Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityI just can't stop loving you ♥ Thélia - Page 7
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I just can't stop loving you ♥ Thélia

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Thélia ღ

Il ne répondit pas à ma remarque sur le fait que même avec un sac poubelle il me trouverait belle, alors que j'aurais cru qu'il aurait sorti quelque chose pour sa défense mais non. Puis à la suivante concernant qu'il serait bon à marié il ne dit rien non plus et c'est seulement quand je vis son expression que je captais qu'avec ce que j'avais dit j'avais du le refroidir un peu. Pourtant j'avais clairement pas pensé à son mariage avec Torrey en disant cela, ça m'était même pas venu à l'esprit jusqu'à que je vois son visage. Avalant ma salive je disais rien non plus, je voulais pas plus plomber l'ambiance. Je savais que malgré ce que j'avais beau lui dire que je lui en voulais pas, lui il s'en voulait et je voulais pas enfoncer le couteau dans la plaie encore. J'avais assez fait de boulette pour le week end. Une chance qu'il propose qu'on regarde un film et qu'avec la vue qu'il m'offrait sur ses fesses j'avais pu le taquiner et ainsi lui changer les idées comparé à ma phrase sur le marier. « Oh mais je pourrais t'offrir un bien meilleur film tout à l'heure. » Un sourire s'étira sur mes lèvres. Il jouait au coquin mais il avait pas le droit de me dire ça, de me tenter de la sorte. Oui on avait pu enfin se retrouver, sexuellement parlant, mais après trois semaines sans rien je vous assure que c'était pas suffisant ce qu'on avait fait tout à l'heure. On avait connu des weeks ends bien plus mouvementé ou on remettait ça bien plus qu'une seule fois, alors fallait pas trop qu'il me tente le coco. « Vendredi 13. » Je n'avais pas mon portable a porté de main mais sachant qu'on était en semaine malgré qu'on se faisait un week end entre nous, y avait pas de crainte qu'on soit un vendredi. J'étais pas superstitieuse mais quand même, regarder ce genre de film avec un tel nom, un vendredi et un vendredi 13 en plus non merci. Une chance que la saint valentin tombait un vendredi 14 sinon bonjour la soirée. Il attendait même pas mon accord pour mettre le film, bon ben j'avais pas vraiment le choix en fait. « Tu n'as pas peur, vraiment ? De rien ? » Mangeant une autre fourchette de pâte je le regardais revenir. Est ce que j'avais dit ne pas avoir peur ? Sisi j'avais peur mais devais je lui dire ? Allait il pas s'amuser à jouer avec mes nerfs comme on peut le voir dans plusieurs films d'horreur ou le petit ami fait peur à sa copine et finalement le meurtrier arrive par derrière ? Ah non hors de question que ce sublime week end se termine en massacre. «  Dois-je te rappeler qu'il n'y a que toi...et moi...et rien à des kilomètres à la ronde ? Juste cette vieille maison, et une grande forêt à nos alentours... » Tiens, le voilà qu'il commençait alors que le film n'avait pas encore démarré. Stoppant sa main je le regardais. J'aimais pas la voix qu'il prenait ça faisait vraiment trop psychopathe et ça lui allait trop bien à mon goût. Il enleva sa main et reprit sa voix normale et plus sérieuse. « Je suis ceinture noire de judo mais si jamais quelqu'un décide de se ramener avec une tronçonneuse, je ne suis pas sur de pouvoir faire grand chose. » Je levais les yeux au ciel. J'étais prête à parier qu'il ferait pas autant le malin si on venait à avoir a faire à un psychopathe pour de vrai. Dans les films c'est bien beau, ça fait rire les mecs souvent mais en vrai ça fait moins les marrants. Si tu envisages de me faire peur ni compte même pas, je sais pas si mon cœur le supporterait. Je voulais pas être menaçante mais déjà devant ce genre de film j'arrivais toujours a avoir mon cœur qui battait vite surtout quand y a beaucoup de suspense et qu'on sait jamais ce qui va se passer et que tout d'un coup tadaaaaaaaaam le méchant sort de nul part par magie. Je pouvais faire des sursauts et si en plus il s'y mettait ça allait pas faire bon ménage. & il serait plus si bon à marier que ça au final. Sinon c'est moi qui découpera ton corps en petit morceau répondis je en prenant à nouveau une bouchée de mes pâtes. « Bon appétit ! » Hochant la tête je pouvais pas lui répondre puisque ma bouche était pleine et que ma mère m'avait toujours apprit à ne pas parler la bouche pleine (a) Mange un peu toi aussi chuchotais je puisque le film était lancé. Une autre cuillère et j'arrêtais là pour moi, le film allait me couper l'appétit façon ou j'allais être bien trop dedans pour manger. Puis c'était pas le moment d'en foutre encore partout. Buvant une gorgée de mon verre, je m'installais plus au fond du canapé, mettant mes pieds dessus. Une vieille habitude de quand j'étais petite, je n'aimais pas avoir les pieds dans le vide, dépassant du lit ou juste dans le vide pour regarder un film d'horreur. Je sais pas surement cette peur que quelque chose me les tirent. Sais tu où sont les couvertures ? Je comptais bien y aller moi même mais je me doutais qu'il allait pas vouloir. J'aimais bien avoir quelque chose sur moi quand je regardais ce type de film. Puis il m'avait pas répondu comme quoi il me prendrait dans ses bras alors fallait bien que je trouve mon bonheur auprès d'une couverture.


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Je ne pris pas la peine de répondre à sa remarque sur le fait que même avec un sac poubelle, je la trouverais belle. De toute façon, à quoi bon me justifier quand je savais qu'elle n'allait pas me comprendre ? Une fois près de la petite table où j'avais déposé le fameux repas que j'avais préparer, je lui proposais de regarder un film d'horreur et après m'être rapproché de l'endroit où se trouvait tous les films j'en choisis un sans son consentement, n'étant pas réellement d'humeur à débattre durant trois plombs sur le choix d'un film. J'avais opté pour vendredi 13, un grand classique à mon humble avis. Et lorsqu'elle me commenta qu'elle n'avait peur de rien, un sourire s'était approprié de mes lèvres alors alors que je m'étais rassis à côté d'elle et que j'avais fait glisser ma main sur sa jambe en lui racontant que nous étions seuls perdus en pleine forêt dans une vielle maison. Elle me stoppa alors littéralement ma main et je la retirais en retenant un grand sourire. Mon geste et la voix que j'avais utilisé avait eu l'effet désiré apparemment.   «  Si tu envisages de me faire peur ni compte même pas, je sais pas si mon cœur le supporterait. » Je me mis à rire en la regardant de bon cœur.  « Je te ranimerais va, s'il t'arrive quelque chose. » En lui faisant du bouche à bouche ou une connerie dans le genre.   «  Sinon c'est moi qui découpera ton corps en petit morceau. » Un sourire malicieux se fixa alors sur mon visage. «  Je ne demande qu'à voir ça. » Il fallait bien reconnaître qu'avec sa carrure, son poids et sa condition physique, elle n'irait pas très loin si elle devait s'en prendre à moi. Sauf, si elle utilisait ses atouts séducteurs, là en effet, se serait autre chose. D'ailleurs, je l'avais vu manger quelques fourchettes de pâtes et je songeais donc, qu'elle ne devait pas trouver cela trop mauvais.   « Mange un peu toi aussi. » Décidément. Je fronçais les sourcils avec un sourire alors que je le film commençait. Je regardais alors le début avant de me pencher sur la table basse, de prendre la fourchette, et d'y enrouler des spaghetti. Levant la fourchette, je l'observais quelques secondes, perplexe avant d'entendre des cris et de relever les yeux vers la télévision pile au moment ou la première victime se faisait charcuter. Hum bon appétit. Je portais tout de même la fourchette à ma bouche et la reposais. Je constatais ensuite que la jeune femme s'était recroquevillé sur elle-même et je ne pus que m'empêcher de me demander si elle allait bien.   « Sais tu où sont les couvertures ? » J’arquai un sourcil. « Oui c'est sur que je viens ici tous les jours. » Oups. Le cynisme ne m'allait pas du tout d'habitude et là c'était sorti tout seul. Je secouais la tête en cherchant à mes alentours. À part aller chercher celles qui se trouvaient sur le lit, j'étais incapable de lui trouver une couverture. « Tu as froid ? » Avec la cheminée et moi juste à côté, j'avais de quoi me poser des questions. Puis je remarquais mon manteau que j'avais posé sur le dessus du canapé en arrivant dans la maison tout à l'heure et l'idée de lui donner me vint à l'esprit. « Tiens. » Je lui tendis la chose et l'aidais à l'étaler sur elle, il lui servirait bien de couverture puisqu'il l'enveloppait tout entière. Tiens..une autre personne se faisait trucider. Je portais mes lèvres à mon verre de vin et le reposais, abandonnant les pâtes, puisque de toute façon, je n'avais pas très faim. M'étalant à mon tour, je vins à me rapprocher de la jeune femme alors qu'une musique bien stridente sensé réduire le spectateur à une ambiance de suspens était en train de retentir. « Bouh ! » J'avais souffler ça contre son oreille avant de rire un peu sachant que ce n'était pas drôle et de poser ma tête sur ses jambes la forçant à l'accepter un peu, songeant par la même occasion qu'elle n'avait qu'à me dégager si elle ne voulait pas de moi. « Bonne nuit, chérie. » Oh ouais, je lui faisais souvent ce coup-là. Comme lors de notre premier voyage ensemble en Italie, où j'avais fait semblant de dormir dans l'avion.



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« Je te ranimerais va, s'il t'arrive quelque chose. » Bizarrement c’était le genre de truc que je pouvais sortir moi. Je me prêtais volontiers pour ce genre de chose, mais tout dépend de la personne forcément et là je voyais pas d’inconvénient à ce qu’il joue au secouriste, il était en médecine et je pouvais donc lui faire confiance, qu’il serait quoi mais je ne voulais pas devoir en arriver à là. Mais je le mettais en garde que s’il tentait quelque chose je m’occuperais de découper son corps en morceau, telle une psychopathe. « Je ne demande qu'à voir ça. » Un sourire en coin je le regardais pour finalement porter mon regard sur la télé puisque le film commençait et quelques minutes plus tard voilà qu’on assistait à la fin de vie de la première victime. Les jambes repliées prêt de mon ventre, heureusement que je ne mangeais plus. Je me demandais pourquoi j’aimais ces films alors que voir du sang et des personnes se faire zigouiller sur un objet, tranché la gorge ou bien d’autres tortures du genre me déplaisait à regarder. J’étais pas une psychopathe pour kiffer les regarder mourir et chaque scène me faisait toujours quelque chose mais le suspens était bien trop attirant et puis tout ce qui fait peur ou est interdit, ce sont le genre de choses qui nous attirent. Il me fallait une couverture pour m’agripper à celle-ci et me cacher derrière elle si des scènes me faisaient bien trop peur. Il allait me trouver ridicule mais tant pis, j’étais pas un mec et je me moquais de ma fierté de faire croire que je craignais rien. J’assumais totalement. « Oui c'est sur que je viens ici tous les jours. » Non mais ça empêchait pas qu’il pourrait savoir où c’était comparé à moi qui était là pour la première fois ce soir. « Tu as froid ? » J’avais une envie terrible de lui répondre « non non j’ai chaud » un peu de la même façon qu’il m’avait répondu qu’il venait ici tous les jours mais après avoir tourné sept fois ma langue dans ma bouche je me retenais car je sentais que ça risquait juste de casser l’ambiance une fois de plus et encore par ma faute. Je préférais donc me rétracter et ne pas faire attention à sa remarque d’avant. Je secouais juste la tête négativement pour dire que non j’avais pas froid. Y avait la cheminée et j’avais un pantalon et un sweet à manche longue. « Tiens. » Je pris son manteau et l’installa sur mes jambes en le faisant monter jusqu’à mon cou alors que je cachais mes mains en dessous de lui pour le maintenir. Finalement son manteau était une bien meilleure idée que la couverture, je pouvais sentir son odeur en même temps et ça revenait un peu au même qu’être dans ses bras. C’était un peu plus rassurant pour le coup. Le regard captivé sur le film, je le vis cependant arrêter de manger et s’enfoncer lui aussi dans le canapé. Puis peu après ce fut une scène de suspense où y avait la musique parfaite pour accompagner le tout et où je commençais à me demander c’est quand qu’il allait sortir pour faire une autre victime, sans me douter que cette fois ci ça allait être moi la victime. « Bouh ! » Me mettant à trembler légèrement le haut du corps tel un frisson, je passais une main sur mon oreille où il m’avait soufflé ça. Je le regardais alors qu’il s’appuya sur mes jambes, ben oui normal juste après me faire flipper. Tu étais pas censée me ranimer ? Bon mon cœur ne m’avait pas lâché mais quoi c’était pas obligé que ça arrive pour qu’il me réanime, si ? « Bonne nuit, chérie. » Ah non il allait pas me laisser regarder ce film toute seule de un, puis de deux c’est lui qui avait voulu le regarder il avait pas le droit de dormir et de trois il avait pas le droit de dormir maintenant, c’est moi qui l’avait décidé. Tirant sur une de mes mèches pour qu’elle se détache de mon chignon, je la tenais vers la fin alors que je me basculais doucement vers lui et tandis que ses yeux étaient fermés, je vins lui chatouiller le visage avec ma mèche. Généralement ça avait le don d’énervé de faire ça, ça gratte et c’est en rien agréable. S’il comptait dormir je comptais bien l’en empêcher naa. Depuis quand c’est la petite amie qui prend dans les bras ? Je le taquinais alors que je sortis un bras de dessous son manteau pour venir le poser sur son ventre, comme pour le tenir, qu’il soit bien à moi. Je déposais même un tendre baiser sur ses lèvres avant de regarder à nouveau la télé. S’il voulait dormir je comprenais, il avait pas pu dans la voiture puisque c’est lui qui avait du conduire et il avait pas arrêté depuis qu’on était arrivé. Il en avait surement grandement besoin et ça me gênait pas de le laisser dormir. Dort si tu veux, c’est moi qui te protégerai. Je riais doucement car je lui serais pas très efficace mais bon le geste était là (a). J’avais pas souvent eu l’occasion de le regarder dormir, quand je me levais il était souvent réveillé avant moi et je m’endormais avant lui, pourtant j’aimais bien le regarder dormir. Il restait sexy même en faisant que ça et il était tel un nounours ou un bébé qu’on a envie de prendre dans nos bras.


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Alors que nous nous étions installés sur le canapé pour d'abord manger et ensuite regarder un film d'horreur, j'avais bien vite abandonné l'idée de manger ma propre assiette de pâtes alors que je constatais que la jeune femme avait carrément délaissé la sienne pour totalement se plonger dans le film. Lorsqu'elle vint à ne demander si je ne savais pas où se trouvait les couvertures, je lui demandais si elle avait froid tout en étant assez perplexe, puisqu'elle était couverte, qu'il y avait la cheminée d'allumée et que surtout, j'étais là. Lorsqu'elle me fit non avec sa tête, je terminais par retrouver mon manteau que j'avais abandonné sur le canapé un peu plus tôt et le lui donnais à la place avant de l'aider à l'installer sur elle-même alors que des victimes commençaient déjà à mourir dans le film. Soudain, alors qu'une musique bien angoissante commençait à retentir, je me rapprochais d'elle et lui soufflais un bouh dans l'oreille non sans chercher véritablement à lui faire peur, mais sa réaction me fit rire quand même. Lorsqu'elle porta une main à l'oreille que j'avais prise comme cible, j'avais déjà posé ma tête sur ses jambes. « Tu étais pas censée me ranimer ? » Je pouvais sentir son regard sur ma personne si bien que j'ouvrais les yeux pour la fixer. « Si, mais je te ranime, ce sera pour te faire des bébés. » Je ne pus m'empêcher une nouvelle fois de rire alors qu'on pouvait entendre des cris. Je ne profitais pas du tout du film et ne comptais pas le faire d'ailleurs. Comment se concentrer avec une telle jeune femme à ses côtés. N'empêche...comment que j'osais lui parler, moi ! Je passais le plupart du temps, pour un sacré allumeur comparé à elle. Je décidais ensuite de refermer les yeux pour venir lui souhaiter bonne nuit. Évidemment, elle ne me laissa aucun répit. Elle baissa sa tête et vint à frotter l'une de ses mèches contre mon visage. Si elle comptait m’embêter, c'était rater, car moi j'aimais bien leur texture et l'odeur qu'ils avaient. «  Depuis quand c’est la petite amie qui prend dans les bras ? » J'ouvris un œil alors qu'elle posait une main sur mes abdos et qu'elle me volait un baiser. C'était le paradis, point. Mais je ne pus m'empêcher de répliquer: « Depuis que le petit-ami est exténué et qu'il ne rêve que d'emmener sa petite-amie dans le lit. » Bon ok, ça pouvait porter à confusion et ça avait même une connotation sexuelle, mais je parlais que d'aller se coucher pour dormir là, si si. « Dort si tu veux, c’est moi qui te protégerai. » Elle se mit à rire et je l'accompagnais. Pas sur qu'elle puisse me protéger de quoique ce soit si jamais un psychopathe décidait de s'inviter parmi nous pour nous faire la peau. Pas sur à mon tour que je puisse faire quelque chose si jamais il avait un pistolet ou une arme dans le genre, blanche ou pas. Je gardais des yeux fermés alors que subitement je me rendais compte que la porte d'entrée n'était pas verrouillée et je me redressais d'un coup, me tournant vers elle et lui jetant un regard qui voulait dire "what the fuck?" Avant de me lever et d'aller fermer la porte d'entrée, non sans avoir ouvert celle-ci juste avant pour jeter un coup d’œil à ma voiture. Qu'on me crève les quatre pneus et nous ne serions pas dans la merde. Je revins ensuite vers elle. « Il est nuuul ce film. » Nooon ce n'est pas moi qui l'avais choisi (a) Je m’asseyais ensuite à côté d'elle mais genre hyper serré contre elle, comme si il n'y avait pas trois kilomètres de place sur le canapé à côté et alors que je tournais ma tête dans sa direction avec un grand sourire, je plaçais un bras sur ses épaules. « Salut. » J'avais utilisé la voix la plus sensuelle et ridicule que j'avais en réserve, du style celle de Flynn Rider lorsqu'il rencontre Raiponse pour la première fois. Bon ok, j'ai regardé des Disney avec ma sœur, et alors ? « Tu sais que ta casserole de chocolat..dirons-nous, fondu, est toujours dans la cuisine ? » Je ne l'avais pas lavé pour si elle voulait toujours en faire quelque chose et j'avais adoré lui étalé sur le visage mais pas sur que ça avait du lui plaire. « Tu veux pas qu'on fasse autre chose ou tu me fais toi-même un film ? » J'avais enroulé un de mes doigts dans ses cheveux sachant pertinemment que c'était moi qui avait proposé de voir un film et de lui faire mon propre film plus tard.



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« Si, mais je te ranime, ce sera pour te faire des bébés. » Je levais les yeux au ciel, sachant pas s’il disait une bêtise ou bien s’il était réellement sérieux, parce qu’avec lui je savais pas sur quel pied danser. & alors qu’il ne prêtait plus attention au film, je me chargeais de l’embêter avec mes cheveux en les frottant sur son visage qui était sur mes jambes. Ca aurait du être le contraire normalement mais non et je lui fis la remarque gentiment pour le taquiner. « Depuis que le petit-ami est exténué et qu'il ne rêve que d'emmener sa petite-amie dans le lit. » Il était fatigué et je pouvais le comprendre vu la longue journée qu’il avait eu entre nous conduire ici, notre dispute, notre partie de jambe en l’air et désormais le film. C’était lui qui l’avait choisi pourtant mais ça devait quand même l’endormir au lieu de le tenir éveillé. Est-ce qu’il se forçait car je n’avais pas montré de signe de fatigue encore ? Pourquoi tu as voulu mettre un film patate lui dis je en souriant. Car je constatais bien qu’il en avait plus rien a foutre du film et je lui proposais donc de dormir s’il voulait, il me dérangeait pas et je préférait le savoir à mes côtés même s’il dort plutôt que dans la chambre et moi ici. Mais il se leva soudainement et je m’interrogeais sur qu’est ce qui lui était passé par la tête pour qu’il se réveille aussi subitement. Son regard en plus était limite affolant et je comprenais pas, je le voyais juste se lever et aller vers la porte d’entrée. Porte qu’il ouvrit pour regarder dehors et qu’il ferma ensuite à clé. Euuuuuuh ouais, j’avais pas tout compris là. « Il est nuuul ce film. » C’était officiel, il en avait plus que rien a foutre du film. Monsieur indécis, voilà comment j’allais l’appeler. & quand il revint sur le canapé il se colla si près de moi que je jetais un regard vers lui. Regard qui se dirigea ensuite vers le bras qu’il venait de poser sur mon épaule. « Salut. » Je me mis à rire en l’écoutant. Il avait l’air des mecs types relous qui viennent accoster une fille dans un bar ou en boîte ou peut importe, ceux qui tentent une quelconque approche pour draguer la fille alors que c’est déjà foutu d’avance. « Tu sais que ta casserole de chocolat..dirons-nous, fondu, est toujours dans la cuisine ? » Oui et ? Il voulait que j’aille lui faire un gâteau maintenant ? « Tu veux pas qu'on fasse autre chose ou tu me fais toi-même un film ? » D’un rire qui sortait du fond du cœur je le regardais attentivement faire avec mes cheveux. Non mais je rêve où il était clairement en train de me faire sous entendre des choses ? C’est toi qui voulait voir un film, tu sais pas ce que tu veux dis je en rigolant avant de reprendre. & quoi comme film ? Tu veux un strip ou qu’on remet ça ? Je riais à nouveau face à combien je lui sortais ça de façon si naturelle, comme si je parlais de la pluie et du beau temps. J’ai pas de tenue pour le premier puis t’as vu mon état ? Dit pas que je suis belle, je suis à un quart de ma forme et donc pas au top physiquement. Pour la seconde chose je croyais que c’était pas bien ? Je disais pas oui mais je disais pas non. Je voulais juste voir les arguments qu’il allait bien pouvoir me sortir. Me tournant à peine pour être plus face à lui, je déposais une main sur sa joue venant la caresser avec mon pouce. Tu sais que c’est de la torture de m’aguicher comme tu le fais ? Car oui c’est ce qu’il faisait clairement en me demandant qu’on fasse autre chose après avoir laissé entendre qu’il avait gardé le chocolat fondu et qu’ainsi il pouvait bien servir pas juste à manger mais à dévorer sur le corps de l’autre par exemple. Poussant le reste du manteau qui était sur moi, je fis passer une jambe de l’autre côté de ses deux jambes, me retrouvant ainsi assise sur lui. Tu sais que peut importe mon état je peux pas te résister. & c’était bien trop vrai. J’étais habituellement attirée à lui comme un aimant alors quand il faisait des sous entendu comme ça, quand on avait pas passé autant de temps ensemble depuis des semaines c’était comme mettre le feu à une forêt en plein été, à coup sûr ça partait d’un rien et en cinq minutes tout flambé. Mon regard planté dans le sien, mes lèvres rejoignirent les siennes avec passion et tendresse. Tu es exténué alors tu devrais peut être aller dormir. Je prenais toujours soins de lui, faisant la maman poule mais il était fatigué, lui-même l’avait dit et sachant qu’il n’avait pas un grand sommeil de base, je voulais pas en plus qu’il se retient pour me tenir compagnie ou pour x raisons. Il devait penser à lui, ce week end n’était pas que pour moi, mais pour lui aussi.


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« Pourquoi tu as voulu mettre un film patate. » Elle me fit un sourire et je ne pus que l'imiter, laissant couler sa phrase, surtout après le patate. Puis après m'être rendu près de la porte d'entrée afin de la verrouillée, je revenais vers la jeune femme et me rasseyais bien près d'elle. Trop près même, alors que des secondes auparavant j'avais posé ma tête sur ses jambes et qu'elle me commentait le fait qu'elle me protégerait si jamais il y en avait besoin, ainsi je pouvais dormir en paix. J'en avais finalement décidé autrement, car le film ne m'intéressais pas du tout, en plus d'avoir la jeune femme à côté de moi, qui me distrayait bien trop à mon goût. J'avais passé un bras autour de ses épaules, lui disant que le film était nul et lui demandais si elle ne voulait pas elle-même me faire son propre film. Comme réponse, j'obtins un rire et je me mis à sourire à mon tour. «  C’est toi qui voulait voir un film, tu sais pas ce que tu veux & quoi comme film ? Tu veux un strip ou qu’on remet ça ? » Je fronçais les sourcils, elle voyait vraiment des choses sexuelles partout (a) «  Si je sais ce que je veux...toi. » Elle était trop facile celle-là, comme sa réponse qui pouvait être "mais tu m'as déjà". Je lui fis un grand sourire en fixant son profil alors que je reprenais: « Je veux bien un strip, puisque tu le propose si gentiment. » Je lui fis un grand sourire bien hypocrite alors qu'elle changea subitement la donne. « J’ai pas de tenue pour le premier puis t’as vu mon état ? Dit pas que je suis belle, je suis à un quart de ma forme et donc pas au top physiquement. Pour la seconde chose je croyais que c’était pas bien ? » Je fronçais les sourcils en restant perplexe, me retenant de lever les yeux au ciel. J'allais prendre un marqueur et lui écrire plein de choses sur elle pour qu'elle ne se voit plus comme le contraire de ce que je pensais. « De un, tu n'as pas besoin de tenue. De deux, c'est toi qui t'imagines ce que je n'ai pas dit... Et de trois, tu es magnifique et arrêtes de me dire le contraire ou je t'attache quelque part. » Voilà, c'était dit. Elle déposa ensuite une main sur ma joue et je fermais les yeux à ce contact alors que son pouce caressait ma joue. « Tu sais que c’est de la torture de m’aguicher comme tu le fais ? » Un petit rire entendu s'échappa de mes lèvres alors qu'elle venait à se mettre à califourchon sur moi. Et rien qu'avec ça, mini Théo prenait très cher. «  Tu sais que peut importe mon état je peux pas te résister. » Merde... J'étais vraiment en manque de tendresse, parce que la vitesse à laquelle battait mon cœur n'était pas normale. « Et toi, tu sais que c'est de la torture ce que tu fais là ? Que je ne peux rien faire pour résister à la tentation que tu m'offres, que tu es ? » Elle appelait à la luxure à elle toute seule cette femme. Elle vint alors embrasser mes lèvres pendant que mes mains vagabondaient dans son dos de haut en bas. « Tu es exténué alors tu devrais peut être aller dormir. » Elle se foutait de moi là, n'est-ce pas ? Elle pouvait pas grimper sur moi, m'embrasser ainsi et me demander d'aller dormir, c'était pas possible. « Tout seul ? C'est pas très gentil de me dire ça... » Surtout qu'on était venu passer le week-end à deux. Je me levais alors et posais la jeune femme sur ses jambes. « Tu vas monter avec moi, et t'as pas l'choix. » Je lui fis un grand sourire. Bon si elle avait le choix...Mais pas avec la proposition que j'allais lui faire. Je baissais ma tête ensuite pour souffler à son oreille. «  Et si tu m'obéis et que tu montes tout de suite...C'est moi qui te fais ce strip. » J'étais fou. Je n'avais jamais fait de strip à personne, mais puisqu'elle avait l'air d'aimer mon corps, j'allais lui offrir sur un plateau. Je déposais ensuite une claque sur ses fesses. « Montes ! T'as une minute avant que je ne vienne te rejoindre, si t'y es pas, mon offre tiens plus. » Je me décalais ensuite pour venir éteindre la télé et surtout m'occuper du feu, sans savoir si la jeune femme avait décidé de m'obéir ou non.





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« Si je sais ce que je veux...toi. » Encore heureux qu’il sache qu’il me voulait, sinon j’avais du soucis à me faire. « Je veux bien un strip, puisque tu le propose si gentiment. » Je me mis à rire, tiens c’était clairement pas le genre de truc qu’un mec pouvait refuser ou alors c’est inquiétant. D’ailleurs moi-même je pouvais pas refuser une telle chose, c’était bien trop plaisant pour mes petits yeux. Par contre pour lui c’était peut être pas le top vu mon état ça risquait pas d’être jolie jolie tout ça. Surtout comparé à la fois où je lui avais fait un lap dance, ça serait pas aussi beau à voir. « De un, tu n'as pas besoin de tenue. De deux, c'est toi qui t'imagines ce que je n'ai pas dit... Et de trois, tu es magnifique et arrêtes de me dire le contraire ou je t'attache quelque part. » De un c’était plus intéressant de faire un strip avec une tenue adéquate qu’un pyjama improvisé en plus j’avais que deux vêtements alors en cinq secondes le tout était enlevé même en prenant mon temps. De deux je n’imaginais pas ce qu’il disait pas, j’avais juste ma propre opinion sur le fait qu’à mes yeux non j’étais pas la plus désirable depuis quelques semaines déjà. & de trois le fait qu’il veuille m’attacher me fit sourire, me faisant repenser que c’était une vieille envie chez lui. Dès le premier soir il avait voulu m’attacher à un arbre et plus les mois passés plus et plus son envie ne s’envolait pas. En fait depuis que tu m’as connu t’as eu ce fantasme de vouloir m’attacher à tout prix. Pas certaine qu’il fasse la liaison avec le premier soir de notre rencontre et avec maintenant mais bon je pouvais lui éclairer la lanterne si jamais il comprenait pas où je voulais en venir. Puis comme il avait l’air décidé a jouer et faire ce qu’il voulait de ma personne, je me positionnais assise sur lui comme si de rien n’était, lui disant clairement que j’étais faible face à lui. Que je pouvais pas lui résister et qu’il arrivait toujours à ses fins avec moi. Quel homme cruel, il pouvait jouer de moi comme bon lui semblait, j’étais incapable de me contenir face à son regard, ses lèvres et son corps. Tout m’attirait et s’en était terriblement affolant. Il me faisait perdre la tête, déjà que je l’avais pas entière dernièrement mais avec sa présence, j’étais plus capable de raisonner normalement. Je lui avais fait faire des choses folles comme le faire dans des lieux publics alors que c’était une première pour lui, mais à côté il m’en faisait faire tout autant. « Et toi, tu sais que c'est de la torture ce que tu fais là ? Que je ne peux rien faire pour résister à la tentation que tu m'offres, que tu es ? » Un sourire en coin, c’était exactement la même pour moi, au moins sur ce point on était bien d’accord. Vous savez que j’allais vous dire la même monsieur dis je en me mordant la lèvre inférieure. Je ne savais pas quelle heure il était mais j’avais pu l’entendre dire qu’il était fatigué et je lui disais donc d’aller dormir telle une mère prenant soin de son enfant. « Tout seul ? C'est pas très gentil de me dire ça... » Je balançais mes yeux de gauche à droite l’air de faire l’innoncente, jusqu’à qu’il se lève et qu’il me lève étant toujours installé confortablement sur lui. « Tu vas monter avec moi, et t'as pas l'choix. » Ah il voulait donc pas dormir tout seul, enfin s’il voulait dormir car je me posais la question depuis qu’il était revenu après avoir fermé la porte d’entrée. « Et si tu m'obéis et que tu montes tout de suite...C'est moi qui te fais ce strip. » Vraiment ? Un sourire se dessina sur mes lèvres alors que je me demandais si oui ou non il envisageait sérieusement cette idée. Sa frappe sur mes fesses me sortirent de mes pensées alors que je l’imaginais déjà en train de me faire le show et je sursautais légèrement surprise par son geste. « Montes ! T'as une minute avant que je ne vienne te rejoindre, si t'y es pas, mon offre tiens plus. » Etant une jeune femme très gentille et à l’écoute je ne pipais mot et je me dirigeais vers la chambre me retournant à mi chemin pour le regarder au loin. S’il était pas sérieux j’allais l’obliger à le faire, il venait de me mettre l’eau à la bouche avec sa proposition et il pouvait pas s’en tirer ainsi. Une fois dans la chambre, je m’installais sur le lit, me mettant sous la couette en l’attendant tranquillement. Bon sang les médecins auraient pas du m’interdire de sport mais plutôt de voir mon petit ami avant de m’être bien remise car c’était pas le sport qui allait faire lâcher mon cœur mais bel et bien Théo. C’est lui qui allait me causer un arrêt cardiaque ou je ne sais quoi d’autre. Qu’avais je fait de si bien pour mériter cet être ? Je me le demandais alors qu’avec impatience j’attendais qu’il monte et quand j’entendis ses pas dans les escaliers, un sourire avait déjà emparé mon visage. J’étais prête, toute ouie, les yeux grands ouverts et aucune fatigue ni rien d’autre ne pouvait venir stopper ma motivation. Si tu respectes ton accord, je te promets que quand je récupère tu regretteras pas d’avoir attendu tout ce temps dis je à travers la chambre alors qu’il était pas encore là. Il avait pas attendu au final que je sois en forme pour faire quoique ce soit mais quand je serais à 100 % guérit, il aura même plus le courage de penser à vouloir faire quelque chose tellement il aura eu sa dose (a)


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J'avais pas cherché à regarder plus le film que je n'avais osé regarder le début. Après tout, je le connaissais déjà, l'avais déjà vu et la présence de la jeune femme à mes côtés, m'empêchait de le savourer à sa juste valeur. De toute façon, je n'en avais pas envie. Et lorsque ma petite-amie se positionna à califourchon sur ma personne, le film en lui-même n'existait plus. « En fait depuis que tu m’as connu t’as eu ce fantasme de vouloir m’attacher à tout prix. » Un sourire peigna mes lèvres alors que je lui lançais un regard qui voulait tout dire. Je ne savais pas pourquoi elle me répliquait cela comme ça, mais l'attacher, j'avais déjà réussi à le faire, lorsque nous étions chez moi et que je l'avais attaché au lit avec une de mes cravates. Cravate avec laquelle elle m'avait attaché les mains pour ensuite se frotter contre moi et me faire perdre la raison, m'obligeant à détruire ladite cravate. « Oh oui... J'aime cette vision de te savoir prisonnière et à ma merci. » Quel sadique je pouvais faire moi alors. Lorsqu'elle je lui commentais à mon tour quelle était la tentation même, un sourire s'afficha sur ses lèvres si tentantes. « Vous savez que j’allais vous dire la même monsieur. » Elle se mordillait d'autant plus cette lèvre inférieure et n'y tenant plus, j'attrapais sa nuque pour plaquer son visage contre le mien et lui voler un long baiser à mon tour. Lorsqu'elle me conseilla ensuite d'aller me coucher -car il fallait reconnaître que je lui avais bien fait comprendre que j'étais fatigué, je répliquais sans vraiment lui laisser le choix, qu'elle devait venir se coucher avec moi. Franchement, quel était l'intérêt d'y aller tout seul... En contre-partie, si elle m'obéissait comme la gentille petite-amie qu'elle était, je lui offrais la possibilité de me voir lui faire un strip-tease. Chose que je n'avais jamais fait à personne, donc elle pouvait probablement en cet instant, se sentir privilégié. Je me levais donc avec la jeune femme et la posais sur ses propres jambes. J'avais bien pu voir l'expression qui avait envahit son visage lorsque je lui parlais de me déshabiller rien que pour elle et je compris que son imagination commençait déjà à lui faire défiler un sacré film. Je déposais ensuite une claque sur ses fesse l'incitant à monter et la réveillant de sa transe par la même occasion. Et alors que je partais éteindre la télé et m'occuper du feu de la cheminée, la jeune femme tourna les talons et je pus entendre ses pas qui résonnaient dans les escaliers. J'en profitais pour débarrasser la petite table en secouant la tête avec un grand sourire. Bon...j'allais devoir faire tomber la chemise, c'était chose dite. Je jetais ce qu'il restait dans la poubelle, et lavais le reste à la main en prenant tout mon temps, j'allais la faire languir d'impatience (a) J'étais sadique mais en plus cruel. Vérifiant une dernière fois que tout était bien fermé et éteint, je sortis mon téléphone portable de mon manteau et vérifiais mes messages puis tout en réalisant cette action là, je montais tranquillement les marches qui menaient à la chambre. « Si tu respectes ton accord, je te promets que quand je récupère tu regretteras pas d’avoir attendu tout ce temps. » Entendant ces mots-là, je me stoppais instinctivement sur une marche me demandant si je n'avais pas rêver la chose. Elle était en train de me promettre la lune là, ou je me trompais totalement ? Total, lorsque j'entrais dans la chambre je ne pus que me mettre à rire en la découvrant assise dans le lit sous la couette, comme une enfant prête à recevoir une correction. Je fermais la porte derrière moi et posais mon téléphone sur une commode. « Eh bien, nous voulons du spectacle à ce que je vois ? » Si elle s'attendait à du show, elle allait en avoir. En revanche, elle pouvait déjà commander le remboursement pour ce qui incluait la qualité. Je sortis ma trousse de toilette de mon sac de sport et entrais dans la salle de bain en lui faisant comprendre qu'elle devait se languir encore quelques minutes de plus. Une fois dedans, je me brossais les dents et fis ma toilette du soir, avant de ressortir quelques minutes plus tard en tapant dans mes mains. « Bien ! Tu es prête ? Comme je n'ai qu'une parole, prends ce que je m'apprête à faire comme un cadeau de remerciement pour la carte d'anniversaire que tu m'as un jour apporté après me l'avoir promise.  » Sans attendre sa réponse, je me dirigeais vers une espèce de chaîne hi-fi qui se trouvait dans le fond de la pièce, et l'allumant je me disais à moi-même qu'il devait bien y avoir une chanson qui m'aiderais à me dévergonder quelque peu. Et quel ne fut pas mon soulagement lorsque je tombais sur une bonne station et cette chanson là. Ça allait faire l'affaire. Je pivotais sur mes talons et revint me poster pile devant le lit pour qu'elle ait la meilleure vision possible. Ciel, j'étais fou en cet instant. Je me mis à danser de façon ridicule et bien prononcée afin de la faire rire avant de reprendre mon sérieux et de baisser mon regard sur mes mains qui déboutonnaient très lentement la chemise que je portais. Bouton après bouton, puis relevant mon visage pour la regarder, je fis glisser la chemise avec une lenteur extrême sur mes épaules. Je portais un débardeur en-dessous,  si bien que lorsque je lâchais la chemise au sol, je me rapprochais du lit et fis passer le second vêtement blanc par-dessus ma tête avant de doucement lui lancer au visage avec un sourire. Puis je me rapprochais encore du lit jusqu'à ce que mes jambes ne le touche et je lui fis un signe avec mon index l'incitant à qu'elle se rapproche. Je me trouvais déjà torse nu et me doutait que c'était probablement le reste qui devait aussi l'enchanter. Lorsqu'elle se fut rapprocher de moi, je pris ses mains entre les miennes et les plaquais sur mon torse avant de les faire glisser le long de mes abdos avec une lenteur extrême, me mordant la lèvre inférieure et fixant son regard. Puis je délaissais ses mains sur la ceinture de mon pantalon et je levais mes propres mains en l'air à mi-épaules, lui faisant comprendre que si elle voulait la suite, elle allait devoir la chercher toute seule. J'étais entièrement à elle et je me félicitais d'avoir mis de la musique, ainsi elle ne pouvait pas entendre les battements effrénés de mon cœur.




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Thélia ღ

Je l'attendais sur le lit impatiemment et c'est que monsieur savait se faire désirer en plus. Il voulait bien me faire attendre, me faire narguer et ça marchait trop bien. Enfin il arriva dans la chambre et un sourire se dessina. J'allais enfin pouvoir avoir droit à mon show et ainsi j'allais pouvoir profiter de le voir se déshabiller. « Eh bien, nous voulons du spectacle à ce que je vois ? » Moi ? Nooooon j'étais juste là en attendant qu'il vient s'allonger avec moi, je vois pas de quoi il voulait parler. Bon d'accord oui j'attendais le spectacle mais en même temps comment ne pas l'attendre alors que je savais que ça allait être the spectacle. Je ne répondis pas puisque ça semblait juste évident. Puis il partit dans la salle de bain avec une trousse. Levant un sourcil je le regardais partir, il voulait vraiment me faire attendre lui. Pas besoin de te pomponner je t'assure que tu es parfait comme ça déjà. Ouais parce qu'il allait faire quoi dans cette salle de bain à part se faire encore plus beau qu'il ne l'était. Oui c'était un spectacle pour moi mais pff il en envoyait déjà bien trop sans se mettre encore plus en beauté. & quelques minutes plus tard je le vis sortir de la salle de bain. Ben il était temps, j'ai presque cru que j'allais m'endormir. « Bien ! Tu es prête ? Comme je n'ai qu'une parole, prends ce que je m'apprête à faire comme un cadeau de remerciement pour la carte d'anniversaire que tu m'as un jour apporté après me l'avoir promise.  » Je me mis à rire, cette carte d'anniversaire avait été le parfait prétexte pour le revoir mais elle datait au tout début de notre relation, relation qui était pas encore censé tourner en relation amoureuse. C'était aussi y a plus de quatre mois mais un vieux proverbe dit qu'il vaut mieux tard que jamais non ? Je l'observais de mes petits yeux alors qu'il mit de la musique. Il changeait jusqu'à s'arrêter sur une certaine chanson, que je connaissais pas, et il se positionna juste sous mes yeux, devant le lit. Là je pouvais rien rater et il m'était impossible d'enlever ce sourire niais que j'avais sur le visage en le regardant et en imaginant qu'il allait vraiment me faire ce strip. Il commençait son show et il faisait le pitre. Il allait vraiment faire ça ? Non parce que c'est marrant mais c'est pas l'image que j'ai d'un strip (a) A croire qu'il avait lu dans mes pensées, il se dandinait beaucoup moins et ses mains commençaient déjà a s'occuper de sa chemise. Je l'observais totalement captivé alors que mon intérieur lui crier de défaire les boutons beaucoup plus vite que ça, mais le but d'un strip était d'augmenter l'envie en prenant tout son temps et il était doué, vraiment doué. S'en était presque à se demander s'il avait pas déjà fait ça. Il avait peut être bossé dans un club de ce genre non ? Je connaissais pas son passé après tout, c'était possible et avec son corps ça m'étonnerait pas qu'il s'en soit servi pour faire baver des filles à longueur de soirée et également se faire des sous. Quand il enleva sa chemise je me mordais la lèvre intérieur alors qu'il lui restait encore un débardeur pour que je puisse admirer son torse bien musclé. Il s'approcha du lit tout en enlevant son débardeur qu'il me lança dessus. Riant un peu je me cachais doucement les yeux pour une fois presque timide, j'avais pas de quoi je connaissais son corps comme ma poche mais c'était assez troublant de le voir me faire ça, pour moi. Bavant presque sur lui, je fis un petit non de la tête quand il me fit signe de m'approcher de lui alors qu'il était contre le lit, mais l'envie était bien trop forte, je voulais pas me contenter juste de ça, j'en voulais plus alors j'avançais, m'arrêtant juste devant lui. Comme je le sentais si bien venir il utilisa mes mains pour les poser contre son torse, sa chair et les faisant balader pour que je touche bien. Il me torturait totalement et je sentais que soudainement j'avais chaud, très chaud. Comme si le feu de la cheminée était juste devant moi parce que c'était lui la cheminée et il me consumait avec sa beauté et l'amour que je lui portais. Il stoppa alors mes mains juste sur le début de son pantalon, en dessous de son nombril et il lâcha les miennes me fixant d'un regard qui en disait long. Il comptait plus rien faire, il comptait que ce soit moi qui fasse le reste, oui mais là j'avais plus envie de voir la suite. Il m'avait dévoilé la partie principale de son corps, ses jambes c'était moins sexy que son torse. Je glissais ainsi mon index entre son pantalon et sa peau. Tirant dessus je me faisais basculer sur le dos, attirant Théo dans ma chute. Moi en dessous et lui au dessus, je cessais de le regarder, passant une main sur sa joue le caressant tendrement. Tu sais que c'est pas encore mon anniversaire. Oui car il venait de me faire un cadeau avant l'heure quand même et un magnifique cadeau. Embrassant ses lèvres je faisais glisser une main le long de son dos, sensuellement et lentement pour bien sentir ses muscles qui ressortaient. Tu sais quoi ? T'es le meilleur sex toys qu'une femme puisse avoir dis je en riant alors que je reprenais possession de ses lèvres, mordillant celle du bas et l'aspirant doucement. Il était bien mieux que n'importe quel jouet qu'on pouvait voir dans les boutiques érotiques. Il était amplement suffisant. J'ai bien hâte de retrouver ma forme lui chuchotais je au creux de l'oreille. J'avais l'impression de servir à rien, de rien pouvoir faire moi aussi, d'être impuissante et dieu qu'est ce que je détestais ça. C'est pourquoi sans le prévenir, je le faisais basculer pour qu'il se met sur le dos et que je puisse moi me mettre au dessus de lui. Faisant passer une jambe entre les deux siennes, mes mains de chaque côté de sa tête, je déposais des baisers dans son cou descendant petit à petit le long de son torse pour remonter jusqu'à son cou, l'embrassant alors que j'aspirais sa chair. Je faisais attention de ne pas trop aspirer pour ne pas laisser une marque bien rouge mais je le faisais assez pour lui faire plaisir, lui donner des frissons et parce que j'avais envie d'en faire qu'une bouchée.


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Puisqu'elle voulait du spectacle, j'avais décidé de lui en donner. Alors c'était tout bonnement normal pour moi, après avoir rangé ce qu'il se trouvait dans le salon, éteint le feu de la cheminée et fais la vaisselle, que je ne veuille me rafraîchir et faire ma toilette du soir. « Pas besoin de te pomponner je t'assure que tu es parfait comme ça déjà. » Je ne pus que me mettre à rire. Je ne comptais pas me pomponner puisque le spectacle consistait à me montrer en tenue d'Adam, je n'avais donc pas besoin d'artifices. Puis en sortant, je partis vers la chaîne hi-fi mettre de la musique et alors que je me rapprochais du lit, je commençais à lui faire mon petit show, retirant progressivement ma chemise, admirant ses expressions alors qu'elle était assise sur le lit. Puis je retirais mon débardeur et le lui jetais au visage en riant avant de totalement me rapprocher du lit jusqu'à buter contre lui et faire signe à ma petite-amie d'approcher. Si en un principe elle me fit non avec la tète, elle finit par succomber à mon charme et lui attrapant les mains, je vins à les plaquer sur mon torse. Putain, ce que je pouvais aimer son contact et lire dans son regard à quel point elle me désirait. Je fis alors lentement glisser ses mains sur mon torse avant de les laisser sur ma ceinture et de lever les bras en l'air, lui faisant comprendre que si elle voulait voir la suite, elle devait venir la chercher toute seule. Mais la jeune femme en décida carrément autrement. Et alors que je pensais qu'elle allait s'empresser de me retirer mon pantalon, elle tira juste dessus, basculant sur son dos, me faisant tomber sur elle par la même occasion, et si fort que je dus me retenir avec mes avants-bras pour ne pas lui faire du mal. Je ne pus ensuite que fermer les yeux lorsqu'elle me caressa la joue. «  Tu sais que c'est pas encore mon anniversaire. » Un sourire s'afficha sur mes lèvres alors que je lui répondais: « Crois-moi, à ton anniversaire, tu croiras que c'est noël. » J’espérais au plus profond de mon être qu'elle ne comptait pas se lasser de moi et qu'elle me permettrait de passer au moins un de ses anniversaires avec elle. Elle plaqua ses lèvres sur les miennes et je ne pus que répondre activement à son baiser alors que je perdais peu à peu la raison lorsque je sentis une de ses mains glisser le long de mon dos. Elle n'avait pas le droit de me toucher comme elle le faisait, de faire en sorte que je la désire comme un fou. Bon sang...Jamais de toute mon existence je n'aurais cru possible de perdre autant la tête pour une femme telle qu'elle. « Tu sais quoi ? T'es le meilleur sex toys qu'une femme puisse avoir. » Je me mis à rire d'un rire puissant et sonore qui venait du fond du cœur. « C'est un compliment, rassure-moi ? Ou tu ne me considère que comme un objet sexuel qui adore te toucher ? » Ses lèvres vinrent ensuite murmurer quelque chose à mon oreille. « J'ai bien hâte de retrouver ma forme. » Et alors que j’arquai un sourcil, je fus pousser sur le dos et je sentis que la jeune femme faisait passer une jambe entre les miennes. Elle déposa ensuite des baisers sur mon cou et je dus lutter pour ne pas perdre mon sang-froid et lui arracher ses vêtements. Si bien que je me contentais de faire le mort, encerclant sa taille de mes bras, savourant chaque sensations que je ressentais, la laissant faire tout ce qu'elle voulait de moi. Bon sang...Comment était-il possible de ressentir autant de sentiments à la fois alors que la jeune femme aspirait ma peau avec sa bouche, m'arrachant des frissons. Quand soudain une chanson retentit à la radio et j'ouvris les yeux. Repoussant doucement la jeune femme, je me levais alors que je l'avais complètement coupé dans son élan. Ce n'était pas très gentil mais si elle n'arrêtait pas, j'allais probablement encore faire des conneries. Sortant du lit, je vins à me mettre debout et j'attrapais la jeune femme pour faire en sorte qu'elle ne se lève et n'attrerise dans mes bras. Passant un bras autour de sa taille et enlaçant une de ses mains dans celle que j'avais de libre, je commençais de longs mouvements de danse. Il s'agissait d'une vieille chanson des années 40 dont j'aimais bien la mélodie. Nous n'avions danser qu'un slow ou deux ensemble et j'adorais cette proximité que j'avais avec la jeune femme. Bien que j'aurais préféré porter un tee-shirt pour que ça fasse plus respectueux. Je déposais un baiser sur son front, puis sur ses paupières et sur ses joues. « J'espère que tu comprends que je suis simplement en train de faire diversion pour tenter de freiner mes ardeurs et pour un peu contredire cette espèce d'attirance sexuelle qui s'invite partout où toi et moi nous allons... » Je me mis à rire alors que je me séparais d'elle pour lui faire faire un tour sur elle-même avant de la retenir de nouveau dans mes bras. « J'ai des envies pas très catholiques qui me viennent à l'esprit quand on se retrouve allongés sur ce lit...Et avec ta condition, je pense que nous avons prit assez de risque... » Je la penchais légèrement en arrière puis la remettais droite en stoppant tout mouvement. «  C'est mon cœur qui lâchera en premier si tu continues à me toucher comme tu le fais... »  


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