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I just can't stop loving you ♥ Thélia

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« De moi évidemment. J'en ai partout...Je dis bien par-tout. » Oui en effet il en avait de partout, ou pas. C'était que quelques flocons de farine, un bon frottement sur la tête et pouf y avait plus rien alors que ce qu'il s'apprêtait à faire c'était bien différent. Le sentant venir par derrière je le mis en garde en me faisant un peu menaçante mais je me doutais bien que monsieur allait s'en moquer royalement. En effet il se gêna pas pour me mettre du chocolat sur la joue et dans le cou. Oh non qu'il se gênait pas, il y prenait un vrai plaisir même en me disant que j'étais encore plus bonne comme ça. « Ouhou, qu'est-ce que j'ai peur maintenant. » Ah ouais ? Là tout de suite j'avoue que je donnais pas une impression d'une grande menace mais il allait voir de quel bois je me chauffe. Sans tarder je pris la cuillère en bois qui me servait pour touiller mon chocolat et je m'amusais à manger le chocolat dessus d'une façon très sensuelle pour venir ensuite lui faire goûter de plus près le chocolat par le biais de mes lèvres. Je lui donnais un baiser sensuel mais court bien pour lui mettre l'eau à la bouche quoi. Me reculant légèrement je lui demandais ce qu'il en pense et comment désormais il me trouvait alors que je pouvais lire sur son visage combien ce baiser lui avait plu et qu'il s'en remettait petit à petit. « Je te trouve que tu as noirci mon pull. Va vraiment falloir que tu nettoie tout ça. » Je portais mon regard sur son pull avec un sourire en coin. Oui bon y avait une tâche mais c'était pas très grave, le chocolat ça part facilement au lavage. Je le connaissais assez pour savoir qu'il allait pas s'emporter juste pour ça. La chemise que je lui avais complètement défoncé en lui arrachant tous les boutons le soir du 24 décembre quand il était venu me voir, d'après mes souvenirs il n'avait pas été contre alors là c'était pas cette petite tâche qui allait faire quoique ce soit hein. Le regardant avancer vers moi, je le sentais pas, je sentais qu'il allait faire quelque chose encore. Après la farine et le chocolat qu'est ce que ça allait bien être ? J'étais pas certaine de vouloir le savoir et quand il m'attrapa par la taille pour me déposer sur la table se trouvant dans la cuisine je ne fis rien, aucun mouvement alors qu'il vint se faufiler entre mes jambes. Sans que je puisse dire ouf nos lèvres étaient à nouveau en contact et mes mains vinrent automatiquement entourer sa taille juste au bas de son dos. « Fais gaffe, Elia. Moi aussi je sais bien jouer et ce n'est pas moi qui suis censé être malade. » Je le regardais l'air choquée. Comment ça je joue ? Je gardais une mine choquée, faisant celle qui ne comprend pas ce qu'il voulait dire. Bon j'avoue j'avais été un peu mauvaise en me défoulant sur cette cuillère puis sur ses lèvres mais c'était pas ma faute. Il fallait bien que je me venge et je profitais de mes atouts pour ça, où était le mal ? Je me trouvais plutôt maligne moi et je savais qu'il comptait pas me laisser faire aussi facilement, que je continue ou pas. J'étais malade certes et vu sa phrase j'étais prête à parier qu'il allait me torturer, qu'il allait me pousser à bout alors que je pouvais rien faire. Sans dire un mot je le reculais doucement et je sortis de la cuisine pour aller à mon sac à main, sac dans lequel mes médicaments se trouvaient. Sortant tout ce qu'il fallait, je pris les pilules dans ma main, je devais en avoir au moins 4, tandis que je pris aussi ma pilule et je retournais vers la cuisine. Sortant un verre et le remplissant d'eau, je prenais mes cachets un par un, terminant par ma pilule. Même si le sport était déconseillé il fallait que je la prenne. Le tout dans mon corps, je l'attirais avec moi et je me remis sur la table de la cuisine comme si j'en étais pas descendu. Tu me disais quoi déjà ? Que toi aussi tu savais jouer? J'allais me brûler et je le savais mais entre nous, ça faisait trois semaines que j'étais privée de lui, trois semaines que je l'avais pas touché et sa visite durant la quarantaine comptait pas vraiment vu que lui comme moi étions dans une blouse et avec 19 autres personnes dans la pièce. De plus on venait de se retrouver juste après une embrouille et comment dire que ça stimulait juste l'envie ? Ouais je devais pas mais j'en avais un peu marre d'être sage. J'avais rien fait de bien fou pour chopper ce foutu virus pourtant j'étais restée malade trois semaines, alors qui sait peut être que là rien n'allait se passer. Si quelque chose devait se passer, ça allait arriver, ça pouvait être demain en traversant un simple passage piéton, en mangeant quelque chose d'anodin. Alors je me fichais de prendre un tel risque parce que ça en valait le coup. Glissant mes mains sous son pull que j'avais tâché, je remontais ses mains petit à petit alors que je le regardais fixement dans les yeux pour voir sa réaction. Me mordant la lèvre inférieure je continuais à faire monter mes mains pour arriver à sa nuque. Montant encore je glissais mes mains dans ses cheveux alors que je fis redescendre mes mains, venant les faire balader dans son dos, me retenant de pas les faire balader sur son torse.


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Après son baiser bien chocolaté, je remarquais que mon pull portait désormais une tâche et je le lui fit remarquer comme si c'était le pire blasphème du monde entier. Évidemment, je n'en avais rien à faire. Elle pouvait tout aussi bien me le piquer comme me l'arracher, je m'en fichais éperdument. Je me voulais menaçant en cet instant, pour lui faire croire que je comptais lui faire quelque chose de plus horrible encore, avant de me diriger vers elle à grands pas et de l'attraper par la taille sans la prévenir afin de l'asseoir sur la table qui se trouvait derrière nous. Je vins alors à mon tour, poser une main sur sa nuque avant de venir embrasser presque sauvagement ses lèvres. « Comment ça je joue ? » Comme une petite tigresse et évidemment elle savait y faire puisqu'elle savait parfaitement mieux jouer que moi. Y'avait qu'à voir les foutu atouts qu'elle avait et qui faisait qu'à chaque fois que je la voyais, une voix ne se déclenche dans mon esprit et ne me dise: "attention tu baves".  Elle avait gardé une mine choquée et faisait presque semblant de ne pas comprendre ce qui me fis plisser des yeux en souriant doucement. Je savais plus quoi faire sur le coup. J'étais tirailler entre mon envie de lui faire n'importe quoi du moment que je la touchais et entre le fait de me reculer et de reprendre ce que je faisais avant que je ne décide de lui mettre de la farine dessus. Mais elle décida de tout ça pour moi et me repoussa afin de descendre de la table et de sortir de la cuisine. Ok... Comment casser l'ambiance. Total, je me retournais presque à moitié choqué pour éteindre le feu présent sous sa casserole de chocolat -parce qu'il fallait quand même éviter un incendie. Et alors qu'elle revenait, je pus l'observer prendre un verre de l'eau et avaler des pilules. Ah d'accord, tout s'expliquait. Elle revint alors s'asseoir sur la table comme si elle n'en était jamais descendu et elle m'attira à elle. « Tu me disais quoi déjà ? Que toi aussi tu savais jouer ? » Euh, en effet. Mais là du coup, je ne savais plus quoi répondre, d'autant plus qu'elle avait glissé ses mains sous mon pull et qu'elle les remontait le long de mon torse pour venir les nicher derrière ma nuque, puis dans mes cheveux, puis dans mon dos et oh mon Dieu, s'ayez j'avais perdu toutes pensées cohérentes. Elle se mordait d'autant plus la lèvre inférieure d'une façon plus que suggestive et je mourrais d'envie de la lui mordre moi-même. « Ce n'est pas correct ce que tu fais là... Je ne voudrais pas être responsable de ta mort. » Je venais de la voir prendre ses médocs, merde. Mais, je ne retirais pas ses mains et approchais mon visage de son cou afin de l'embrasser très langoureusement sur ce point sensible. « Parce qu'après tout...que ferais-je sans toi ? » Pas grand chose de bien. Je fis glisser mes mains sur ses cuisses, les faisaient monter et descendre pour remonter toujours plus haut très sensuellement. J'étais fou, j'avais pas le droit de lui faire subir ce genre de choses, sachant qu'il ne fallait pas la fatiguer avec les trois semaines qu'elle avait passé. L'attrapant une nouvelle fois par la taille, je la fis descendre de la table, me détachant complètement d'elle. « Faut être raisonnable, j'arrête mes bêtises. » Je revins alors près du sachet de farine, lui tournant le dos. Une idée était en train de germer dans mon esprit, si bien que je pris une nouvelle poignée de farine avant de me rapprocher d'elle et de carrément lui coller sous son haut. Je reculais d'un pas. « Oh, pardon, quel maladroit je suis. » Je me mis à rire. « C'est malheureux, va falloir retirer tout ça, maintenant. » Dans tout ça, je parlais évidemment de ses vêtements. Et quelle joie pour moi de tous les lui retirer, si elle me le permettait. C'était ma proie et je n'avais juste qu'une envie qui était de lui sauter dessus.






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Assisse sur la table de la cuisine, lui entre mes jambes, mes mains se promenait sur son dos et dans ses cheveux alors que je le regardais sans rien dire. Parfois les mots ne sont pas nécessaire. En effet il pouvait très bien comprendre par mes gestes ou je voulais en venir. « Ce n'est pas correct ce que tu fais là... Je ne voudrais pas être responsable de ta mort. » Oui en effet il avait du comprendre vu sa phrase et malgré qu'il pense que ce soit pas correct il ne me barra pas le chemin, laissant mes mains le toucher comme elles le veulent, alors qu'il s'approchait de mon cou dangereusement pour venir l'embrasser. Des frissons parcouraient dans tout mon corps sous le toucher de ses lèvres. J'en fermais les yeux tellement je trouvais ça agréable et que ça m'avait terriblement manqué de le sentir comme ça sur moi. « Parce qu'après tout...que ferais-je sans toi ? » J'ouvris mes yeux à nouveau alors que je sentis ses mains sur mes cuisses. Tout comme tout à l'heure, il s'amusait à les faire monter et descendre de façon sensuelle mais provocante car oui c'est l'effet que ça me faisait, il me provoquait tout comme je le provoquais avec mes mains dans son dos. Je préfère pas le savoir disais je d'une petite voix. Non je voulais pas savoir ce qu'il pourrait faire sans moi à ses côtés. Cette idée me déplaisait fortement. Ses mains continuaient et j'en fit de même avec les miennes jusqu'à qu'il me fasse descendre de la table. « Faut être raisonnable, j'arrête mes bêtises. » Pardon ? Je le regardais retourner à ses occupations comme si de rien n'était. & moi si j'avais pas envie d'arrêter mes bêtises ? Il croyait pas que j'allais accepter ça aussi facilement quand même ? Le voyant revenir vers moi je me disais qu'il changeait d'avis, qu'il voulait pas être raisonnable, mais non il s'amusait juste à me foutre de la farine dans mon haut. « Oh, pardon, quel maladroit je suis. » Je levais un sourcil en lui lançant un regard. Oui oui genre il avait pas du tout fait exprès et sa main avait atterrit comme par magie dans mon haut. « C'est malheureux, va falloir retirer tout ça, maintenant. » Je fis un sourire en l'écoutant. Sa voix voulait tout dire et je compris qu'il parlait pas de la farine. Il me repoussait pour ensuite me dire d'enlever mes habits ? Est ce qu'il ne savait pas ce qu'il voulait ou bien il arrivait juste pas a résister à la tentation ? Tu parles de la farine ou de mes vêtements? Quoi je pouvais le taquiner moi aussi non ? Sans attendre sa réponse j'attrapais mon haut au niveau du col et l'éloignant de ma peau je le bougeais pour faire tomber le plus de farine possible mais c'était pas suffisant, j'en avais qui c'était infiltré dans mon soutien gorge évidement. Le plus gros enlevé, je pris le bas de mon haut avec mes mains et en un rien de temps je le fit passer au dessus de ma tête pour l'enlever. Le posant sur une des chaises dans la cuisine, je descendis mon regard sur ma poitrine, essayant de faire partir le reste de farine qui se trouvait entre mon corps et mon soutien gorge. Je me doutais que mon petit ami ne ratait pas une miette du spectacle et j'en souriais en y pensant. Tu peux me dire si j'en ai encore ou si j'ai bien tout enlevé ? Je m'approchais de lui en lui demandant pour qu'il puisse examiner ça de plus près. Ben quoi il m'avait dit que je devais enlever tout ça, j'écoutais seulement ses ordres (a). Etant toute proche de lui je ne pus m'empêcher de mettre une main sur sa hanche en dessous de ses vêtements et de me mordiller la lèvre alors que j'attendais qu'il analyse si oui ou non j'avais encore de la farine sur moi.


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Peut-être que le fait de la voir prendre ses comprimés m'avait un peu retourné le cerceau au point de me rendre compte et de surtout me souvenir, qu'elle n'avait pas le droit d’exercer des efforts physiques intenses et que par conséquent, nous n'avions pas vraiment le droit de faire des choses  fort peu catholique. Mais comment dire ? Cette jeune femme m'obsédais totalement. Dans chaque pièce dans laquelle je rentrais et dans laquelle elle se trouvait, c'est ainsi dire que je ne voyais qu'elle. Et là, alors qu'elle baladait ses mains sur mon corps, j'avais réellement eu du mal à penser avec cohérence surtout que je lui disais que je ne voulais pas précipiter sa mort, me demandant ensuite ce que j'allais bien pouvoir faire sans elle. «  Je préfère pas le savoir. »  Ah ? Elle voulait même pas un petit aperçu de ma vie post-Elia ? Bien. Je l'avais ensuite attrapé par la taille pour nous remettre dans le droit chemin de la rédemption alors que je n'avais pas réellement prévu de mettre un terme à mes conneries. Au contraire, j'avais déjà prévu de les empirer avec une puissance maximale. Et c'est ainsi que je m'emparai d'une poignée de farine et que je venais à la lui coller sous son haut. Je m’excusais ensuite faussement alors que je ne mourrais plus que de l'envie de la voir sans ses vêtements. « Tu parles de la farine ou de mes vêtements ? » J'arquai un sourcil alors qu'un grand sourire prenait possession de mes lèvres. « De la farine bien sur, il ne manquerait plus qu'à ce que je te jette de l'eau maintenant... » Et que sa forme une texture bien épaisse et fort déplaisante. Rien que pour l'embêter. Non mais j'étais un ange, c'est tout (a) Sa réaction ne se fit pas attendre et je pus l'observer secouer son haut pour y faire descendre la farine avant de carrément l'enlever, provocant un écoulement précipiter de baverie de ma part. Fallait vraiment que j'investisse dans un bavoir. Mais nom d'un rouleau de papier toilette hygiénique, même ça, sa me faisait un effet d'enfer. Je préférais mettre cela sur le compte du fait que je n'avais pas pu la toucher pendant presque un mois qu'autre chose. Quand elle commença à secouer son soutien-gorge, je dus me retenir de lui demander si je pouvais pas le faire à sa place. « Tu peux me dire si j'en ai encore ou si j'ai bien tout enlevé ? » Elle s'était rapprochée de moi et je ne pus que déglutir difficilement. Elle avait posé une main sur ma hanche et mon regard passait instinctivement de ses lèvres à sa poitrine et je ne savais dire lequel était le plus tentant. Puis cette manie qu'elle avait de se mordiller la lèvre là..J'allais lui bouffer, elle allait rien comprendre. «  Non...Je crois qu'il en reste un peu, voir beaucoup même...Juste là. » Je posais un doigt sur la naissance de la rondeur de son sein et commençais à tracer des cercles tout en le caressant, fixant ses yeux. «  Puis juste là... » Je fis ensuite glisser mon doigt sur son autre sein avant de carrément pencher ma tête. « Puis juste ici... » Je déposais mes lèvres juste sur l'endroit que mon doigt avait caresser et déposais de brèves baisers, remontant ensuite mes lèvres jusqu'à son cou que j'embrassais toujours sensuellement, avant de déposer mes lèvres sur les siennes et de l'embrasser avec ardeur, finissant mon petit manège par lui mordre moi-même sa lèvre inférieure. Je me reculais ensuite. « Ça a mauvais goût la farine. » Je fis une grimace avant de me mettre à rire. Elle avait de la farine, du chocolat et peut-être même ma bave sur son corps maintenant. Quelle envie de se doucher devait être en train de s'approprier de son être ! Je remarquais alors son haut sale et blanc sur la chaise. J'étais redevenu en mode normal, comme si je n'étais pas en train de mourir de désir pour elle. « Je vais nettoyer tout ça et mettre ça à laver, qu'en penses-tu ? » J'avais désigné son haut, mais aussi la tâche que j'avais sur mon pull fin. Tranquillement, je retirais ce dernier en m'ébouriffant les cheveux. Bah quoi ? Moi aussi je savais me déshabiller avec classe. Il fallait qu'elle bave un peu aussi.



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« De la farine bien sur, il ne manquerait plus qu'à ce que je te jette de l'eau maintenant... » Non il aurait fallu qu'il me jette de l'eau en premier et ensuite la farine pour que ça colle bien comme il faut, là s'il me jetais de l'eau il allait juste m'aider à enlever le reste de farine qui était encore dans mon soutien gorge. C'est pourquoi je lui demandais son aide, oui j'avais bien besoin de lui pour vérifier s'il ne me restait pas de la farine coincé à un endroit où j'aurais pu ne pas faire attention puis je voulais surtout lui mettre ma poitrine sous son nez alors qu'il avait voulu être raisonnable. Est ce qu'il le resterait en me voyant ainsi sous ses yeux ? «  Non...Je crois qu'il en reste un peu, voir beaucoup même...Juste là. » Mon regard posait sur son doigt qui se trouvait sur un de mes seins, je fis un sourire en coin. Il allait pas tarder à ne pas être raisonnable. «  Puis juste là... » Son doigt allait sur mon autre sein et je suivais son doigt tout en levant mon regard vers lui de temps en temps. « Puis juste ici... » Cette fois c'était plus son doigt mais ses lèvres qu'il déposa sur ma peau et j'eus encore plus de frissons. Non il était pas si raisonnable puisqu'il essayait pas de chercher à ce que je m'habille, il jouait lui aussi avec moi et il savait qu'en faisant ça il allait pas pouvoir m'arrêter par la suite. Il savait qu'en rentrant dans mon jeu j'allais pas accepter qu'on stop tout. J'aimais jouer mais pour aller jusqu'au bout et non pour rester sur mes envies. Ses lèvres montaient de plus en plus, passant de mon coup à mes lèvres qu'il vint mordiller. J'aimais lui mordre sa lèvre mais j'aimais tout autant quand il mordait la mienne. Je trouvais ça plus que sensuel et sa façon de le faire, je n'avais aucun mot pour dire combien il s'y prenait terriblement bien. « Ça a mauvais goût la farine. » Je riais avec lui car oui pour en avoir mangé plus tôt quand il m'avait soufflé dessus, je pouvais dire que oui ça avait pas bon goût. « Je vais nettoyer tout ça et faire mettre ça à laver, qu'en penses-tu ? » Je suivais son regard alors qu'il indiquait mon haut sur la chaise. Pardon, il allait se mettre à faire une machine maintenant ? Parce que nos hauts ne pouvaient pas attendre quelques minutes ou heures ? Mais quand je le vis enlever son haut alors qu'il n'avait rien en dessous, aucun tee shirt ou débardeur, juste sa chair et ses muscles, je me demandais s'il cherchait juste pas à me narguer comme je venais de le faire. Si c'était obligé qu'il cherchait à moi aussi me faire baver et putain c'est qu'il était doué car ça fonctionnait drôlement bien. Alors qu'il était torse nu, je me mis à me passer une main dans les cheveux et je fis descendre celle ci jusqu'à mon cou de façon lente mais qui montrait combien il me donnait terriblement envie. Il était trop bien foutu et c'était de la torture de le voir ainsi. Plus de trois semaines que j'avais pas pu le voir ainsi et je pouvais pas nier qu'à cet instant plus d'une image défilait dans mon esprit. Je voyais des flashbacks de nos anciens ébats et ça ne faisait que accroitre mon envie de lui. Théo.. disais je sensuellement et doucement alors que j'avançais vers lui. Je t'interdis de t'occuper de nos hauts.. Je faisais une courte pause, glissant une main sur son torse alors que cette fois je me mordais la lèvre inférieure sans m'en rendre compte. Pas avant que tu t'occupe de moi. Oui là j'avais terriblement envie qu'il soit aux soins et qu'il préfère s'occuper de moi que de nos hauts qui pouvaient attendre. Le voir ainsi et le toucher me faisait fondre à petit feu. Ma température corporelle était déjà monté d'un grade et il en était le seul responsable. Me mettant légèrement sur le pointe des pieds, j'avançais jusqu'à ses lèvres, collant ma poitrine contre son torse. Frôlant juste mes lèvres contre les siennes en remontant la tête, je venais les coller pour que nos bouches ne fassent qu'une alors qu'une de mes mains passait dans sa nuque pour entremêler mes doigts dans ses cheveux. L'embrassant avec toute l'envie que j'éprouvais pour lui, ma langue trouva un chemin pour rejoindre et jouer avec la sienne.


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Mon petit manège sur ses seins avait du la booster à fond car je compris rien qu'en observant son expression, que les choses avaient changé pour elle dans sa tête. À mon humble avis, tant pis pour l'interdiction des efforts physiques et pour le fait de ne rien avoir le droit de faire. La tentation était beaucoup trop forte et cette espèce d'attraction sexuelle qui nous retenait, bien trop puissante. Comme un bon mortel tout simple, je n'étais pas de taille à me battre contre elle, mais était plutôt du genre faible et bien décidé à entraîner la jeune femme avec moi dans ma perdition. C'est ainsi que je retirais à mon tour mon pull, prétextant le fait que j'allais aller laver cela ainsi que son haut couvert de farine. Personnellement, je faisais tout exprès, j'avais pas envie de me détacher d'elle et surtout pas d'aller faire une machine, sinon me manquait plus que le tablier et le plumeau et j'aurais été parfait. Mais je pouvais sentir comme elle me dévorait du regard, comme moi j'avais l'habitude de le faire avec elle. Et dire que je me trouvais pas au meilleur de ma forme, puisque ça faisait plus d'un mois que j'avais cesser le sport et mes entraînements quotidiens. « Théo.. » Hum, je relevais la tête dans sa direction avec l'expression la plus innocente que j'avais en réserve. « Je t'interdis de t'occuper de nos hauts.. » Ah ? Elle s'approchait doucement de moi alors qu'à l'inverse mon cœur se mettait à battre follement. Elle fit glisser sa main sur mon torse une fois face à moi alors qu'elle recommençait à se mordiller cette lèvre si tentante. « Pas avant que tu t'occupe de moi. » Bénit soit-elle ! Lorsqu'elle colla sa poitrine contre mon torse, je ne savais même plus comment je m'appelais. Enfin, elle m'embrassa alors hyper fiévreusement et j'enserrais sa taille avec mes bras pour la serrer encore plus contre moi. Puis je nous fis pivoter et je la plaquais contre le frigidaire, venant plaquer mon corps contre le sien. « Tes désirs sont des ordres... » Elle n'avait pas à me le répéter plus d'une fois. J'étais totalement soumis à sa volonté. Je fis glisser mes mains sur son cou puis son ventre et ses cuisses alors que je l'embrassais totalement. Nous pouvions dire que la fin de la journée s'achevait plutôt bien finalement... Je pliais alors un peu les genoux pour déposer une série de baiser à la naissance de ses seins jusqu'au bas de son ventre, traçant le contour de son nombril avec ma langue avant de remonter comme si de rien n'était. Puis alors je revins prendre possession de ses lèvres tandis que mes mains s'étaient glissées jusqu'à son pantalon que je déboutonnais. Mais même moi, de là où je me trouvais et avec la chaleur corporelle à laquelle j'étais confronté, je sentais comme ledit frigo était froid. Je soulevais alors la jeune femme dans mes bras et revenait l'asseoir sur la table, non sans lui avoir préalablement retiré méticuleusement son pantalon et ce qui entraînait dans sa chute, la laissant en sous-vêtement. Je revins l'embrasser après mettre faufiler entre ses jambes et lui lançait un drôle de regard coquin. « Là, sur la table ? Tout de suite, ici, maintenant ? » Je prenais un malin plaisir à la taquiner alors que j'en mourrais tout bonnement d'envie.



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J'étais pas souvent autoritaire mais quand je voulais quelque chose je savais me montrer persévérante. Après autant de semaines sans le toucher, sans sentir son corps contre le mien c'était pas possible de me dire de me calmer et de le laisser nettoyer nos hauts au lieu qu'on fasse ce qu'on avait pas pu faire tout ce temps. Entre nous ça avait toujours été ainsi, dès le premier soir j'avais senti combien j'étais attirée par lui et même si on avait mis du temps avant d'en venir à coucher ensemble pour la première fois, ça empêchait pas que dès le premier soir on avait été taquin, très tactile et qu'on c'était trouvé dans des positions très proche. Oui je me souvenais très bien m'être mise à cheval sur lui alors qu'il était allongé sur l'herbe et pourtant je le connaissais que depuis quelques heures et c'était pas le genre de chose que je faisais avec tous les inconnus. Dès le départ quelque chose nous aimantait l'un à l'autre ça restait toujours aussi fort voir plus. Alors comment résister face à ça ? La nature en avait décidé ainsi et j'avais pas envie de m'opposer à cela. J'y allais pas par quatre chemin, je voulais qu'il s'occupe de moi tout comme je m'occupe de lui. Sans attendre qu'il me répond j'avais attaqué ses lèvres qui m'appelais terriblement. Sentant ses bras autour de moi qui me collait plus à lui encore, je sentais mon cœur battre de plus en plus vite alors que la situation ne faisait que me donnait encore plus envie de lui. Il était plus que désirable et je savais pas combien j'allais pouvoir tenir avant de me transformer en vraie petite tigresse. J'allais me perdre face à lui et son corps. « Tes désirs sont des ordres... » dit il alors que je me retrouvais à présent plaqué contre le frigo. Il était glacé et ça me faisait que du bien pour diminuer ma température mais ça ne changeait en rien toutes les envies folles que j'avais en cet instant. Nos langues jouant entre elles, ses mains se baladant sur mon corps, j'accentuais la pression de mes mains sur sa nuque alors que je pouvais pas plus l'attirer contre moi. Ses lèvres à nouveau sur ma poitrine je fermais les yeux pour profiter de chaque baiser et chaque minute. Bon dieu ce qu'il pouvait être doué, que ce soit avec ses lèvres, sa langue, son corps, il était doué avec tout. & j'étais que chanceuse d'être celle qui pouvait profiter de tout ça. J'aimais savoir que j'étais à lui et qu'il était à moi alors que d'autres ratent vraiment un sacré coup. & ceci ne fit que me donner plus envie de lui alors que je sentais maintenant sa langue sur ma chair. Il remontait enfin et malgré que j'aimais tout ce qu'il faisait, j'étais pas contre de me remettre un peu de mes émotions. Mais j'en concluais qu'il était pressé quand il se chargea de déboutonner mon pantalon. Le simple fait de sentir ses doigts vers mon bas ventre me procurèrent comme des fourmis jusqu'à mon intimité. Me trouvant à nouveau dans ses bras, je me retrouvais également sur la table de la cuisine, sans mon pantalon qui avait fini par tomber sur le sol. En sous vêtement seulement y avait plus de chemin de retour. C'était officiellement plus possible de revenir sur nos pas. « Là, sur la table ? Tout de suite, ici, maintenant ? » Un sourire se dessina sur mes lèvres alors que je le regardais et que je me mordillais une nouvelle fois la lèvre. Tout de suite, ici, maintenant. Je reprenais ses mots pendant que mes mains était descendu à son bas ventre pour se charger de défaire son pantalon à lui. Tout en m'occupant de ceci, je baissais ma tête pour poser mes lèvres dans son cou, descendant jusqu'à ses pectoraux où je déposais des baisers, continuant plus bas alors que mes mains le tenait au niveau de la taille pour faire tomber son pantalon. Déposant encore quelques baisers sur son ventre, j'aspirais doucement à chaque baiser que je laissais. Remontant petit à petit, je faisais remonter mes mains sur le côté de son corps de façon si douce et sensuelle que je voulais que ça lui fasse des frissons et du désir. Ouvrant les yeux à mi chemin je tentais de le regarder alors que je continuais jusqu'à voir un truc noir sur ses côtes gauche. Intriguée je continuais mes baisers en allant sur le côté afin de voir de plus prêt ce que j'avais vu. Un « E » était imprimée sur sa peau et étant moi même tatoué je savais que c'était pas du stylo mais un tatouage. Arrêtant mes baisers, je montais directement à ses lèvres, venant mordiller celle du bas tout en lui chuchotant. C'est quoi ça ? J'appuyais doucement au niveau du tatouage pour lui faire comprendre de quoi je parlais. Je voulais pas me faire gonfler les chevilles ni me faire un film mais c'était bizarrement un E, initial de mon prénom. & je cherchais alors si quelqu'un de sa famille s'appelait par un prénom en E. Parce que fallait avouer que je restais sur le cul si ce E était pour moi.


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Thélia


J'adorais la plaquer contre des parois et coller mon corps au sien. J'adorais faire ça et là, je n'avais pas pu résister au frigo qui se trouvait juste derrière moi. Mélangeant nos lèvres ensemble ainsi que nos langues, j'entrepris de la caresser toujours plus dans tous les moindres recoins qui m'étais permis. J'adorais son corps, je l'adorais tout entière et sa peau si soyeuse sous mes mains, me rendais fou. Je n'avais plus qu'une envie, qui était de prendre possession d'elle et de ne plus jamais m'arrêter, même si je savais déjà que je n'avais pas le droit de lui infliger ça puisqu'elle était encore trop faible. Mais elle ne montrait pas non plus le moindre signe de vouloir arrêter quoique ce soit et personnellement, au stade où j'en étais, j'en étais totalement incapable. Il n'y avait plus qu'elle qui m'importait. La décollant du frigo, je la débarrassais de son pantalon, la laissant en sous-vêtement et l’asseyant sur la table, je vins me nicher entre ses jambes. Mon cœur battait si vite dans ma poitrine et je ressentais une telle excitation, que je posais mes paumes de chaque côté de son corps à plat sur la table, comme pour me calmer un peu. « Tout de suite, ici, maintenant. » Oh mon Dieu. Ses mains descendirent jusqu'à mon bas ventre pour qu'elle puisse elle aussi déboutonner mon jean. Mais à mon humble avis, là tout de suite, j'avais énormément de pensées très érotiques qui me venait à l'esprit pour m'en occuper. Je la laissais s'occuper de mon pantalon alors que je soupirais de bien-être lorsque je pus sentir ses lèvres dans mon cou, sur mes pectoraux puis sur mon ventre. Elle me touchait à peine et me mettait en feu. Elle avait des pouvoirs magiques cette fille, c'était indéniable. Elle aspirait ma peau comme personne, m'arrachant d’innombrable soupires. Mon pantalon glissa alors jusqu'à mes chevilles sans que je ne comprenne comment alors que les baisers de la jeune femme remontaient toujours plus haut. J'allais mourir de désir pour elle, je connaissais déjà la fin de mon destin. Ses mains glissaient contre mon corps jusqu'à ce qu'elle ne se stop subitement, m'arrachant un grognement. Si j'avais fermé les yeux sous ses caresses sensuelles, je les ouvris instantanément. Je ne réalisais pas immédiatement ce qui lui arrivait mais compris bien vite ou elle voulait en venir. « C'est quoi ça ? » Waii. Un tatouage, ma belle, un tatouage. Je me passais une main dans les cheveux. Je m'étais fait tatouer un E noir et de la taille de deux pouces ensemble, au niveau de mon cœur, en-dessous de mon pectoral. Celui-ci m'était entièrement sorti de la tête et je ne lui en avais pas non plus parlé. J'appréhendais soudainement sa réaction. Allait-ce lui faire plaisir ou allais-je passer pour un gros obsédé ? « C'est un tatouage, chérie. » Un vague sourire se déposa sur mes lèvres. « Un E plus précisément. Le E de emmerdeur si tu veux tout savoir. » Je me mis à rire plus franchement, alors que bizarrement elle était pas du tout en train de me casser mon délire et je jugeais au contraire que la voir ainsi découvrant que je lui appartenait entièrement, m'excitais encore plus. Je venais ensuite embrasser ses lèvres. « Il est pour toi ce E, parce que je suis à toi, rien qu'à toi... » J'embrassais alors son cou puis vint à glisser une main derrière son dos pour dégrafer son soutien-gorge que je lui retirais. Cette table allait prendre chère. Puis, je me reculais et fis tournoyer le vêtement par sa bretelle sur mon doigt avec un grand sourire, fière d'être en train de la déshabiller. « Il faut le secouer pour qu'il perde toute la farine tu vois... » Puis je me mis à rire en l'envoyant valser à l'autre bout de la pièce. Comment que je maltraitais ses affaires moi... Puis je vins à prendre l'un de ses seins en bouche, avant de totalement l'allonger sur la table. Putain petit Jésus, fais en sorte qu'elle soit solide.




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