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If you love me let me go...

Anonymous

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if you love me let me go

• Dans un total abandon de tout ce que j’avais pu connaitre ou croire, j’avais laissé derrière moi toutes mes pensées en les rangeant dans une petite case de ma tête que je ne voulais pas ouvrir pour le moment, fermé à double tour, j’oubliais tout et je me laissais aller, seul mon cœur parlait. Car ouais, la seule chose que j’avais bien réalisé, c’est que c’était tout simplement mon cœur qui dictait en ce moment précis ce que je faisais, ce que je voulais faire, et pourquoi j’me comportait comme ça avec elle, pourquoi je ne lui sautais pas dessus pour l’incendier, la descendre plus bas que terre comme je savais si bien faire pour lui faire regretter tout ce qu’elle aurait pu faire ou dire. J’vivais enfin, j’découvrais chaque minutes qui pouvaient défilés un peu plus de ce qu’on appelait les sentiments… Quoi que non, vas’y ta gueule, d’où tu parles de sentiments ? Tu sais même pas ce que c’est, alors comment tu pourrais foutre un nom sur ce que tu ressens ? J’suis totalement paumé, mais j’fais comme si je contrôlais la situation, comme si je savais exactement quoi faire, que dire, quand le dire, mais c’était totalement le contraire, j’pigeais rien, je ne savais pas quoi dire, je ne savais pas quoi faire, qu’elle réaction elle pourrait avoir, j’me posais quand même pas mal de question, et à voir le regard qu’elle avait eu quelques secondes plus tôt, je n’étais pas le seul. Alors j’avais crevé cet abcès de question, et, à entendre sa réponse, j’étais enfin totalement sûr qu’elle était aussi paumé que moi… « Tout... Tout ça. Je ne sais pas pourquoi je fais ça. Tu peux pas savoir à quel point je t'en veux en ce moment. Mais... » J’la regarde, un léger sourire aux lèvres pour essayer de la rassurer, même si je sais pas si ça va marcher. J’caresse doucement sa joue, j’veux qu’elle se sente bien. J’sais pas ce qui me prends putain, mais habituellement j’fais pas ça… « On est paumé j’crois… J’vais pas te mentir, j’suis paumé… Mais j’suis bien, et en fait, c’est tout ce que je vois… » Et bim, ce soir c’est soirée révélation j’crois bien première fois que je balance quelque chose comme ça, j’pige pas ce qu’il m’arrive… •
CREDIT TO KAIJI FROM ILH

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Mon coeur battait à la chamade là, j'avais l'impression qu'il allait sortir de mon corps; j'avais l'impression qu'il pouvait l'entendre aussi, le sentir. J'étais à la fois stressée, mal à l'aise, perturbée, mais en même temps, j'étais apaisée, et je ne pensais à rien d'autre. C'était bizarre comment sensation, du coup, je ne savais vraiment pas comment réagir. D'un côté, j'avais la folle envie de le pousser, de me rhabiller et de rentrer chez moi. D'un autre côté, je voulais juste rester dans ses bras, yeux dans les yeux, rien d'autre. Alors j'hésitais, atrocement. Et il s'en est rendu compte. Il m'a demandé ce que j'avais. Il se préoccupait de moi avec cette petite attention et ça me faisait vraiment plaisir. Toute cette histoire me tracassait. Je soupirais. Je devrais peut-être vraiment me défaire de son étreinte mais je n'en sentais pas le courage. « On est paumé j’crois… J’vais pas te mentir, j’suis paumé… Mais j’suis bien, et en fait, c’est tout ce que je vois… » Ses mots me firent un choc en fait. Il était bien. Moi aussi. C'était dangereux, trop dangereux. Je n'osais pas imaginer vers où on était en train d'aller. Je pouvais pas me laisser m'amadouer ainsi, me laisser apprivoiser sans rien faire. Et sur le coup, j'me suis sentie étouffée. Je savais que j'allais regretter amèrement ce que j'étais sur le point de faire. Mais aucun de nous n'étions prêt à... ce qui était en train de se passer. Pas moi en tout cas. Et je le repoussais violemment, de toute mes forces. Comme je l'avais prédit, je regrettais tout de suite mon geste. Mais tant pis. Je me faufilais alors hors du lit. Je n'osais pas me tourner pour l'affronter. « J'peux pas... J'peux pas tout ça. C'est pas moi. Vaut mieux que je rentre. »
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• Je vous assure que j’ai essayé, j’ai essayé de l’oublier, de m’enfoncer la tête dans un oreiller et d’hurler à m’en défoncer la voix, hurler qu’elle parte, hurler qu’elle doit disparaitre et me laisser en paix, mais, il n’y avait rien à faire, elle restait là, à me regarder avec un large sourire de sadique et ces grand yeux lorsque je fermais les yeux. J’étais comme hanté par elle, comme ensorcelé, une simple marionnette que tu faisais bouger selon tes envies, c’est ce que j’avais fini par devenir… Habituellement, j’étais loin d’être ce genre de gars qui s’accroche à une fille et qui va se sentir mal pour un rien, mais cette fille me faisait un effet que je ne connaissais pas, j’avais l’impression d’être ailleurs lorsque j’étais à ces côtés. J’vois bien que ça va pas, je vois bien que quelques choses la dérange, qu’elle est aussi paumé que moi, et elle ne peut pas me dire le contraire, j’peux pas la laisser me mentir, j’en ai aucune envie. Alors je fais le grand plongeon, j’arrête tout ce qu’on a pu commencer et j’ui avoue être totalement paumé, que je ne sais pas ce que je fais, mais qu’au fond, j’suis bien, et que c’est tout ce que je vois, une fois de plus, j’me livre, une fois de plus, j’ui balance ce que j’ai sur le cœur, et pour ne pas vous mentir, j’m’attendais à une autre réaction de sa part. Elle me pousse et se lève assez rapidement du lit pour en sortir. Putain mais elle fout quoi ?! J’suis pas un petit toutou que tu peux manipuler comme ça, un coup ça va, un coup ça va pas, faut savoir, tu te décides, mais tu fais pas ça ! Moi qui était calme, j’commence à m’énerver, je sens toute cette haine en moi remonter, elle avait arrivé à l’apaiser je ne sais comment, c’était la première personne à y arriver… « Bah fuis, une fois de plus… Refoule ce dont t’as envie, vas’y… Mais tu le regretteras… » Elle veut se casser ? Bah qu’elle le fasse, j’vais pas encore lui courir après, c’est pas à moi de faire ça, je ne l’ai jamais fait, alors on va arrêter les conneries. « Mais merci de m’avoir aider… » Voilà, maintenant, elle pouvait aller se faire foutre si c’est ce qu’elle désirait, elle pouvait se casser, faire sa vie, j’serais quand même dégouté, mais j’ferais en sorte que tout aille bien, un coup de poing par ci, un coup de poing pas là, et l’affaire est réglé, j’suis pas difficile à ce niveau là… •
CREDIT TO KAIJI FROM ILH

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Je n'aurais pas dû. Je n'aurais pas dû céder à mes pulsions, je n'aurais pas dû céder à mes envies; je n'aurais pas dû le repousser, je n'aurais pas dû me dégager de son étreinte. Tout était contradiction dans ma tête et je ne savais pas quoi faire. Retourner dans ses bras et m'excuser, ou alors, partir sans rien dire? Je savais que, dans le dernier cas, j'allais le regretter pendant longtemps, qu'il n'allait plus me jeter aucun regard. Et j'avais peur de ça, peur de lui être totalement indifférente, de n'être rien d'autre qu'une fille en plus dans ses yeux. « Bah fuis, une fois de plus… Refoule ce dont t’as envie, vas’y… Mais tu le regretteras… » Je le regrettais déjà. Je ne le regardais pas, mais je pouvais sentir ses yeux me fixer avec colère. Je déglutis avant de me lever et de retourner au salon, prendre mes affaires, sans même prendre la peine de me changer. « Mais merci de m’avoir aider… » Sa voix sembla telle un murmure, mais je l'avais parfaitement entendu. Je risquais alors un coup d'oeil en sa direction. Coup d'oeil fatal qui e fit à nouveau perdre toute conviction. Je me sentais à nouveau submergée. Sac en main, je me dirigeais à nouveau vers lui. Juste un, un dernier. Je m'arrêtais alors, devant lui. Je tenais mon sac fermement. Il ne fallait pas que je le lâche. Un dernier baiser, rien de plus. Je plaquais alors mes lèvres sur les siennes. Encore une fois, je cédais à mes pulsions. Une fois de trop. Mes doigts cédèrent et vinrent se perdre dans sa chevelure. Je l'approfondis. Douloureusement, dangereusement, je me laissais à nouveau perdre pieds. Je me sentis défaillir, mes jambes ne me supportaient plus. Et je retombais dans les draps. Ou plutôt, sur lui. Sauvagement, dangereusement, douloureusement.
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