You put colour in my life ♥

Batiste & Andréa

J’avais super mal, j’avais eu extrêmement peur de l’avoir perdu, et là je pleurais encore et encore, je n’en pouvais plus on était allé trop loin, je ne savais même plus pourquoi je pleurais, parce que j’avais eu peur qu’il meurt, ou parce qu’il venait clairement de m’avouer qu’il savait que le balcon était dessous, ce qu’il ajouta après sembla futile, le fait qu’il voulait me voir tous les jours, le fait que j’étais spécial dans son cœur, je continuais de pleurer, même pas pour la douleur, et lui il continuais de me dire que je lui faisais vivre un enfer, qu’il m’en voulait, mais qu’il ne cesse de penser à moi, et que je devrais avoir honte de lui avoir infliger ça... il osait encore dire ça à l’instant ? Comment il pouvait dire ça ? Il venait à l’instant de me faire croire qu’il venait de se tuer, je ne le regardais pas, une tristesse immense, mêlé à une rage en plus de la douleur se nourrissait en moi tandis qu’il posait ma main sur son cœur, il ajouta même que je l’avais baladé, que l’on s’était énervé, avant de me demander si on méritait pas une sieste, il me prit dans ses bras tandis que j’étais toujours dans cet état second de méditation, il me déposa alors sur le lit, et c’est là que je décidais :
-Batiste va t’en…
Je l’avais dis calmement, bien qu’une rage s’était clairement emparé de moi, mais j’avais réalisé trop tard que j’avais des sentiments pour lui… mais voilà où l’on devait en arriver pour le comprendre, non s’était hors de question que l’on se fasse souffrir ainsi, il savait pertinemment que ce balcon était dessous et il a voulu me faire croire qu’il en était ainsi, il a voulu me faire croire qu’il était mort, c’était de trop. Je voulu me lever pour le raccompagner à la porte mais je ne fis même pas deux pas que je m’écroulais lamentablement sur le sol, cette fois si il était certain que j’avais quelques chose de cassé… je fondis de nouveau en larme et lui demandais entre deux sanglot, comme des paroles aspirées :
- va-t’en !
C’était horrible de dire ça d’une voie fébrile et sanglotant alors que mon cœur lui criait reste.

(c)lili

Batiste resta très paf quand la jeune femme continua de pleurer, il décida de lui proposer une sieste chose qu'elle accepta. Mais aussi tôt posée sur le lit elle demanda calmement au jeune footballeur de partir, c' est la que Batiste se rendu compte qu'il avait été beaucoup trop loin en voulant lui prouver qu'il était fou d'elle. Il lui caressa la joue avant de se mettre debout comme un enfant a qui on vient d'annoncer qu'il ne rêvera plus jamais sa maman. Batiste quitta la pièce la tête basse. " Je... Non rien, c'est peut-être mieux que je m'en aille". Son air était triste, son regard était vide, ses forces s'en était allés suite a la demande d'Andy. Mais il eut peur quand la jeune femme s'écroula a terre alors qu'il venait de sortir de la chambre ANDY!!!!. Alexander se lança sur Jones n'osant pas la toucher au départ mais le second va-t-en fit l'effet inverse au canadien, il la recoiffa doucement avant de la porter dans ses bras en la regardant honteusement, il la reposa sur le lit avant de dire tout bas, "Non, je ne te laisse pas, c'est a cause de moi, je voulais tellement te montrer ce que ça fait d'aimer et d'avoir peur pour l autre que je t'ai blessée!" Bat sécha vite quelles que larmes de la jeune femme, avant d'essayer de découvrir ou était la douleur, mais il eut d abord un peu d intelligence et alla chercher un anti douleur dans sa veste, il prit un verre d eau et lui donna le tout, alors qu'il reparti explorer ses jambes. Pensant que ses mains cherchaient son corps se serait, il s'en voulait comme encore jamais envers elle, il aurait du exploser et lui dire ou essayer de lui dire qu'il avait été fou de ne pas savoir ou était la jeune femme le jour l'attentat, qu'il pensait a elle jour et nuit, qu'il lui avait proposé le travail pour avoir encore plus de chance de l'apercevoir, qu'il passait devant chez elle des que possible pour espérer la voir et maintenant elle souffrait a cause de lui et leurs sentiments devait-il lui dire je t'aime? Ou se taire, une chose est sûre il continuerait a se battre pour elle encore longtemps! Puis la jeune femme lui indiqua ou elle avait mal, il regarda doucement ce qui était sûre c est que ce n'était pas une fracture ouverte. Il laissa la mal a l'air avant de remonter sur le lit pour être plus près de la jeune femme. je ne suis qu'un con, fou de toi... s'était sorti tout seul et assez simplement mais il s'attendait surtout a se reprendre une gifle...