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Don't worry, be happy + Bohème.

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Ton regard restait sur le jeune homme, tu ne tournais pas des yeux, après tout, son corps était agréable à regarder, comme von visage. Ça faisait bien longtemps que tu n’avais pas profité d’une aussi belle vue. Les vagues qui glissaient le long de ta peau, tu essayais de rester stable sur tes pieds, pour ne pas tomber entièrement dans l’eau. Tu l’écoutais, il t’expliquait rapidement ce qui s’était passé, le pourquoi du comment. D’une certaine manière tu voulais le croire, mais d’un côté, cette histoire te paraissait si grosse, mais tu ne pouvais rien dire. Tu ne voulais pas passer pour cette femme qui ne croyait personne, seulement sa petite personne, même si dans le fond c’était un peu le cas. Ton regard se posait sur sa main, portant un bandage, rien que de l’imaginait se battre, te repoussait un peu. Tu n’aimais pas la violence, mais si c’était pour la bonne cause … « D’accord. Tu devrais peut-être allé te reposer. » laissais-tu glisser entre tes lèvres, ne voulant rien savoir de plus, c’était déjà bien suffisant. « J’accepte tes excuses, et désolé de t’avoir mal parlé tout à l’heure. » laissais-tu glisser entre tes lèvres, légèrement et doucement. Tu avais toujours du mal à t’excuser, certainement à cause de la fierté que tu avais en toi. Tu bougeais doucement dans l’eau, tu commençais à avoir froid, des frissons qui parcouraient l’ensemble de ton corps. « Je vais sortir, je commence à avoir froid. » soufflais-tu doucement, marchant jusqu’à ta serviette en sa compagnie.
@Bohème Chatelain
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La distance évidente qu'Elöa mettait entre nous me désespérait plus qu'elle ne me mettait en colère. A croire que la rouquine soit effectivement douée pour demander des efforts, mais pas pour mettre des mots sur ce qui n'allait pas, sur ce qu'elle ressentait... et n'étant pas devin, je ne risquais pas de devenir ce qu'elle refusait de me dire. Sans dire mot pendant de longues minutes, je la regardais s'exprimer, analysait son langage corporel, et un soupir en disant long sur mon état d'esprit me trahis soudainement. Tu sais ce qui me fatigue ? C'est ce jugement silencieux que tu me flanques dans la tronche. Il n'y avait pas la moindre froideur dans ce que je venais de dire, non. En fait, la fatigue me faisait rendre les armes, moi, l'avocat capable de déplacer des montagnes. Tu me demandes de te faire confiance mais tu n'as pas la moindre confiance en moi que je reprends, soupirant de plus belle. Effectivement, je vais aller me reposer. Car je pourrais danser à poil en te jurant mes grands dieux que je te dis la vérité, manifestement c'est inutile. Rendre les armes, voilà. Je me montrais capable de me battre pour ce qui valait le coup, mais là, si Elöa n'y croyait même pas elle-même, si elle partait du principe que le monde entier lui mentait - bien que je ne sois même pas certain qu'il s'agisse du problème - alors rien de ce que je dirais ne changerait son état d'esprit. Je l'accompagnais jusqu'à sa serviette, dépliait la mienne, immense du fait de mon gabarit, pour la placer doucement sur ses épaules, que je caressais d'un geste délicat et précautionneux. N'attrape pas froid furent mes derniers mots alors que, de mon côté, je ne me séchais même pas, attrapant simplement ma sacoche laissée à même le sol.
@Elöa Barclay
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La confiance, un mot bien compliqué dans ta tête et dans ton coeur, tu ne savais pas trop quoi faire, ton coeur ne disait pas la même chose que ton cerveau et ça se voyait clairement sur ta tête. « Arrête de dire ça, je ne te juge pas. » tu n’appréciais pas ces mots et tu ne le jugeais pas, tu te demandais ce qui était vrai et ce qui était faux, tu te demandais s’il te disait la vérité et tu te demandais qu’elle femme devrai fuir son père ? Toi. Tu fuyais ton père, mais pas par peur pour ta peau, peur d’être de nouveau emprisonnée. Tu ne disais rien de plus, et c'était certainement ça le plus gros problème, le silence. « J’essaie d’avoir confiance, ça ne vient pas en claquant des doigts, malheureusement. » soufflais-tu doucement, le regard qui descendait vers la mer. « Je ne peux pas accordé ma confiance totale du jour au lendemain, mais j’essaie de le faire. » avouais-tu, ce n’était pas simple pour toi. Tu laissais échapper un soupire, marre de te prendre la tête, marre d’entendre ce genre de parole. Une migraine revenait, celle que tu avais réussi à combattre avec le sport, mais entre le manque d’eau et l’alcool de la veille, ça ne faisait jamais bon ménage. « Tu n’es pas à poils là. » soulignais-tu avec un léger sourire, essayant de détendre l’atmosphère, comme tu le pouvais, même si tu savais d’avance que ça ne servait à rien. Tu commençais à avoir froid, l’eau n’était pas assez chaude pour rester dedans sans bouger, alors tu retournais avec lui près de ta serviette. Il te déposait la sienne sur tes épaules « Merci. » laissais-tu glisser, te décalant pour lui faire de la place sur la tienne. « Viens t’asseoir. » tu avais envie de sa présence, comme tu avais envie de le croire. « Je ne vais pas faire long feu, j'ai la gueule de bois. Je vais certainement dormir une bonne partie de l'après-midi. » même si ça ne se voyait pas tant que ça, toi tu le ressentais au fond de toi.
@Bohème Chatelain
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J'optais pour un silence confortable et calculé, histoire de ne pas sortir le mot de trop qui fragiliserait plus encore la situation actuelle. Mes prunelles sombres ne quittaient pourtant pas Elöa d'une semelle, je l'écoutais, offrait toute l'attention dont j'étais actuellement capable malgré la fatigue et le jet lag mélangés. Essayer, c'est déjà pas si mal que j'avoue d'un ton neutre, ni froid, ni distant, mais plutôt précautionneux. La dernière fois que j'ai été en couple remonte à plusieurs années et l'habitude, les réflexes sont partis depuis belle lurette. Je ne sais pas ce que je suis censé dire, faire, pour qu'elle m'écoute et me croit. Sache que je ne suis pas de ceux qui mentent. Garde à l'esprit que je suis un homme de mots... et que si j'avais eu envie de te mentir, j'aurais dit que j'étais à l'hosto en mettant mon diabète sur le devant de la scène. Sauf que je n'avais pas eu de crise et que la vérité, je la lui avais déjà servie. Bien loin de chercher à obtenir le dernier mot, j'accepte par conséquent de m'asseoir après un faible sourire à sa tentative d'humour. Effectivement, mon maillot est encore sur mon cul, finement observé ! Un nouveau soupir s'échappe de mes lèvres, car je patauge dans la semoule et que clairement, je n'aime pas ça. J'imagine que je suis l'une des raisons de ta beuverie ? que j'ose avant de reprendre, quasi aussitôt, désormais assit à côté d'elle : tu devrais aller dormir dès maintenant. Mes bras l'entourent délicatement afin qu'elle sache qu'elle pouvait se reposer sur moi... ou partir, si elle en ressentait l'envie.
@Elöa Barclay
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Tu devais faire l’effort pour que cette relation puisse être menée à bien et évoluer dans le bon sens. Tu t’en voudrais si ce n’était pas le cas, tu le savais d’avance car malgré toi, tu t’étais attaché à lui, beaucoup trop à ton goût. Oui, tu avais envie d’être vers lui en permanence, de l’entendre parler et de lire ses messages, comme un début d’amourette. Quand c’est tout beau et tout rose et malheureusement, ce n’était pas vraiment le cas, mais en grande partie à cause de toi aussi. Il s’était excusé, il t’avait donné les raisons de ce long silence et tu n’avais pas réussi à le convaincre que tu le croyais. « C’est déjà un énorme pas pour moi. » ton regard se plongea de nouveau un instant de le sien, tu pouvais t’y perdre pendant des heures. « Oui je l’avais bien remarqué que tu ne faisais pas partie des personnes qui mentaient et qui cachaient des choses. » un fin sourire se glissait sur tes lèvres, pour une durée déterminée. Alors que tu prenais place sur ta serviette, la sienne sur tes épaules, tu rigolais légèrement « Tu crois que je pouvais que regarder tes yeux ? » après tout, c’était la vérité. Il était difficile de ne pas regarder son corps. « Et bien non ! C’était prévu depuis longtemps, je devais fêter en retard mon anniversaire avec cet ami qui t’a envoyé l’invitation. » et dire que tu l’avais remercié de l’avoir fait car grâce à lui, tu connaissais Bohème. « Hm non, j’ai envie d’être un peu avec toi. » avouais-tu doucement, t’appuyant contre lui, ta tête contre son épaule. « Tu m’as manqué. » laissais-tu glisser, tu fixais l’horizon.
@Bohème Chatelain
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Alors qu'un petit silence nous englobe pendant quelques secondes, j'accueille sa confession dans un sourire tendre, accompagné d'un hochement de tête. Tout comme c'est nouveau pour moi de faire en sorte de penser à quelqu'un d'autre qu'à juste ma sœur. Une façon comme une autre de continuer sur la lancée de la franchise, en avouant de pas être très habitué au couple, au fait de donner une chance à une histoire, ou de me reposer sur quelqu'un. Nous allions devoir apprendre à penser équipe, penser ensemble, quelques soient les circonstances et les cailloux sur notre route. Personnellement, j'en avais très envie. Donc tu en as conscience mais tu as quand même un peu de mal à me croire ? que je la titille sans me moquer mais histoire de lui faire comprendre que nous avons tous nos peurs et nos défauts et que, malheureusement, je n'en suis pas exempté... bien que, dans certaines situations comme celles-ci, j'adorerais. Donc tu es intéressé par mon corps... intéressant... Je papillonne des cils d'un air faussement innocent, essayant de détendre l'atmosphère tout en faisant comprendre que d'une, je suis loin d'être insensible à son charme, et de deux, que je suis flattée qu'elle soit sensible au mien. Tu as fêté ton anniversaire sans me le dire ? Pas vraiment un reproche mais plus une déception. A croire que notre capacité à communiquer ait encore du chemin à faire. Ce qui ne m'empêche pas de caresser délicatement son dos en gestes réguliers, un sourire prenant peu à peu place sur mon visage. Toi aussi tu m'as manqué...
@Elöa Barclay
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Une journée qui ne commençait pas forcément très bien, entre ta gueule de bois, la déception concernant Bohème. Heureusement que les tensions finissaient toujours par s’apaiser et que tu partageais ta serviette avec lui. « Je comprends monsieur. » laissais-tu glisser entre tes lèvres, un léger sourire sur celles-ci. Tu regardais face à toi, la mer, les vagues, ce soleil et ce ciel bleu, c’était un peu le paradis ici, tu n’avais clairement pas envie de repartir à Boston. Tu n’allais pas avoir le choix, un jour au l’autre, tu devras mettre ton cul dans l’avion et retourner dans la grisaille et la pollution. Tu le bousculais légèrement « Mais si, j’ai décidé de te croire. » soufflais-tu doucement, c’était la vérité, tu voulais faire les choses bien et tu devais accepté les choses comme elles venaient. Ton regard se posa de nouveau sur son corps « Oui et je l’assume, tu es sexy et super séduisant. » pourquoi lui cacher ? Il devait le savoir, il avait certainement pleins de nana qui lui courraient après ! « Mon anniversaire est passé depuis longtemps ! Mais je n’avais pas pu le fêter avec lui, alors on s’est rattrapé ! Sorry de ne pas t’en avoir parlé. » tu haussais les épaules, ne pensant pas que c’était quelque chose d’important. Ces mouvements dans le dos te faisaient tellement de bien, ta tête contre son épaule, et finalement tu l’entourais de tes bras, dont ta main qui se promenait sur son torse et ses abdos. Oui tu profitais un peu du moment, espérant que ça n’allait pas le déranger.
@Bohème Chatelain
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La situation paraissait extraordinairement opposée à la scène datant d'à peine une demi-heure. Non pas que cela me déplaise, bien au contraire, et le simple fait de savoir qu'Elöa décidait de me croire, de me faire confiance ouvrit mon expression pour y laisser un profond soulagement, un sentiment de bonheur même. Voilà pourquoi je tentais une approche plus tactile, plus douce, moins basée sur le dialogue uniquement. Son corps appelait aux réflexes masculins, les miens, et ce bien que jusqu'ici je me sois plutôt bien maitrisé. Et toi un corps à faire damner le saint des saints... que je lâche sans réfléchir, un petit sourire amusé plaqué sur les lèvres. Elöa n'est pas seulement belle... mais sublime, irrésistible, et la liste de qualifications pourrait s'étendre un long moment si je ne me concentrais pas sur autre chose. Cela signifie qu'un cadeau est de rigueur... Bien qu'il me faille encore trouver quoi, j'évite toute objection en soulevant le menton de la jolie rousse afin d'atteindre ses lèvres. Ces dernières portent le goût des excuses, de la colère et de la réconciliation d'un même temps. Sachant mélange qui rendrait n'importe quel homme accro. Mon torse a l'air à ton goût et confortable, alors... Peut-être pourrais-je jouer les oreillers grand cru dans ta chambre ou la mienne ? Tu as besoin de récupérer, et moi de dormir. Autant le... faire semble ?
@Elöa Barclay
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Être sur la même longueur n’était pas forcément quelque chose de très simple et encore moins depuis que ça faisait longtemps que tu n’avais pas désiré d’être en couple. Pourtant, tu te laissais porter par cette vibes et finalement, tu commençais à te prendre au jeu. Même si tu savais que ça n’allait pas être simple tous les jours, mais tu restais optimiste et tu te disais que ça ne pouvait que marcher correctement. Tu te collais à lui, la tête sur son épaule, le corps collé à lui et tu entourais son corps de tes bras, pour sentir sa chaleur, sentir son parfum. Tu fermais un instant les yeux, appréciant ce moment sans le moindre bruit. Tu rigolais à ses paroles, le rouge qui te montait aux joues, te cachant dans le creux de son cou pour éviter qu’il puisse voir ça. « Quand même. » laissais-tu glisser entre tes lèvres. Même si tu te plaisais, tu ne pensais pas que tu pouvais faire autant d’effet à un homme. Ton regard retrouvait le sien, haussant les épaules « Tu sais, rien n’est obligatoire. » tu n’avais pas envie qu’il s’oblige à te trouver quelque chose, tout simplement parce que tu venais de lui dire que tu avais fêté ton anniversaire avec un ami. Tu profitais de ce baiser, si tendre et si agréable que tu le prolongeais sans même réfléchir une seule seconde. La colère était pour de bon, envolée loin de cet endroit. « Et bien pourquoi pas, ça me parait un très bon planning et une bonne proposition. » tu reposais rapidement tes lèvres contre les siennes avant de te lever, lui donnant sa serviette et entourant ton corps de ta serviette. Le sac sur le dos, prête à rentrer en sa compagnie.
@Bohème Chatelain
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Le petit rire d'Elöa s'avérait être un vrai baume sur mon corps fatigué. Je ne fais que rire la vérité ! que je reprends aussitôt, afin qu'elle n'aille surtout pas douter de la sincérité étant actuellement la mienne. Mon amusement revenait peu à peu sur le devant de la scène, outrepassant la colère, l'incompréhension et le rien de désespoir ressenti au préalable. A croire que forcer un brin la communication ne se révélait, encore une fois, pas inutile et je m'en féliciterais presque. Et qui a dit que je me sentais obligé ? Bien que désormais je sache que sa date d'anniversaire était malheureusement passée, il n'en demeurait pas moins que je souhaitais lui faire plaisir. En toute simplicité. J'aurais juste besoin de deux choses... que tu me fasses confiance en me donnant les choses que tu préfères dans la vie... ainsi que la véritable date, afin que la prochaine fois, je puisse fêter ça dignement en ta compagnie... Sans mettre de côté les plus proches amis d'Elöa, que je rencontrerais de toute façon un jour, j'avais confiance. Mais en attendant, la jolie rousse fut plus rapide que moi à se lever et à ramasser ses affaires, non sans m'offrir un baiser semblable à une brise bien trop fugace à mon goût. De quoi me pousser à la soulever du sol une fois ma sacoche en bandoulière sur l'épaule, énonçant, d'un ton délicieusement cabotin : alors c'est moi qui conduit ! Ta chambre ou la mienne, du coup ? Dis-moi et je m'exécute !
@Elöa Barclay
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