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If you love me let me go...

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C’est la chaudière qui reproche à la marmite d’avoir le cul noir, sérieusement, j’suis sur les nerfs, ma seule envie est d’exploser le premier gars qui va passer devant moi, de lui casser la tête à coup de pioche. Mon corps est là, à moitié couché sur le sol froid, j’ai le dos contre une poutre, et j’me demande bien comment j’vais me démerder pour rentrer. J’ai l’impression d’avoir des oursins qui parcourent mon corps et qui s’amusent à me rentrer dans la peau, faisant encore plus mal que des coups de scalpels. J’aimerais avoir une télécommande pour faire un retour arrière, empêcher ce qui vient de se passer, empêcher cette salope à gros boobs de me foutre dans cette merde, comme quoi, l’appel du sexe est parfois trop fort pour moi, il faudrait peut-être que je me contente du téléphone rose pour un petit moment. Après tout, le sexe c'est comme une partie de cartes : si ta pas un bon partenaire vaut mieux avoir une bonne main, et cette fois ci, j’avais perdu à mon propre jeux, j’aurais dû me servir de ma main, j’aurais dû éviter cette rencontre, rester chez moi, allumer ma télé, regarder secret story ou une merde du genre, aller faire un tour en Lamborghini, fumer une cartouche de cigarette, faire autour chose qu’aller voir cette fille. J’sais pas d’où elle sort, j’étais en train de marcher, et elle m’a dragué, alors j’me suis dit allons-y, passons le temps, mais, cette dernière faisait partie de je ne sais qu’elle mafia, car une fois arrivé chez elle, j’me suis retrouvé attaché à un lit et j’ai dû encaissé les coups de deux autres connards à tête d’œuf, ces couards, ils t’attachent à un lit pour te tabasser, ils sont inconscient, ils ne savent pas qu’en faisant ça, ils ont déclencher un big bang et que ma vengeance sera mauvaise. Nom d’une pipe, je suis là, gisant sur le sol dans ce putain coin de rue, crachant par terre le sang qui coule de ma bouche tel de la bave d’escargot, et je glande comme un rat mort, ne pouvant me lever, n’ayant pas la force pour le moment de rentrer chez moi. Un chien passe par là, et s’arrête vers moi, je le caresse, il a l’air de compatir avec ma douleur vu sa gueule de clebar errant… Et là, j’vois une vieille toute foutriquet qui me regarde de derrière sa fenêtre, sans pour autant bouger, sans pour autant me demander si ça va. Putain mais qu’elle salope celle-là, je la regarde et je lui fais un clin d’œil coquin, histoire de lui montrer que j’en ai rien à foutre de sa gueule. Dans qu’elle merde j’me suis foutu bordel… •
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Mes muscles me faisaient mal et pourtant, la douche m'avait quand même détendu. Sans doute pas autant que je l'aurais voulu. J'avais passé ma journée à Bayview, sur le terrain de tennis en compagnie d'Olympe, Brooke et Michelle, mes roomates et amies. J'avais perdu les deux premières manches en double, et bien sûr, jamais deux sans trois, je m'étais aussi rétamée contre Michelle. Ça m'avait tellement énervé de me faire battre à plate couture que j'avais décidé de rentrer et passer ma soirée seule, devant la télé, à regarder un Disney ou n'importe quelle émission de télé-réalité qui passerait, zappant sur la télécommande toutes les deux minutes. Je n'aimais pas perdre, je détestais ça en vérité. Je savais que les filles s'étaient allègrement moquées de mon comportement. Et bien, si elles le prenaient comme ça, elles n'auront qu'à se trouver un lit où dormir parce que je ne les laisserais certainement pas rentrer dans notre chambre. Déjà que la partager fut un réel exploit de ma part. Oui, il m'arrive d'être une véritable cul gelée. C'est que j'aime conserver mon intimité et ma pudeur par moment. Et partager une chambre, ce n'était vraiment pas mon truc. J'étais donc partie, sur un coup de tête. Mais comme une conne, je me souvins que c'était Brooke qui nous avait conduit jusqu'au complexe dans sa Lamborghini. J'aurais très bien pu me prendre un taxis mais je décidais finalement de marcher, histoire de me calmer un peu, et éviter de causer un véritable big bang dans notre suite. Mais nom d'une pipe, je n'avais toujours pas compris comment j'avais fait pour perdre tous mes match! Surtout que ça ne casse pas trois patte à un canard de battre Brooke! J'en étais encore totalement espantée. La nuit était déjà tombée depuis un moment. Je marchais seule dans la rue du Old Town et ça aurait pu paraître dangereux pour une jeune fille si je ne portais pas ce masque de contrariété. C'est sûr que là, personne n'oserait m'aborder. Sauf peut-être ce chien. Je l'avais entendu japper de loin, mais je ne m'attendais pas à ce qu'il déboule d'une rue sombre. Tout de suite, je m'accroupissais et le caressais. « Et bien alors mon beau, qu'est-ce que tu fais tout seul ici? » Il aboya encore un peu, comme pour attirer mon attention et retourna dans la rue. Je jetais un regard de tous les côtés, avant de le suivre, sur mes gardes. Parce que ce n'était vraiment pas mon truc, me balader dans une ruelle en pleine nuit... On ne sait jamais quand une bande d'escogriffes pourraient apparaître de derrière une poubelle. Cet alors que je vis cette masse, à moitié allongée sur le sol, le dos contre une poutre. Je vis clairement le chien lui lécher les doigts. Je ne savais vraiment pas ce qui me retenais de prendre mes jambes à mon cou. C'est alors que je le reconnus, grâce à une petite lumière. « Qu'est-ce qui t'es arrivé? » J'avais froncé les sourcils tandis que je m'approchais un peu plus d'Ulysse. Je ne montrais peut-être pas le moindre signe d'inquiétude et pourtant, ce sentiment était bien là.
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• Je plane, comme si j’étais l’acteur principale d’un Disney aux côté d’Angelina Jolie, je plane. J’pense que j’ai reçu un peu trop de coup tout compte fait, je continue de cracher à terre le sang qui coule entre mes lèvres, on aurait dit un vampire qui avait bu trop de sang limite, dégueulasse. Comme un cerf-volant qui s’écrase contre une poutre, je venais de réaliser que j’étais loin d’être Superman ou Batman[ /b], et que de me ramollir la gueule était plutôt simple lorsque je suis accroché à un lit. De vrais [b]couard, qu’ils osent se montrer, qu’ils osent s’approcher de moi encore une fois, je risquerais de leurs faire regrette d’avoir fait ça, car mes points seraient comparable à un avion qu’ils pourraient se prendre en pleine face tout en marchant sur des oursins, bande de con va. En même temps, qui pisse contre le vent se rince les dents, et cette fois ci j’avais eu droit à une bonne douche de pisse bien chaude, alors j’étais là, dans cette rue, ayant l’air d’une bonne grosse cloche pleine de sang, d’un bateau en perdition tel le Titanic, et j’attendais que cette douleur passe pour pouvoir rentrer chez moi, j’étais prêt pour glander comme un rat mort pendant des heures et des heures… « Qu'est-ce qui t'es arrivé? » Putain de merde j’avais même pas calculé qu’une personne était arrivé à mes côtés, j’avais juste entendu les aboiements du chien. Je lève la tête et là j’me retrouve nez à nez avec Juliana… Non, sérieusement ? C’est une blague ? J’me fais démolir la gueule et c’est elle qui me retrouve ? Nom d’une pipe, j’vous assure que là, j’vais en manger des remarques… « J’étais en train de baiser la vieille d’en haut là, et j’suis tombé par la fenêtre… » Excuse bidon bonjour, sauf que je n’avais pas le choix, je n’allais pas lui dire que je venais de me faire refroidir par deux gars attaché à un lit… •
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Alors là, ça avait toujours été mon rêve, de me retrouver dans une ruelle sombre avec un chien et un homme à moitié mort. C'est sûr que si quelqu'un appelait les flics pour signaler ça, j'aurais du mal à m'en défaire. Je me voyais déjà dans une salle d'interrogation, mon nom sur tous les tabloïdes qui puissent exister et tout le tralala. Je soupirais. Quelle poisse quand même. Comme si ma journée n'avait pas été assez merdique, il fallait encore que je me retrouve dans une telle situation ubuesque. Enfin... à mes yeux. C'est sûr que si je me retrouvais dans de telles circonstances, un simple Supercalifragilisticexpialidocious ne suffirait pas pour me sortir de ce pétrin. Je me demandais vraiment comment il avait fait pour se retrouver amoché à un tel point. Bon, il s'était bagarré, ça s'en était indéniable. Mais était-il aussi faible pour se retrouver avec du sang partout? Et puis, je me doutais bien qu'il devait avoir le corps en compote. Je pourrais le laisser là en fait, mais ce serait vraiment vache de ma part. Je me montrais peut-être comme la Reine de coeur par moment, mais je ne voudrais quand même pas laisser quelqu'un mourir sans l'aider. J'ai quand même un coeur. Je pouvais presque voir les plaies sur son visage, faites par une lame encore plus aiguisée qu'un scalpel. Mais il pouvait se compter chanceux, il ne finira pas aussi défiguré que le Joker dans Batman. Ce serait tellement dommage aussi, un si joli minois. Je me demandais vraiment qui étaient les têtes d'oeuf qui l'avaient bousillé à ce point. Et personne n'avais semblé ne serait-ce que daigné à l'aider. J'imagine qu'il ne pouvait même plus se lever. Pauvre chéri. Je ne savais pas pourquoi mais je ne parvenais même pas à sourire devant tout ça et pourtant, j'adorais me réjouir du malheur des autres. Je le vis cracher du sang par terre. Ah ben maintenant, il se la jouait vampire dans Twilight avec ses lèvres imbibés. Et après ce sera quoi, un zombie de The Walking Dead ou de Resident Evil? « J’étais en train de baiser la vieille d’en haut là, et j’suis tombé par la fenêtre… » Ah ben tiens, il avait enfin répondu à ma question. Tout de suite, je levais les yeux au ciel. Mais bien sûr, comme s'il allait tremper son biscuit dans une moule pas fraîche. « Je sais que Dieu a créé l'alcool pour que les femmes moches baisent quand même mais là, c'est vraiment la pire excuse que j'ai jamais entendu. » Parce que bon, s'il l'avait vraiment fait, c'est que la vieille, elle l'a complètement torché. Je m'accroupis devant lui, posant mes mains sur mes genoux, et mon menton dessus. J'inclinais alors ma tête et le regardais, sans rien dire. Je finis par tendre un doigt et me mit à le presser sur son torse. « Ça fait mal? Tu t'es fait ça comment? Ou plutôt, yen avait combien? » Je me doutais bien qu'ils avaient dû se mettre à plusieurs. Tous des couards, ces membres de gangs.
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• Faire partie de la mafia c’est comme faire partie d’une tribu, tu as beau partir à des milliers de kilomètre de ton pays en avion, au fond de toi, tu as toujours cette petite étincelle qui ne demande qu’à exploser, qu’à reprendre ton activité. C’était loin d’être un film que tu pouvais zapper à coup de télécommande, tout était bien réglé, bien calculé. Si tu veux sortir de cette spirale infernale, tu ne peux le faire que par le sang, et, la plupart du temps, tu n’en sortais pas vivant. J’ai jamais revêtu la casquette du petit garçon modèle qui passe ces journées à tourner les pages d’une encyclopédie pour s’instruire, qui regarde des Disney à la télé et qui se spleen devant un rien. Peut-être que si j’aurais eu une père de boobs ma vie aurait totalement été différente, peut-être que tous ces réunions entre diplodocus et australopithèque pour savoir qui pourra contrôler ce territoire n’aurait jamais fait partie de mon quotidien, jusqu’à en devenir noctambule sans s’en rendre compte. Mon défaut est de vouloir tremper mon biscuit dans tout ce qui s’éloigne des moules pas fraiches, des filles qui sentent autre chose que le fromage qui pue, et, tel est pris qui croyait prendre, j’avais finir par perde, à être pris à mon propre jeux. C’est limite si je ne suis pas en train de vomir du sang. En ce moment c’est vraiment la merde, j’ai l’impression d’être une vrai cloche, l’autre jours j’me fais courser par des punk à chien car ils voulaient récupérer leurs argents après m’avoir confié un contrat, et cette fois ci, j’me fais exploser la gueule dans une espèce d’embuscade, on dit jamais deux sans trois, c’est quoi la prochaine merde qui va m’arriver ? Tomber dans une baignoire d’oursins ? Me retrouver avec des morpions ? Caleçon qui gratte, morpions qui squatte quoi, la misère. Faudrait que je me mette à réfléchir un peu plus avant d’agir et à ne pas toujours écouter ma bite, Le sexe c'est comme une partie de cartes : si ta pas un bon partenaire vaut mieux avoir une bonne main, et le bon partenaire, je savais qu’en j’en avais, plusieurs filles étaient prête à coucher avec moi sans vouloir que je me fasse défoncer la gueule, alors pourquoi toujours aller voir ailleurs ? Bref, dernièrement, j’ai juste envie de débagouler sur tous les gens qui ne penses qu’à raconter des calomnies sur moi et leurs enfoncer la gueule dans une bétonnière en marche. « Je sais que Dieu a créé l'alcool pour que les femmes moches baisent quand même mais là, c'est vraiment la pire excuse que j'ai jamais entendu. » Bien sûr que mon excuse est pourri, bien sûr que c’est loin d’être brillant de lui avoir dit ça, mais j’avais pas envie de lui dire la vérité, ça viendrait petit à petit évidemment, mais là, maintenant tout de suite, j’étais pas en état de lui dire, dirons-nous… J’suis limite bon à balancer dans un camion poubelle. Je la vois s’accroupir face à moi et appuyer sur mon torse avec son doigt. Putain mais elle est folle ! Je sers les dents, ça fait mal putain. « Ça fait mal? Tu t'es fait ça comment? Ou plutôt, yen avait combien? » Elle est sérieuse ? C’est limite si on me rentre pas une pioche dans le torse, si on m’assomme pas à coup de poutre, et elle me demande si ça fait mal… « Ils étaient trois… Mais tu devrais pas rester là, ta réputation en prendrait un coup si les flics arrivent, j’pourrais m’en sortir plus facilement que toi face à eux… » Bordel, maintenant j’me retrouve à vouloir la protéger, j’crois que j’ai pris trop de coup… •
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Je ne savais pas pourquoi je m'étais soudainement montrée aussi curieuse à son sujet. Mais le voir brisé physiquement me faisait quelque chose. Je ne savais pas vraiment quoi, je ne cherchais pas à comprendre. Mes sentiments étaient totalement contradictoire. D'un côté, j'avais juste envie de le laisser pourrir sur place, mais je voulais aussi l'aider, arriver à le ramener à l'hôpital. Non, s'il n'avait pas appelé les secours, c'était bien pour une raison que seule lui avait. Alors peut-être devrais-je le sortir de là et le ramener à l'hôtel? Je savais que je n'aurais pas la force d'aider un grand dadet comme lui. Et j'allais devoir faire appel à lui. Rien qu'en y pensant, ça m'énervait encore plus. J'avais quitté New York pour essayer de devenir plus indépendante, et je voulais vraiment faire mes preuves, montrer à mes parents que j'étais capable de survivre sans personne à mes côtés. Et bien sûr, mon père ne me faisait pas confiance, alors il l'a envoyé lui. Il me servait de chauffeur la plupart du temps mais je ne faisais appel que très rarement à lui. Là, j'allais être obligé. Et je n'allais lui donner aucunes explications de cet embrouillamini. Parce que je n'étais même pas certaine que, moi-même, j'en aurais de sa part. Je le vis serrer les dents quand mon doigt vint presser son torse. Manque de chance, j'avais du enfoncé mon doigt là où ça faisait mal. De toute façon, j'étais certaine que tout son corps n'était qu'une ecchymose. Il parvint enfin à me baragouiner une réponse. « Ils étaient trois… Mais tu devrais pas rester là, ta réputation en prendrait un coup si les flics arrivent, j’pourrais m’en sortir plus facilement que toi face à eux… » Tout de suite, je soupirais. Tous des poltrons à face d'australopithèques. Heureusement, ils n'étaient que trois et non pas une bande d'octuplés. Sérieux, trois poils au cul et ça se prend pour un ours, une honte pour la gente masculine, moi je dis. Par contre, ce qui m'étonna le plus quand même, c'était qu'il voulait que je m'en aille. Parce qu'il s'inquiétait pour moi maintenant? Et bien, il avait vraiment dû se prendre une poutre bien dur sur le crâne pour penser à moi dans ces moments-là. Mais ça me touchait, même si je préférerais mourir que de l'avouer de vive voix. « Ce n'est pas ça qui va ternir encore plus ma réputation. Au contraire, si on voit que je viens en aide à ceux qui sont dans le besoin, ce ne serait que bénéfique. » Je le regardais toujours, mon menton sur mes mains. « T'es vraiment salement amoché dis-donc. Tu ne veux pas aller à l'hôpital? » Ce serait la meilleure solution en fait, mais je doutais qu'il accepte sans rechigner.
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• La mafia c’est un cercle vicieux faite de sangsue prêt à te sucer jusqu’à la moelle tel les vampires dans Twillight, de vrai vipères qui ne pensent qu’à te balancer leurs venin venimeux pour faire de toi un vrai sims. Des chacal en manque de pouvoir deviennent plus envahissant que les zombies dans Resident Evil ou The Walking dead. Certains ressemblent plus à des babouins, à des simiesques perdues dans cette jungle urbaine qu’est la ville, devenant plus fou que le Chapelier fou lui-même et beaucoup plus cruel que La reine de cœur lorsqu’il s’agit d’affaire. J’aimerais mieux mourir de mon vivant plutôt que de terminer comme eux, comme tous ces mafieux qui pensent que vendre la drogue c’est bien, plutôt que de terminer comme toutes ces têtes d’œufs victime d’épectase tellement ils n’ont rien d’autres dans la tête comme le cul. De gros obsédés qui trempent leurs biscuit n’importe où, un peu comme moi à vrai dire, mais, j’ai juste envie de prouver à toutes ces moules pas fraiches que mon pouvoir est bien plus grand que le leur, que leurs conneries fait ma force, et qu’ils peuvent aller se faire voir chez les Grecs ! Bande de con va. Je suis d’accord que c’est un peu la chaudière qui reproche à la marmite d'avoir le cul noir, mais personnellement, je connais bien ce monde, ce milieu, j’y baigne depuis vingt-trois ans, alors c’est pas ces ornithorynques qui vont m’apprendre mon métier. Ces gars-là, foutriquets pour certain, et escogriffes pour d’autre, j’m’en sers de papier cul que je regarde se noyer dans le trou de mes chiottes un à un. Bref, la mafia, c’est certes une grande famille, mais tu peux compter tes amis sur le doigt de ta main, et faut apprendre à ne pas faire confiance à la première personne venue, même si elle est aussi bonne qu’Angelina Jolie, regardez ce qui s’est passé ce soir, c’est une fille à gros boobs qui me nique sur mon propre terrain de jeu, trois poils au cul et ça se prend pour un ours, salope va, t’as de la chance de m’avoir attaché à un lit… Le vinaigre est mieux que le viagra, ça ramollie l'oignon et ça durcit le cornichon, sauf que cette fois ci, mon cornichon ne m’a servi à rien, il a plutôt été la chose qui m’a fait me retrouver dans cette situation plus qu’Ubuesque. « Ce n'est pas ça qui va ternir encore plus ma réputation. Au contraire, si on voit que je viens en aide à ceux qui sont dans le besoin, ce ne serait que bénéfique. » Malgré le fait d’avoir l’impression d’être couché sur des oursins, je lâche un petit rire à sa phrase. « Bah vas’y, prend une photo à côté de moi alors, tu passeras pour une héroïne… » Encore mieux que Superman ou Batman, Juliana, la fille qui te sort que si on la voit en train de venir en aide à quelqu’un dans le besoin, c’est bénéfique pour elle. « T'es vraiment salement amoché dis-donc. Tu ne veux pas aller à l'hôpital? » Je secoue la tête suite à sa question, ce qui me donne juste envie de débagouler toutes mes tripes, et j’essaye de me redresser un peu, histoire d’avoir tout de même l’air de quelques choses. « Non pas d’hôpital, j’attends un peu, je rentre chez moi, un coup d’eau sur le visage et j’irais mieux la semaine prochaine… » Mon cul ouais, j’aurais bien besoin d’un médecin ou d’une connerie comme ça, mais si j’vais à l’hôpital, j’vais me retrouver avec les flics au cul, et j’ai aucune envie de devoir passer des coups de fils pour les faire partir… •


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Je connaissais très bien la réputation que j'avais dans les magasines potins, ces merdes qui ne me servaient que de papier cul pour me torcher les fesses. Pendant toute ma jeunesse, ils n'ont pas arrêté de m'espionner, ces paparazzis, tellement que je n'avais qu'une envie, leur foutre mon poing dans leur gueule, arracher leur appareil photo et réduire en miette les pellicules. Mais je ne le faisais pas, ça ne ferait que nuire à mon image. Bon, c'est vrai que je n'ai jamais créé de gros scandales, et que j'arrivais toujours à apaiser les rumeurs quand je me présentais à des galas de charités; mais certains, comme de véritables sangsue n'hésitaient vraiment pas à me traquer, jour et nuit, ne me laissant aucune liberté de mouvement. Mais sacrebleu, j'essayais pourtant de garder une bonne image de ma personne! Sauf que quand on a trop d'ennemis, ça ne finit jamais bien. Une connerie et tout le monde est là, à te pointer du doigts, en ajouter de l'huile sur le feu. J'en ai déçu des gens, blessé aussi, à l'aide d'un petit scalpel, des plaies un peu plus profondes chaque jour, pour leur faire comprendre qui j'étais. Et ce n'était définitivement pas la bonne solution. Mes parents en ont bavé quand j'étais plus jeune, à l'époque où j'étais vraiment incontrôlable. Mais ça c'était calmé en entrant au lycée. « Bah vas’y, prend une photo à côté de moi alors, tu passeras pour une héroïne… » Bon, s'il avait encore la force de rire, c'est qu'il n'allait pas si mal que ça. Mais je me doutais bien que ce n'était qu'une image qu'il voulait envoyer. Les hommes et leur fierté. Finalement, je décidais de le prendre au mot. Je me plaçais donc à côté de lui, sorti mon téléphone rose -enfin, la coque était rose du coup- et dit: « Dis aubergiiiines ». Et j'appuyais sur la touche. Je me remis ensuite là où j'étais, commentant la photo. « Mmmmh, t'aurais pu faire un effort pour sourire! » J'enregistrais la photo, bien sûr et je ne comptais pas la supprimer de si tôt. « Non pas d’hôpital, j’attends un peu, je rentre chez moi, un coup d’eau sur le visage et j’irais mieux la semaine prochaine… » Je le regardais à nouveau, suspicieuse. Mais bien sûr, comme s'il irait mieux en juste une semaine... Non mais franchement, il croyait vraiment qu'il était invincible comme superman ou quoi? Qu'il avait des super pouvoirs de guérison? Je soupirais avant de farfouiller dans mon sac de sport. Je savais que je prenais toujours un mini trousse d'urgence quand j'allais faire du sport parce que bon, on ne sait jamais. Je la trouvais rapidement et sorti un coton-tige et du désinfectant. « Ne bouge pas. » Je m'approchais et le pris par son menton. Je me mis alors à tapoter le coton sur ses plaies. Et voilà que je jouais les infirmières. Génial...
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• J’prends sur moi à un point que vous ne pouvez pas imaginer. Ayant pour seul envie de lâcher une meute entière de phacochère dressé pour tuer sur ces trois connards qui ont voulu jouer avec moi, j’fais mine de rien devant la belle blonde, mais au fond, je boue, j’suis encore plus chaud qu’un radiateur en ébullition qui n’a aucune envie de refroidir. Ils ont voulu me faire couler comme le Titanic, sauf que dommage pour eux, c’est raté… J’suis loin d’être le genre de cloche à se laisser abattre si facilement, y’en faut beaucoup plus, et ce passage à tabac auquel j’ai eu droit ne sert qu’à renforcer toute cette haine que j’ai en moi. J’vous assure que je vais pas laisser passer ça, et dès que je suis de retour sur pieds, ils vont avoir droit au coup de bétonnière et au coup de poutre dans les dents, j’peux vous l’assurez, j’vais faire d’un pierre deux coups avec ces tête d’œufs, ils ressembleront plus à des australopithèque qu’autre chose, c’est même sur. On ne s’en prends pas à un Feliciano sans avoir aucune répercussion, ils se sont attaqué à la mauvaise personne, et il n’auront droit à aucune bénédiction divine de la part de Dieu ou je ne sais qu’elle personne, même Obama en entendra parler. Ils vont manger, et pas des fraises tagada, j’vous l’assure, bande de petite merde va. Regardez dans quel état ils m’ont mis, j’suis en sang, je crache à terre le sang qui est dans ma bouche et j’sens un flash dans mes yeux, putain, elle m’a vraiment prise en photo en fait ! « Garde là cette photo, tu me la ressortira quand t’auras besoin de quelques choses, et j’serais obligé d’accepter… » Elle avait un moyen de pression contre moi, et qui n’était pas maigre. Si seulement j’avais une télécommande magique, j’ferais un retour en arrière et je ferais en sorte de les mettre plus bas que terre, histoire qu’il comprenne leur erreur. « Ne bouge pas. » J’ai pas le temps de réagir que je sens comme une multitude d’oursins entrer dans mes plaît, j’ai juste le temps de lâcher un « AAAH putain ! » pour exprimer le fait que ça me fait mal, le premier qui se moque je lui en met une d’ailleurs, et j’la laisse faire, serrant les dents. Comme quoi, la Reine de cœur n’est pas tant un glaçon que ça, elle sait se montrer gentille quand elle veut même. Nom d’une pipe, j’me fous vraiment dans des merdes pas possible. « J’crois que j’t’en dois une… » Avais-je lâché entre deux serrages de dents, j’pensais vraiment pas que j’allais la croiser ce soir, et surtout qu’elle allait m’aider sans que je lui demande… •


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« Garde là cette photo, tu me la ressortira quand t’auras besoin de quelques choses, et j’serais obligé d’accepter… » Je souris, totalement satisfaite de sa réponse. Hahaha, il avait une dette envers moi maintenant, et rien qu'à cette idée, je jubilais. Et ça voulait dire que si je voulais qu'il arrête de me harceler, il serait obligé de le faire. Sauf que, sur le coup, je me rendais compte que je n'avais pas spécialement envie de lui demander ça. Bref, j'étais en mode totale contradiction entre ce que je disais et ce que je voulais. Quelle merde quand même. « C'est toi qui l'a dit, t'as pas intérêt à revenir sur tes mots! » Et je rangeais mon téléphone, toute contente. Comme quoi, j'avais vraiment bien fait de suivre le chien. D'ailleurs, il était encore là. Haaaan, je ne sais pas ce qui me retenais de le prendre dans mes bras. Sans doute parce que j'étais occupée. Et sur le coup, j'avais vraiment envie de tout lâcher pour le garder contre moi. Allez, s'il restait et que personne ne le réclamait, c'était décidé, j'allais le garder pour moi! En espérant qu'Alexine et Charline ne soient pas contre l'adoption de cet adorable toutou. Je le regardais alors faire son beau tandis que je continuais de jouer les infirmières. « AAAH putain ! » Je tournais alors la tête vers Ulysse, étonnée. Je pouffais alors. « Quel bébé. » Je finissais de nettoyer ses plaies. « J’crois que j’t’en dois une… » J'acquiesçais alors, tandis que je jetais le coton tige et rangeait le petit flacon de désinfectant. « Alors là, d'o... miaaaaou! » Un chaaaat! Oui, je venais de miauler, parce que le chat là. Bon, c'était sûrement pas un chat de gouttière mais tant pis. Bon, vous l'avez compris, je raffole des animaux. Hum... Le chien se mit à japper et le félin s'enfuit. Je tendis alors ma main et attira le toutou dans mes bras, le caressant.  Je me relevais et demandais: « Tu crois que t'arriveras à te lever ou... ? » Parce que bon, c'est que je ne voulais pas rester plus longtemps dans ce trou qui sentait un mélange moules pas fraiches et de fromage qui pue. Pas étonnant vu les toutes les poubelles dans l'allée. Franchement, les camions poubelles pourraient passer plus souvent! Dans tous les cas, je sentais que j'allais devoir l'appeler, lui... Et merde.
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