On est quoi au juste, des amis, des sexfriend ou plus que ça ? ► Thélia

Elle ne répondit pas à ma question. Si bien, que je me sentis mortifié au point de me mettre à songer  qu'elle n'avait pas envie de moi, qu'au contraire, mes craintes se révélaient comme étant vrai et qu'elle était en train de se forcer, mais alors que je l'embrassais et que je m’apprêtais à la reposer par terre, elle vint attraper mon tee-shirt à l'aide de ses deux mains afin de le faire remonter non sans aucune douceur. Un sourire apparut sur mon visage alors que notre proximité était extrême malgré nos vêtements. Elle me rendait carrément fou. Bloquant véritablement mon bassin contre le sien pour ne pas qu'elle tombe, je levais les bras au ciel avant de jeter le bout de tissus et de replonger mes lèvres contre les siennes excité comme jamais. Puis, je vins placer un bras derrière son dos et une main derrière sa nuque, tout en l'embrassant et je l'écartais du mur, ayant vérifié préalablement que ses jambes étaient bien entourés autour de ma taille. Je la portais donc ainsi presque sans douceur et romantisme et me dirigeais vers ma chambre, ou je me m'assit sur le lit, la jeune femme toujours accrochée à ma taille, j'attrapais son tee-shirt et le fit remonter le long de sa taille avant de le lui enlever complètement. Elle se trouvait désormais en soutien-gorge devant moi, et je me mis à embrasser chacun de ses seins à travers la fine dentelle. Comment pouvait-elle exercer à ce point ce tel pouvoir sur ma personne ? Je n'arrivais plus à penser à quoique ce soit à part elle et le fait que je la tienne entre mes bras. Puis d'une main, alors que l'autre caressait son flanc, je viens dégrafer son soutien-gorge, et fit en sorte qu'elle le retire. Je ressentais un besoin pressent de l'avoir tout à moi, alors que nous avions pris tout notre temps la première fois.

Je ne pouvais me rendre compte que d'une chose et cette chose était que j'aimais la jeune femme que je tenais dans mes bras, que je ne désirais qu'elle et que nous nous apprêtions à passer à l'acte. Je venais de lui retirer son tee-shirt et son soutien-gorge alors qu'elle m'embrassait dans le cou. Chaque parcelle de ma peau qu'elle touchait ou embrassait me brûlait à vif ensuite. Ça en était tel que je n'étais même plus conscient de ce qui se passait autour de nous tellement elle me prenait au dépourvu comme tout mon bon sens. Je me mis à mordiller un de ses petits bouts de chair rosée, savourant leur texture et la douceur de sa peau alors que la jeune femme tentait de me retirer mon pantalon. De ce fait, elle me poussa sur le lit, m'arrachant un sourire et sans réellement bouger, je fis glisser mon pantalon jusqu'à mes chevilles, le faisant tomber par terre, me retrouvant en caleçon face à elle. Elle déposait des baiser le long de mon cou et de mon torse si bien que je fus amené à me mordre le poing pour ne pas gémir bruyamment. Puis je me relevais sur les genoux et inversais les rôles afin de pouvoir lui retirer son propre pantalon. Je ne me lassais définitivement pas d'elle. Une fois la chose faite, je plaquais mon torse contre sa poitrine et mes hanches contre les siennes, et je me fis à faire des mouvements de bassin, malgré que nous ayons encore nos vêtements tout en l'embrassant avec fougue.

Nous étions sur le point de nous unir pour la seconde fois et cette fois-ci nous le faisions en étant un réel couple. Malgré ce qu'il avait sûrement se passer ensuite, je voulais savourer chaque instant de ce que nous étions en train de vivre. Nous avions un peu brûler des étapes mais je concevais que pour ma part c'était parce que je n'avais qu'une envie, la tenir aussi près de moi que possible. Et maintenant que j'avais retiré mon pantalon et elle le sien, et que couché sur elle, je lui donnais des mouvements de bassin qui ne pouvait que lui faire prendre conscience de l'importance de mon désir vis-à-vis d'elle. Si elle savait seulement le quart de ce qu'elle me faisait ressentir. Je l'embrassais un peu partout ou je pouvais, sur les lèvres, les joues, les paupières, le cou, me délectant principalement de sa poitrine, attrapant de temps en temps à un de ses seins avec ma bouche. Je sentis soudainement ses mains glisser sur mes fesses, elle tira sur mon sous-vêtement afin que je l'enlève et je pus constater à quel point elle était aussi pressée que moi-même je l'étais. Elle ne me laissa pas le plaisir d'achever de la déshabiller, car elle s'occupa elle même de son bas. Nous étions désormais nu l'un contre l'autre pour mon plus grand bonheur. La tirant doucement avec moi, je nous remontais légèrement afin qu'elle puisse s'installer confortablement contre sur les oreillers, puis je m'appropriais ses lèvres, nouant ma lange avec la sienne, tandis qu'une main caressait ses cuisses et une autre ouvrait un tiroir d'une table de nuit afin d'en sortir ce qui permettrait de nous éviter des problèmes. Je me détachais finalement d'elle, pour appliquer la chose et  après m'être assurer que tout était en ordre, je rentrais en elle presque sans délicatesse, prouvant à quel point j'avais besoin d'elle.

Personnellement, je la trouvais incroyable. Après avoir enfilé ce qui nous éviterais le moindre problème, je m'étais introduit en elle et avais commencé des mouvements de bassin, d'abord lents pour qu'elle puisse s'habituer à moi, ils devinrent ensuite plus rythmés alors qu'elle m'embrassait encore et toujours. Je faisais tout mon possible pour garder mon sang-froid alors que je n'arrivais même plus à avoir une seule pensée cohérente. Merde alors, elle me faisait perdre tout contrôle. Je vins ensuite agripper ses jambes afin de les enrouler autour de ma taille pour que la proximité soit encore plus profonde. Quelques coups de bassins en plus et j'attendis à ce qu'elle n'atteigne le summum du plaisir en première, puis je vins la rejoindre. C'était tellement bon. Puis à bout de force, je m’effondrais presque sur elle, faisant attention tout de même à ne pas l'écraser, déposant des baisers sur ses lèvres, puis je me retirais et m’allongeais à côté d'elle plaçant un drap sur nous. Je retirais l'élément usager et me passais une main sur le visage, mon cœur battant encore la chamade. Je me plaçais après sur le côté, m'appuyant sur un coude et posant ma tête dans le creux de ma main, je la fixais ensuite. « Ça … a été ? » Je me sentais idiot de poser ce genre de question mais je voulais savoir si ça avait été aussi intense pour elle que pour moi.