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If you love me let me go...

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• J’fais mine de ne rien ressentir, d’avoir un cœur de pierre coulé dans une bonne grosse bétonnière, j’montre au gens que je n’ai pas qu’une eurocard Mastercard dans la poche, que je vis dans le luxe et que je me torche le cul non pas avec du papier cul normal, mais plus en satin. J’me fixe des objectifs toujours plus hauts, j’essaye de me dépasser de jours en jours, je n’écoute pas jacasser toutes ces commères derrières moi, les calomnies je m’en tape. Mais au final, à quoi ça va me servir tout ça ? Je veux dire, est-ce qu’un jour j’aurais une rue qui portera mon nom ? Une statue à mon effigie ? J’pense pas vraiment, j’ferais surement la une d’un journal pour parler des circonstances étranges dans lesquels j’ai perdu la vie, j’serais affiché comme un couard, un foutriquet bon à rien qui n’aura apporté que du malheur sur son chemin. Alors j’emmerde le monde, j’emmerde ma voisine agoraphobe, mon jardinier simiesque, mon australopithèque d’oncle, j’emmerde les traders qui passent leurs temps à chier des cake pour un rien, j’emmerde le Chapelier fou et sa putain de Reine de cœur que je pourrais comparer à ma défunte mère, j’emmerde aussi tous ces fils de pute de chacal qui se croient au-dessus de tout le monde, j’emmerde ces babouins qui ne sont pas foutu de se reproduire entre eux, ces connards qui pensent que régler un problèmes c’est se taillader la gueule à coup de scalpel et à coup de poutre, j’emmerde tous ces intellectuel qui passent leurs journées à feuilleter des encyclopédie pour trouver qu’elle molécule il y a dans les fraises tagada, mais putain les gars, réveillez-vous, on en a totalement rien à foutre de toutes ces conneries, ça va nous apportez quoi sérieusement ? Et celui que j’emmerde le plus inconsciemment, c’est mon père, cet enculé d’escogriffe qui baisait de la moule pas fraiche avec une odeur de fromage qui pue et qui m’a foutu dans la mafia, car ouais, j’pense qu’au fond de moi, j’ai jamais voulu en faire partie, mais que je n’ai pas eu le choix, et qu’au finale, c’est devenue une évidence, alors ouais, j’emmerde pas mal de choses, et c’est à cause de toutes ces petites choses-là que ce soir, j’me retrouve dans cet état-là, que j’ai l’air d’un putain de pingouin bon pour la casse, alors allez tous vous faire voir chez les Grecs, et restez y ! « Quel bébé. » Et le pire, c’est qu’elle se fou de ma gueule, bon, je la comprends, j’ai jamais été tendre avec elle, alors je ne dis rien, je la laisse faire, et puis, pour ne pas vous mentir, j’suis pas vraiment en état de riposter. Le chien de tout à l’heure passe et je la vois le caresser, et là, j’pige pas trop mais je l’entends faire le chat, j’me dis qu’elle est folle, mais je réalise qu’en fait un chat vient de passer par là, les gars, j’ai pas Angelina Jolie devant moi mais plutôt Brigitte Bardot… « Tu crois que t'arriveras à te lever ou... ? » Bon, j’pense que j’peux toujours essayer, au pire j’me casse la gueule, j’suis plus à ça près pour ne pas vous mentir, alors, je m’accroche à la poutre et j’me rend compte que j’ai mal à la jambe, putain la merde, j’commence à avancer en sautant à cloche pied tout en me tenant au mur, mais j’prends bien mon temps, j’suis loin d’être en état de courir. « J’ai ma voiture pas loin mais j’pourrais pas conduire j’crois j’risquerais de prendre un mur… » En fait, j’ui demande si c’est possible qu’elle me ramène chez moi… Bordel, j’vais devoir être gentil avec elle… •


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J'étais curieuse. Mortellement. Il m'avait avoué qu'il s'était fait attaqué par trois couards, mais pourquoi? Juste parce qu'il était là? Oui, c'était possible, les gangs étaient vraiment des groupes de poltrons, de foutriquets sans aucune morale et ça me dégoûtait. Je suis sûre que si ça avait été moi, il me serait arrivé bien pire. En fait, je n'osais même pas imaginer ce qu'ils me feraient. Rien qu'en y pensant, je frissonnais. Comment de tels énergumènes pouvaient exister? En fait, ils n'étaient même pas des hommes à mes yeux, juste une bande de babouins, le genre où dès qu'ils ont trois poils au cul, ben ça se prend pour un ours. De vrais australopithèques comme leurs ancêtres. Le genre de gars que t'as juste envie d'enfoncer une pioche dans le coeur, et de l'envoyer bouler dans une bétonnière. Parce que, ce genre là, pas la peine de les envoyer se faire voir chez les grecs, ils reviendront quand même au galop, et mille fois pire, en mode troupeau de phacochère. Et après, ça se prend pour un homme. Il ne faut pas confondre secouer les nouilles et se nouer les couilles! Bref, et ça revenait à moi de jouer les infirmières. Rapidement, je finissais de lui désinfecter le visage. Je ne pouvais pas faire plus ici de toute façon. Je lui demandais s'il pouvait se lever. Je le vis donc s'accrocher à la poutre et se remettre sur les pieds. Ou plutôt, sur un pied. Je me pinçais les lèvres. Je doutais que j'arrive à le soutenir mais bon, on ne sait jamais. Je gardais un oeil sur lui tandis qu'il avançait à cloche pieds, une main sur le mur pour garder l'équilibre. « J’ai ma voiture pas loin mais j’pourrais pas conduire j’crois j’risquerais de prendre un mur… » J'acquiesçais alors. Bon ben, direction la voiture alors. « Passes-moi tes clefs. » À la fin de la rue, je me rendis bien compte qu'il serait peut-être temps de l'aider. Une nouvelle fois, je soupirais. Comme si je serais capable de soutenir un escogriffe pareil. Je me pinçais finalement les lèvres. « Bon, j'aimerais quand même pouvoir rentrer assez vite, donc tiens-toi à moi. » Je changeais mon sac de sport d'épaule tandis que je tentais de le soutenir. Totalement charmant comme troisième rencontre. Alors là, c'était certain, il me devait une dette. Peut-être même deux! Bref, vu que j'étais gentille, il avait tout intérêt à m'écouter un bon bout de temps!
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• J’suis loin d’être le genre de vipère à aimer cracher mon venin venimeux sur les gens, balançant calomnies sur calomnies, et ne prenant mon pieds quand jacassant et en baragouinant des merdes dans leurs dos. Quand j’ai un problème avec quelqu’un, je vais directement le voir, je lui explique la chose, et s’il n’est pas de mon avis, je le cogne contre une poutre jusqu’attends qu’il soit d’accord avec moi. Radical comme méthode je sais, mais elle a su faire ces preuves et se montrer efficace plus d’une fois. Tous ces poltron pensant pouvoir faire leur loi, pensant que je vais me rabaisser devant eux, se sentant supérieur et puissant lorsqu’ils nique de la vierge, j’ai juste envie de les envoyer crever à l’intérieur d’un camion poubelle, un peu de respect merde. J’ai pas mal de défaut, faut pas se le cacher, j’suis loin de me trouver parfait, d’être un gars brillant, je réfléchis souvent après avoir cogné, je sais très bien qu’un jour ça va me porter préjudice, que je serais tranquillement assis sur mon canapé, ma télécommande en main, et mon visage au information, balançant des conneries que j’aurais pu faire, j’le sais, mais j’m’en branle, j’fais pas attention à tout ça, à toutes ces potiches qui pourrait vouloir me nuit, car je sais qu’elles ne durent pas trop longtemps, qu’à moment où un autre, elles vont se lasser, ou disparaitre étrangement… « Passes-moi tes clefs. » Bordel, j’pensais pas qu’un jour j’allais devoir lui laisser les clefs de ma voiture, que j’allais devoir avoir confiance en elle, c’est peut-être pas une lamborghini, mais habituellement, j’suis le seul à conduire mes voitures. Je lui lance les clefs tout en avançant lentement, mais cette dernière avait l’air de voir la chose autrement. « Bon, j'aimerais quand même pouvoir rentrer assez vite, donc tiens-toi à moi. » J’la sens venir m’agripper pour me faire avancer plus vite. J’suis pas non plus dodu, mais elle va galérer si elle compte me porter hein. Une fois dans la voiture, j’m’avachie, soupirant, pour prendre la parole. « J’te fais confiance, t’en prends soin hein… » J’sors de la boite à gant une liasse de billet que j’pose sur la tableau de bord. « Emmène-moi dans un hôtel si ça te dérange pas, j’ai pas envie de rentrer dans les chambres et devoir répondre aux questions de mes colocataires… » Qui dit Summer Camp dit chambre commune, j’peux vous assurez que ça me changeait de ma villa… J’crois bien qu’après ça, j’vais faire en sorte d’être gentil avec elle. « C’est que la petite peste peu devenir adorable quand elle veut… » Avais-je lâché dans la voiture, j’suis pas doué pour les compliments, faut toujours que je clash un peu avant… •

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Finalement, ma soirée aura été plus divertissante que si j'avais décidé de rester dans ma chambre, à zapper émissions sur émissions, télécommande en main. Au lieu de me retrouver devant un film d'action, j'avais presque l'impression d'en jouer un. Parce que, bien sûr, c'était toujours le même topo: le héro chevaleresque se retrouvait blessé et une meuf qu'il avait rencontré plus tard, le retrouvait et le soignait. De là, ils couchaient ensembles et c'est le grand amour. Sauf que dans la vie réelle, ce n'était pas du tout comme ça, ni dans James Bond d'ailleurs. Il manquait juste la partie "grand amour". Mais bref, tout ça pour dire qu'avec Ulysse, ce n'était sûrement pas ça. Et ça m'étonnerait qu'il soit genre, agent secret comme 007. Je me souvins alors de notre conversation au bar. Il m'avait avoué être plus puissant que moi, avoir des moyens de pression qui pourrait nous bouffer, moi et toute ma famille. Je me souvenais lui avoir demandé s'il faisait partie de la mafia, mais en rigolant. Il n'avait pas démenti, mais n'avait pas confirmé non plus. Je fronçais alors les sourcils. Vraiment, je me prenais la tête pour rien. Je ne comprenais même pas pourquoi je me montrais aussi curieuse à son sujet, ce n'était tellement pas mon genre. Sauf quand je faisais la comédie et là, ce n'était pas le cas. Décidément, quelque chose cloche chez moi. Faudrait que j'en parle à Charline dès que je la verrais. D'ailleurs, j'avais plein de chose à lui raconter et elle me manquait. Ça ne faisait pourtant que quelques jours que nous ne nous étions plus vues mais voilà, on a toujours passé notre enfance ensemble et ces 4 ans où on ne se voyait que pendant les vacances m'avaient tuée. Mais maintenant, ce problème était réglé et je savais qu'une fois la rentrée passée, on allait se remettre à jouer les sangsues l'une avec l'autre. C'est ça l'amitié et elle était sans doute l'une des seules, avec Alexine, qui m'importaient le plus. Quand je disais que moi, je comptais mes véritables amies sur les doigts de la main... Bref. Je jetais un coup d'oeil à Ulysse. Il était aussi lent qu'un escargot, laissant sa bave trainer sous son passage. Il avait l'air d'une loque humaine et ça me faisait un peu pitié. Là, sur le coup, son prénom ne lui allait même plus. Je décidais donc de l'aider pour arriver plus vite à sa voiture. Et finalement, j'y arrivais sans trop trop de difficulté. C'est qu'il est quand même moins lourd qu'un hippopotame. J'ouvris la portière du siège passager et je me vis s'écrouler dessus. Je m'installais ensuite devant le volant. « J’te fais confiance, t’en prends soin hein… » À sa remarque, je levais les yeux au ciel. Les hommes et leur voiture, une véritable histoire d'amour. Je lançais le moteur et attacha ma ceinture. Je fis de même pour lui. « Emmène-moi dans un hôtel si ça te dérange pas, j’ai pas envie de rentrer dans les chambres et devoir répondre aux questions de mes colocataires… » J'haussais les épaules tandis qu'il balançais une liasse de billets sur le tableau de bord. Quelle idée quand même, de mettre de l'argent dans la boite à gant. Enfin bon. Donc, direction un hôtel. J'allumais donc le GPS et chercha le plus proche. C'est que je ne les connais pas tous non plus. Par chance, c'était une chaîne de luxe. Je me dirigeais donc vers le logement qui n'était qu'à quelques rues du lieu où on se trouvait. « C’est que la petite peste peu devenir adorable quand elle veut… » Sans attendre, je lui enfonçais deux doigts dans les côtes. « N'y croit pas trop, tu me fais pitié, c'est pour ça que je t'aide. »
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• Un jour j’ai dit « i love you » à la vie et elle m’a répondu « va voir ailleurs si j’y suis », depuis ce jours-là, je n’ai pas un cœur de saphir mais un cœur en béton coulé dans une bétonnière de qualité. Les spleen n’ont plus aucun effet sur moi, la méchanceté non plus, les calomnies encore moins, et la bénédiction divine ne me frappera jamais, préférant aller voir des potiches en folie pleurant devant des vieux Disney lorsque le prince arrive d’une façon assez chevaleresque sur son fidèle destrier. Je n’attends qu’une chose, un big bang mondiale poussant les traders à se demander si la crise économique va leur faire perdre le travail, ces gens-là sont tous des clones, des sims, des pions sur un plateau de jeu, marchant sur un tat d’oursins contrôlable avec une télécommande et une bonne liasse de billet. Et c’est ces genre de gars-là qui clament haut et fort qu’ils sont brillants, qu’ils contrôlent le monde, et que si un empereur serait encore de ce monde il leur mangerait dans la main ? Permettez-moi d’en douter, à mes yeux, vous n’êtes bon qu’à dérouler mon papier cul et me torcher lorsque je sors des chiottes, alors allez bien vous faire foutre, j’vous contrôle d’une façon que vous imaginez même pas, un petit billet, un service rendu, et vous faites ce que je veux. Combien de fois je me suis sortie d’une merde qui aurait pu dévoiler mon identité au grand jour, juste en composant quelques numéros. Ce genre de gars-là trempe leurs biscuit un peu partout après le travail, pensant que le téléphone rose est la meilleur invention du siècle, pour ensuite rentrer chez eux et embrasser leurs enfants qui dort et remettre les couverts avec leurs femmes. Bande de poltron va. Caleçon qui gratte morpion qui squatte, alors faites attention aux endroits que vous fréquentez les gars. Tous une belle bande de foutriquet, plus couard les uns que les autres, et après on s’étonne que le monde parte en couille. « N'y croit pas trop, tu me fais pitié, c'est pour ça que je t'aide. » J’ai rien le temps de voir que je la sens me rentrer deux doigts dans les côtés. « AAAAHH mais putain calme toi ! » Avais-je gueulé tout en serrant mes poings. Putain non mais j’vous assure, j’aurais été en état et ça aurait été un garçon, je lui aurait emplafonné la gueule dans le volant, j’aurais déclencher un accident ferroviaire, comme celui de Saint Jacques de Compostelle. J’ouvre la fenêtre et je crache le sang qu’elle a fait remonter en appuyant sur mes côtes, elle veut ma mort s’te fille, c’est pas possible… Le sexe c'est comme une partie de cartes : si ta pas un bon partenaire vaut mieux avoir une bonne main, j’me dis que ce fût une bonne partenaire, on va pas se mentir, mais putain, j’aurais dû utiliser ma main ce jours-là, on est d’accord qu’il ne faut pas confondre secouer les nouilles et se nouer les couilles! , mais pour le coup, je préfère me les nouer, histoire qu’elle me dépose à l’hôtel sans trop aggraver mon cas, car j’dois le dire, elle m’a bien rendu service ce soir. « J’t’en dois une, mais j’te retiens quand même, t’as de la chance que j’sois pas en état de riposter ! » Bon, je l’aurais pas frappé, j’suis pas non plus con à ce point-là. Bordel on arrive quand ? J’ai une putain d’envie de pisser, mais nulle part ou faire, c’est vraiment pas ma soirée ce soir… •

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Hum... Peut-être avais-je exagéré sur ce coup-là? Ouais, je crois que je n'aurais jamais dû faire ça, il était déjà assez mal au point comme ça. J'avais vraiment joué à ma Reine de coeur et je m'en voulais un peu, surtout quand il hurla. « AAAAHH mais putain calme toi ! » Mais c'est de sa faute aussi, il n'avait qu'à pas dire ça! Je ne suis pas une fille adorable, je le savais. Je ne l'avais jamais été, sauf en pleine période d'hypocrisie. Là encore, tout n'était que faux-semblant, un pur carnaval d'émotions, de faux masque que je mettais puis retirais à ma guise, comme si j'étais un sims, une marionnette, sans les mimiques simiesques. Mais à part ça, je n'étais pas une fille adorable. Nonobstant tout ce que je pensais de ma personne, je ne pu m'empêcher de me retrouver inquiète quand il se remit à cracher du sang à cause de mon coup. Comme un vampire qui en aurait trop bu, au point d'en débagouler. Ce n'était vraiment pas normal. Enfin, je n'étais pas docteur mais justement, c'est sans doute ce qui me préoccupait le plus. Si jamais il avait une infection interne... « Tu es sûr de ne pas vouloir aller à l'hôpital? » Parce que je ne saurais comment l'aider. Et je ne me sentais pas capable de le laisser seul dans une chambre d'hôtel. On ne sait jamais, s'il allait claquer comme ça ou quoi. « J’t’en dois une, mais j’te retiens quand même, t’as de la chance que j’sois pas en état de riposter ! » Tout de suite, je grimaçais. Merde, je n'aurais jamais dû faire ça! Tel est pris qui croyait prendre, je m'étais encore attirée des ennuis alors que bon, après mon aide, j'aurais pu quémander n'importe quoi... Finalement, après quelques minutes, je m'arrêtais devant l'hôtel. Un voiturier vint ouvrir la porte passager tandis que je sortais. Je lui filais les clefs et aidait Ulysse à sortir. « Vas t'asseoir, je m'occupe de t'ouvrir une chambre. » Je le laissais là et me rendis à la réception. Je demandais ensuite une suite, bien entendu, et une trousse de secours. Parce que bon, je me doutais bien qu'elle devait être plus complète que celle que j'avais. Une fois avoir récupéré la clef et la trousse, je revenais vers Ulysse. « J't'ai pris une suite. » Et je l'aidais jusqu'à l'ascenseur.
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• La mort ou le phénomène naturel qui va tous nous déprimer, nous faire nous sentir mal et avoir qu’une seule envie, quitter à notre tour ce monde, lâcher cette vie qui nous donne plus de quoi être bien. Pourquoi est-ce ça existe ? Pourquoi les personnes qui nous sont chère doivent toujours partir en première ? J’arrive pas à comprendre, j’arriverais jamais à comprendre pourquoi c’est comme ça. Pourquoi la vie est faite ainsi, pourquoi devons-nous subir ça ? Endurer toute cette douleur qui nous bouffe de l’intérieur et nous empêche d’avancer. Je vous jure que si un jour je trouve ce fameux Dieu, si un jour j’ai la chance d’être en face de lui, j’aurais deux trois questions à lui poser, et je ne partirais pas sans avoir eu les réponses désirées, et pas juste un « c’était son destin », je me contenterais pas de ça, car je lui répondrais tout simplement que j’emmerde ce putain de destin, que c’est pas comme ça que ça marche, qu’une personne d’une vingtaine d’années n’a pas à partir si tôt, qu’elle a encore beaucoup de choses à vivre, alors qu’il la ramène. J’vous assure que je ne serais pas en train de lui lécher les bottes et le caresser dans le sens du poil de sa barbe, loin de là même, j’me prendrais surement la tête avec, quitte à me prendre un éclair de Zeus dans le cul, au moins, j’aurais dit que ce j’avais à dire et je lui aurais fait part de ma façon de voir. La mort d’une personne proche nous marquait toujours, et c’est pas toutes vos spleen qui pourront nous faire oublier, c’est pas votre charabia incessant, vos jacassement et toutes vos calomnies qui pourront faire partir cette douleur au gout amer. J’suis sûr que même à l’époque des diplodocus, des ornithorynque et des australopithèque, on pleurait la mort d’un être cher. T’es là, en train de bouffer comme un phacochère ton bol de Chocapics, et tu entends un bruit sourd, quelque chose qui tombe par terre, comme une poutre qui heure le sol, un bruit de cloche. Tu te lèves et tu suis à la trace l’espèce de bave d’escargot au sol, tu te demandes ce que ça peut bien être, d’où tout ça proviens, et puis, tu vois des jambes, tu reconnais celle de ta mère, tu la vois allongé au sol, inerte, comme si une vipère au venin venimeux venait de la mordre, de la tuer. Tu vois sa cartouche de clope à moitié entamé posé à côté d’elle. Elle ne bouge plus, elle est morte. Tu gueules, tu hurles, tu te sens déchiré de l’intérieur, comme si un scalpel jouait avec tes tripes, t’as mal, jamais t’as eu aussi mal que çà, même le jour où tu t’es encastré dans un radiateur en faisant le con. Tu revêtis ton costume de pingouin, et t’assistes à l’enterrement de ta mère, aucun superhéros n’est venu la sauvez, Superman ou Batman avait décidé de pointer aux abonnés abscents ce jours-là, bande de couards, t’as jamais eu aussi peur de ta vie, même lorsque tu as regardé saw dans le noir. Un homard sur la table que personne ne mangera, des épinards et autres aubergines à l’abandon dans un plat, personnes n’a faim, avaler quelques choses et vous aurez l’impression de manger des oursins. J’pense que c’est à partir de ce moment-là que ma vie a changé, que j’ai décidé d’envoyer chier tous ces escogriffes, de leurs débagouler dessus tout ce qui est enfoui à l’intérieur de moi. J’ai décidé de faire d’une pierre deux coups, devenir avocat et être à la tête de la mafia familiale, sauf que j’me doutais pas des problèmes que ça allait m’apporter, tel est pris qui croyait prendre, j’ai la belle vie, je ne vais pas vous le cacher, les eurocard Mastercard s’entasse dans un tiroir, mais est-ce que la vie se résume à ça ? A un compte en banque blindé ? Je ne sais pas vraiment… « Tu es sûr de ne pas vouloir aller à l'hôpital? » Je secoue la tête, j’compte pas aller à l’hôpital, voir des ballons dans la chambre et toutes ces merdes. « J’suis bien plus dur que ça, crois pas pouvoir te débarrasser de moi aussi facilement… » C’est au moment où je sentis la voiture s’arrêter que je me mis à réfléchir à une parade pour ne pas attirer l’attention des employé de l’hôtel. « Vas t'asseoir, je m'occupe de t'ouvrir une chambre. » La voilà qui s’en vas et j’vois le voiturier arriver. Putain une parade merde, allez vite, j’réfléchis pas et j’prends un accent italien. « Une soirée qui a mal tournée, vous n’aurez pas de problèmes vous inquiétez pas… » J’fais genre le touriste quoi… Je continue de marcher à cloche pied jusqu’au moment où on arrive devant l’ascenseur. « J't'ai pris une suite. » J’la remercie et j’attends que l’ascenseur arrive, j’vois qu’elle a une trousse de secours dans les mains, bordel, elle veut vraiment se la jouer médecin ? Si j’ai des plaies ouvertes, elle va me recoudre ou bien ? Une mamie passe par là, belle fourrure sur les épaules, beau bijou en or autour du coup, et elle me regarde de haut en bas, elle me dévisage comme si j’étais un vampire plein de sang, un putain d’alien, du coup, je la regarde avec un large sourire et je lui fais un clin d’œil coquin vieille peau va. L’ascenseur arrive et j’monte dedans, j’me tourne difficilement vers Juliana. « Tu vas pas me laisser ici, monte avec moi j’te paye un verre, j’peux pas te laisser partir comme ça, même si t’es une garce de t’amuser à me faire mal… » J’ui demande de monter mais je la clash, j’sais pas m’y prendre j’crois, balancer moi une bétonnière sur la gueule… •

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Je n'étais ni claustrophobe ni agoraphobe mais quand que je pouvais éviter les ascenseurs, je le faisais. En plus, c'était plus sain pour la santé de monter par les escaliers. Sauf que, dans un hôtel, ce n'était pas le meilleur, sachant qu'en plus, la suite était située au septième étage. Je n'avais pas vraiment de problème contre les ascenseurs, mais j'avais toujours cette peur qu'elle tombe en panne. Sans doute un traumatisme d'enfant, quand j'y suis restée bloquée pendant plus d'une heure, toute seule, à l'âge de 5 ans. C'était le genre d'événement qu'on n'oubliait jamais. Ou même si on l'oubliait, notre esprit lui, en gardait encore les séquelles. Je savais aussi que s'il m'arrivait encore ce genre d'emmerde, je piquerais une crise de panique. Et il ne valait mieux ne pas être dans mes environs. Pas que j'en ai déjà fait une mais bon, on ne sait jamais, encore une fois. Depuis, j'utilisais les escaliers aussi souvent que possible et puis, ça me permettait de garder la ligne. Oh bien sûr, le fitness m'aidait dans tout ça, tout comme la gymnastique. D'ailleurs, j'en avais fait plus jeune et je comptais bien m'inscrire dans le club des cheerleader à la rentrée. Nous n'avions pas ce genre d'activité sportif dans notre lycée, sans doute parce qu'il était privé, et j'ai toujours voulu essayé. Je savais que j'en étais capable, surtout après mes années de gymnastique. Et puis, je savais danser aussi. Et n'oublions pas le meilleur, j'ai le physique qui va avec. J'y réfléchissais de plus en plus, surtout que la rentrée s'approchait à grand pas. Enfin bref, ce n'était sûrement pas le moment de penser à ça, surtout que l'ascenseur venait d'arriver et nous ouvrait ses portes. Ulysse y rentra, en compagnie d'une femme un peu trop extravagante à mon goût. Sûrement une de ces nouveaux riches qui ressent le besoin de montrer toute sa richesse avec des bijoux et des vêtements de mauvais goûts. Le genre de riche qui raffolaient de caviar en apparence alors que, personnellement, le foie gras était quand même meilleur; le genre qui fumaient des cigares pour se donner un genre alors que les cartouches de cigarettes nuisaient quand même moins à la santé. Qu'est-ce que je pouvais les détester, ces foutriquets qui faisaient comme nous, tout en sachant que, de toute façon, ils n'y arriveront jamais. Ils ne seront jamais acceptés auprès des anciens, ceux qui, comme moi, venons d'une élite sociale de plusieurs générations. Mais ça, elle ne pouvait pas comprendre. Je tendis donc la trousse à Ulysse, pour qu'il la prenne. C'est que j'avais soudainement décidé qu'il serait peut-être temps de rentrer et puis, je n'avais pas spécialement envie de jouer les infirmières toute la soirée. Sauf qu'il semblait en avoir décidé autrement. « Tu vas pas me laisser ici, monte avec moi j’te paye un verre, j’peux pas te laisser partir comme ça, même si t’es une garce de t’amuser à me faire mal… » Tout de suite, je lui jetais un regard noir tandis que la conne de riche me dévisageait d'un air espanté. Quoi, elle croyait vraiment que j'avais assez de force pour m'attaquer à un homme comme lui. Elle était marrante, cette moule pas fraiche. « Excusez-moi » J'avais pris un accent français pour faire genre et lui montrer que ce n'était sûrement pas moi qui ait fait ça -parce que les riches ont toujours une bonne impression des français... ou pas- histoire qu'elle puisse se dégager un peu, que je puisse rentrer.  Tout de suite, je mis un doigt sous mon nez. Non mais elle avait renversé tout le flocon de son parfum ou quoi, cette vielle! Elle sentait aussi bon que le fromage qui pue maintenant. Je retenais donc toute ma respiration jusqu'au ce qu'on arrive. « Enfin un peu d'air frais, j'ai cru que j'allais mourir là-dedans. » Je me dirigeais donc vers la suite exécutive et ouvrit la porte. Je rentrais donc et alla déposer la trousse sur la table basse avant de prendre mes aises sur le canapé. « Si j'étais toi, je me passerais un peu de pommade sur mes hématomes. »
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Si le tonton de ton tonton tond ton tonton ton tonton sera tondu, bordel, j’vous parle de ma vie, de ma famille, de mon mafieux de père qui a élu domicile dans une prison de saphir pour le reste de ces jours, de ma défunte mère qui gisait sur le sol, pleine de bave d’escargot coulant de ces lèvres venimeuse, et j’oublie de vous parler de mon oncle. Ce gars-là c’est celui qui « s’occupe » de moi étant donné que j’suis un peu devenue un orphelin, comme dans tous les films de superhéros, vous avez déjà entendu parlé des parents de Batman ? Non, et ça, c’est un peu comme dans les Disney aussi, avez-vous rencontré les parents de Peter Pan un jour ? Non ? Ça tombe bien, moi non plus. Mon oncle c’est un peu le Chapelier fou sans la Reine de cœur, un vrai mafieux, son rôle en fait c’est m’appeler quand il a deux trois trucs à me faire faire, comme aller récupérer de l’argent chez quelqu’un ou bien m’apprendre des trucs que je ne sais pas encore, à quoi il sert au finale ? A prendre pour moi, c’est mon gilet par balles, mon arme et mon alibi, et tout ça à la fois. Il a plusieurs casquette quoi. C’est le genre de gars qui va te dire très sérieusement qu’il n'y a aucune différence entre un lapsus ou un cunnilingus car de toute façon, un écart de langue et tu te retrouves dans la merde, pour ensuite te raconter une histoire en rapport avec ce genre de phrase. Bref, sans lui, j’pense pas que j’en serais là, je lui dois beaucoup, j’peux pas le nier, j’sais très bien que si j’prends mon portable et que je lui explique ce qui vient de se passer, dans même pas une heure les gars, et même l’espèce d’Angelina Jolie qui était avec eux se retrouveraient pendant par le cou à une poutre ou bien en petit morceau dans une bétonnière, pour qu’il puisse ensuite agrandir les murs de sa maison avec. Alors je vais éviter, je vais m’en charger moi-même, ces gars-là, ils vont pas faire long feu. Bref, on monte dans l’ascenseur et la vieille à qui j’ai fait un clin d’œil monte aussi, oh putain de bordel de merde, c’est qu’elle pue le fromage qui pue la moule pas fraiche, mieux vaut un pet qui franchement résonne qu'un pet qui lâchement foisonne, sauf que pour le coup, j’sais pas trop si l’odeur vient d’un pet qu’elle a lâché ou si au final, elle a piqué l’eau de Cologne de son arrière-grand-père, et à la tête de Juliana, j’vois que j’suis pas le seul à ne pas apprécier l’odeur. L’ascenseur s’arrête à notre étage, et là, je pince le cul de la vieille avant de sortir de l’ascenseur, j’ai juste le temps d’entendre un « oh » choqué. « Enfin un peu d'air frais, j'ai cru que j'allais mourir là-dedans. » J’rigole à sa phrase, mais ça me fait mal au côte et j’me met à tousser, putain ils ont dû me casser quelques choses ces couards, ça finira bien par se remettre tout seul, j’espère… « C’était un pet ou son odeur ? » Franchement, j’me posais la question. Une fois entrer dans la chambre, la jeune femme alla directement se poser dans le canapé tandis que moi je retira ma chemise que je jeta un peu plus loin pour ensuite attraper la trousse de secours. « Si j'étais toi, je me passerais un peu de pommade sur mes hématomes. » Je fouille dans la trousse et je trouve la pommade, j’la pose sur la table. « J’vais prendre une douche avant… » Lui avais-je dis, fallait bien faire partir tout ce sang. J’file donc lentement sous la douche pour laisser ce sang couler dans le siphon, wazzaa qu’est-ce que ça peut faire du bien ! Je crache par moment quelques petite flaque de sang dans la douche et, une fois fait, j’enfile un boxer ainsi qu’une serviette autour de ma taille pour aller m’asseoir à mon tour sur le canapé. « Ça m’a réveillé… » J’me retrouve à me passer de la pommade un peu partout sur le corps et le visage, bordel, j’suis vraiment énervé en fait. « J’te jure que si je les retrouves, j’pourrais être capable de les tuer… » J’commence ensuite à essayer d’en passer dans le dos, mais j’galère, alors je jette la pommade sur la table et j’abandonne, c’est bon, ça se soignera tout seul cette merde… •
CREDIT TO KAIJI FROM ILH
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don't let me get you (+ ulysse)


Et bien, il avait encore la force de rire, mais je remarquais bien vite sa grimace. Ces couards ne l'avaient vraiment pas manqué. « C’était un pet ou son odeur ? » Je me pinçais les lèvres. Alors là, je ne voulais vraiment pas savoir. Non mais franchement, sur ce coup-là, il valait quand même mieux un pet qui franchement résonne qu'un pet qui lâchement foisonne si c'était vraiment une déjection de son estomac. Je ne voulais même pas savoir ce qu'elle avait mangé avant. Sans doute des pois chices ou quelque chose dans le genre. Dans tous les cas, c'était vraiment une odeur répugnante, encore plus qu'un sale camembert qui serait resté sous le soleil pendant une journée. Eurk, quelle horreur, je ne savais vraiment pas ce qui m'avait retenu de débagouler devant sa gueule. En plus, ce n'était pas comme si ses chaussures valaient quelque chose, ou s'ils étaient canons. Parce que vu ses fringues... Bref. Une fois hors de l'ascenseur, je reprenais mon souffle. Au moins, cette mauvaise odeur m'avait permis d'oublier, pendant un instant, que j'étais enfermée dedans, parce que d'habitude, je m'y sentais toujours mal à l'aise. Nous nous dirigions donc vers la suite et j'ouvris la porte automatique. Tout de suite, j'allais me poser dans le canapé tandis qu'Ulysse enlevait sa chemise. Et là, je vis tous les bleus qui s'étaient formés sur sa peau. Je grimaçais alors. Pas étonnant qu'il ait aussi mal. Et je m'en voulais maintenant, d'en avoir ajouté un peu parce qu'il m'avait juste fait chié. « J’vais prendre une douche avant… » J'acquiesçais alors. Ah oui, moi aussi faudrait que j'en prenne une, je suis sûre que mes fringues ne devaient pas sentir la rose, déjà à cause des poubelles de la ruelle, mais maintenant, avec cette moule pas fraiche qui en aviat rajouté une couche... En attendant, je décidais d'allumer la télé, zappant sur la télécommande jusqu'à m'arrêter sur un film. Oh tien, Alice au pays des merveilles de Burton. La scène avec le Chapelier fou qui faisait le gigue en délire tandis que la Reine de coeur allait bientôt crever. Bref, vers la fin quoi. Je décidais de rezapper, espérant pouvoir tomber sur un bon film, autre que Twilight ou Saw. Une chance pour moi, Batman venait tout juste de commencer. Enfin, le dernier de la trilogie The Dark Knight. Au même moment, Ulysse revint, une serviette enroulé autour de la taille. « Ça m’a réveillé… » Je lui jetais un coup d'oeil avant de retourner devant mon film. Au bout d'un moment, je sursautais. Il venait de jeter la pommade sur la table basse. « J’te jure que si je les retrouves, j’pourrais être capable de les tuer… » Je décidais de baisser de volume et pris la crème avant de m'asseoir à côté de lui. « Tourne-toi. Et maintenant, dis-moi ce qui s'est passé. Pourquoi ils t'ont fait ça? » Je crois qu'il était peut-être l'heure des réponses et mon ton disait clairement que je les voulais. Je mis une grosse noisette de crème sur la paume de ma main, l'étala sur les deux avant de lui masser le dos.
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