Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityIf you love me let me go... - Page 6
-20%
Le deal à ne pas rater :
Drone Dji DJI Mini 4K (EU)
239 € 299 €
Voir le deal


If you love me let me go...

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
if you love me let me go

• Si vous demandez à certaines personnes, elles vous diront que je suis loin d’être gentil, qu’on a jamais vu un gars aussi cruel et instable que moi. Ils n’auront pas tort. J’suis loin d’être le gars le plus saint de la terre, niveau connerie, disons que j’en ai fait, que j’en fais, et que j’en ferais tout au long de ma vie, malheureusement, je n’aurais pas le choix, malheureusement, je serais souvent mal vu par certaines personnes, catalogué d’enculé de base, de mafieux de merde qui passe son temps à glisser des points de vin, qui aime la corruption, il gars loin d’être fréquentable. Mais au fond, j’suis comme toi, j’suis un être humain, j’éprouve des sentiments, j’ai des émotions, j’peux m’énerver, même si la plupart du temps c’est plus rapidement que les autres, j’peux avoir envie de pleurer, même si ça arrive presque jamais, j’suis comme toi, toi et moi, on se ressemble, toi et moi, on est pareil, on a le même caractère, la même façon de faire, et on est là, à s’amuser à balancer des journaux sur les flammes, à entretenir ce gros bordel qu’on a foutu. Alors qu’au final, j’suis sûr qu’on pourrait s’entendre, au final, j’suis sûr qu’on aurait pu rigoler ensemble… Mais ça, je ne le dis pas, je le garde pour moi, je ne veux pas passer pour ce gars faible, ce rêveur… « Tu veux un verre? » Elle a l’air d’être calmé, autrement, en s’asseyant à côté de moi, elle se serait amusé à rentrer eux doigts dans mes côtes et m’aurait pas proposé de verre… Si la soirée pouvait continuer calmement, ça ferait du bien à tout le monde… « Non merci… Je ne bois pas d’alcool… » Avais-je lâché, chose qu’elle ne savait pas sur moi en fait. Je ne bois pas, je ne fume pas. J’peux pas, j’ai trop l’imagine de ma mère qui est resté à gravé dans ma tête, et je n’ai aucune envie de devenir comme ça, d’être dépendant à ce genre de choses… •
CREDIT TO KAIJI FROM ILH

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
don't let me get you (+ ulysse)


Bon, ce vin n'était sans doute pas l'un des meilleurs que j'ai bu mais il n'était pas si mauvais que ça. D'un côté, nous étions quand même dans une suite, et une boisson de qualité était quand même un minimum. J'aurais pu demander au room service de m'apporter bon cru mais non, le téléphone était trop loin à mon goût. Alors je me contentais de ce qu'il y avait sous ma main. Je n'étais pas encore majeure pour boire, mais ma fausse carte d'identité disait le contraire, Svetlana disait qu'elle avait 23 ans. Ouais, j'avais le nom d'une russe sur mon ID falsifié. D'un côté, avec la blondeur de mes cheveux et mes formes, tout le monde n'y avait vu que du feu jusque là. Surtout quand quelques Benjamin Franklin l'accompagnaient. Depuis mes 16 ans, cette carte m'accompagnait là où j'allais, même si, la plupart du temps, je parvenais à ne pas l'utiliser. Il me suffisait juste de jouer de mes charmes et je recevais des verres gratuitement. L'avantage d'être une déesse. Je ne suis pas alcoolique non plus, j'aimais juste profiter des bonnes choses, et le rosé était définitivement une de mes douceurs préférées. Je m'étais assise dans le canapé sans même tenter de lui enfoncer deux doigts dans les côtés. Il y avait du progrès. Je lui avais même proposé un verre. « Non merci… Je ne bois pas d’alcool… » Je me tournais alors vers lui, les yeux écarquillés. Pardon? Il ne buvait pas d'alcool? Il en était allergique? Le pauvre, ça devait être horrible si c'était le cas. D'un côté, je n'avais pas toujours besoin de ça pour m'amuser, bien sûr que non. Mais c'était toujours un petit plus. « Pourquoi? » Ben oui, il devait bien avoir une raison. Le goût? Tout le monde appréciait du bon vin! Le prix? Monsieur pouvait se permettre une suite dans un hôtel de luxe, alors une petite bouteille de vin de quelques centaines de dollars, ce n'était rien. Allergie? Oui, c'était possible. Mais quelque chose me disait que ça devait être plus. Sa mère... Il m'avait avoué qu'elle était une droguée. À l'alcool? Peut-être que c'était pour ça. Je me mordis la lèvre. Je me rendais compte qu'il m'avait vraiment raconté des choses que peu de gens devaient savoir sur lui. Et j'avais vraiment mal réagi.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
if you love me let me go

• La vie décidait souvent du chemin que nous devions prendre, sans réellement nous demander notre avis. Elle nous envoyait des signaux, des évènements qui nous pousserait faire cette direction, et, nous ne pouvions faire autrement, nous nous devions de suivre ce chemin qui nous était inconsciemment envoyé par je ne sais qui. Et comme les bons moutons que nous étions, nous le suivions, et le pire, ou le meilleure, je ne sais pas vraiment, c’est qu’on aimait ce chemin, c’est qu’étant donné que nous ne savions pas que c’était déjà prévu, que toute notre histoire était déjà écrire, nous apprécions ce qui se passait dans nos vie, comme si c’était quelque chose d’exceptionnel, alors qu’en réalité, c’est juste un vieux barbu qui l’a écrit, du moins, c’est ce qu’on pense, car qui nous dit que ça aussi ça n’a pas été écrit ? Qui nous dit que c’est un vieux blanc barbu toujours habillé en blanc qui occupe ce rôle ? Pourquoi ça ne serait pas un jeune adolescent boutonneux ? Un vieux slave ? On ne sait pas, on ne peut pas savoir tout ça, nous nous contentons de suivre ce qui nous a été appris, sans trop chercher à se poser des questions, à remettre en question tout ça. A vrai dire, je ne pense pas qu’on pourrait trouver de réelles réponses, on se casserait plus la tête qu’autre chose. Alors, tout ce qu’on peut faire c’est accepter, suivre ce destin qui nous ai proposé et ne pas se poser de question, sourire, faire comme si tout allait bien, même quand ça va pas. J’étais là, assis dans ce canapé, à penser à ce « Pourquoi ? » qu’elle venait de me lancer tout en se tournant vers moi. Qu’est-ce que j’allais lui répondre ? La vérité, tout simplement, ou bien sortir une connerie pour ne pas avoir peur d’être jugé par elle une fois de plus ? Je ne sais pas, je ne sais plus, j’suis perdu, à l’abandon dans ce monde hostile, comme laissé pour mort, j’dois me débrouiller pour m’en sortir. « J’ai vu des gens dépendant à l’alcool, j’ai vu le mal que ça pouvait engendrer, alors j’ai pas envie d’y toucher, ça m’attire pas… » C’était la vérité, je n’avais juste pas précisé de qui il s’agissait, mais, elle n’était pas dupe, si elle avait un minimum écouté ce que je lui ai dit tout à l’heure, elle comprendrait bien vite qu’il s’agit de ma mère… •
CREDIT TO KAIJI FROM ILH

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
don't let me get you (+ ulysse)


Je ne savais pas ce que c'était que d'être dépendant de quelque chose. Enfin si. J'étais totalement dépendante de mes cartes de crédit et de mon compte en banque -et de mes fringues, de mes Louboutins, de mes sacs à main et de mes parents, accessoirement. Mais ce n'était pas la même chose. Je n'avais jamais goûté à la drogue et je n'y toucherais sans doute jamais. C'est vrai que l'alcool était considéré comme tel, mais j'en consommais avec modération. Je ne noyais pas mon chagrin dedans, ou ma colère. Juste pour le plaisir, c'était tout. Pour me retrouver dans un état un peu plus second, tout en m'amusant follement. Alors je ne pouvais pas comprendre pourquoi il n'y touchait pas. Mon passé n'avait pas été aussi difficile que le sien, si tout ce qu'il m'avait révélé, s'avérait être véridique. Et j'étais certaine que ça l'était, il ne m'aurais pas menti sur un tel sujet. Et sa réaction quand je l'ai envoyé chié le montrait bien. Il s'était ouvert et moi, je m'étais foutue de sa gueule. Mais bon, ce qui est fait est fait, je ne pouvais plus retourner en arrière pour changer tout ça. « J’ai vu des gens dépendant à l’alcool, j’ai vu le mal que ça pouvait engendrer, alors j’ai pas envie d’y toucher, ça m’attire pas… » J'avais vu juste. J'étais certaine maintenant qu'il parlait de sa mère, même s'il ne me le disait pas clairement. Normal, il devait avoir peur de ma réaction. J'acquiesçais alors. Je pouvais comprendre. Enfin... Il était quelqu'un de colérique, même s'il ne me le montrait pas. Et alors l'alcool, ce serait encore pire. Je n'osais pas imaginer ce qu'il serait capable de faire. Cet homme était définitivement dangereux et pourtant, je me sentais attirée par cette dangerosité. Je m'en rendais compte. Et ça me fatiguait. Parce que j'essayais de la repousser, encore et toujours. Là, pour le moment, je n'essayais pas. J'étais comme à bout de force. Physiquement et psychologiquement. Cette bataille m'avait puisé toute mon énergie. Je terminais mon verre, refermais la bouteille et m'allongeais contre le canapé. Je reposais finalement ma tête sur son épaule et fermais les yeux. « J'suis fatiguée. »
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
if you love me let me go

• C’est comme pisser dans un violon, tout ce que je pouvais faire ne servait à rien, ou à pas grand-chose, alors j’avais décidé d’arrêter d’essayer, d’arrêter de me sortir de la mafia, car la seule façon d’en sortir est sur un brancard, recouvert d’un drap blanc. Je m’étais fait à cet idée que j’allais devoir être à la tête d’une grosse mafia toute ma vie, parler avec des mafieux, négocier avec eux, faire monter mon compte en banque malhonnêtement, et je m’y étais fait, je m’y étais habitué. Au départ, je ne voulais pas, j’avais aucune envie de baigner là-dedans, j’avais vu tout le mal que ça avait pu engendrer autour de moi, et je ne voulais pas ça. Mais comment puis-je avoir le choix alors que c’est mon destin, que je dois suivre cette voix, et que peu importe ce que je ferais, j’y reviendrais ? J’avais capituler, et j’y avais trouvé du plaisir, être cet enculé, ce gars toujours sur les nerfs, remplis de haine, qui frappe, qui insulte, qui manque de respect, qui déteste avoir tort, qui veux avoir le dernier mot, c’était moi, c’était ce que j’étais, et toute ma vie je serais comme ça. Peut-être qu’en grandissant je m’assagirais, je ne sais pas, je n’y pense pas, je ne pense à rien, l’avenir c’est demain, c’est dans une semaine, dans dix ans, et je ne sais pas combien de temps je vais vivre, peut-être qu’en partant de cet hôtel, je me prendrais une balle entre les deux yeux, j’en ai aucune idée, je ne sais pas ce que l’avenir m’a réservé, alors je vis au jour le jour avec ce compte en banque d’enculé, cette vie de mafieux, et je m’y plait. Juliana était la première personne à qui j’avais ouvertement parlé de ma vie, à qui je m’étais livré sans le vouloir, c’était sorti tout seul, d’un trait, et malgré le fait qu’elle se soit foutu de ma gueule, je ne regrette pas, je ne regrette rien… « J'suis fatiguée. » Sans que j’ai le temps de réagir, elle venait de poser sa tête sur mon épaule. Putain, mais qu’est-ce qu’elle fait ? Habituellement, je l’aurais envoyé chier, je lui aurais dit de bouger sa tête d’ici avant que je lui crache dessus, mais là, je ne pouvais pas, j’y trouvais même du plaisir en fait… Bordel, mais qu’est-ce qu’elle me fait ? Comment elle fait ça ? J’éteins la télé et j’me lève, sans rien dire, je la soulève et je l’emmène dans la chambre, elle sera plus à l’aise. J’la dépose doucement sur le lit, mettant la couverture sur elle, et là, j’me décide à parler. « Tu seras mieux ici… » J’me laisse tomber sur le lit, et à ces côtés, je me couche… Bordel, mais qu’est-ce qui ce passe ? Comment elle arrive à me faire ça ? •
CREDIT TO KAIJI FROM ILH

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
don't let me get you (+ ulysse)


J'avais fermé mes yeux, je m'étais laissée allée contre Ulysse, sans vraiment savoir pourquoi. Normalement, je n'aurais rien dit, j'aurais juste été squatter son lit. Mais bizarrement, son épaule faisait un meilleur coussin. J'avais espéré qu'il ne me rejette pas, et il ne l'avait pas fait. Je souris imperceptiblement. Sauf quand il se leva. Quoi, il voulait vraiment pas? Je n'eus même pas le temps de protester que je me retrouvais dans ses bras, en mode portée princesse. Et là, mon sourire s'agrandit tandis que je m'installais contre lui, les yeux toujours fermés. Je fus presque déçue de me retrouver sous les couvertures, mais bon, fallait pas trop profiter des bonnes choses comme on le dit si souvent. Sauf que c'était plutôt mon genre de le faire. Je me tortillais ensuite avant de me retrouver sur le côté, rejetant mon peignoir par terre. C'était plus confortable comme ça. « Tu seras mieux ici… » Je sentis alors un poids à mes côtés et rouvris les yeux. Il venait de se coucher. Normalement, j'aurais demandé à la personne de dégager dans le canapé, et d'y rester, mais là, je n'ouvrais pas la bouche. Je me contentais de le regarder. Je finis par m'approcher de lui. « Tu me laisses dormir ainsi? J'pensais que tu m'aurais jetée dehors... » La chaleur de son corps m'attirait. D'autant plus que les draps étaient froids et que ce n'était pas spécialement confortable quand on voyait le bout de tissus que je portais. Les nuits étaient quand même fraiches à Key West. Alors je finis par chercher un peu de chaleur là où il y en avait, c'est-à-dire, chez lui, en me collant légèrement. Et je soupirais d'aise, fermant les yeux quelques instants avant de les rouvrir, attendant sa réponse. J'me sentais bien là, j'avais pas envie de bouger. Et je savais pas encore pourquoi. Mais ce n'était pas le moment pour réfléchir, mon cerveau était en mode "pose dodo". Tant pis, on verra tout ça demain. En espérant qu'il ne s'enfuisse pas en plein milieu de la nuit.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
if you love me let me go

• Pourquoi j’ai fait ça ? Pourquoi j’ai été gentil ? Pourquoi je ne l’ai pas refoulé ? J’aurais dû lui dire de dégager, de rentrer chez elle et de ne plus jamais revenir, de rester dans son monde, et moi dans le mien. Mais non, je ne l’avais pas fait, je n’en avais pas eu envie, la seule envie que j’avais était qu’elle reste, et je ne comprenais pas pourquoi, elle était loin d’être gentille après tout, mais je lui rendais bien. Je l’ai porté, je l’ai déposé doucement dans le lit, et j’me suis posé à côté d’elle, sous les draps. Bordel mais il se passe quoi ? J’ai envie de me foutre des claques dans la gueule, de ma taper la tête dans un mur pour essayer de comprendre ce qui peut bien se passer dans ma tête, je ne contrôle plus rien, j’suis déstabilisé, je ne sais pas quoi faire, et normalement, c’est loin d’être mon cas, habituellement, je manipule tout ce que je veux, j’ai toutes les cartes en mains, je décide de la tournure des choses, et là, j’étais un simple spectateur, je me voyais agir, et je ne savais pas pourquoi je faisais ça. J’étais troublé par cette jeune femme, elle me montrait une partie de moi que je ne connaissais pas… « Tu me laisses dormir ainsi? J'pensais que tu m'aurais jetée dehors... » Elle se posait elle aussi la question. J’vais pas non plus lui répondre que je n’en sais rien, que j’suis paumé, ça lui ferait trop plaisir, et elle pourrait faire ce qu’elle veut de moi, ce que je ne désire pas. Je sens son corps se coller légèrement au mien. Bordel, elle est aussi perdu que moi je crois, c’est elle qui fait le premier pas, alors je ne compte pas la refouler, j’en ai aucune envie, au fond, j’ai juste envie de passer une nuit tranquille à ces côtés… J’passe mes bras autour d’elle et j’me rapproche un peu, nos corps sont collé l’un à l’autre, se laissant aller complètement… « Non, j’ai pas envie que tu partes… » Putain mais le con, qu’est-ce que j’ai dit ? J’me pose plus de question et je laisse mes pensées sortir. J’avais une dette en vers elle de toute façon, et malgré tout ce qui a pu se passé, je resterais redevable… J’glisse un baisé sur son front, et j’ai aucune idée du pourquoi du comment j’ai fait ça… Putain, j’deviendrais presque gentil… •
CREDIT TO KAIJI FROM ILH

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
don't let me get you (+ ulysse)


Je ne voulais plus réfléchir à tout ça. Tant pis si je ne comprenais absolument rien à ce qui était en train de se passer, à ce qui était en train de m'arriver. J'y penserais le lendemain. Sauf que je savais que je ne le ferais pas. J'essayerais d'oublier ce qui se passait en ce moment. J'oublierais à quel point il pouvait être doux et adorable quand il le voulait. Je ne me souviendrais que de ces yeux remplis de colère, de ses poings serrés et blanchis, de sa poigne sur ma peau. Oui, je ne devais penser qu'à la violence qu'il essayait de maîtriser autant qu'il le pouvait. Sinon, j'allais être perdue, je deviendrais une cause perdue. Et il ne fallait pas que ça m'arrive. Jamais encore, je n'avais senti de tes émotions m'envahir. Alors, je devais les supprimer. Ce sera plus facile de ne plus y penser. De ne plus le croiser même. Oui. Le summer camp arrivait bientôt à sa fin et je ne le verrais plus, sauf dans les dédales des couloirs de Harvard, et encore. Le campus est tellement énorme qu'il sera possible pour moi de ne plus le croiser. En espérant qu'il ne soit pas chez les eliots, confrérie que je comptais bien m'inscrire. Non, je le voyais plus chez les winthrops. Enfin bref. Je sentis son bras venir m'enserrer alors je me rapprochais un peu plus. Je fermais finalement les yeux. « Non, j’ai pas envie que tu partes… » Je ne sais pas pourquoi mais cette phrase fit rater un battement à mon coeur. Il ne voulait pas que je m'en aille... Et mon coeur se souleva tandis qu'un sourire s'afficha sur mes lèvres. Je ne savais pas pourquoi mais sa réponse me fit plaisir. Et là, je sentis ses lèvres sur mon front. Je souris encore plus avant d'ouvrir les yeux. « Attention, tu deviens presque adorable. » Je lâchais un petit rire avant d'enfouir mon visage dans son cou. Et à nouveau, je fermais les yeux.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
if you love me let me go

• Et dans un élan de je ne sais quoi, j’me suis laissé aller. J’ai décidé de ne plus rien contrôler, de laisser mes envies prendre le dessus, je n’ai pas cherché à les arrêtés, je n’ai pas cherché à tout stopper, à dire non, s’en est trop. Non, j’m’étais lâché et j’avais fait ce que je voulais faire. Bien que je n’avais aucune idée du pourquoi du comment j’m’étais retrouvé à faire ça, ça ne me déplaisait pas, j’avais aimé faire ça, j’avais apprécié la voir sourire, chose que je ne voyais presque jamais sur son visage à vrai dire. J’sais pas qu’elle guêpe m’a piqué, j’sais pas ce qui ce passe, et ce soir, j’ai décidé de m’en moquer, j’ai décidé d’en avoir totalement rien à foutre, j’me branle bien des répercutions de mes actes, j’me fous bien de ce qui pourrait se passer, du lendemain. Je vis l’instant présent, ce doux instant ou contrairement à la soirée, tout va bien, ou tout est parfait. Elle est là, dans mes bras, en train de me sourire, et j’me sens bien. Elle a quelque de particulier, elle a quelque chose qui me change, j’pige pas de quoi ça vient, j’pige rien, bordel j’suis paumé, putain j’suis totalement perdu. Stop, ta gueule Ulysse, arrête de penser, arrête de réfléchir, ça ne te réussit pas, tu vas encore dire une connerie si tu continues ou faire un mauvais geste que tu pourrais regretter, alors ferme ta gueule, fait pas le con, ne gâche pas ça… « Attention, tu deviens presque adorable. » Dit-elle en enfouissant son doux visage dans mon cou. Cette phrase me dit vaguement quelque chose, la dernière fois que je l’ai sorti, j’me suis pris deux coups de doigts dans les côtes. Je souris, chose que je ne faisais pas avant lorsque j’étais à ces côtés. « Fait gaffe tu me contamines j’crois… » Mes mains autour d’elle, j’commence à entamer quelques petites caresses dans son dos tout en laissant mon autre main replacer quelques mèches de ces cheveux qui se baladait devant son visage… Putain j’deviendrais presque affectif… •
CREDIT TO KAIJI FROM ILH

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
don't let me get you (+ ulysse)


J'avais décidé d'arrêter de réfléchir pour ce soir, et ça marchait plutôt bien. J'étais sereine, j'étais contente même. Et j'avais souri. Pas un sourire ironique, ou un sourire coquin. Non, un simple sourire, rien de plus vrai. C'était sans doute la première fois que je lui souriais ainsi. Je crois même que c'est la première fois que j'affiche un tel éclat sur mon visage pour un homme. D'habitude, c'est soit forcé, soit ennuyé, soit... Bref, rien de naturel. Il avait réussi dans ce que beaucoup ont raté. C'était un miracle et franchement ça me... Non, stop, oublie. Reste juste comme tu es et profite. Je pouvais sentir ses doigts venir caresser ma peau à travers le fin tissus de ma nuisette. Mon visage dans son cou, je pouvais respirer son parfum. Je ne faisais absolument rien pour me dégager de son étreinte. J'en avais pas envie, tout simplement. « Fait gaffe tu me contamines j’crois… » Je ne m'offusquais pas, contrairement à la dernière fois. Je ne fis que relever mon visage et plonger mes yeux dans les siens. Dans un murmure, je lui répondis. « Faut que je sois gentille pour ça... » Et peut-être que, même si je semblais totalement innoffensive pour le moment, je savais pertinemment que ça ne durera pas longtemps, parce que je détestais tout ce qui était mielleux. Mais bizarrement, sur le coup, je ne détestais pas ça. J'appréciais même! Mon dieu Jules, qu'est-ce que t'es devenue? Dans quoi tu t'es embarquée? Tant pis... J'espérais simplement que je ne regretterais pas cet acte de faiblesse. Alors, une nouvelle fois, je faisais taire cette petite voix dans ma tête. Profites, tout simplement.
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)