LOWELL HOUSE ✗ La Bella Venezia

La bella venezia

LOWELL HOUSE, HOUSING DAY 2013
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Mon cœur bat à cent à l’heure. Bon on va se calmer Lizie okey ? C’est juste une mauvaise blague, hein ? Juste une très mauvaise blague. De mauvais gout fait par des… j’plisse les yeux, impossible de savoir de quelle fratrie il s’agit exactement. J’étais restée figée sur place face au braquage, la boule au ventre, la gorge nouée, le cœur serré. Pourquoi j’avais l’intuition que c’était juste une blague mais pourquoi j’y croyais ? cela semblait si réel. En fait je panique tout de seule. Et là, coup de théâtre. Une voix à mon oreille me fait sursauté et j’lâche les mains de mon partenaire en voyant Yohan devant mes yeux. J’l’aurai reconnu entre mille derrière son masque. Mon dieu, me dit pas qu’il était venu pour moi, pour venir me voir ? Et maintenant il se retrouvait bloqué avec moi. J’arrive à peine à bafouiller Yohan.. mon dieu et en plus d’être bloqué il me voit dans les bras d’un autre homme. J’suis maudite ou quoi ? J’m’étais défait de l’étreinte du jeune russe m’approchant de Yohan discrètement, histoire que les « braqueurs » ne voient rien et je lui dis en un murmure J’ai.. j’ai peur. Faut qu’on sorte d’ici. lui dis-je en lui prenant la main. Au moins ça, ça avait le don de me rassurer.

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HOLD UP
HAAAAAAAAAAANDS UP !

Je promets d'aller embrasser Anya et Andy pour leur défi, après qu'on soit sorti. Enfin non, pas Andy. Mais je m'éclatais trop, intérieurement j'étais morte de rire et extérieurement j'essayais le plus possible de le masquer. Sérieusement, j'adorais ce défi. Un faux-braquage, c'était complétement tordu le soir d'un Housing Day, ils avaient tous peur je pense puisqu'on essayait d'être crédibles au maximum. Je voyais Elizabeth qui ne m'était pas inconnue, avec un homme (Yohan) qui parlaient. Désolée Lizie, mais j'avais pas trop le choix. Je m'approchais d'eux en pointant mon arme sur eux, chacun leur tour. Vous avez entendu c'qu'il a dit ? Portables et bijoux, VITE ! gueulais-je, en changeant de voix. C'est pas une voix de barbie comme la mienne qui allait faire peur, il fallait bien la modifier un peu et la rendre plus virile. Je crois que c'était assez réussi. Je faisais toujours attention et attendis qu'ils s'exécutent. J'avais aucune idée de quand on partirait et si on leur dirait que c'était un défi, j'attendais de savoir ce que Walter me dirait.

(Invité)

PUTAIN la peur de ma vie! Lizzie s'approchait de moi pour me chuchoter à voix basse ce que tout le monde ressentait tout haut : on avait peur. Mais le simple fait de savoir que ces deux rigolos puissent la menacer me rendait dingue... dingue! Ma main légèrement moite serra la sienne, le stress n'aidant pas les choses, alors que je tentais le plus possible de la rassurer.

«Ça va aller, j'vais nous sortir d'ici...»

Ma voix étant beaucoup moins forte que tout à l'heure, j'ôsais espérer qu'on pourrait passer inaperçu. Je regardai autour de moi furtivement, mon œil étant gauche étant malheureusement obstrué par mon masque me rendant la tâche beaucoup plus difficile que ce qu'elle ne devrait réellement l'être. Des gens autour, beaucoup de gens pour nous servir de couverture, la porte, gardée par le mec et... La... LA FILLE (Blue)? Elle avait disparu! Je regardai, tout à coup paniqué, autour de nous pour finalement la voir. En face de nous. Son pistolet braqué sur moi, mais surtout, le plus flippant, c'est qu'il était braqué sur Lizzie aussi. Immédiatement je fis un pas en avant, mais surtout sur le côté pour protéger Elizabeth et la soustraire de la mire de l'ennemie. Elle voulait mon portable?... Bon, d'accord. Fouillant dans ma poche, je le sortis finalement très lentement.

«Y'a que des mathers pour faire un truc aussi tordu.»

Ma stratégie était donc établie : je devais savoir de quelle maison ils venaient. Nous pouvions déjà exclure la Winthrop et la Cabot, puisqu'ils étaient une paire hétérogène. Dunster? Non, je les reconnaîtrais tout de suite et je serais sûrement au courant. Lowell? Contre leurs propres membres? Peu probable, ils auraient été reconnus! Quincy?... C'est une blague! Les Quincys feraient pas de mal à une mouche! Ne restait plus que les deux maisons qui se livraient à une guerre sans merci au sein d'Harvard : La Eliot et la Mather. Or je comptais bien jouer avec leur orgueil pour leur faire cracher le morceau!

(Invité)

HOLD UP
HAAAAAAAAAAANDS UP !

J'avais envie de rire à la folie, mais je me retenais. Pourtant c'était vraiment tentant ! J'adore martyriser les gens, et là, faut dire que c'était l'occasion pour. La parfaite occasion, ouaip. Je ne reconnaissais personne dans la salle. En même temps, je ne fréquentais aucun Lowell. Pas assez intéressant à mon gout ceux-là. Mais les voir nous fixer comme ça, le visage crisper ça faisait monter l'adrénaline et je me sentais tellement puissant ! J'adorais ça. Dominer les autres, y a rien de tel. Blue s'approcha d'une fille rousse, assez mignonne et je la regardais faire en continuant de menacer les autres avec mon arme. Vous avez entendu c'qu'il a dit ? Portables et bijoux, VITE ! Sa voix était trop drôle, j'avais envie de m'écrouler de rire, et je devinais sans difficulté qu'il en allait de même pour elle. Je surveillais tout de même le mec (Yohan) qui s'était approché de la rousse. Je le voyais cogiter et je braquais à mon tour mon arme dans sa direction pour le dissuader de tout geste. Y'a que des mathers pour faire un truc aussi tordu. Je laissais échapper un petit rire, que j'avais pas sû retenir. Ah si on pouvait faire porter le chapeau aux mathers, ce serait la cerise sur le gâteau. Je les regardais mettre leurs affaires dans la caisse que Blue tendait vers eux. Tais-toi, toi ! Critique pas les mathers, ce serait la pire chose à faire !. Faire croire qu'on était mathers, ça sonnait vraiment comme une bonne idée. Blue tourna la tête vers moi et me sourit : je crois qu'on venait de penser à la même chose.

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La peur me resserra les tripes quand je vis l'autre mec se ramener. Un de plus. Deux armes contre deux personnes. Hors de question qu'il ne nous fasse du mal! En même temps, en voyant leur visage, je pouvais voir qu'ils avaient un max de plaisir. Mon portable dans ma main, le mettant bien en évidence pour qu'ils voient que je ne faisais aucun geste brusque, je dévisageai le mec. Et là... Il tomba tête première dans mon piège.

C'est connu. Mather et Eliots se détestent depuis... bah euh... J'sais pas. Mais Mather et Eliots se détestent. Or l'occasion de mettre tout sur le dos de leurs pires ennemis s'étaient avérée beaucoup trop alléchante et... you fell for it. En disant qu'ils étaient des Mathers, ils prouvaient être des Eliots. Et fort probablement des bizuts, comme moi! Si l'inverse serait arrivé et qu'ils avaient été Mathers, ils auraient probablement niés et auraient tenté de faire croire qu'ils étaient Eliots! Je retirai mon masque tranquillement, ma peur complètement disparu.

Mon masque tomba, mais pourtant.

«Vous êtes démasqués, les potes. Vous êtes des Eliots!»

Je n'avais pas la force d'un Winthrop ni le talent artistique d'un Lowell. Mais j'avais l'intelligence d'un Dunster, et je m'en servais! Maintenant, je pouvais me servir de mon moyen de pression numéro un pour nous sortir moi et Lizzie de toute cette merde! Allumant mon portable, je n'eu qu'à le mettre sur la convo de moi et Andy. Mon meilleur ami. Le mec avec qui je jouais quand j'étais haut comme trois pommes. Je le leur tendis nonchalamment.

«Vous voyez la convo? C'est Andy! Enfin ouais il est écrit BF, comme Best friend, mais bon... Vous le reconnaissez, n'est-ce pas?»

J'en pouvais plus, l'arrogance commençais à me submerger.

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Housing Day 2013

Qu'est ce que j'étais heureuse de faire la connaissance d'un nouveau Lowell.. J'adorais accueillir les nouveaux surtout qu'en ce moment dans notre maison ils se faisaient de plus en plus rare ..Je comprends pas pourquoi pourtant ! On a vraiment une des meilleurs maisons du campus , les nouveaux devraient pourtant s'y plaire ??! Bref , il ne faut pas que je m'attarde trop sur ce sujet je devrais plus m'occuper de ceux qui sont présent ce soir comme Chris. J'allais lui poser une nouveau question lorsqu'un bruit assourdissant venant de l'entrée fit son apparition .. Je pivotais ma tête en même temps que Chris et j’hallucinais complètement sur ce qui était en train de se jouer devant moi. Deux personnes cagoulées firent leur apparition , armes à la mains. Un Hold Up ? Dans notre Housing day : "- Mais c'est quoi se bordel là ? " m'exclamais je totalement hallucinait.. Ils peuvent pas nous faire ca à notre journée ? Je prenais rapidement le bras de Chris et lui dis je à moiter rassurés: "- T'inquiète pas sa ne se passe pas toujours comme ça dans notre confrérie" l, Putain quelle idée de nous braquer alors qu'on porte des robes et donc pas de téléphone , enfin pour moi.

CREDIT TO KAIJI FROM ILH

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Décidément, cette soirée remplissait ses promesses de divertissement et de réseautage. La discussion avec Lou allait bon train, et il ne semblait en sortir que du positif. Même si nos arts différaient, on semblait se compléter, et les défis qu'elle pourrait me lancer pour la conception de vêtement m'intéressait au plus haut point.

Comme il n'était ni l'endroit, ni le moment de parler plus en détails des dits vêtements, la discussion avait divergé vers le jeux. Trouver nos anciens malgré les masques, c'était marrant au début, mais avec le nombre grandissant, c'était moins sympa. Lou proposait (en blague ou sérieusement, je n'aurais su le dire) d'aller au micro. Eeeh... Nah, la scène, ce n'est pas pour moi. Je rougirais beaucoup trop de monter là-dessus, ça serait la honte. D'aillleurs, mes joues devaient déjà avoir pris une teinte rosé à la pensé. J'espèrais que mon masque cache ça.

J'allais lui répondre, mais une suite d'évènement s'enchaîna. Une fille, visiblement saoule, nous interrompit pour saluer mon interlocutrice. Je me reculai un instant, par peur peut-être qu'elle ne soit malade. Elle avait l'air dans un état tellement avancé, c'était pitoyable. Je me demandais en vrai si on ne ferait pas mieux de s'occuper de cette pauvre fille, en l'empêchant de boire plus par exemple et en l'envoyant au lit...

Encore là, pas le temps de réagir. Hold up. Euh, what?? C'était quoi cette joke. Sortir cellulaire, bijou, argent? Qu'ils cherchent mes poches dans les replis de ma robe, s'ils trouvent... Et puis, il y allait bien y avoir un beau prince charmant qui va sauver les pauvres demoiselles et damoiseau... Et oui.

-Ça en devient tellement ridicule, c'est marrant.

Je ne m'étais pas vraiment adressé à quelqu'un, j'avais juste réfléchi tout haut. On était encore près du buffet, donc je me fis une petite adresse pour manger pendant le spectacle. Mathers, Eliots, je connaissais pas encore vraiment. Mais où était la différence? C'était le bordel...

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Housing Day 2013

Tout se passait bien, jusqu’à ce que deux personnes débarquent, une fille et un mec, cagoulé, criant au Hold Up. Sur le moment je ne sus pas si c’était une blague ou si c’était sérieux, puis quelqu’un interpella le mec qui apparemment était un Eliot.
Je ne comprenais pas grand-chose, mais ne voulant pas laisser des troubles faits gâcher notre soirée, j’allais aussi à leur rencontre.
« On se calme là ! Vous êtes chez les Lowells ici, nos seuls trésors ce sont nos arts. Si vous voulez du fric retourner chez les Eliots. » Lançais-je.
Ma phrase sonnait mieux dans ma tête, je me sentais presque un peu con après l’avoir dit. Je ne savais pas comment allait réagir le mec en face mais j’espérais franchement que c’était juste une blague, parce que sinon, j’allais m’en prendre une bonne et n’étant plus bagarreur, je ne sais pas si j’arriverais encore à éviter un coup …

CREDIT TO KAIJI FROM ILH

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Housing Day
à la Lowell House

Nous étions en train de parler de tout et de rien avec la fameuse Natalina. On faisait connaissance quoi. Et je me demandais bien comment elle avait atterri à Harvard et me fit savoir qu'elle était venue pour son frère. Un sourire s'afficha sur mes lèvres. J'adorais entendre des histoires entre frères et soeurs quand ça se passe bien. Depuis que j'avais faille perdre Céleste, j'avais appris à reconnaitre à quel point la vie est fragile et qu'il fallait aimer ses proches le plus vite possible avant qu'ils nous soient arrachés. Puis elle me retourna alors la question et n'eus le temps de répondre que Oh tu sais moi je suis né ici donc ça coulait de source on va dire, bien que ... Vas-y même pas la temps de finir ma phrase que des glandus sont apparus dans notre petite soirée pénarde. Non mais ils sont sérieux ?! Voilà pourquoi je n'avais jamais intégrer de maisons. Je supporte pas ce genre d'évènement. On leur dirait de sauter d'un pont ils le feraient limite. Débile ! Putain c'est pas vrai ... Ma cavalière se plaignait elle aussi. On s'était évidemment arrêté de danser et je pus apercevoir une charmante créature, mais voilà qu'ils commençaient à braquer une des notre, alors que Nat' essayait de me rassurer. Oui si tu le dis ... Je trouve ça tout de même carrément pitoyable ... Mais je ne pouvais rien faire, je n'ai rien d'un héro. Par contre ça semblait être le cas pour Jeremiah. Valait mieux pour un président. Viens on se recule un peu. Fis-je à ma cavalière.

CREDIT TO KAIJI FROM ILH

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Aidan se traînait toujours son assiette de petits-fours désormais bien entamé lorsque des braqueurs firent irruption dans la pièce. Mâchant avec appétit une mini-pizza, il ouvrit cependant des yeux interloqués. « C'est une blague ? » se murmura-t-il à lui même. En fait il savait pas si il devait éclater de rire, prendre ses jambes à son cou ou aller coller des droites aux men in black. Le résultat fût qu'il resta immobile et parfaitement stupide. Les danseurs se reculèrent légèrement, certains crièrent et il entendit d'une voix distraite des sortes de négociations. Sans doute une blague d'une autre maison pour animer la soirée. Le Président s'était rapproché en ajoutant une petite provocation. Aidan haussa les épaules et continua de manger son en-cas, il verrait bien comment les choses tournaient. Rien ne sert de courir...

(Invité)

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