et me faire dévorer. « Non, parce que tu aurais pu être déçu si tu avais imaginé quelque chose d'autre. » Il ne me connaissait pas encore ou bien ? Parce que jusqu’à présent je me souviens pas avoir été une seule fois déçue par quelque chose qu’il avait préparé pour moi ou nous. Au contraire il avait toujours su comment faire pour m’impressionner et me laisser sans voix. Il savait toujours quoi faire pour m’en mettre plein la vu alors que franchement à chaque fois je me disais que c’était pas possible et qu’il pouvait pas faire plus meilleur que ce qu’il faisait. La preuve était encore sous mes yeux aujourd’hui : si il le pouvait. Il venait de le montrer encore une fois avec ce chalet et ce kidnapping. & je le remerciai car c’était la moindre des choses et je voyais que déjà il était bien plus souriant. Le lieu était plus que sublime et je me demandais presque c’était en quel honneur mais je savais déjà qu’il allait me répondre qu’il avait pas de raison pour me faire des surprises ou me faire plaisir. C’est pourquoi je tournais ma question différemment, lui demandant si je lui avais autant manqué depuis que j’étais rentrée en quarantaine. A peine ma question terminée que je me dirigeais vers le coffre pour récupérer nos affaires mais Di Matteo en décida autrement en m’attrapant pour me serrer contre lui et venir m’embrasser. Surprise mais très agréablement, je le laissais faire, répondant à son baiser alors qu’il aspirait sensuellement ma lèvre du bas et que j’aimais chaque minute de ce baiser. « Ça te va comme réponse ? » Mon regard plonger sur son visage, je me mordais la lèvre inférieure encore un peu sous le choc du baiser qu’il venait de me donner. Il venait de me perdre complètement pour les secondes à venir. Milles et une choses se passaient dans ma tête. L’envie irrésistible de lui sauter dessus mais tout gros effort m’était complètement déconseillé. Le sport m’était interdit et j’imagine que même si les médecins ne l’avaient pas dit explicitement, ils avaient inclus le sexe sur la liste des sports. Ils voulaient sérieusement ma mort en fait ou alors ils avaient pas de petit copain aussi sexy et désirable que le mien. Ouais ça devait être ça et c’est moi qui en faisais les frais. Foutu virus à la con décidément. Reprenant mes pensées, je hochais la tête en simple réponse. J’étais censée faire comment durant ce week end ? Seule avec lui, paumé de tout ou j’aurais pu laisser toutes mes pulsions s’assouvir et j’aurais pu crier ô combien je l’aime et combien il est doué lors de nos ébats sexuels. Hélas rien n’était faisable. J’avançais donc vers le coffre pour prendre nos affaires. « Je viendrais chercher tout ça plus tard. Allons visiter les lieux. » Sa main dans la mienne je pouvais pas vraiment refuser cette option. Je le suivais donc marchant à ses côtés jusqu’à la porte du chalet, le laissant nous ouvrir pour ce merveilleux week end qui s’annonçait. « Je pense qu'ici tu pourras te reposer. Je promets de ne pas trop te casser les pieds. » Entrant dedans je me retournais doucement pour lui lancer un petit regard qui voulait tout dire. Mais moi je t’interdis que tu me laisses me reposer seule. Pour lui casser les pieds ça pouvait très bien être juste avec moi, hors si j’avais accepté l’idée c’était pour être avec lui aussi, pour me reposer à ses côtés et en profiter avec lui. Si c’était pour rester seule ou à distance, chez moi dans mon appartement j’aurais été tout aussi bien. C’est vraiment sublime, comment tu as connu ce lieu ? Etait ce à lui ou sa famille ça aussi ? C’était un chalet un peu perdu de tout, y en avait même pas d’autres aux alentours, du moins à vu d’œil puisque j’avais rien vu de la route pour venir ici. M’approchant un peu plus de lui, à mon tour je venais enserrer sa taille et déposer mes lèvres mais cette fois ci sans les enlever aussi vite. L’embrassant tendrement, je stoppais le baiser peu après parce que je mourais d’envie de lui, mais mon corps étaient en contradiction. Il le voulait mais à la fois il n’allait pas être capable de supporter des efforts intenses. Merci d’être aussi merveilleux.


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Franchement c'était quoi que cette manie qu'elle avait de vouloir me faire que des petits bisous là ? Ce n'était absolument pas satisfaisant. Je devais certainement pas lui avoir manqué plus que ça physiquement lorsque nous avions été séparés durant plus de trois longues semaines, parce qu'elle ne me donnait absolument pas la sensation de vouloir éprouver tout contact physique avec ma personne. Total, je finissais par l'attraper par le bras et l'embrassais plus passionnément qu'elle. Une fois après avoir mis fin au baiser, je lui demandais si ma réponse lui convenait à sa question sur le fait qu'elle m'eut un tant soit peu manqué. Elle hocha la tête, se mordillant la lèvre inférieur et mon cœur rata un battement. Puis alors qu'elle voulait déjà récupérer nos affaires dans le coffre, je l’informais que je m'en chargerais bien plus tard et que pour l'instant tout ce que je voulais était visiter la maison. « Mais moi je t’interdis que tu me laisses me reposer seule. » Nous venions de pénétrer dans le salon et je me tournais vers elle après ses paroles. « Tu sais parfaitement ce qu'il se passe lorsque je reste dans les parages, donc vaut mieux pour toi que je prenne mes distances. » Je lui fis un clin d’œil bien suggestif. À cause de sa maladie, le week-end ne serait pas au top de ce qu'il pourrait être mais tant pis, nous étions tous les deux, ce qui était le principal. « C’est vraiment sublime, comment tu as connu ce lieu ? » Un grand sourire étira mes lèvres. J'étais content de savoir que l'endroit lui plaisait et qu’accessoirement, je n'avais pas raté mon coup. « C'est la propriété d'un ami de mon père qui n'y vient jamais, je n'ai fait que la lui louer. » J'haussais les épaules alors que je m'apprêtais à m'enfoncer dans la demeure mais fut coupé dans mon élan par la jeune femme et ses lèvres. Elle enserra ma taille de ses bras et déposa ses lèvres sur les miennes, en un baiser plus long qui me fit penser que le message de mon baiser de tout à l'heure était bien passé.  Elle ne pouvait même pas imaginer tout ce que je ressentais en cet instant même. Lorsqu'elle mit fin à ce contact, une sensation de pure vide m'envahit tout à coup, si bien que je me décalais instantanément. Des semaines que je n'avais pas pu la toucher à ma guise, alors si elle continuait, malade ou pas, je ne répondrais plus de moi. « Merci d’être aussi merveilleux. » Je levais les yeux au ciel, en refermant la porte avec un coup de pied. Je ne pris même pas la peine de répondre car je savais que j'allais dire une connerie. Je me débarrassais alors de ma veste et entrepris de visiter la demeure, faisant signe à la jeune femme de me suivre, jusqu'à ce que je tombe sur le cœur de la maison. Non, pas la cuisine mais la chambre à coucher. J'allumais l'intercepteur et en restait bouche-bée. « Moi j'appelle ça le paradis . » Je me tournais alors vers la jeune femme et lui jetais un regard de haut en bas. « Tttt, quel gâchis. » Je ne pus m'empêcher de rire avant de retourner dans le salon et de lui crier. «  Bouges pas, je vais chercher nos affaires. » J'avais pas non plus envie qu'elle s'échappe et qu'elle n'aille se balader je ne sais où. Je sortis donc dehors en claquant la porte derrière moi alors que la nuit commençait vraiment à tomber et que je pouvais entendre les cris de toute sorte d'animaux provenant de la forêt. Franchement, ce n'était pas trop rassurant. Revenant au chalet, je vins déposer sa valise et mon sac de sport sur un fauteuil présent dans la chambre, avant de partir à la recherche de la jeune femme, en me frottant les bras parce qu'il commençait à faire froid. «  Ça va ? Tu veux que j'allume un feu de cheminée ? » Je vins à placer une mèche de ses cheveux derrière l'une de ses oreilles, pensant une fois de plus, ô combien elle était belle.


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« Tu sais parfaitement ce qu'il se passe lorsque je reste dans les parages, donc vaut mieux pour toi que je prenne mes distances. » Je fis une mine choquée. Je comprenais bien où il voulait en venir mais j’étais quand même contre l’idée qu’il prenne ses distances, j’en avais pas besoin, vraiment pas. Si c’était que ça je pouvais me foutre un col roulé et mettre un pantalon mais qu’il garde ses distances non. Puis c’était pas comme si j’étais la fille la plus irrésistible ces derniers temps. Je m’étais pas regardé dans un miroir récemment et j’en avais pas forcément l’envie. Je devais être blanche comme une feuille à dessin, des cernes à croire que je pars en vacances et une mine à faire peur. Je secouais donc la tête, s’il comptait prendre ses distances ben il aurait du mal avec moi car je comptais pas le laisser agir ainsi. « C'est la propriété d'un ami de mon père qui n'y vient jamais, je n'ai fait que la lui louer. » J’aimais bien le « que la lui louer » comme si ce n’était pas suffisant alors que pour moi si c’était déjà beaucoup. Le remerciant dignement pour avoir « que » louer ce chalet, je me stoppais non car j’en avais envie mais parce que si je continuais j’allais devoir faire tout ce que j’aimais pas : tout arrêter au mauvais moment. J’avais pu râler plusieurs fois contre lui pour me frustrer à faire ça et je comptais pas le frustrer non plus. Autant calmer mes ardeurs. Il s’avança dans le chalet et je le suivis pour faire le tour du lieu. Je le suivais, visitant chaque pièce qui étaient toutes magnifiques. Jusqu’à qu’il s’arrête devant la chambre. Quand il l’alluma, ça faisait le même effet que quand j’avais vu le chalet à l’extérieur. Les lumières faisaient que mettre en avant la chambre et ça rendait le tout féérique. La disposition était parfaite et on disposait d’une merveilleuse vue se trouvant juste devant le lit. « Moi j'appelle ça le paradis . » Encore en train de baver sur la pièce et regarder chaque recoin, je vis pas que mon petit ami me dévisageait de haut en bas. « Tttt, quel gâchis. » Tournant la tête, je vis son regard sur moi alors qu’il se mit à rire. Avais je loupé un épisode ? Je m’apprêtais à lui demander mais il se faufila. « Bouges pas, je vais chercher nos affaires. » Je ne bougeais pas car je savais que si j’avais le malheur de lui dire que je venais il allait m’assassiner avec un seul regard ou qu’il allait être plus qu’autoritaire en m’interdisant de le suivre. Je préférais donc éviter ça pour le coup et j’en profitais pour regarder si j’avais des sms, si mon frère avait répondu à mon message. & bingo qu’il l’avait fait ! Etonnant qu’il n’approuve pas que je sois partie ? Je m’y attendais et lui répondit assez pas contente qu’il avait de la bonne compagnie avec Leevy de toute façon. Ce qui me fit sourire quand il me répondit qu’il ne voyait pas de quoi je parlais. Elle ne lui avait peut être pas encore raconté notre discussion apparemment ou il faisait juste semblant de pas comprendre de quoi je parlais. Entendant la porte s’ouvrir et se fermer à nouveau, je rangeais mon téléphone dans mon pantalon, alors que Théo revint vers la chambre et que je me trouvais à la salle de bain. « Ça va ? Tu veux que j'allume un feu de cheminée ? » J’avais toujours pas enlevé mon manteau pour ma part mais j’étais pas contre un feu de cheminée. Ca allait plus m’aider à enlever mon manteau. J’étais assez malade comme ça, je voulais pas chopper encore un truc par-dessus. Enlevant mon manteau et mon écharpe j’acquiesçais pour le feu de cheminée. Des images me vinrent toute suite en tête même et je repensais alors à qu’il comptait être distant ou bien son ttt quel gâchis. Oui mais que si on se pose devant, moi dans tes bras. Je voulais voir sa réaction, voir s’il allait vraiment prendre des distances ou non. Puis c’était quoi ce quel gâchis tout à l’heure hein ? Non qu’il essaye pas d’esquiver ça tranquillement. Lui prenant la main je l’entrainais donc vers le salon pour pouvoir profiter de la cheminée mais avant ça de l’allumer surtout. Prenant quelques morceaux de bois qui se trouvent à côté, je lui donnais histoire de mettre la main à la pâte. D’ailleurs, tu avais prévu des courses pour qu’on mange hein ? Ou on va se nourrir d’amour et d’eau fraiche durant ce week end ? Je riais légèrement. Il aurait pu ne pas penser aux courses, surtout que c’était à deux heures de Cambridge et donc pas forcément la porte à côté.


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Alors que nous venions de visiter la chambre  du chalet dans lequel nous venions d'arriver, je partis ensuite à la voiture chercher nos affaires et lorsque je revins auprès d'elle, je lui demandais si jamais elle ne voulait pas que j'allume la cheminé pour ne pas qu'elle ait froid car je pouvais bien voir qu'elle n'avait pas encore retiré ses vêtements. Elle acquiesça et entreprit de se déshabiller alors que je l'observais carrément, me demandant si je n'allais pas finir par laisser ma bave couler le long de ma bouche. N'avait-elle donc pas comprit que malade ou pas elle avait un sacré pouvoir sur moi.   « Oui mais que si on se pose devant, moi dans tes bras. » Un sourire en coin se dessina sur ma bouche alors que je passais la main sur ma nuque, assez gêné, baissant la tête. « Je ferais un effort surhumain mais bon, si tu veux. » Je lui fis alors un grand sourire. Plus de trois semaines que je n'avais pas pus la toucher à ma guise et je ne voulais certainement pas l'effrayer avec mes envies d'elle. Elle était encore bien trop fragile pour quoique ce soit.   «  Puis c’était quoi ce quel gâchis tout à l’heure hein ? » Cette fois-ci je me mis à rire. Elle n'avait donc pas compris mon allusion ? Je jetais un coup d’œil vers le lit pour ramener mon regard vers elle. « Quel gâchis parce qu'on ne va pas pouvoir profiter de ce merveilleux lit à fond...bébé. » Je me mis à rire car je savais qu'elle m'avait totalement interdit d'utiliser ce surnom vis-à-vis d'elle et d'ailleurs moi même je le trouvais ringard. Je savais qu'elle allait mal le prendre ou me taper et j'en riais d'avance. Elle me prit ensuite la main pour m'entraîner dans le salon afin d'allumer le feu. Je me penchais alors pour allumer la chose tandis qu'elle me donnait des morceaux de bois. Elle cherchait certainement à se rendre utile mais je ne voulais pas qu'elle se fatigue encore plus dans son état. « Stop, va t'asseoir, je m'en occupe. » Je la poussais délicatement vers le canapé. Je voulais m'occuper de tout, lui faire savourer le moment que nous allions vivre.   « D’ailleurs, tu avais prévu des courses pour qu’on mange hein ? Ou on va se nourrir d’amour et d’eau fraiche durant ce week end ? » Elle se mit à rire légèrement et je me tournais vers elle en levant les yeux au ciel. Évidemment, elle n'avait pas pu constater comment nous étions arrivés ici sans gps vu qu'elle dormait. Je connaissais déjà le trajet. « Je suis venu ici il y a deux jours faire nos réserves. Tu as un petit-ami intelligent, ne l'oublie pas. » Je levais les sourcils plusieurs fois d'affilés avant de venir m'asseoir derrière elle et de lui ouvrir mes bras. N'était-ce pas ce qu'elle voulait ? « Si tu aurais refusé de venir avec moi, j'aurais proposer l'endroit à Wyatt et Aaron. » Mes deux meilleurs amis les plus déjantés. «  Tu as faim ? Tu veux que j'aille te faire quelque chose ? » Moi personnellement, j'avais envie d'une bonne douche ou d'un bon bain et de me coller dans le lit. Mais pas seul, évidemment.  
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« Je ferais un effort surhumain mais bon, si tu veux. » Non mais genre lui, genre c’était si horrible que ça de devoir rester devant une cheminée allumée avec moi dans ses bras ? Une chance pour lui que je comprenais à travers son sourire qu’il pensait pas ce qu’il dit, sinon il risquait de finir avec les buches dans le feu (a) « Quel gâchis parce qu'on ne va pas pouvoir profiter de ce merveilleux lit à fond...bébé. » Oh mon dieu ! Il avait pas osé, si ? J’avais comme l’impression que mes oreilles saignées tellement ce beau sonnait mal et combien je détestais ce surnom affectif. Tout mais pas celui là et il savait très bien que je l’aimais pas. Il me cherchait mais je répliquais pas, ni aucun commentaire, ni un coup de poing, ni rien du tout. Je gardais ça bien en mémoire et je le fis emmener avec moi dans le salon. C’est pas tout mais le feu de cheminée n’allait pas se faire tout seul quand même. Je lui donnais un coup de main mais il me recula légèrement. « Stop, va t'asseoir, je m'en occupe. » Je savais qu’il était du genre a vouloir tout avoir en main, tout gérer, tout contrôler quand il organise quelque chose mais là avec mon état c’était presque comme si je pouvais rien faire. Il était chou mais j’étais pas atteinte du cancer ou d’une maladie bien plus grave. J’étais juste fatiguée et pas en forme, il me suffisait juste de quelques semaines pour être à nouveau pétillante d’énergie et pouvoir jeter ce foutu traitement. Très bien, je vais m’asseoir, bébé dis je en insistant bien sur le surnom. Ben ouais s’il voulait m’appeler ainsi j’allais en faire de même. Je trouvais ça bien plus péjoratif pour un mec en plus, c’était à lui de voir désormais s’il voulait continuer à m’appeler par ce surnom ridicule. J’enchainais aussitôt en demandant si on avait des trucs à manger pour survivre ce week end ou si on allait devoir se nourrir de l’autre et notre amour, bien que pour ce week end on risquait pas d’aller bien loin. Foutu virus, je le détestais vraiment et au final je me demandais ce qui était pire : être privé de contact avec lui ou pouvoir le toucher comme bon me semble mais devoir contenir toutes mes pulsions alors que je meurs d’envie d’y succomber ? Etre aussi proche et loin de lui à la fois c’était comme jouer avec le feu, j’allais finir par me brûler si c’était pas déjà en train d’être le cas. « Je suis venu ici il y a deux jours faire nos réserves. Tu as un petit-ami intelligent, ne l'oublie pas. » Je me mis à rire alors qu’il s’approchait de moi. Il me donnait le bâton pour se faire battre là, le savait il ? Fait attention à tes chevilles lui répondis je en me penchant en arrière alors qu’il avait ouvert ses bras. Je perdais pas une seconde pour m’y faufiler, me mettant bien au chaud dans un petit cocon très confortable. « Si tu aurais refusé de venir avec moi, j'aurais proposer l'endroit à Wyatt et Aaron. » Je tournais mon visage vers lui, levant un sourcil et prenant un air choqué puis déçu. Quoi tu serais pas restée à mon chevet avec moi dans mon appartement ? Je le taquinais bien sur. J’étais pas mourante et je lui en aurais pas voulu qu’il profite de ce chalet avec ses meilleurs potes. Il avait bien besoin de moments entre mecs, tant qu’aucune fille n’est présente pour pas prendre le risque qu’il en épouse une seconde. & ça m’aurait bien embêté qu’il ait loué ce chalet pour rien au final, si j’avais refusé ça aurait été normal qu’il en profite autrement. « Tu as faim ? Tu veux que j'aille te faire quelque chose ? » Je secouais la tête négativement, prenant une voix toute douce. Non et si c’est le cas je peux me faire quelque chose moi-même. T’es un amour mais tu es pas obligé d’être au petit soin. C’est déjà adorable ce que tu as fait avec ce chalet, je te demande rien de plus, juste ta présence ça ira. Tant qu’il était là ça allait, ça rattrapait le temps que j’avais perdu pendant trois semaines à en être séparé. J’avais pu le voir une fois après nos lettres mais c’était loin d’être intime et personnel avec tous les autres autours et une heure ça avait été bien trop court. Alors que je le regardais, j’approchais doucement les lèvres des siennes pour lui donner un baiser lent mais rempli d’amour.


CREDIT TO KAIJI FROM ILH

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Thélia


Rien ? Même pas un coup de poing ou une remarque sanglante ? Avait-elle changé d'avis sur le fait que je puisse l'appeler bébé ou pas ? Total, elle m'entraîna dans le salon pour que l'on puisse allumer un feu et je la repoussais doucement lorsqu'elle tenta de m'aider. « Très bien, je vais m’asseoir, bébé. » Ah oui, je me disais bien que le fait qu'elle m'obéissait si facilement prouvait bien qu'il y avait anguille sous roche. Je levais les yeux au ciel en secouant la tête alors que je terminais tranquillement de fonder un bon et grand feu orange. Je vins ensuite la rejoindre sur le canapé, lui ouvrant mes bras pour qu'elle se colle contre moi. C'était tellement bon de la sentir ainsi contre moi que mon cœur battait la chamade. «  Fait attention à tes chevilles. » Oh. Même pas un sourire se dessina sur mes lèvres sinon un bon gros rictus. « Faudrait peut-être que tu changes tes répliques ma chère. » J'haussais les épaules alors que je savais qu'elle me disait souvent ça. « Quoi tu serais pas restée à mon chevet avec moi dans mon appartement ? » Pour tomber sur son frère ? Hors de question. Je ne pris même pas la peine de répondre, sifflotant juste tout en resserrant mon étreinte autour de son corps. Évidemment que je serais auprès d'elle si elle me l'aurait demandé. Je lui demandais ensuite si elle avait faim et si elle voulait que je lui fasse quelque chose. « T’es un amour mais tu es pas obligé d’être au petit soin. C’est déjà adorable ce que tu as fait avec ce chalet, je te demande rien de plus, juste ta présence ça ira. » Un sourire se dessina sur mes lèvres alors qu'elle s'était retournée légèrement pour m'embrasser. Je conservais mes lèvres contre les siennes alors que je dus user de tout mon sang-froid pour ne pas laisser mes mains vagabonder sur son corps. « C'est comme tu veux, bébé. » Je me mis à rire une nouvelle fois. C'était comme si une espèce de guerre était née entre nous. Je fermais alors les yeux, savourant ce moment mais les réouvrit tout aussitôt. J'avais plusieurs choses à lui dire. Et j'avais besoin de lui en parler et quel meilleur moment que maintenant pour me confier à elle. « Elia... Il y a plusieurs choses que je dois te dire... » Je marquais une pause. Malgré ce que j'avais voulu, ma voix avait prit une teinte mystérieuse. « Je dois t'annoncer que je suis officiellement divorcer de Torrey, comme si rien ne s'était passé... Je sais que tu ne pourras jamais me pardonner pour ce que j'ai fais et je peux te promettre que je compte passer le restant de mes jours à le regretter. » Heureusement qu'elle était tournée et qu'elle ne pouvait pas voir mon visage parce que celui-ci affichait une mine bien triste prouvant les regrets que j'éprouvais. Torrey était venue me voir pour qu'on signe les papiers du divorce alors que ça faisait presque un mois que nous étions restés marié. Un grand soulagement quand tout cela fut terminé. Je décidais de ne pas m'arrêter là et j’enchaînais. «  Tu te souviens, sinon, de ce que je suis en train d'étudier ? » Elle savait que j'étudiais de la médecine mais savait-elle exactement de quel rame j'étais ? Total, je voulais lui expliquer ce que je comptais faire pour mon avenir, avant de lui annoncer que je l'incluais dedans.




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