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Alors que tu avais eu une longue discussion avec lui au restaurant à ton retour, voilà que depuis ce fameux jour, c’était silence radio. Pourtant ce n’était pas faute d’avoir été à sa chambre d’hôtel, lui envoyer quelques messages. Monsieur avait certainement déserté et n’osait même pas te l’avouer, la colère avait pris le dessus. Pourtant, tu avais tout de même passé la soirée avec ton ami, une soirée que tu lui avais réservé depuis un moment. Grosse beuverie, tu avais eu du mal à te réveiller le lendemain, la gueule encore défaite et pourtant, tu avais décidé d’aller faire du sport. Soigner le mal par le mal, non pas avec un shoot de vodka au réveil, mais bien une course le long de la ville pour la terminer au bord de la mer. Tu avais enfilé ton maillot de bain pour pouvoir profiter de l’eau et bronzer un peu, après ta séance. La musique qui résonnait dans tes oreilles, tu avais bien eu du mal à te lancer, mais une fois les vingts premières minutes passées, tu arrivais mieux à gérer ton souffle et ta vitesse. Ça t’apprendra de prendre une aussi grosse cuite, tu repensais à lui, à ce moment que tu avais partagé et rien que ça, la colère remontait. Tu le détestais, il t’avait prise pour la plus conne de toutes. Toi qui avait décidé de le laisser entrer dans ton coeur, dans ta vie, tu te mangeais un mur en pleine face. Cette rage te permettait d’allonger les foulées, d’aller plus vite et d’agrandir ton parcours. Alors que tu envisageais de finir ta séance, de t’étirer, ton regard se posa directement sur lui. Cet homme qui marchait tranquillement au bord de la mer, c’était lui. Autant le dire, tu voyais rouge et tu n’avais aucune envie d’aller le voir, il avait certainement fini de baiser une autre femme. Alors tu lui tournais le dos, histoire de finir tes étirements, avec un peu de chance, il ne t’avait pas vu et il ne viendrait pas vers toi.
@Bohème Chatelain
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Jet lagué jusqu'aux bouts des orteils, je lutte contre l'envie d'aller me pieuter sans autre forme de procès. Mais il n'est cependant pas question d'aller dodo à cette heure-ci, je m'arme par conséquent de mes baskets afin de blinder mon corps d'endorphines avant de me rendre à la chambre d'Elöa. A mille lieues d'imaginer que cette dernière m'avait cherché pendant ces presque quarante-huit heures, n'ayant même pas pris la peine de checker mon téléphone à cause du couperet de la fatigue. Cette dernière me rendait hélas imprudent et tête en l'air, ce qui ne me ressemble en aucune façon. Je me botte l'arrière-train afin de rejoindre la plage, écouteurs dans les oreilles, j'aperçois une silhouette aux délicieuses courbes et un sourire apparaît aussitôt sur mon visage. L'euphorie est toutefois de courte durée : elle semble faire comme si je n'existais pas, et je fronce les sourcils en la rattrapant. Elo ? Ma voix est presque précautionneusement, mon instinct m'indique qu'il vaut mieux y aller mollo sinon je vais bouffer du sable en moins de temps qu'il n'en faut pour dire Quidditch. Tout va bien ? Je sens que je vais quand même bouffer du sable... sixième sens en alerte.
@Elöa Barclay
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La colère qui se voit dans tes yeux, dans ta réaction quand il était face à toi. Alors tu avais préféré te mettre dos à sa vision et continuer tes étirements, comme s’il n’était pas là. Tu avais déposé ton sac à dos dans le sable, ainsi tu pourrais étaler ta serviette sur la plage avant d’aller prendre un peu la température de l’eau. Tu n’étais pas frileuse donc tu pouvais y aller sans hésiter une seule seconde, tu avais eu l’habitude de le faire durant tes voyages. Finalement, il t’avait bien remarqué et il s’était pointé face à toi, ton regard se posant sur lui, enlevant doucement tes écouteurs, coupant la musique. En plus d’être énervée contre lui, il te coupait dans ta séance, seconde chose pour bien t’énerver. Il osait te demander comment tu allais ? C’était le pompom sur la garonne, il se foutait de la gueule de qui là ? Après avoir fait le mort pendant deux jours, il revenait comme une fleur. « Tu te fou de ma gueule ? » lâchais-tu froidement. Le regard froid, le visage fermé, seulement coloré dû à ta course, d’ailleurs tu reprenais doucement ta respiration. « Tu fais le mort pendant deux jours et là, tu oses te pointer la bouche en coeur ? » s’il croyait qu’on pouvait te prendre pour une conne comme ça, il se mettait clairement le doigt dans l’oeil ou même les doigts dans les yeux. « En plus de me ghoster par message, tu n’étais même pas dans ta chambre. Donc ne perds pas ton temps à me parler, tu as bien d’autre chose à faire. » soufflais-tu froidement, reprenant tes étirements/
@Bohème Chatelain
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Qu'est-ce que je disais déjà ? Ah oui, que je risquais de manger le sable. En vérité, c'est la colère d'Elöa qui m'explose au visage sous mon regard ébahi, alors que mon cerveau tourne déjà à plein régime. Le portable. Je n'ai pas pensé une seconde à regarder les notifications, moi qui suis un accro à mon job et plus encore à mon petit bijou de technologie. Oula oula, du calme ! T'as bouffé un lion avant de venir ? Mon sourcil s'arque alors que je lève mes deux mains en signe de reddition. Je suis quelqu'un qui préfère le dialogue à "je me ferme dans ma rage et je t'envoie joyeusement péter" mais prêt à m'adapter quoi qu'il en soit. Mon portable est resté dans ma chambre et effectivement, j'ai oublié de le regarder, mille excuses que je commence d'un ton calme, prêt à arrondir tous les angles en ayant besoin. Ce qui me fait bondir en revanche, c'est la remarque à peine dissimulée sur une potentielle liaison. L'image dégueulasse que j'en ai donne tout de suite du grain à moudre à ma propre colère, ainsi qu'au manque cruel de patience dont je vais preuve lorsque cela fait quasiment quarante huit heures que je n'ai pas fermé l’œil. Minute papillon... tu es en train de sous entendre que j'étais avec une autre ? Histoire que je sache de quoi je suis accusé au juste : d'absence, de ghost ou... d'infidélité carrément. Pas la même sentence, tout de suite, pour l'avocat que je demeure envers et contre tout.
@Elöa Barclay
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Il avait encore tellement de choses à apprendre sur toi et sur ton caractère, comme toi envers lui. Mais, il allait très vite apprendre que tu n’appréciais que moyennement le fait de te prendre pour une débile. C’était bien beau toutes ses paroles, ce moment au restaurant, pour finalement balayer tout ça très rapidement. Alors oui, la colère était bien présente et l’alcool qui se trouvait encore dans ton sang n’allait pas t’aider, bien au contraire. Souvent sous l’emprise de l’alcool, tu étais le genre de femme à lâcher tout ce que tu pensais et attaquer, tu n’avais pas froid aux yeux, il t’en fallait beaucoup plus. Tu t’étais déjà battue plusieurs fois, même si ça remontait à quelques années maintenant, mais tu étais comme une lionne en cage, souvent sur la défense, prête à bondir et à couper la tête au premier arrivant. Ton regard voulait en dire long, il suffisait juste de voir ton visage, tout le monde pouvait comprendre que tu étais énervée et que le fait qu’il soit là, ne te faisait pas plaisir. Tu te demandais encore pourquoi tu étais revenu, tu aurais peut-être dû rester à Boston, ça ne t’aurait pas fait de mal et ça aurait coupé ce lien, cette envie de le revoir. « Non, malheureusement, j’aurai peut-être dû. » tu n’avais pas envie de rire, et s’il tenait tant à te parler, il avait intérêt de trouver les bons mots et d’avoir une bonne excuse. « Donc il est resté pendant presque deux jours et tu n’as pas pensé que j’allais t’envoyer un message ou deux ? Au vu de notre discussion au restaurant ? Sauf si avancer ensemble, veut dire silence complet. » ton regard qui se pose dans le sien, cherchant à comprendre son raisonnement, qui pour le moment, était simplement pas logique. « Je sous entend simplement que tu t’en foutais de ma gueule pendant ces deux jours, Bohème. » ton étirement terminé, tu déposais tes écouteurs dans ton sac à dos, lui faisant face.
@Bohème Chatelain
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Hélas pour Elöa, hélas pour moi, je peux facilement sortir de mes gongs lorsque l'on l'attaque sans possibilité de me défendre. La rouquine ressemblait à une soupape prête à me péter à la tronche, sauf que je n'apprécie ni son ton, ni ses allégations et que je ne suis pas du genre à encaisser et à la fermer. Wow, ton petit laïus sur la confiance il a pris un coup dans les roustons ! D'où je t'ai prise pour une conne Elöa ? Parce que je n'ai pas répondu deux jours, tu te dis que je veux plus voir ta tronche ou que je suis allé voir ailleurs ? Cette fois, ma propre colère s'enflammait, tant et si bien que ma main droite, entourée d'un bandage blanc largement taché de sang n'était plus qu'une donnée perdue dans les méandres de mon cerveau. Au lieu de de suite penser que je suis qu'un connard qui ne respecte rien de ses promesses il t'es pas venu à l'esprit que je pouvais avoir eu une bonne raison de partir ? L'avocat reprend un brin le dessus en calmant le jeu, pour finalement que l'homme fatigué en moi soupire lourdement. Je ne pense pas être en état de supporter une crise de nerfs comme celle-ci alors que ma tête est prête à exploser et qu'il faudrait que je prenne mon insuline dans pas longtemps. Quand tu auras retrouvé le sens commun et que t'arrêteras de vouloir mordre, alors je te donnerai mes raisons. En attendant, je te laisse beugler contre la terre entière, j'ai pas dormi depuis deux jours et j'ai pas envie de continuer à en prendre plein la gueule sans possibilité de me défendre. Salut ! Je récupère les écouteurs autour de mon cou et rebrousse chemin, n'ayant plus qu'une envie : me planquer dans mon pieu et que cette journée infernale passe.
@Elöa Barclay
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En plus de n’avoir aucune nouvelle, voilà que tu en prenais en plein gueule. Alors, à vrai dire, ce n’était déjà pas le moment de te parler, pendant que tu faisais ton sport et en plus de ça, c’était pour te balancer toutes ces paroles à la gueule. Tu prenais sur toi, ne voulant pas mettre toute cette relation aux oubliettes, donc tu ne disais rien. Tu le laissais parler, tu le laissais vider son sac vu qu’il en avait besoin au vu de ses paroles. Qu’est-ce que tu pouvais en savoir qu’il n’avait pas dormi pendant presque quarante-huit heures, vu que tu n’avais pas eu une seule de ses nouvelles. Donc forcément, tu pouvais t’imaginer absolument tout, que ça soit juste le fait qu’il ne voulait plus de toi, comme le fait qu’il voyait une autre personne. Lui qui se montrait jaloux et possessif, comment aurait-il réagit à tout ça ? Certainement de la même manière que toi, voir pire, alors c’est simplement ça que tu avais décidé de lui dire. « Mets toi à ma place, je ne pense pas que tu aurais sauté de joie, après deux jours sans aucune réponse. » soufflais-tu froidement. Maintenant que tu avais absolument dit tout ce que tu pensais, tu n’avais pas envie de rester là, planté au milieu de la plage, à le regarder. Non, tu avais envie de profiter de ta journée comme tu l’avais prévu avant que tu ne retombes dessus. Tu enlevais ton haut puis ton leggings, sortant de ton sac une grande serviette de plage. Tu te retrouvais face à lui en petite tenue, un maillot de bain qui t’allait à merveille, faisant ressortir tes formes. Une fois qu’il avait terminé de te parler aussi froid que tu le faisais, il reprenait sa route, faisant demi-tour. Tu n’étais pas du genre à lui courir après, non, ce n’était pas dans ton délire ni même ton caractère. Tu t’étais battue pour avoir ta liberté, ce n’était pas aujourd’hui que tu allais courir après un homme. Tu étendais ta serviette, et tu décidas d’aller te baigner, une eau assez fraiche mais agréable. Quelques longueur et tu te posais un instant au bord de l’eau, avant de repartir t’installer sur ta serviette en plein soleil. Tu profitais de ce moment, si calme, sans aucun bruit à l’horizon, seulement le bruit des vagues, c’était tellement reposant et agréable.
@Bohème Chatelain
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Inutile de chercher à répondre à la remarque d'Elöa, je ne suis pas stupide au point de vouloir jeter de l'huile sur le feu. S'éloigner pour l'heure me paraît être la meilleure chose à faire, marcher loin, réfléchir, me calmer. Lui laisser le temps de redescendre, aussi, car elle avait été en colère la première. Je laisse bien passer trois quart d'heure avant de revenir au point de départ, également en maillot, tablettes de chocolat en avant. Je nage prudemment jusqu'à la demoiselle, n'ayant aucune envie de lui faire peur en plus de tout le reste, alors que la rouquine paraît paisible, au milieu de cette étendue bleue. J'aurais probablement mal réagi que je commence d'une voix plus douce, conciliante. Mais je n'aurais pas fermé la porte à la discussion. Tu m'as reproché la fois dernière d'être jaloux et possessif, de te laisser un peu de liberté, mais tu ne peux pas demander que l'un fasse des efforts et pas l'autre. Certes je ne t'ai pas donné de nouvelles. Certes je suis en tort et je le reconnais volontiers. Mais m'envoyer péter sans me laisser la moindre chance de m'exprimer, c'est accepter que je fasse des concessions sans en faire toi-même. Et si tu veux que cela fonctionne, il va falloir que tu apprennes à user du dialogue. Je plonge quelques secondes afin de mouiller ma chevelure bouclée et ainsi me rafraîchir de la tête aux pieds, laissant mon petit laïus faire son chemin. Lorsque je remonte, mon visage est toujours fermé à toute expression, mais je suis étonnement calme. Tu es prête à discuter ou je peux aller me faire foutre ? Sachant que si tu m'envoies bouler, je ne reviendrais pas une troisième fois pour te supplier d'entendre mes arguments. Ne vois pas ça comme une menace, mais comme une envie de ne pas tendre l'autre joue lorsqu'on me fout un uppercut dans la gueule.
@Elöa Barclay
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Tu nageais dans cette immensité bleu essayant de te vider l’esprit, tu avais besoin d’être seule et de te retrouver avec toi-même. Tu profitais de ce moment, si agréable, n’écoutant plus que toi-même. Mais tu n’avais pas vu le jeune homme arrivé près de toi, tu sursautais légèrement en entendant sa voix, ton regard se posa sur lui. « Oui je sais. » laissais-tu glisser entre tes lèvres, tu n’avais pas l’habitude de discuter, tu avais toujours grandi dans la guerre et le non respect de la liberté d’expression et malheureusement, il avait fini par te déteindre dessus. Tu restais face à lui, tu comprenais ce qu’il voulait te dire, tu te pinçais la lèvre, gardant une distance particulière avec lui. Il était beau, il fallait bien l’avouer, musclé comme tu aimais, ton regard se plongeait sur le jeune homme, essayant de garder un peu de sérieux et surtout de penser à ce qu’il venait de te dire. Quand il remonta à la surface, l’eau coulant de ses cheveux, le long de son corps, tu ne pouvais pas effacer ce petit sourire sur tes lèvres. Mais très vite, tu revenais à ce sujet, et ce sourire se dissipa petit à petit. « Je ne vais pas t’envoyer chier. » ce n’était pas le but, comme il l’avait bien dit plus tôt, mais tu ne te voyais pas non plus faire un long monologue, à vrai dire, tu n’avais pas grand chose à dire. Tu voulais juste des explications, comprendre pourquoi du jour au lendemain, tu n’avais plus de nouvelle. Alors oui, tu lui avais parlé de la liberté, mais ça n’excluait pas de prendre des nouvelles, juste de pouvoir profiter sans devoir rendre des comptes. Bref, tu chassais ces pensées, pour te replonger dans l’actuel pour finir par dire « Je t’écoute et je ne vais pas m’énerver. » même si tu savais que dans le fond, tu bouillonnais encore un peu.
@Bohème Chatelain
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Victoire du Coincoin wc et de Monsieur Propre dans la même équation, Elöa ne fermait pas la porte à la discussion. Je soupire de soulagement, de façon très intérieure afin de ne pas montrer à quel point elle venait de me flanquer un bon stress de derrière les fagots. Je crois que je n'attendais que ça, qu'elle me dise qu'elle ne m'enverrait pas chier et m'écouterait jusqu'au bout avant même que d'avancer le plus petit argument. Si son petit sourire fugace ne m'a pas échappé, dans un premier temps, je saute sur l'occasion d'offrir des explications à la situation. Je n'ai pas dormi depuis quarante-huit heures et j'ai un jet lag de déglingo qui me vrille les tempes car effectivement, je n'étais pas ici mais à Boston. Ma meilleure amie m'a envoyé un message angoissant, comme quoi elle était suivie, qu'elle avait peur, et sachant qu'effectivement son père trempe dans des affaires louches - mes propres recherches m'en ont fourni les preuves - j'ai sauté dans le premier avion pour la mettre en sécurité. J'ai fait appel à un pote qui est comme un frère, on a cassé la gueule des deux suiveurs et ensuite je l'ai installée dans mon appartement qui est un véritable bunker afin qu'elle se sente en sécurité tant que je ne suis pas là et que je n'ai pas d'autre solution. Je suis rentré la nuit suivante, et, j'avoue, mon téléphone était resté dans ma chambre. Mon monologue est sans hésitation, je ne fuis pas non plus le regard d'Elöa et j'essaie de passer sous silence tout ce qu'elle n'a pas à savoir, notamment tout ce qui touche au comment j'ai trouvé si facilement les preuves de l'implication du charmant papa. Ce n'est pas un détail important dans la seconde, du moins pas à mes yeux. Je montre ma main dont le bandage est désormais mouillé et dont la plaie s'est probablement rouverte à cause du sel de l'eau, comme pour ultime argument, silencieux cette fois. J'étais épuisé et je n'ai pas pensé à mon téléphone. Je n'ai pas pensé non plus à t'envoyer un message. Je te présente mes excuses pour ça, mais je n'étais ni en train de m'envoyer en l'air avec la première femme venue, ni en train de prendre du bon temps, ni à te ghoster exprès.
@Elöa Barclay
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