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If you love me let me go...

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• J’ai été touché par cette fille. Comment ? J’en ai aucune idée. De toute façon, je ne dois pas y penser, je dois faire comme si ce qu’elle venait de me dire ne m’avait pas atteint, comme si j’en avais totalement rien à foutre. Bordel, je suis Ulysse, l’enculé qui se moque bien de ce que pense les gens, le connard qui joue avec les sentiments et se sert d’une fille comme un objet jetable. Mais elle, c’était différent, elle avait quelques chose qui avait le don de m’énerver, quelque chose que je ne comprenais pas. Faut pas que j’y pense, laisse la partir, tu t’en fous, des filles, y’en a des millions sur terre, tu n’as qu’à faire un numéro et t’en as dix qui rapplique dans cette chambre d’hôtel, alors pourquoi tu vas vouloir te prendre la tête avec elle ? ca me soule, ça me prend la tête, je déteste ne pas comprendre, je déteste qu’on se moque de moi et qu’on m’envoie chier, j’ai un cœur de pierre merde, rien ne m’atteint. J’suis un enculé, un vrai, un dur, alors dit lui d’aller se faire foutre, dit lui de se casser et de bien claquer la porte en partant, fait lui mal, parle lui comme à un chien, insulte là, dit lui que lorsque tu as couchés avec, tu t’es fait chier, soit méchant putain, soit toi, soit le Ulysse que tout le monde connait, pas celui qui raconte sa vie, qui se dévoile. Mais j’y arrive pas, ça me bouffe de l’intérieur de ne pas y arriver, comme si ce cancer que j’étais m’avait aussi atteint, je l’avais contaminé, mais j’avais fait de même avec moi. Putain de cancer. Putain de moi. A trop jouer, j’ai été pris à mon propre jeu, et je ne sais pas comment m’y défaire. J’vais pas y penser, j’vais continuer de faire ma vie, après tout, j’y suis toujours très bien arrivé, alors j’vois pas pourquoi ça changerait maintenant, pff, j’en ai rien à foutre d’elle. Mon cul ouais, j’la vois partir et ça m’énerve, elle prend ces affaires, se retourne, me regarde comme si elle allait me dire quelque chose, et elle part. J’vois dans son regard qu’elle veut parler, qu’elle veut dire quelque chose, mais que rien ne sort. C’est le moment pour moi de lui faire du mal, de la faire souffrir, de lui faire regretter de m’avoir parlé comme ça. Vas’y Ulysse, saute sur l’occasion, descend là, rabaisse là comme tu sais si bien faire. Une fois la porte fermé, j’vais derrière cette dernière et je colle mon oreille contre, je ne l’entends pas marcher, comme si elle c’était arrêtée. Bordel elle fou quoi ? J’m’adosse donc à la porte, j’vais la faire regretter. « Tu faiblis… » Avais-je lâché. Putain, mais j’voulais pas dire ça, j’voulais sortir un truc méchant merde ! Pourquoi j’y suis pas arrivé ? Mais quel connard je fais… •
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Je devrais partir, ça ne me servait à rien de rester là en fait. Et pourtant, mes jambes avaient décidé de rejouer les capricieuses. Elles ne voulaient même plus écouter mes ordres. Non mais c'est du n'importe quoi! Depuis quand les membres ont leur propre pensée?! Ils ne sont pas autonomes, ils n'écoutent que le cerveau, organe centrale de l'être humain, après le coeur, bien entendu. Parce que si le coeur ne bat plus, on meurt d'office alors que si le cerveau est mort, on devient juste un simple légume. Et là, c'était exactement ce que j'avais l'impression d'être. Un pauvre légume qui n'arrivait plus à penser, plus à bouger. Du grand n'importe quoi. En fait, je n'aurais pas du sortir. Ou plutôt si, j'aurais dû, mais j'aurais d'abord du lui rétorquer un truc du genre: je ne suis pas une fuyarde. Si je l'étais vraiment, je t'aurais laissé pourrir dans cette ruelle. Et bien nooooon, rien n'est sorti de ma bouche, comme si j'avais perdu ma voix. C'est con hein?! Je savais vraiment pas ce qui me passait par la tête et ça me faisait plus que chier. Je ne m'étais encore jamais retrouvée dans une situation pareille et ça me perturbait au plus haut point. Ouais, ce gars-là, il pouvait être heureux de savoir qu'il avait réussi à perturber notre petite blondinette internationale. Mais en fait, maintenant que j'y réfléchissais bien à toute cette histoire, il n'était pas le premier. Il y en avait un autre. Sauf que l'autre, il me faisait peur, ce n'était pas pareil. Ulysse lui... Il me faisait chié, il me faisait pas peur. Je voulais juste toujours avoir le dernier mot, l'envoyer bouler parce qu'il m'énerve rien que par sa présence. Et me venger de m'avoir utilisé comme un putain d'objet. Tout la monde sait que c'est moi qui utilise et pas le contraire. Merde, t'as faibli Ju... « Tu faiblis… » Je fronçais les sourcils. Quoi, j'avais parlé à haute voix? Non, c'était un murmure, un faible souffle au travers de la porte. De... Quoi?! Il lisait dans mes pensées maintenant?! À ça non, je ne suis pas une faible! Je me retournais alors et... C'est con, j'ai pas la clef. Mais je voulais pas descendre pour remonter. Je me pinçais les lèvres. Tant pis, la prochaine fois, j'allais lui montrer qu'il avait tord. Parce que bon, j'allais quand même pas hurler en plein milieu d'un couloir...
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• Moi, Alberto Ulysse Feliciano, vient de se faire baiser en beauté par une petite blonde qui se croit au-dessus de tout le monde. Pourquoi c’est sur moi que c’est tombé ? Moi qui me vantais d’être le plus gros enculé de la terre, j’viens de me prendre un pieu dans le cul sans avoir le temps de réagir, sans avoir le temps de me foutre une bonne claque dans la gueule histoire de me réveiller. C’est quoi ça, d’où tu fais confiance à une fille ? D’où tu lui balances que ton père est un putain de mafieux qui pourri en prison, que la tête de ta mère à heurter le sol pendant une overdose, et que t’es seule avec des millions ? Putain mais apprends à fermer ta gueule. Redeviens celui que tu étais, ce queutard qui ne pense qu’à baiser, qui se moque bien de l’avis des autres et qui réponds aux provocations à coup de tête. Putain elles sont passées où mes couilles ? Elles sont en haut de l’arbre, et j’me vois pas l’escalader. Jamais j’aurais dû laisser cette étincelle briller juste une seconde dans mes yeux, j’aurais dû lui balancer un saut d’eau en pleine gueule histoire de l’éteindre, de ne pas espérer je ne sais quoi avec cette fille. L’homme, c’est toi, le mâle et le mal, c’est toi, c’est pas elle. C’est à toi de contrôler, c’est à toi de prendre les décisions, t’en as rien à foutre de son avis, tu t’en branles, tu pisses sur les lois, tu chies sur ceux qui te font chier, et là, là, tu te retrouves comme un chien, une petite sous merde qui vient de se faire avoir par une fille, tu comprends rien à ce qui peut bien t’arriver, ça te tracasse, tu sais pas quoi faire, lui dire de revenir ou lui dire d’aller se faire foutre, que tu resteras quand même son putain de cancer, que tu vas continuer de la pourrir de l’intérieur, de la faire pleurer, de lui faire du mal. T’es là, comme un putain de pion que t’as toujours eu envie de renverser, derrière cette porte, et tu attends qu’elle réponde, tu attends un signe, un geste de sa part, pour quoi faire ? Aucune idée, vaux mieux qu’elle parte de toute façon, car ça va me mener où ça ? T’as cru que j’allais m’excuser de m’être mis à nu ? D’avoir cru un instant que ça pouvait bien l’intéresser ? Mais espèce d’abruti, elle est comme toi, elle en a rien à foutre. Alors maintenant, laisse la partir. T’ouvres la porte lentement, putain mais tu fais quoi abrutis ? Arrête ça, fait pas le con, t’en as rien à foutre j’te dis, arrête… Putain, trop tard, t’as ouvert la porte d’un centimètre, et tu repars t’asseoir dans le canapé. J’sais pas ce qui me prend, j’ai l’impression que ce n’est pas moi. « Soit tu rentres, soit tu te casses, mais assume ce que tu fais… » J’vais pas la laisser glander devant la porte toute la nuit, même si à la base, j’suis censé en avoir rien à foutre, bizarrement, j’peux pas, elle m’a aidé cette nuit, elle est venu me sortir de cette merde, elle n’aurait pas été là, j’aurais pas pu rentrer…•
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J'suis pas une faible, j'suis pas une faible, J'SUIS PAS UNE FAIBLE MERDE! Il ne me connaissait même pas ce gars et il osait me dire que je faiblissais?! Non mais il me prenait pour qui?! Je n'ai jamais été une faible, j'ai toujours gardé la tête haute, je ne me suis jamais laissée abattre, même quand on me faisait du mal, même quand je ne gagnais pas un concours. Je montrais à tout le monde à quel point je suis fière de ma personne, à quel point rien ne semble m'atteindre. Et lui, il osait me dire ça. Je bouillonnais complètement de l'intérieur. Je me mordis la lèvre inférieure alors que je serrais mes poings. Je ne savais pas ce qui m'empêcher de fracasser cette porte pour entrer et lui montrer qui j'étais. Il m'avait déjà manqué de respect une fois, je n'allais pas me laisser rabaisser une deuxième fois. Ou plutôt, une troisième fois. Jamais de la vie, plutôt mourir. Nous avions tous les deux un caractère de chien, on se ressemblait trop, pas étonnant que ça cassait toujours. On voulait tous les deux avoir le dernier mot et jusqu'à là, c'est toujours lui qui l'avait. Mais aujourd'hui, je n'allais pas me laisser faire. Sauf que voilà. La porte était fermée et je n'avais pas le clef. Mon poing me démangeait. J'arrêtais de me mordre la lèvre. Je ne voudrais pas me retrouver blessée pour lui. Certainement pas. C'est alors que la porte s'ouvrit. Comme par magie. Mais non, je le voyais se diriger vers le canapé. Il avait ouvert la porte. Et là, sur le coup, je semblais avoir oublié tout ce que je venais de penser, mes intentions. J'hésitais. Merde, c'était quoi mon problème?! « Soit tu rentres, soit tu te casses, mais assume ce que tu fais… » Il n'a fallu qu'il lève la voix pour me faire réagir. J'assumais toujours mes faits et geste. J'entrais alors, poussant la porte avant de la claquer derrière moi. Et entre mes dents, toujours en serrais mes points, je lui sifflais un « Je ne suis pas faible. » Je m'approchais de lui, le regard noir. « Tu te prends pour qui pour me juger comme ça?! Juste parce que j'ai un peu baissé ma garde, tu me dis ça?! Je sais même pas pourquoi je t'ai aidé, mais j'peux te dire que je le regrette vachement maintenant! Si tu savais à quel point j'en ai rien à foutre de ta vie. J'voulais juste te faire la conversation, mais j'm'attendais vraiment pas à ce que tu me balances tout. Dans toute cette histoire, j'crois que le plus faible de nous deux, c'est bien toi! Trois mecs et t'es déjà dans cet état. T'es pitoyable mon pauvre. » Les mots sortaient de ma bouche sans que je puisse les arrêter. Je les vomissais carrément et dieu savait à quel point j'essayais de les ravaler. Mais une fois que ça sortait, plus moyen de les remballer. Ils continuaient, et je me vidais.
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• Je l’ai touché, je viens de la pousser dans ces retranchements, et honnêtement, j’pensais pas qu’elle allait réagir de la sorte. Après tout, j’m’en branle merde, j’suis pas là pour lui lécher les doigts de pieds, qu’elle pète son câble, si ça peut lui faire du bien. J’viens d’entrouvrir la porte, histoire de voir sa réaction, et, allant vers le canapé pour m’asseoir, je n’attendis que peu de temps avant de la voir venir comme une furie, se dressant face à moi, montant dans une colère noire. « Je ne suis pas faible. » … « Tu te prends pour qui pour me juger comme ça?! Juste parce que j'ai un peu baissé ma garde, tu me dis ça?! Je sais même pas pourquoi je t'ai aidé, mais j'peux te dire que je le regrette vachement maintenant! Si tu savais à quel point j'en ai rien à foutre de ta vie. J'voulais juste te faire la conversation, mais j'm'attendais vraiment pas à ce que tu me balances tout. Dans toute cette histoire, j'crois que le plus faible de nous deux, c'est bien toi! Trois mecs et t'es déjà dans cet état. T'es pitoyable mon pauvre. » Ah, elle n’a pas aimé que je lui dise qu’elle soit faible à ce que je vois. J’la laisse dégueuler tout son venin, si ça peut lui faire du bien, qu’elle le fasse. Vu sa réaction, j’pense qu’elle est pas souvent confronté à quelqu’un qui ne mâche pas ces mots face à elle, à quelqu’un qui se branle totalement des autres, à quelqu’un comme elle, à quelqu’un comme moi. Je soupire en l’entendant parler. J’vous assure que j’me contrôle, je sers les points, la frapper ne servirait à rien, j’suis pas comme ça, jamais je ne lève la main sur une fille, c’est impossible. Bon, ça aurait été un gars, j’vous assure que j’aurais fait tout le contraire, même dans mon état, j’aurais tout fait pour lui faire regretter de me manquer de respect de la sorte. Elle veut recommencer ce petit jeu ? Et bien je suis l’adversaire qu’il lui faut, car même blessé, j’vais pas la laisser me parler comme ça, c’est rêver. « T’as finit ou t’en as encore à dire ? T’as pas l’air d’être habitué à ce qu’on te tienne tête… Mais j’me pose une question, si tu me détestes tellement, si j’suis si pitoyable que tu le dis, pourquoi tu m’as aidé ce soir ? Pourquoi t’as entretenu le cancer que je suis ? » Vas’y, répond à cette question honnêtement. J’suis là, dans mon canapé, et je n’ai pas peur de sa réaction, elle veut me frapper ? Qu’elle le fasse. Elle veut continuer de gueuler ? Qu’elle continue. Elle veut que je la fasse souffrir ? Qu’elle reste. D’un côté, ça me fait chier, j’commençais à me dire qu’elle était plutôt sympa comme fille, qu’au fond, elle n’était pas seulement cette petite peste pourri gâté qu’elle dit être, qu’elle avait un cœur… •
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Personne ne m’avait encore tenu tête avant. Ou presque. J’en avais oublié le goût et franchement, je ne regrettais même pas. Parce que je n’aimais pas qu’on me prenne pour quelqu’un que je ne suis pas. Lui, c’est ce qu’il faisait. Il arrivait à faire sortir un côté de ma personnalité, celle dont je ne m’en serais jamais doutée. Je ne savais même pas qu’elle existait, c’est pour dire ! Voilà, j’avais découvert une autre partie de ma personnalité, celle qui dormait encore jusqu’à aujourd’hui. Peut-être que oui, elle aurait pu s’éveiller un peu plus tôt, mais elle n’avait pas vraiment affirmé sa présence. Jusqu’à ce qu’il arrive et la secoue. Elle a vraiment ouvert les yeux et je ne savais pas si j’arriverais à la rendormir ou pas. Elle avait sans doute déjà trop dormi, plongée dans un sommeil pendant 18 ans. Ou peut-être moins ? « T’as finit ou t’en as encore à dire ? T’as pas l’air d’être habitué à ce qu’on te tienne tête… Mais j’me pose une question, si tu me détestes tellement, si j’suis si pitoyable que tu le dis, pourquoi tu m’as aidé ce soir ? Pourquoi t’as entretenu le cancer que je suis ? » Oui, il me posait une bonne question. Pourquoi avais-je fait ça ? J’pouvais quand même pas dire qu’il me faisait pitié. Enfin... Si en fait, je pouvais très bien le lui dire. Lui dire qu’il m’avait fait pitié, qu’il avait été ma bonne action de ma journée. Rien de plus. Qu’il n’avait pas à espérer, ce genre de chose ne se reproduira pas. Oui, c’était une bonne excuse. Sauf que je me rendais compte à quel point ce n’étaient que des conneries. Je l’avais aidée parce que... pour rien en fait. Je n’avais même pas pensé à demander quelque chose en retour, jusqu’à ce qu’il me le dise. Vraiment, ce gars m’avait retourné le cerveau en me tenant tête. Comme l’autre. « Parce que tu me faisais pitié. Alors j’me suis dit que tu seras ma bonne action de la journée, c’est tout. Mais ne t’inquiète pas, ça n’arrivera plus. » J’lui lançais limite un regard dégouté avant de rajouter une couche. « Maintenant, faut que j’aille prendre une douche. Faut que je me désinfecte, j’aimerais pas avoir les mains souillées par... ça. » Même pas toi, mais ça. Je venais de le traiter comme un objet, non pire, un animal répugnant
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• L’humain réagit parfois de manière bizarre, refoulant sa vrai nature et laissant aller son côté animal devant tout le monde. Pensant de manière totalement différente de sa façon de faire, j’me demandais bien ce qui lui passait par la tête. J’avais ce petit gars sur l’épaule qui me disait de lui dire d’aller se faire foutre, qui me disait de lui pisser dessus, que j’en avais rien à foutre de sa gueule, qu’après tout, c’était qu’une petite fille de bourge pourri gâté, les petites filles que tu aimes baiser pour ensuite les lâchés comme de la merde, comme de la substance pourri, pour leur montrer qu’elles ne sont pas exceptionnel, que même l’argent de papa et maman ne suffira pas à leurs faire trouver l’amour ou une merde du genre. Et sur l’autre épaule, t’avais ce gars calme, posé, qui te disais de la laisser dire, qu’elle était juste perturbé par ce qui lui arrivait, tout comme toi, t’étais comme elle, tu ne savais pas comment réagir, tu ne savais pas comment faire. C’était flagrant, un coup elle se casse, un coup elle revient, maintenant elle va prendre une douche, elle ne sait pas comment réagir, elle est aussi paumé que toi, alors elle fait ce qu’elle sait faire de mieux, être méchante, envoyer chier les gens, jouer les petites filles capricieuses, mais tout en restant là, tout en s’empêchant de partir. J’pourrais très bien lui dire de se casser avant que je la balance par la fenêtre, habituellement, c’est ce que j’aurais fait, et ça, sans me poser de question, mais là, je ne pouvais pas, là, je ne voulais pas. « Parce que tu me faisais pitié. Alors j’me suis dit que tu seras ma bonne action de la journée, c’est tout. Mais ne t’inquiète pas, ça n’arrivera plus. » … « Maintenant, faut que j’aille prendre une douche. Faut que je me désinfecte, j’aimerais pas avoir les mains souillées par... ça. » Je secoue la tête, elle continue dans sa lancé, mais je sais très bien qu’au final elle dit ça pour essayer de me faire du mal, mais ça ne marche pas, celui qui fait souffrir et qui remet les gens en question ici, c’est moi… « T’es tellement pas crédible, si tu savais… Mais va, va dont prendre une douche, essaye donc d’enlever se cancer, gratte, frotte le jusqu’au sang, mais il restera en toi, comme cette impression que tu as de ne plus rien contrôler, d’être perdu avec toi même… » J’vais pas non plus rajouter que moi aussi j’suis paumé, moi aussi je ne comprends pas ce qui ce passe, ça serait la mettre en confiance, et j’ai aucune envie qu’elle se dise qu’elle peut faire ce qu’elle veut. •
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J'étais revenue cette fille détestable. Je pensais vraiment que je me sentirais mieux une fois redevenue celle qui je suis vraiment, mais non. En réalité, je me sentais encore plus mal et ça m'énervait au plus haut point. Je comprenais pas pourquoi, et j'avais envie de lui faire payer toutes ces émotions que je ressentais, cette débacle de sentiments qui me rongeait. Mais il était blessé. En temps normal, j'en aurais même pas tenu compte mais là, oui. Et encore une fois, la colère et l'incompréhension me prenait. C'était quoi mon problème?! Je voyais bien qu'il ne me prenait pas au sérieux, et ça m'exaspérait encore plus.  « T’es tellement pas crédible, si tu savais… Mais va, va dont prendre une douche, essaye donc d’enlever se cancer, gratte, frotte le jusqu’au sang, mais il restera en toi, comme cette impression que tu as de ne plus rien contrôler, d’être perdu avec toi même… » Je me mordis la lèvre. Quelle horreur, j'avais l'impression qu'il pouvait lire en moi comme dans un livre ouvert. Il arrivait vraiment à me retourner le cerveau. Non, je n'allais pas me frotter jusqu'à sang pour qu'il se casse, je ne suis pas maso non plus. Je ne savais vraiment pas quoi faire. J'avais autant envie de détaler que de rester là. Puis, tout c'est passé trop rapidement. Sans m'en rendre compte, je me retrouvais sur lui tandis qu'un bruit retentissant résonna dans toute la pièce. Je venais de le gifler. Encore une fois. Et je me fichais pas mal de le blesser encore plus qu'il ne l'était. Et dire que la minute d'avant, je ne voulais pas le toucher. Là, je voulais juste lui faire du mal. « Je me contrôle parfaitement! Je ne suis pas perdue! Tu crois quoi? Que je suis une de ces minettes qui se laissent perturber par un connard comme toi?! N'y croit pas trop! Si j'ai envie de te soigner, je te soigne. Et si j'ai envie de te frapper, je le fais! Et là, j'ai juste envie que tu te TAISES! »
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• Et bim, j’me prends une gifle dans la gueule. Sans comprendre, je vois la blonde posé sur moi, appuyant sur mes cuisses et réveillant mes courbatures, et elle est là, me regardant, un regard rempli de haine, une tête de folle, comme si je venais d’essayer de la violer, comme si elle voulait se persuadé que j’avais totalement tort. Mais au fond, elle sait que j’ai raison. J’vous explique pas comment je monte en puissance là, j’ai envie de l’attraper par le cou, de la plaquer contre le mur et la frapper, la frapper jusqu’à la voir pleurer, la frapper jusqu’à voir le sang couler de son visage, jusqu’attends qu’elle s’excuse, qu’elle regrette, la frapper pour lui empêcher de recommencer encore une fois ce qu’elle vient de faire, mais je ne peux pas, jamais je pourrais lever la main sur une fille, et ça, même si j’en ai extrêmement envie. Lui décoller la mâchoire serait mon rêve là en fait. « Je me contrôle parfaitement! Je ne suis pas perdue! Tu crois quoi? Que je suis une de ces minettes qui se laissent perturber par un connard comme toi?! N'y croit pas trop! Si j'ai envie de te soigner, je te soigne. Et si j'ai envie de te frapper, je le fais! Et là, j'ai juste envie que tu te TAISES! » Elle essaye juste de se persuadé elle-même, elle veut juste se rassurer, mais au fond, elle sait très bien que j’ai totalement raison, elle le sait, je ressens exactement cette même bizareté qui est en moi, et je ne sais pas non plus ce que c’est. J’dis pas que je l’accepte, je n’accepte pas ce que je connais pas, mais je ne le montre pas, je fais comme si je contrôle la situation. Je reste assis, j’la laisse dans sa position, mais elle ne domine pas, je la laisse croire, je la laisse prendre confiance, pour ensuite la détruire de l’intérieur. « Frappe autant que tu voudras, mais ça ne changera pas, j’peux te l’assurer… T’as beau avoir envie de quelques choses, au final, si tu ne contrôles pas la chose, tu ne peux rien y faire… Alors maintenant, j’te conseil d’aller prendre ta douche, vaux mieux je pense. » Une gifle okay, pas deux. •
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Je ne pouvais pas accepter tout ça, cette incompréhension, parce qu'elle faisait de moi une fille que je ne supportais pas, remplie de doute. Alors j'essayais de me persuader, de me barricader dans ce tissus de mensonge. Sauf qu'il voyait clair dans mon jeu. Je ne voulais pas. La seule personne qui avait réussi à me déstabiliser, à me faire peur même, c'est Sidney, ce bâtard. Et là, un autre y arrivait, plus que l'autre connard. Alors je l'ai frappé, comme j'ai toujours su le faire. Je lui ai fait mal alors qu'il était déjà trop blessé pour recevoir un coup en plus. Je voulais juste qu'il ferme sa gueule. J'avais des envies meurtrières. Je voulais enserrer son cou entre mes doigts, lui montrer que j'avais le contrôle, le faire taire surtout. Mais je ne le faisais pas. J'étais toujours sur lui, à le regarder avec hargne. Je voyais bien que j'avais réveillé sa colère. Alors pourquoi est-ce qu'il ne ripostait pas? Pourquoi est-ce qu'il ne me frappait pas à son tour? Il savait que ça me calmerait. Comme l'autre bâtard avait osé faire. Non. C'était quitte ou double. Soit je me calmais, soit je l'étranglerais vraiment. Je voulais le faire réagir, tout comme il me mettait dans un état pas possible. « Frappe autant que tu voudras, mais ça ne changera pas, j’peux te l’assurer… T’as beau avoir envie de quelques choses, au final, si tu ne contrôles pas la chose, tu ne peux rien y faire… Alors maintenant, j’te conseil d’aller prendre ta douche, vaux mieux je pense. » Il voulait que je continue? Ma main me démangeait incroyablement. J'allais exhausser ses voeux. Je ne savais pas de quoi j'avais envie, ce que je voulais. Je voulais lui faire du mal. Tellement. Continuer à le gifler même si ma main me faisait souffrir. Mais d'un côté, je savais qu'il avait raison. Mais la dernière phrase me vexa. Ça voulait dire quoi ça, hein?! Je levais donc à nouveau la main, qui, une nouvelle fois, alla se frapper contre sa joue, mais de l'autre côté. « Je t'interdis de m'insulter! Qu'est-ce que tu ne comprends pas dans: "Je veux que tu te taises?! »
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