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Alek E. Lewis-Kennedy a écrit:J’sais pas si t’as finit par te douter du plan qui était préparé derrière toi, car t’aurais pu le découvrir facilement, car à plusieurs reprise t’aurais pu arriver et tout niquer, genre « J’viens baiser votre surprise ahah », mais, Pamela a eu de la chance ! Du coup, aujourd’hui, on est samedi 18 janvier, et je crois, si je me trompe pas, en même temps on me l’a assez répété pour pas que j’oubli, que c’est le jour de ton anniversaire !
Putain, quatorze ans, ça se fête ! Maintenant, t’as le droit au Champomy, et même que l’année prochaine, pour tes 15 ans, tu pourras boire un verre de Champagne et vomir partout, aaahh ces jeunes, c’est plus ce que c’était !
Non, sérieusement, par ce message, j’aimerais te souhaiter un merveilleux anniversaire, que cette année ne soit que bonheur, que tout te réussisse, et qu’aucun malheur ne vienne te toucher. On parle peut-être peu, mais malgré tout, t’es une personne que j’apprécie vraiment, et à qui je ne souhaite que tu bonheurs, j’sais que tu pourrais dire « ouais blablabla c’est le genre de conneries que tout le monde sort », mais pour le coup, c’est vrai, chacun de mes mots n’est pas étudié, mais ils sont tous vrai, j’pense vraiment tout ce que j’écris !
Du coup, j’te donne rendez-vous l’année prochaine, pour te souhaite encore une fois un joyeux anniversaire, et celle d’après aussi, et encore toutes celles qui suivent ! Profite bien de cette journée qui est la tienne
Each life makes its own immitation of immortality.
L'enigme
Et si Judony a eu un départ.. Judanna l’a eu également.. à un certain événement héhé ! J’me demande c’tait quoi déjà les dates de départ et de retour pour aller au soleil..
▲ avatar@dark dreamsEt si Judony a eu un départ.. Judanna l’a eu également.. à un certain événement héhé ! J’me demande c’tait quoi déjà les dates de départ et de retour pour aller au soleil..
Nouvelle vague « d’auditions » pour trouver un partenaire de danse digne de ce nom, et nouvelle crise de nerfs. Ce n’était pas faute d’avoir demandé conseil à certaines acolytes de sa chère maison des Cabots pour savoir si elles ne connaîtraient pas de jeunes damoiseaux touchant leur bille dans cet art noble, mais que dalle, nada, le néant le plus total. Les partiels approchaient à grands pas et si Thaïs avait toute sa chorégraphie principale en tête, sans partenaire, autant dire qu’elle n’était même pas certaine de pouvoir passer l’examen… hors de question qu’elle soit la risée de la maison Cabot, réputée pour son excellence dans tout Harvard. Il lui fallait se trouver un plan b et d’urgence… voilà pourquoi elle vagabondait telle une âme en peine dans les couloirs, parvenant jusqu’au hall sa canne d’aveugle en main, la serrant entre ses doigts fins comme si sa vie entière en dépendait, comme si elle constituait une véritable bouée de sauvetage. Hélas, cet instrument, si elle avait appris à l’utiliser avec brio en six ans et faire en sorte que celui-ci remplace ses yeux, ne l’empêchait pas hélas de subir la connerie grasse de certains étudiants n’ayant pas inventé le fil à couper l’eau chaude… combien de fois, au juste, s’était-elle fait bousculer depuis cinq minutes ? Impossible de compter, à croire qu’elle soit devenue invisible alors qu’elle avait fait en sorte que sa tenue soit accordée à sa coiffure et à ses chaussures, comme toute Cabot qui se respecte et qui surtout respecte son look. « Tu ne peux pas regarder où tu marches, espèce d’abruti néandertalien ?! » vociféra-t-elle subitement, au bout de l’énième bousculade. A ce rythme là, elle allait finir par être couverte de bleus et ne plus pouvoir mettre de tenue sexy, adieu donc sa belle robe pour le bal de Noël à la Cabot House. Mais si c’était son seul problème… Thaïs souffrait actuellement d’une légère désorientation, ne sachant pas si elle se trouvait près d’escaliers ou dans l’un de ces fameux couloirs interminables. Ce n’était pas faute de connaître le Hall de l’université sur le bout des doigts d’ordinaire, mais là, elle avait été pour ainsi dire dérangée dans son fil de pensée toutes les deux secondes. « Excuse-moi, je voudrais retourner chez les Cabots, tu peux me dire si je me trouve vers le Hall ? » arrêta-t-elle la première étudiante par un geste doux contre son bras, sans savoir qu’en vérité… elle connaissait déjà cette personne.
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