Do we have secrets? [Terminé]

C'est vrai que leur relation était ambigüe si chaque fois qu'ils ont un moment juste tous les deux, ils s'embrassent, cela ne rassemblera pas juste à des amis, mais en tout cas, Nick se laissait aller là-dedans sans trop chercher à comprendre, pour le moment en tout cas, où cela les conduirait. Avant toute chose, il fallait profiter du Spring Break, comme ils avaient profité de la Saint-Valentin. La prochaine étape sera d'éliminer le problème qu'est Noah. Après, il pourra répondre à certaines des questions qu'ils seraient en droit de se poser. Par exemple, où est-ce que tout cela les conduira s'ils continuent de se voir de cette façon? Leur amitié se transformait, il le sentait, mais pouvait-il l'empêcher? Voulait-il l'empêcher?

Freya caresse sa joue et lui fait savoir qu'il est le meilleur des meilleurs amis qu'elle a eu, chose qui le fait sourire. Il fait juste de son mieux, il l'adore et il tient à elle. Elle parlait de leur complicité, du fait que c'était simple entre eux. Il eut un petit sourire et prit cette main qui était contre sa joue, pour venir déposer un baiser sur le dessus.

-Tu sais, la vie est déjà assez compliquée, sans qu'on ne la complique nous même davantage.

Il prend ensuite sa main et l'attire ailleurs que devant l'entrée, vers son lit par exemple.

-Viens, on ne va pas rester devant la porte quand même.

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Leur relation était, à vrai dire, magique. Elle savait qu'avec Nicholas elle n'avait aucune soucis à se faire, que c'était un mec bien et que jamais il ne la trahirait. Et c'était cette confiance qu'elle aimait chez lui. Ce qui était mignon chez lui c'est que malgré le fait qu'il se considère comme un mec "jem'enfoutiste", je pouvais sentir qu'il était sensible au fond de lui. Rien que le fait de m'embrasser tendrement la main me le pouvait... -Viens, on ne va pas rester devant la porte quand même. Me dit-il en m'amenant vers son lit. Je me mis légèrement à rire - C'est sûr qu'un lit c'est bien plus confortable qu'un banc...

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Ils vont donc à son lit et s'assoient sur celui-ci. Le jeune homme se tourne un peu vers Freya, replace une mèche de ses cheveux derrière son oreille. Il l'observait et fit un petit sourire. Elle est si belle, mais il trouvait dégueulasse qu'un homme aille jusqu'à la faire chanter pour passer du temps avec elle, l'avoir comme petite amie même. A-t-il couché avec elle ce Noah? Il préfère ne pas y penser, parce que franchement, il bouillait alors de rage. S'en prendre aux proches de Nick, à ces amis surtout, ce n'est pas conseillé. Le jeune homme a beau ne pas avoir de famille, ou presque, pour lui, sa famille, ce sont ces amis si on peut dire, c'est tout ce qu'il a de plus cher dans sa vie, en quelque sorte.

-Tu disais ne plus vouloir être sage, mais là, je te trouve bien sage.

Il ne lui disait pas comme un reproche, mais enfin, il se demandait un peu, enfin, ils pouvaient discuter peut-être, boire un verre, mais tout à l'heure, près de la porte, cela ne semblait pas tout à fait ces intentions. Il faudrait peut-être que Freya élabore un peu plus dans cette histoire.

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Assise sur le lit, je me sentais bien avec Nicholas, et je savais très bien qu'il souhaitait qu'on aille de nouveau plus loin, tout comme moi. Mais avant même de passer à la vitesse supérieure, je voulais attendre un peu, voir comme il pouvait réagir... Et j'entendis la réponse que j'attendais. - Tu disais ne plus vouloir être sage, mais là, je te trouve bien sage. Je me mis alors à rire. - Ne t'inquiète pas, ça ne va plus être le cas dans quelques secondes... J'annonçai donc la couleur. Je me levai légèrement puis m'assis sur Nicholas, face à lui, et j'enroulai mes jambes dans son dos. J'étais alors seulement en maillot de bain, tandis qu'il avait encore bien trop d'habits à mon goût. Je passai ma main dans sa nuque et m'approchai dangereusement de ses lèvres. Une fois proche de lui, je lui dis doucement - A présent, tu ne pourras plus dire que je suis sage.. et je vins l'embrasser langoureusement, comme le baiser que je lui avais donné à la Saint Valentin.

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Quand il fait remarquer à Freya qu'elle se montrait bien sage, ce qui n'était pas un reproche, plutôt un constat, elle lui fait savoir qu'elle ne serait plus sage dans quelques secondes. Un brin étonné, amusé aussi, il n'a pas le temps d'ajouter quoique ce soit de plus qu'elle vient s'installer sur lui. Nick portait peut-être une chemise, mais elle était ouverte, alors elle pouvait en profiter si elle en avait envie. Sourire sur le visage, il avait posé ses mains sur la taille de la jeune femme et son visage se rapprochait du sien, maintenant qu'elle semblait laisser toute sagesse de côté.

La sagesse semblait terminée et Freya vient l'embrasser et aussitôt, il retrouve un peu les sensations, les impressions de la Saint-Valentin. Les mains de Nicholas se baladaient maintenant un peu dans le dos de la jeune femme, effleurait le simple fil qui tenait son haut de bikini, l'envie de le détacher était forte, mais pour le moment, il se retenait, prolongeant le baiser, il pose une main contre la joue de la belle et renouait le baiser.

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J'étais à présent sur Nicholas et ce dernier passa ses mains sur ma taille. Il prolongea le baiser que je lui donnais, et tout donnait à croire qu'ils allaient passer une bonne fin d'après-midi... Alors qu'une de mes mains était dans sa nuque, j'en profité pour descendre ma deuxième qui arriva en bas de sa chemise. Je passai ma main a présent sous sa chemise, sur son torse et continuai à l'embrasser en passant ma main dans ses cheveux.

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Nicholas voulait laisser Freya maîtresse d'une bonne partie de ce moment qui allait sans doute se passer. Il voulait se montrer doux et tendre avec elle, vu tout ce qu'elle avait subi et puis, c'était difficile pour lui d'être autrement avec elle. Freya ne sera jamais une simple conquête à ces yeux après tout, elle était bien plus que cela et il savait maintenant, d'après l'expérience de la Saint-Valentin, que coucher ensemble ne changeait en rien leur amitié, ou en tout cas, pas en mal. Freya caressait son torse maintenant, tandis que lui, il écartait la tête pour aller déposer des baisers contre le cou de la jeune femme, caressant l'autre versant avec sa main, une main qui glissait ensuite contre une épaule de la jeune femme, l'autre toujours contre sa taille.

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Entre Nicholas et moi, les choses étaient vraiment simples, et c'est ça que j'adorais avec lui. Il n'y avais aucune prise de tête, aucun problème et on aurait même dit que notre relation se renforçait dès qu'on couchait ensemble... Alors pourquoi ne pas faire cela plus souvent ? Assise sur lui, je sentais dans un deuxième temps ses lèvres qui se plongeaient dans mon coup. J'aimais cette tendresse dont il faisait preuve et c'est alors qu'à l'aide de mes deux mains, je dégageai la chemise de son corps. Je remis ensuite une main sur son torse et de l'autre, je repris son visage que j'amenai vers moi pour pouvoir l'embrasser à nouveau.

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Tandis qu'il caressait et déposait des baisers dans le cou de Freya, la jeune femme lui enlevait sa chemise et il avait mis ses bras comme vers l'arrière pour lui faciliter la tâche. Il se sentait mieux ainsi. Plus bouillant, quand elle vient renouer avec lui, il se montre un peu plus passionné et cette fois, à son tour, il détachait le haut de bikini de Freya qui ne semblait plus avoir froid le moins du monde. Il avait trouvé une meilleure façon de la réchauffer qu'en lui prêtant son pardessus d'Harvard, qui gisait sur un fauteuil non loin. Il prolongeait chacun des baisers partagés, se montrait de plus intense, désireux et en prime, ces mains caressaient chaque côté du corps de la belle, alors que son torse se pressait un peu plus contre sa poitrine. Noah était bien loin de ces pensées en ce moment et c'était sans doute une bonne chose.

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Il est vrai qu'en ce moment même je ne pensais plus à grand chose, même si j'étais soulagée de savoir que Nicholas était là pour me protéger. Alors que j'étais toujours sur lui, je sentis qu'il enlevait à son tour mon maillot de main. Torse contre poitrine, je pouvais sentir son corps qui bouillait. Qu'est-ce que j'aimais être contre lui de cette manière.. Tandis que je l'embrassai, je mis quelque peu mon poids vers l'avant afin de l'allonger sur le lit, ses jambes toujours dans le vide, a la fin du lit. J'étais quant à moi assise sur lui et je revins de nouveau vers sa bouche, les jambes pliées vers l'arrière.

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