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• La joie, la joie de partager des moments en compagnie d'une personne que l'on aime, le bonheur de rester des heures à rien faire, mais toujours en compagnie de cette personne. L'extase que cela provoque en vous de vous dire que sur cette planète, une personne vous aime, l'extase de se dire que vous avez trouvez la personne que vous cherchiez, celle qui vous comprend, celle que vous comprenez, celle qui est là pour vous et encore une fois, inversement. La personne en qui vous croyez, la personne que vous avez toujours attendue. Une fois que vous avez réunis tous ces ingrédients, vous n'avez pas besoin de se fiez au regard des autres, car si vous écoutez les choses que votre entourages vous dit, vous finirez automatiquement seul... Il y aura toujours quelques choses qui ne plaira pas à quelqu'un, comme un accent, une façon de prononcer un mot, des petites choses comme ça, et au final, pour personne cette personne ne sera parfaite, à part pour vous... Je ne connais pas ce sentiment. Je n’étais pas le genre de gars que vous allez voir posé avec une fille, le petit couple parfait, que tout le monde trouve mignon ensemble. Le couple qui est fait pour durer, celui qu’on voit déjà en tête d’affiche, une belle maison, de beaux enfants, un beau chien, c’est pas moi ça, du moins, pour le moment, j’avais envie d’avoir un chien avec une belle femme et des enfants beaux-gosses, mais, pour le moment, je n’étais pas celui qu’on voyait comme ça. J’étais plutôt le connard qu’on voyait finir seul ou alors avec des enfants un peu partout dans le monde, le vieux célibataire alcoolique, un vrai poltron. Toutes ces belles histoires d’amour me donnent envie de débagouler toute ma haine sur eux, j’les trouve nul, pathétique, chiant, con, niais, à espérer l’arrivée de leur bébé royal, non mais les gars, si ça se trouve, dans deux semaines, t’es plus avec, dans deux semaines elle peut aller voir le foutriquet du coin et il la nique, dans deux semaines, elle peut très bien bouffer des fraises tagada sur le gland d’un autre. Tu couleras comme le Titanic et tu prendras du papier cul pour ressuyer des torrents de larmes… Peut-être que c’est la jalousie qui parle, le fait de n’avoir personne, je ne sais pas, j’suis pas non plus un gros chacal, mais j’me le demande souvent. Après tout, tel est pris qui croyait prendre, tu te retrouves avec une fille que tu trouves parfaites, tu vas l’aimer plus que tout, et au final, elle sera bonne qu’à te foutre dans la merde, et puis, Le sexe c'est comme une partie de cartes : si ta pas un bon partenaire vaut mieux avoir une bonne main, alors demande toi si ta main ferait pas mieux. T’auras beau me dire « ouais ma meuf c’est la meilleure » blablabla, j’y croirais pas, Il ne faut pas confondre secouer les nouilles et se nouer les couilles, et les tiennes, elles seront nouées avec un double nœud, tête d’œuf va. Alors maintenant je laisse la vie choisir pour moi, je ne me pose plus de questions, je vis le moment comme il vient, si un jour j’devrais me reveiller avec le caleçon qui gratte, et bien morpion qui squatte, mais heureusement pour moi, jamais je n’y ai eu droit, je sais qu’on dit qui pisse contre le vent se rince les dents, mais disons que j’fais en sorte de pisser dans le même sens que le vent. « Tourne-toi. Et maintenant, dis-moi ce qui s'est passé. Pourquoi ils t'ont fait ça? » Etrangement, j’obéi, j’me retourne et je laisse ces mains froides masser doucement mon dos. Si j’ui dit que c’est adorable ce qu’elle fait, elle me recasse les côtes, alors je vais éviter, c’est un ninja cette fille, pire que Superman ou Batman, elle c’est un mélange de Bruce Lee et d’Hulk. « Merci… Disons qu’ils ont pas aimé le fait que j’fasse plus affaire avec eux, du coup ils m’ont tendu un piège et son venue à plusieurs… Sauf que ce qu’ils ne savent pas, c’est que je vais les retrouver, et j’aurais qu’un numéro de téléphone à faire pour qu’ils regrettent… J’me fais pas de soucis pour ça, faut juste que j’assure mes arrières avant… » Je lui devais bien ça, elle est là, en train de m’aider, alors qu’au final j’ai été un chien avec elle. J’devrais lui dire de partir, de ne pas profiter de sa gentillesse, mais étrangement, j’aime bien sa compagnie… •
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Je ne comprenais pas pourquoi je faisais ça. Me connaissant, je l'aurais sûrement laissé là, dans la ruelle, à pourrir à côté de ces ordures qui sentent le fromage qui pue mais non, je l'avais aidé. Ce n'était tellement pas mon genre de jouer à la vierge, sainte et aimante, à toujours aider les autres. Mais je l'avais fait. Non seulement je l'avais aidé à sortir de ce merdier, mais en plus, je l'avais soigné! Je l'avait accompagné jusqu'à l'hotel, j'étais montée dans sa suite et là, maintenant, j'étais en train d'étaler de la pommade sur son dos! Si un jour, on m'avait dit que je viendrais en aide d'une telle manière, je crois bien que j'aurais ri à la gueule de la personne. Pour la première fois, je pensais à quelqu'un d'autre que moi. Je frissonnais rien qu'à cette pensée. Ce n'était pas moi ça! Et sur le coup, j'avais bien envie de lui enfoncer deux doigts dans les côtes, encore une fois, comme pour montrer que je ne suis pas une fille adorable. Il n'en devait pas penser moins en ce moment. Mais il ne disait rien. Et il avait bien raison d'ailleurs. Je remis une noisette dans ma paume et je m'attaquais au bas du dos. En fait, je me rendis compte que j'y prenais presque plaisir. Mon dieu, et puis quoi encore?! « Merci… Disons qu’ils ont pas aimé le fait que j’fasse plus affaire avec eux, du coup ils m’ont tendu un piège et son venue à plusieurs… Sauf que ce qu’ils ne savent pas, c’est que je vais les retrouver, et j’aurais qu’un numéro de téléphone à faire pour qu’ils regrettent… J’me fais pas de soucis pour ça, faut juste que j’assure mes arrières avant… » Je lui avais demandé pourquoi ces trois poltrons lui avaient fait ça. Des affaires? Quelle genre d'affaire? Il était bien jeune pour travailler dans une compagnie, ou même y être à la tête ou quoi. Et comment ça, juste un numéro? Ça voulait dire quoi tout ça? Je ne comprenais absolument rien et ça avait le don de me frustrer. S'il croyait que ces explications me suffisaient, il se mettait bien le doigt dans l'oeil. J'en voulais plus. « Des affaires de quoi? Quand même, ce n'est pas une raison! Des gentlemen ne feraient jamais ça... » Je le regardais, suspicieuse. Et sur le coup, j'avais un peu peur de ce qu'il allait me répondre. Je sais pas pourquoi, mais je le sentais mal.
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• Une multitude de choix s'offre à vous dès votre naissance. Vous allez devoir choisir votre avenir, votre destiné dès votre première seconde de vie, oui, dès la première seconde vous allez devoir choisir si vous acceptez cette vie, ou si au contraire, vous la refusez et vous préférez éteindre cette étincelle qui brille dans vos yeux et repartir dans le monde des oubliés, dans le monde des morts. Avec une attitude simiesque, j’ai fait le choix d’accepter cette vie, de la vivre, et ça, malgré le fait que je savais pertinemment qu’elle n’allait pas être toute rose. Des chocapics au petit déjeuner, des aubergines au déjeuner et du homard pour le diner, et tout ça en écoutant les jacassements de ma mère et le charabia de mon père. J’sais très bien que ces petits moments simples de ma vie, je ne pourrais jamais les connaitre une fois de plus. Comme si une télécommande magique avait changé de chaine dans ma tête, passant d’un jolie Disney à un film comme Saw, c’est encore pire qu’un coup de pioche, j’me retrouve désormais avec une haine intérieure qui se transforme limite en ulcère, et je ne sais pas quoi en faire, j’ai pas encore vraiment trouvé un moyen pour la canaliser… Certaines personnes ont souvent dit que voilà, j’ai trois poils au cul et ça se prend pour un ours, mais c’est pas du tout ça, vous ne connaissez pas mon histoire, ma vie, alors allez-vous faire voir chez les Grecs avec vos calomnies à deux balles. « Des affaires de quoi? Quand même, ce n'est pas une raison! Des gentlemen ne feraient jamais ça... » J’suis là, dos à elle, la laissant me mettre de la crème sur ce dernier, appréciant chaque passage de ces mains, et, étrangement, j’me retrouve comme un sims, elle me pose une question, je lui réponds sans chercher à comprendre… «Des affaires de familles, mon père avait fait quelques trucs avec eux, j’ai décidé que maintenant c’était finit car la drogue ça m’intéresse pas, et ça leur a pas plus… jamais ils auraient dû faire çà ces cons… » J’vous assure que ce que je vais leur faire, le 11 septembre 2001 à côté c’est rien, il ne faut pas confondre secouer les nouilles et se nouer les couilles, et j’peux vous assurez que je vais leur nouer, aucun Supercalifragilisticexpialidocious pourra les sortir de là… •
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Je n'étais pas du genre spécialement curieuse. Ou même si je l'étais, je parvenais toujours à trouver les réponses à mes questions sans avoir à interroger les personnes elles-même. Mais cette fois-ci, je n'avais pas procédé de la même manière. Il était juste là, dos à moi et puis, je ne pensais pas connaître quelqu'un qui comptait aussi parmi ses connaissances. Et je ne voulais pas spécialement demander à quelqu'un d'aller recueillir des informations sur Ulysse. Si jamais ça arrivait aux oreilles de mon père, je ne saurais même pas comment expliquer tout ça. Et là, ça m'aurais plus énervé qu'autre chose. Mon père penserait que j'étais intéressée par ce gars et je savais qu'il n'allait pas hésité à faire des recherches lui-même. C'est qu'il n'allait pas laisser sa princesse avec un autre homme qu'un prince chevaleresque sur son destrier. Et Ulysse n'était pas vraiment l'image de ce personnage typiquement Disney sorti tout droit des contes de fée. Il était plutôt le méchant qui voulait voler la princesse ou quoi. Bref, il n'était sûrement pas le gendre idéal que mon père imaginerait. Oh et puis, de toute façon, pourquoi je pensais à ça moi?! Ce n'était pas comme s'il m'attirait plus que ça, ou comme si j'avais un coeur d'artichaut et que j'étais tombée raide dingue de lui! Par pitié, ce n'était tellement pas mon truc, l'amour. D'ailleurs, je débagoulais sur ce mot, ces têtes d'oeuf avec leurs sourires totalement niais, leurs mimiques simiesque, leur joue aussi rosé que le cul d'un babouin après un simple baiser de pacotille. Eurk, jamais je ne deviendrais comme eux, aussi coincé que des pingouin, de tels culs gelés. Et d'aussi loin que je me souvienne, je n'avais jamais vraiment aimé les contes de fée, les histoires d'amour à l'eau de rose. Parce qu'elle me semblaient totalement fausses et irréalistes. Pourtant, j'aurais pu y croire avec les parents comme les miens, qui s'aimaient comme au premier jour, qui m'aimaient moi, leur bébé royal tant attendu. Mais non... «Des affaires de familles, mon père avait fait quelques trucs avec eux, j’ai décidé que maintenant c’était finit car la drogue ça m’intéresse pas, et ça leur a pas plus… jamais ils auraient dû faire çà ces cons… » Que... Quoi?! Drogue?! Je me doutais que, peut-être, il trempait dans des affaires pas très nets, mais quand même, je ne m'attendais vraiment pas à ce que j'ai vu juste! Tout à coup, je retirais mes mains de son dos, comme si je venais de me les brûler, comme s'il pouvait me contaminer de son venin de vipère. « Ton père est dealer?! » Mais ce n'était quand même pas une raison pour dire qu'il était plus puissant que moi! Sauf s'il était vraiment à la tête de tout un réseau. Et rien que d'y penser, j'en frissonnais.
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• L’amour et moi on n’a jamais été en bon terme. Elle a toujours été là pour me foutre directement des poutres dans les roues, pour me faire marcher sur des oursins où faire tourner mon cœur dans une bétonnière. Elle a décidé de me laisser sur le bord de la route en compagnie d’une cartouche de cigarettes que j’ai jamais ouverte et un pain de campagne que j’ai troqué contre une aubergine et un homard à un espèce de foutriquet, de vrai poltron aux attitudes simiesques et à l’allure d’un diplodocus, marchant comme un alcoolique, les aisselles qui pue le fromage et la moule pas fraiche, un vrai connard quoi. Elle est là, elle me fait signe de loin, prenant parfois l’apparence d’Angelina Jolie, comme si c’était la fille de mes rêves, alors qu’en fait, je m’en branle, tant que la fille me plaît et que j’peux tremper mon biscuit, c’est tout benef pour moi, et c’est une relation qui casse pas trois pattes à un canard, mais non, à croire que j’y ai pas droit. Bon, disons aussi que j’y suis pour beaucoup, j’suis loin d’être le gendre idéale, le parfait petit gars qui arrive de façon chevaleresque sur son fidèle destrier, pff, connerie ça, moi j’arrive en Lamborghini, j’fais malheureusement peut-être un peu trop de bruit, ce qui réveil les australopithèques de voisin qui viennent d’avoir leurs bébé royal. J’suis loin d’être le gendre idéale, j’y connais rien moi à tout ça, j’me dis que le sexe c'est comme une partie de cartes : si ta pas un bon partenaire vaut mieux avoir une bonne main, et je cherche pas à aller plus loin, ça marche pas, bah a plus. Mais non, on va venir me chier un cake car j’me suis mal comporté. Mais faite moi pas chier nom d’une pipe, allez acheter vos meubles à Ikea en trainant vos octuplés et faite votre vie, pas la mienne. Mais dans tout ça, ce qui est étrange, c’est que Juliana, elle m’intrigue à un point que vous n’imaginez même pas. J’sais pas vraiment comment agir avec elle. Elle a ce côté je t’emmerde et j’te fous des coups de scalpel, et de l’autre, on peut voir la jeune femme adorable, qui va t’aider et prendre soin de toi, comme ce soir. D’ailleurs, en parlant de ça, je sens ces mains se décoller de mon dos d’un coup, comme si elle les avaient posé sur un radiateur brulant. « Ton père est dealer?! » Malgré le fait que j’ai quand même assez mal aux côtes, j’lâche un petit rire, c’est bon, j’vais pas non plus me débagouler dessus. Mon père ? Dealer ? Non, loin de là même… « Non non, pour être franc, mon père est en prison pour le restant de ces jours, et dans notre famille, on a toujours été contre la drogue, du moins, pas ma mère… Et ces gars-là, depuis que mon père n’est plus là, ils ont décidé de prendre le pouvoir, de vendre de la drogue en masse, et ça, j’accepte pas, j’suis contre la drogue, et j’ai aucune envie d’en voir circuler dans les mains des gosses, une vie c’est trop important pour être gâché si facilement… » Bordel, j’viens de me rendre compte que pour la première fois, je parle de ma vie à quelqu’un… Qui pisse contre le vent se rince les dents, quand j’vous dit que cette fille me fait des trucs bizarres, j’vous ment pas, tel est pris qui croyait prendre comme on dit… •
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Sur le coup, j'étais totalement espantée Non, son père ne pouvait quand même pas être un dealer? Enfin, pourquoi pas après tout, ça restait un boulot, bien différent et plus dangereux et moins honnête, mais il gagnait quand même sa vie sur le dos des gens. En quoi c'était différent de tous ces riches qui décidaient de fermer leurs usines pour en ouvrir d'autre au fin fond de la chine, causant des pertes d'emploi phénoménales? C'était pareil, il tuait quand même des gens indirectement. C'est que le taux de suicide augmente toujours pendant une crise économique, et encore plus celle qui nous atteignait ces dernières années. Néanmoins, je ne me sentais quand même pas trop rassurée de savoir tout ça. J'espérais sincèrement que son père ne soit rien de tout ça, qu'il soit quand même un homme honnête. Oh et puis, qu'est-ce que j'en avais à faire, d'où est-ce que venait toute sa fortune? Ce n'était pas comme s'il était important à mes yeux. Nonobstant ce que je venais de penser, il y avait cette voix qui semblait me dire le contraire. Tais-toi saloperie, t'sais pas ce que tu racontes! En fait, j'avais comme l'impression de me persuader de quelque chose. Enfin bref, je chassais rapidement toutes ces conneries de ma tête en la secouant. Heureusement qu'il ne pouvait pas me voir sinon il me prendrait pour une cinglée. Je ne remis pas mes mains sur mon dos, je ne pris qu'un mouchoir et me les essuyais. Ce serait plus efficace si je les lavais mais comme nous étions en pleine discussion... Je ne sais pas, j'avais l'impression que si je bougeais, il allait regretté toutes ces paroles et se refermer. Parce que là, je me rendais bien compte que doucement, il s'ouvrait à moi. Normalement, ça m'aurait fait chié, j'aurais écouté que d'une oreille sauf que... Je l'écoutais vraiment... « Non non, pour être franc, mon père est en prison pour le restant de ces jours, et dans notre famille, on a toujours été contre la drogue, du moins, pas ma mère… Et ces gars-là, depuis que mon père n’est plus là, ils ont décidé de prendre le pouvoir, de vendre de la drogue en masse, et ça, j’accepte pas, j’suis contre la drogue, et j’ai aucune envie d’en voir circuler dans les mains des gosses, une vie c’est trop important pour être gâché si facilement… » Son père est en prison?! De mieux en mieux... Qu'est-ce qu'il avait fait pour se retrouver derrière une cellule? Et donc, sa mère elle, c'était une droguée, c'est ça? Génial la famille... Mais au moins, lui il avait des principes et je respectais ça. « Qu'est... Pourquoi ton père... Enfin... Pourquoi il a été enfermé? » Parce que si c'était à perpétuité, il avait sûrement du faire quelque chose d'horrible... Non?
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• C’est la première personne à qui j’ai avoué que ma mère était une droguée, et que mon pingouin de père est en prison pour le restant de mes jours. Habituellement, j’suis plutôt nonobstant à ce sujet-là, balançant des conneries du genre sue ma mère est gérante d’un carnaval et que mon père est un foutriquet qui bosse avec Angelina Jolie, genre c’est son agent ou une connerie du genre. Je déteste parler de ma vie, car dans tous les cas, j’vais entendre les gens jacasser dans mon dos, balancer du charabia que je ferais mine de ne pas entendre, lancer un tat de calomnie, et j’finirais par leur sauter dessus pour leur coller mon poing dans la gueule, les jeter du ziggourat en les prenant en photo, m’amuser à remonter le temps avec une télécommande pour les voir heurter le sol encore et encore. Encore plus fou que le Chapelier fou, plus cruel que la Dame de Cœur. Mon père était le genre de gars à faire d’une pierre deux coups , c’est-à-dire, d’un côté il avait un flingue dans la bouche d’un gars, et de l’autre il me racontait une histoire au téléphone pour que j’aille m’endormir. J’aurais su ce que mon père était en train de faire à l’époque, j’aurais surement débagouler partout dans mon lit, faisant ressortir le homard manger le soir et les fraises tagada du matin. « Qu'est... Pourquoi ton père... Enfin... Pourquoi il a été enfermé? » Je crois l’avoir choqué… J’me lève sans réponse à sa question et j’vais à cloche pied en m’appuyant contre les murs dans la cuisine pour lui servir un verre d’eau, j’pense qu’elle va en avoir besoin. J’reviens vers elle, nom d’une pipe, j’vais devoir tout lui avouer. C’est étrange ce sentiment que je ressens à ce moment précis, comme de la peur, de l’angoisse, comme si j’appréhendais sa réaction, comme si j’avais peur qu’après ça elle parte et me laisse en plan, qu’elle prenne peur et qu’elle me voie comme un chacal, comme un mauvais gars, bon, c’est vrai que j’étais pas quelqu’un de très fréquentable, mais j’suis plutôt sympa quand on me connait, du moins, je pense. Mais merde bordel, pourquoi j’pense à tout ça moi ? Elle est pas contente bah elle se casse, j’ai besoin de personne pour vivre, j’suis pas un sims qui a besoin qu’on lui dise d’aller chier un cake ou bouffer ces putains d’épinard merde ! J’essaye de m’en persuader, mais étrangement, c’est pas facile, j’pige plus rien, j’suis légèrement perdu, comme si on m’avait foutu un coup de poutre dans la gueule, qu’on m’avait envoyé faire un tour dans une bétonnière et qu’on m’avait lâché dans une forêt déserte. Tel est pris qui croyait prendre le petit Ulysse… « Mon père était à la tête d’une grosse mafia… Et… Les flics ont réussis à le faire plonger pour des trucs qu’il n’avaient même pas fait, et du coup, il va finir le reste de ces jours en prison… » Voilà, je lui avais balancé la vérité. Pour la première fois de ma vie, j’avais été honnête avec une fille, ça me ressemble pas, et ça me fait flipper, étrangement, j’aimerais mieux mourir de mon vivant plutôt que de devoir lui raconter une connerie de plus, j’pige pas, je pige plus, j’suis limite perdu… •
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RÉVEILLE-TOIIIIII JULIANA! Pourquoi est-ce que tu t'intéresses tellement à la vie de cet homme qui t'as traité comme de la merde, comme une moins que rien?! Ce n'est pas toi ça! Je détestais cette sensation, celle de ne pas me reconnaître. Je ne suis pas du genre à penser aux autres, je ne les aides pas. Je suis une putain d'égocentrique nombriliste merde! Je ne suis pas une infirmière, je n'aide pas les personnes qui en ont besoin, qui sont blessés. Je les laisse crever à côtés de leur poubelle. Je pourrais même les aider à mourir si ça pouvait me faire plaisir. Je suis un Chapelier fou. Pire, je suis une Reine de coeur qui méprise tous les foutriquets de  ce monde, qui les tue à petit feu entre ses griffes de vipère en leur faisant ingurgiter du poison venimeux de force. En quoi ça te regarde de qui est son père, ce qu'il a fait, quand sa mère est morte, qui est sa famille. T'en as absolument rien à foutre de sa vie Jules, alors réveilles-toi et reprend ton rôle de sale petite peste pourrie gâtée. Je le regarde se lever et parcourir la suite à cloche-pied jusqu'à la cuisine. Et il revient avec un verre d'eau. Mais pourquoi il faisait ça? Pour moi? Mais non, ce gars-là aussi est un pure égoïste. Rappelle-toi, c'est un cancer, un putain d'ulcère qui va pas te lâcher, qui vas te bouffer petit à petit. Souviens-toi que tu veux pas de tout ça. J'inspirais un grand coup. Oui petite voix, t'as raison, ce gars n'en vaut pas la peine. Alors, lève-toi et marche! Sauf que non, mon cul restait posé dans ce canapé. Allez, vas-y, casse-toi! Enfuis-toi même! Arrête de faire le sims qui n'a aucune volonté. Mais je restais là. J'inspire à nouveau un grand coup. Maintenant. C'est le bon moment. « Mon père était à la tête d’une grosse mafia… Et… Les flics ont réussis à le faire plonger pour des trucs qu’il n’avaient même pas fait, et du coup, il va finir le reste de ces jours en prison… » Regarde, c'est un mafieux! Il vient de te l'avouer! Maintenant casse-toi, sinon tu vas finir par crever à cause de lui. Tu vas certainement souffrir, et t'aimes pas pleurer. Tu détestes ça même. Lève-toi, par pitié. Genre des trucs qu'il n'a pas fait. C'est que des conneries, tu le sais bien. « Ouais, c'est ce que tu dis. J'suis sûre que ces trucs, il les a fait, sinon les flics n'auraient pas de preuves contre lui. » Voilà, ça c'est toi, méchante et froide. Maintenant, prends congé. « Bref, j'en ai marre de t'écouter raconter ta vie, j'me casse. Essaie de pas te faire étouffer dans ton sommeil, j'aimerais pas être la dernière personne a t'avoir vue en vie. » Cette fois-ci, mes jambes m'obéissent et pourtant, j'me sentais un peu mal de lui avoir parlé de cette manière alors qu'il s'était ouvert à moi. Mais valait mieux pour moi que cette mascarade s'arrête...
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• J’suis là, en train de me mettre à nu face à elle, chose que je n’ai jamais faite pour une fille, et pour un garçon non plus à vrai dire. Jamais je ne parle de ma vie, jamais je me dévoile, je garde cette image de petit fils de bourge qui passe le temps à te pourrir la vie, qui te pousse limite au suicide. Je suis cet enculé qui va te faire pleurer, qui va te faire souffrir, qui va se servir de toi, te modeler à sa façon pour faire de toi ce qu’il veut. J’suis un connard qui ne pense qu’à lui, qui se moque bien de ce que vous pouvez ressentir, de ce qui vous plaît, ce qui vous déplaît. J’vis ma vie sans penser à vous, en vous enculant comme des chèvres mortes. Et là, j’me retrouvais comme un con, à faire ce que je n’avais jamais fait, à me dévoiler, et tout ça devant une fille dont je m’étais servi quelques semaines plutôt, une fille a peu près comme moi, qui ne pensait qu’à elle, du moins, c’était une image qu’elle dégageait je pense, car autrement, elle ne m’aurait pas aidé ce soir. J’sais pas comment ça se fait, j’sais pas pourquoi je fais ça, ça sort tout seul, je ne comprends rien, et j’ai envie de me foutre des claques en pleine gueule pour que j’arrête, mais j’ai commencé, et je n’arrive pas à m’arrêter, c’est impossible. J’ui balance tout, que ma mère était une ancienne junky décédé, que mon père est partie en prison pour y finir ces jours, que c’était un mafieux, et j’fais ça sans aucune raison, cette fille me fait quelque chose que je ne pourrais vous décrire, j’sais pas ce que c’est, mais c’est assez étrange, je connais pas ça bordel… « Ouais, c'est ce que tu dis. J'suis sûre que ces trucs, il les a fait, sinon les flics n'auraient pas de preuves contre lui. » … « Bref, j'en ai marre de t'écouter raconter ta vie, j'me casse. Essaie de pas te faire étouffer dans ton sommeil, j'aimerais pas être la dernière personne à t'avoir vue en vie. » Mais putain de bordel de merde. Elle est sérieuse là ?! Elle se la joue petite fille sympa, gentille, et là, elle repasse en mode j’suis une connasse et j’m’en bas les couilles de ta vie ? Sérieusement, j’ai juste envie de me lever et de lui claquer la gueule dans le mur, sauf que je ne le ferais pas, de un, c’est une fille, de deux, j’suis trop faible pour y arriver, et de trois… Je n’y arriverais pas, je ne pourrais pas le faire… J’la fixe avec des yeux noirs, bien fait pour ta gueule Ulysse, tu l’as trop ouvert… « Tu te fous de ma gueule j’espère ?! Prends la fuite vas’y, mais c’est pas comme ça que tu avanceras dans la vie… » J’venais de m’ouvrir à elle, et voilà qu’elle fou tout en l’air, alors qu’elle se casse, même si au fond ça me fait chier, mais j’vais pas lui courir après, ça me ressemble pas… •
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J'avais été aussi cash que je le pouvais. Aussi je m'en-foutiste aussi. Fallait pas qu'il m'atteigne. Oh et puis, pourquoi est-ce qu'il m'atteindrais, il n'en aurais ni la force, ni le courage. Et pourtant, il l'avait fait mais ça, je ne l'avouerais jamais. C'était la première fois que j'écoutais réellement quelqu'un parler. Enfin non, j'écoutais aussi attentivement mes amies mais lui, il n'en faisait pas partie. Je l'avais déjà placé dans la catégorie "connard, à fuir comme la peste et à sa venger". Il était le seul d'ailleurs, il pourra se vanter d'avoir une place spéciale dans mon coeur. Sauf que je ne me rendais pas encore compte à quel point, il était spécial à mes yeux. Il me fallait encore un peu plus de temps pour comprendre qui il était réellement. Là, j'avais aperçu le charmeur, puis le connard, le lourdeau et maintenant le... le quoi? Voilà, j'savais même pas. Quelle merde quand même. J'avais vraiment bien fait de me lever et de décider de partir sur un coup de tête alors qu'on discutait tranquillement. Et sincèrement en plus. Je captais alors le regard noir qu'il me lançait, et j'en frissonnais presque. Il n'avait pas aimé. Bien sûr, il s'ouvrait et moi, j'avais décidé de l'envoyer bouler sans même le prévenir. « Tu te fous de ma gueule j’espère ?! Prends la fuite vas’y, mais c’est pas comme ça que tu avanceras dans la vie… » Je me mordis la lèvre. Sur le coup, j'étais tentée de me rasseoir et de m'excuser. Sauf qu'une Rockefeller ne s'excuse jamais! Je ne comprenais même pas comment cette idée avait même pu me passer par la tête! Non mais franchement, il t'avait retourné le cerveau ou quoi?! Allez, bouge! Je ne dis rien. Je me contente juste de reprendre mes affaires. J'atteignis la porte. Je me retournais une dernière fois. J'avais envie de lui dire un truc, n'importe quoi, mais ma bouche restait hermétiquement fermé. J'activais la poignée et je sortais, en silence. Et là, je soufflais, m'adossant contre la porte, les yeux fermés. Dans quel merdier tu t'es foutue Juliana?
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