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¸¸ Why ? ─ MAY [HOT]

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T'es belle quand tu pleures.

Évidemment, elle chercherait à se débattre. Elle allait paniquer. C'était parfaitement normal, et il n'avait pas espéré autre chose. Enfin, si elle lui avait sauté dessus elle aurait mangé le mur, mais comme ce n'était pas le cas, il n'avait aucune raison de le faire. A mesure qu'elle semblait stresser, Kakeru finit par relâcher la pression et l'attira à lui pour l'enlacer, posant une main sur sa chevelure.

« Je coucherai pas avec toi. »

Pour quelle raison une fille pouvait-elle avoir l'air aussi paniquée devant un gars ? A quoi avait-elle pensé quand il l'avait coincée contre le mur ? La seule chose que ça avait confirmé, c'était qu'elle n'avait pas l'esprit tranquille.

« Tu te fonds en excuses, tu pleures, tu me gifles, mais tu restes, tu me fais à manger, tu me suis jusqu'ici et tu t'inquiètes, même. Et ça fait deux heures qu'on se connait. »

Pour bien souligner le fait qu'il avait bel et bien remarqué qu'elle avait un problème, probablement un besoin de compagnie, d'attention. Manque de chance pour elle, May n'était pas tombée sur le gars le plus doux et le plus gentil. Elle était tombée sur l'abruti de service qui joue au caïd, agresse tout le monde et ne comprend rien aux sentiments. Il baissa légèrement la tête, ses lèvres s'approchant de son oreille. Il lui murmura alors une petite phrase, qui n'était ni drôle, ni déprimée. Comme si ce qu'il disait était une évidence qu'elle ne devait pas oublier.

« Je suis un connard, pas un violeur. »

Suite à quoi, il la relâcha, restant néanmoins proche. Allait-elle fuir ou bien rester ?

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J'ai eu peur...plus maintenant

"Je coucherais pas avec toi."

Sa phrase eu le don de me calmer direct. Je sais pas, il a fallu d'une seule phrase pour m'apaiser. Puis ce fut le geste aussi. Il me tira vers lui, et m'enlaça, mon coeur ratait encore un battement. Je sentais encore ses mains sur mes bras, pas au point d'être marquée, mais au point d'être troublée ouais. Mes larmes avaient cessées de couler, tant mieux, j'en avais marre d'être cette fille pleurnicharde, trop faible.

"Tu te fonds en excuses, tu pleures, tu me gifles, mais tu restes, tu me fais à manger, tu me suis jusqu'ici et tu t'inquiètes, même. Et ça fait deux heures qu'on se connait."

Il n'avait pas tort, une fille intelligente serait partie juste après avoir laissé le type se débrouiller, moi non j'étais restée. Trop bonne trop conne... Voilà ce qu'il devait penser de moi, et c'était ce que je pensais de moi. J'étais perdue, j'aurais peut-être dû partir, mais non. J'avais besoin de le savoir en sécurité, j'sais pas ça devait être dans mes gènes de m'inquiéter pour tout le monde.

Sauf que lui, à la base c'était un connard. Et la phrase qu'il me murmurait à l'oreille était exactement ce que je venais juste de penser.
Il m'assura aussi qu'il n'était pas un violeur, j'étais rassurée, et puis je sais pas, il avait la tête de l'emploi, enfin j'veux dire du parfait violeur vous voyez...

J'avais envie de partir, certes, surtout après la trouille que j'avais eu. Mais non. Il fallait que je sois conne jusqu'au bout.

" J'ai pas envie d'partir. Pas maintenant et pas comme ça..."
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Faut choisir...

Elle ne fuyait pas. Peut-être allait-elle regretter de ne pas être partie lorsqu'il lui en laissait l'occasion. Après tout, les connards pouvaient aussi faire du mal, sans violer. Que cherchait-elle avec lui ? A se rassurer ? Kakeru arqua un sourcil à sa phrase, mais ne décrocha pas son regard de son visage. Il voulait comprendre.

« Dans ce cas, tu comptes partir quand et comment ? »

Parce que lui, il songeait à plusieurs choses. Les parties de scrabble, c'était pas son kif. La télé non plus. L'ordi oui, peut-être qu'elle, non. Les jeux vidéos ça allait, dans une certaine mesure. Son état ne lui permettait pas d'aller dehors, et faire un pendu avec la demoiselle le ferait franchement chier. Alors quoi, discuter ? Il avait autre chose à faire. Il pouvait éprouver un minimum de compréhension car il était humain, mais il avait aussi ses priorités...

« Tu as le droit d'être déprimée, mais j'ai aussi mon boulot à faire. Si tu cherches une épaule sur laquelle pleurer, je suis pas le bon gars. J'te connais pas assez pour y accorder une réelle importance. » Sa main se tendit vers la joue de May et il la caressa brièvement avec le pouce. « A toi de voir. »

Suite à ces paroles, il retira sa main puis lui tourna le dos, retirant son bonnet en faisant tomber la compresse dans sa main. Le sang s'était stoppé, et il alla jeter la compresse dans la poubelle.

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Aïe...

"Dans ce cas tu comptes partir quand et comment ?

Quand je comptais partir ? J'en savais rien, peut-être quand ma peur d'avoir failli être à nouveau violée serait partie ? Comment ? J'en savais rien non plus, mais il était certain que j'n'allais pas coucher avec lui.

"Tu as le droit d'être déprimée, mais j'ai aussi mon boulot à faire. Si tu cherches une épaule sur laquelle pleurer, je suis pas le bon gars. J'te connais pas assez pour y accorder une réelle importance."

Aïe... ça, ça faisait mal, mais au moins il était franc. Il avait raison, on s'connaissait à peine, et j'étais conne de croire que j'aurais pu pleurer sur son épaule, ou du moins discuter avec lui. A ses yeux j'étais pas encore importante, ça se comprenait parfaitement.
J'avais la tête qui tournait, la fatigue peut-être ou je ne sais quoi, mais en tout cas, j'm'étais prise une sacrée claque morale. Il me caressa la joue, j'savais plus quoi penser de lui. Il avait certains côtés adorables, et deux secondes plus tard, il redevenait un vrai connard.

Ptêt que au final j'devais partir, mais j'sais pas, j'me sentais pas vraiment en forme pour rentrer à la Eliot House sans avoir dormi un minimum. J'avais mal. Pourquoi ? J'en savais rien.
J'étais juste fatiguée et j'avais besoin de dormir.

J'le regardais jeter la compresse dans la poubelle la plus proche. De dos, il paraissait si calme, il avait un dos rassurant, j'sais pas il avait ce truc qui m'aurait presque craquer et céder à la tentation. Mais sa franchise m'était restée coincée dans la gorge.

" Est ce que... j'peux juste me reposer un peu sur ton canapé ? Demain matin j'serais partie avant même que tu ne sois réveillé, promis..."
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Je ronfle.

Dormir sur son canapé, hein ?... Kakeru lui tournait le dos, rangeant quelques affaires de la cuisine. Il resta un instant silencieux et ne reprit la parole que lorsqu'il se retourna pour lui faire face.

« Comme tu veux. Mais t'es prévenue, je ronfle, assez fort pour que tu m'entendes de ma piaule. »

Honte ? Non. Il évitait les mauvaises surprises et il se foutait de savoir si ça la dérangeait vraiment, en fait. Sortant une bouteille d'eau du frigo, il bu quelques gorgées puis la rangea. Il s'essuya la bouche alors qu'il se rapprochait de la porte de sa chambre.

« Tu peux poster tes affaires sur la table de la salle à manger. »

Dans sa chambre, Kakeru ouvrit son placard. Il farfouilla quelques secondes dedans, puis revint dans le salon, un bras chargé d'une couverture et l'autre de deux pièces de vêtements. S'approchant du canapé, il posa la couverture dessus, puis empila le pantalon et le t-shirt dessus.

« Tiens. Ca me ferait chier de t'entendre éternuer parce que t'as froid. Je te déconseille juste de partir avec, t'aurais l'air bête. »

Il afficha un petit sourire narquois, montrant bien le logo du t-shirt avec un gros pénis dessiné dessus. Certes, en pénis tribal, mais un pénis quand même. En vérité, Kakeru n'avait pas vraiment fait attention au t-shirt, mais il trouvait qu'il était bien tombé.

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Bébé dors

"Comme tu veux. Mais t'es prévenue, je ronfle, assez fort pour que tu m'entendes de ma piaule."

Qu'il ronfle ou non, je m'en moquais, puisque moi j'avais un sommeil profond. Je souriais et soupirais en même temps, c'était la première fois que je découchais sans vraiment me retrouver dans le lit d'un autre gars. Mais cette nuit, je savais que j'allais mal dormir. Pas à cause des ronflements, mais plutôt à cause de la soirée qui avait été éprouvante.
J'le regardais boire l'eau, rien que ça, c'était étonnement sexy. Ouais j'étais fatiguée, et fallait que j'ai les idées claires pour pouvoir bien dormir.
Pendant ce temps, je réglais mon réveil pour 7 heures du matin, même s'il était déjà une heure du mat, j'pourrais au moins dormir quelques heures.

Il partait dans sa chambre, j'pensais qu'il allait déjà se coucher. Puis il revenait quelques minutes plus tard avec des fringues à lui qu'il déposa sur le canapé. Puis une couverture. Il était quand même prévenant quand il voulait. "Merci." fis-je à voix basse en observant le tee shirt. Il avait des goûts bizarres. Vraiment.

Je pouffais.

" Sympa le haut." fis-je amusée.

" Bon... et bien bonne nuit, je suppose ? " lui lançais-je avant de me retourner, enfin d'lui tourner le dos le temps d'ôter mon haut, pour enfiler le sien à la place. Rares étaient les personnes qui pouvaient voir les marques sur mon dos. Une cicatrice plutôt. Un souvenir de mon violeur...
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C'est net et précis...

Drôle de goût... Si on veut. Lui ne voyait pas le problème. c'était pas un t-shirt qu'il portait dans la rue, alors il se contenta de hausser les épaules. Se penchant pour récupérer un livre qui traînait sur le canapé ainsi que la manche déchirée qui traînait toujours, Kakeru ne la vit se déshabiller que du coin de l'oeil. Lorsqu'il se redressa, il jeta un bref coup d'oeil à son dos. C'est là qu'il vit la cicatrice. Nette, précise. Avec son bras, Kakeru avait vu ce à quoi pouvait ressembler une cicatrice. Autant la sienne à lui était discontinue et un peu dégueulasse car récente et causée par l'attentat, autant celle de May était tellement droite qu'il était difficile de ne pas en comprendre l'origine ; quelqu'un lui avait infligée. Ou alors elle avait vraiment pas de chance de s'être payé un truc dans le dos.

Lentement, sans trop qu'il n'y réfléchisse, la main de Kakeru se posa sur le dos de la jeune fille, et descendit légèrement en touchant le bord de la cicatrice. Cela ne dura que trois secondes, puis il retira sa main et détourna son visage avant de s'éloigner.

« Hé ben, celui qui t'a fait ça était un pire connard que moi. »

Aurait-elle dû s'attendre à autre chose ? Il n'y avait pas pensé. Si ça la gênait, ou non. C'était elle qui s'était déshabillée devant lui, après tout. Le livre à la main, Kakeru s'éloigna et partit dans sa chambre en lâchant un « Bonne nuit ! » sans la regarder. Il poussa la porte de la chambre, n'aimant pas la fermer complètement, puis alla se laisser tomber sur son lit en râlant sur son mal de tête. Face contre le coussin.

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Bébé dors

"Hé ben, celui qui t'a fait ça était un pire connard que moi. "

Je sursautais, ou plutôt je frissonnais en sentant sa main descendre le long de mon dos jusqu'à frôler ma cicatrice... Je ne m'y attendais pas du tout, et j'avais l'impression que j'allais céder. Il suffisait d'un geste venant de sa part, ou d'un instant de gentillesse, que rien que ça suffisait à me troubler.
J'n'avais eu le temps de rien dire, puisqu'il partait déjà dans sa chambre, laissant la porte plus ou moins fermée.
Je jetais un dernier coup d’œil en la direction de sa chambre, et je savais parfaitement que j'aurais du mal à dormir après tout c'qui s'était passé, et aussi après qu'il ait effleuré mon dos.

Je lançais un " Bonne nuit." à la porte en espérant qu'il m'ait entendu. J'voulais le rejoindre, j'sais pas j'étais super tentée. Fallait que je résiste, j'avais mal au coeur, enfin pas vraiment, mais j'avais juste le coeur serré.

A cet instant j'voulais appeler Jae, mais connaissant son père, il lui aurait pris son portable ou je ne sais quoi. Je retenais mes larmes, j'voulais changer, j'voulais être plus forte.
Je savais que ma rencontre avec Kakeru allait faire de moi une autre personne, c'était obligé, c'était le seul mec du campus que j'avais giflé depuis que j'étais là.

J'mettais le pantalon qu'il m'avait laissé, attrapait la couverture et j'm'allongeais sur le canapé, sur le dos. Mon regard se perdait sur le plafond du salon.
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Dors, l'enfant, dors...

Entendue ou pas, May n'allait pas l'empêcher de passer une bonne nuit, enfin c'était ce qu'il se disait au moment où il fermait les yeux, au milieu de ses ordinateurs, bouquins, feuilles et fringues. Sa chambre, contrairement au reste de l'appartement, était bordélique. Il y y avait bien cinq écran d'ordinateur et autant de tours, faisant bien ressortir le côté nerd du jeune homme. Et nous ne parlerons même pas des consoles de jeux qui traînaient, donc deux psp et une ps vita... fallait-il aussi compter les quelques engins bizarres originaires du Japon ? C'était à se demander si sa chambre n'était pas un range-bordel. Mais bon.
Sur le dos, allongé sur son lit deux places, Kakeru posa son avant-bras devant ses yeux alors qu'il fronçait les sourcils. Le mal de crâne allait bien l'empêcher de dormir. Il poussa alors un long soupir et se frotta les yeux, se remémorant la soirée. En fait, quand il y repensait, c'était la première fois qu'il passait une soirée de ce genre. Qu'on vienne l'aider en dépit de son caractère de cochon, que la personne reste dormir ici, et surtout, qu'il réalise qu'il pouvait vraiment être mauvais par moment, assez pour comprendre qu'il y avait des limites sur les choses à dire. Regardant son plafond un instant, le jeune homme songea encore un moment, puis ferma les yeux en bâillant. Il allait tellement peu dormir qu'il n'était même pas sûr de se mettre à ronfler.

Vingt minutes plus tard, il sombrait enfin dans le sommeil, n'ayant même pas pris la peine de se mettre sous la couette.

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Bébé dors

J'n'arrivais pas à dormir... c'était impossible. Il était déjà deux heures du matin, et je savais que ma nuit était foutue. J'sais pas, à cause du stress, ou bien parce qu'il y avait un garçon dans la pièce d'à côté. C'était con comme réflexion, puisqu'à Harvard j'avais un coloc, un mec, donc bon.
Mais là c'était différent, Kakeru était différent, et qu'il me faisait de l'effet. C'était bizarre, j'pensais pas qu'au bout de deux heures il aurait réussi à me plaire. Tout c'que je savais sur lui, c'était qu'il était un vrai connard, qu'il m'avait blessée moralement, et que pourtant il avait des côtés adorables, même s'ils ne duraient que quelques instants.

J'me retournais plusieurs fois sur le canapé, j'soupirais, j'me levais, j'marchais dans le salon, pendant que lui, dans sa chambre il ronflait. J'avais envie d'squatter son lit, j'sais ça s'fait pas.

02:30 du matin :
J'n'arrivais toujours pas à dormir, j'me levais, ouvrais la fenêtre et me posait sur le mini balcon qu'il y avait. Dehors il faisait super froid, le vent fouettait mon visage, mais ça m'était égal.
La pleine lune était là, à faire sa belle dans le ciel, j'avais l'impression que j'pouvais la toucher, la prendre dans ma main.
J'souriais bêtement, puis j'sais pas, j'avais comme envie de tout foutre en l'air,gâcher ma vie, j'avais subitement plus envie d'vivre.
J'avais peur. J'rentrais dans le salon, bien au chaud. J'voulais partir, rentrer chez moi et pleurer. Encore ouais.

4:00 du matin :
J'm'étais finalement endormie, puis j'regardais l'heure sur mon portable. J'ôtais le tee shirt que Kakeru m'avait filé, j'mettais le mien à la place, enfilais ma veste, récupérait mon pantalon et quittait finalement l'appartement.

J'avais laissé un mot sur la table du salon:
" Merci. Et désolée d'm'être immiscée dans ta vie ."
J'laissais quand même mon numéro de portable, histoire d'lui dire comment il pouvait me joindre pour que j'puisse lui rendre son pantalon.
C'était le coeur serré que j'rentrais à la EH.
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