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 :: Corbeille :: Archives 2012-2019
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You put colour in my life ♥

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Batiste & Andréa


Alexander avait annoncé qu’il était raide dingue de mes petites puces, et que je le savais, mais j’aimais bien l’entendre dire cela, en même temps personne ne résiste à leurs bouille et encore moins moi, alors je ne doutais pas qu’il en était fan. Il m’avait ensuite demandé un massage je lui avais répondu qu’il l’aurait si il était sage et sans tarder il avait appuyé qu’il était toujours sage, je me mis à rire quand il compléta qu’on était des amour et que c’est pour ça qu’on s’entendais bien, c’était la goutte de trop, j’étais obligé de rire, puis je me calmais pour lui répondre :
-Toi toujours sage ? Et tu veux me faire croire ça alors que tu es chez les Mathers !! Sérieusement !! Moi-même chez les Lowell je ne suis pas toujours sage !
Puis on s’était mit à parler de ce qui est correct et ne l’est pas, il m’annonçait qu’il adorait me voir sage, mais qu’il aimait savoir que je pouvais faire des bêtises, et il avait même ajouté qu’il aimerait me voir en maillot, je ne tardais pas à lui répondre :
-Il n’y a pas besoin des magasins pour me voir en maillot, je te rappelle que j’ai un jacuzzi à tester !
Je lui fis un petit clin d’œil, j’avais ensuite lancé une petite phrase sur ses capacité qu’il n’avait pas semblé aimé apparemment, il avait interrompu sa remarque avant de me murmurer que ses capacités ne m’avait pas déplut au lit, il me tira la langue avant que je conteste :
-Premièrement tu mélange les disciplines, il ne faut pas tout confondre voyons !! Et deuxièmement à ta place j’éviterais les retours dans le passé, bien que la nuit ne fut pas désagréable ce petit retour me fait également penser à ce qui c’est passé après, sans vouloir être désagréable !
Il jugea par la suite les finitions de la premières couche et notre travail semblait lui plaire, je lui avais juste discerné un sourire avant qu’on se dirige vers la cuisine, c’est là qu’il me plaqua contre le frigo sans que je m’y attende, j’émis alors un petit cri de surprise, puis ses lèvres vinrent se mêler aux miennes, je répondis à se baiser et l’écoutais, le fais qu’il utilise « chérie » dans sa phrase me fit extrêmement bizarre, mais je ne partageais pas avec lui cette remarque surtout qu’il continuait de m’embrasser au commissure de mes lèvres c’était très déstabilisant :
-C’est toi que je vais manger si tu continue ce petite jeu… non sérieusement il me semble que tu es un amateur de glace et il se trouve que j’ai des mars glacé dans le congel! Ça t’intéresse ?

(c)lili
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Bon d’accord pour le coup être un mather n’allait pas le rendre sage, il avait pour habitude de sortir tous les soirs, de rentrer avec n’importe qui et de dormir chez n’importe qui. Mais ca faisait partie de sa personnalité de Mather, il n’avait pas voulu aller chez les Eliots pour ça, mais il ne put s’empêcher de rire quand elle annonça qu’elle n’était pas toujours sage chez les Lowell. « Mather et fier de l’être et puis tu sais tous les mathers ne sont pas des connards malgré tout, regarde moi j’étais un connard sans y être et maintenant je le suis beaucoup moins…Et que fais-tu pour ne pas être sage ? » Batiste était content de savoir qu’elle voulait vraiment tester le jacuzzi de chez lui, ça le touchait beaucoup, mine de rien enfin c’était surtout que ça voulait dire qu’elle voulait vraiment le revoir, pour tester le bain à bulle. « Je le réserve quand tu veux comme ça on n’a pas les vieilles biques du cinquième étage…comme ca on ne saura pas obligé de garder nos maillots… » Le jeune canadien sourit a son clin d’œil avant de rigoler, puis vint sur le tapis l’histoire des capacités du jeune homme qui le fit beaucoup rire aux passages. Tout en continuant son mur il lui répondit doucement. « J’aime mélanger les disciplines qu’on gère tous les deux…J’aime quand tu es un petit peu fâché sur moi, ça te rends encore plus séduisante…Et j’assume ce que je t’ai fait subir, bien qu’une fois de plus je m’en excuse tendrement. Je le regrette de plus en plus a chaque moment passée avec toi… » Puis la première couche lui plaisait assez ce qui dit tout haut avant de se décider à emmener la jeune femme dans la cuisine avant de l’embrasser en la collant au frigo, puis il se mit a rire quand elle lui répondit que c’était elle qui allait le manger, il prit un air sérieux avant de lui dire dans les yeux. « Andy, arrête de me faire des avances comme ça, je vais devoir te refreiner… Oh oui, des mars glacés, ca m’intéresse, bon certes, moins que de me faire manger par toi, a vrai dire. » Alexander prit la jolie blondinette dans ses bras avant de la déplacer pour la poser sur le plan de travail avant de fouiller dans le congélateur pour trouver les mars. Il en prit deux, revient s’assoir à côté de la jeune femme pour lui donner le sien. «moi je propose qu’on continue à se mettre doucement la tête a l’envers. » Batiste embrassa la jeune femme assez tendrement avant de se détacher tendrement de la jeune Jones pour continuer de manger son mars
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Batiste m’annonça que tous les mathers n’était pas des connards, que la preuve lui il était connard avant mais que ça avait changé et que maintenant uniquement il était chez les connards, il finit par me demander ce que je faisais pour ne pas être sage, je lui fis alors un petit sourire avant de lui répondre :
-Je n’ai jamais dis que les Mathers était des connards, j’ai juste dis qu’il savait faire la fête, ensuite je ne suis pas forcément très sage en soirée, mais bon tu auras le loisir de le découvrir un jour je pense…
On en venait ensuite à parler du jacuzzi, Batiste me disait qu’il le réserverait quand je le voulais, et qu’ainsi nous n’aurions pas les vieille dame de l’immeuble, et que par conséquent nous ne serions pas obliger de garder nos maillot, décidément il ne perdait pas son idée de la tête, je lui souris à nouveau avant de lui répondre :
-Et bien pourquoi pas la semaine prochaine ? De toute façon nous n’avons plus cours, je vais pouvoir profiter un maximum de mes filles et un peu de toi. Et il faut savoir ce que tu veux, je croyais que tu voulais me voir en maillot.
Je me mis à rire légèrement, avant que l’on se mette à parler des disciplines, il m’indiquait qu’il aimait mélanger les disciplines qu’on métrisait l’un l’autre, puis il s’excusa à nouveau sur ce qu’il s’était passé par le passé, il ajouta également qu’il aimait que je m’énerve légèrement, qu’il me trouvait plus séduisante ainsi, je ne répondis pas à ses paroles, mais les médita tout de même. C’est vrai je n’avais jamais compris les mecs, c’est quoi cette manie de préférer les filles quand elle s’énerve ? Pas le temps de méditer plus, direction la cuisine. Là bas il me colla au frigo avant de m’embrasser, je lui sortie alors une petit phrase auquel il répondit que je devais arrêter de lui faire des avances, promis alors je ne dirais plus rien, mais pas le temps de parler plus de ça les mars nous appelait. Je n’eu même pas le loisir de le servir, il me prit dans ses bras et me déposa sur le plan de travail avant de se mettre à fouiller dans mon congélateur, je méditais à tout ce qu’il se passait entre nous en attendant. On n’arrêtait pas de s’embrasser, de ce câliner, c’était très agréable mais ça rimait à quoi tout ça, nous faisions ça comme si l’on sortait ensemble ce qui n’est pas le cas car je veux en savoir plus sur lui d’abord, je devrais peut-être lui en parler, nous devrions peut-être éviter ce genre de chose. Son visage me coupa dans mes pensées, il me tandis un mars avant de venir s’assoir à côté de moi, j’ouvris alors le paquet tandis qu’il m’annonçait qu’il voulait qu’on continue qu’on se mette la tête à l’envers alors qu’au final à l’instant je venais d’en penser l’inverse. Je pris un morceau de mars que je dégustais avant de lui répondre :
-Et bien en fait je ne pense pas… en plus tu m’as demandé de ne plus faire d’avance… mais ce n’est pas pour cela que je te dis ça : on s’embrasse, on se câline et c’est loin d’être désagréable, mais on fait comme si on était ensemble ce qui n’est pas le cas et au final ça perds de son sens… on devrait peut-être en faire moins et apprendre plus à ce connaître comme le voulais au départ, nos pensée ne tourne pas autour de la connaissance mais autour de l’attirance, et ce n’est pas ce que je veux en premier lieu…
Je continuais à manger mon mars tout en scrutant son regard à la recherche d’une réponse.

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Batiste la regarda une fois de plus en souriant avant de chercher ses mots pour faire une réponse. « Vient au soirée mather alors… » Alexander n’avait pas pour habitude de sortir dans les soirées des autres maisons sauf pour y foutre le désordre, surtout chez les Eliots au niveau mise de bordel. Ensuite arriva le sujet du jacuzzi, you ouh elle était d’accord, ça c’était un bon point pour lui, la semaine prochaine, c’était les congés, ca c’était bien vrai. « D’accord pour la semaine prochaine… Prends ton maillot pour le jacuzzi, au pire tu l’enlèveras après… » LE jeune homme se mit a rire quand il se rendit compte de la perversité de sa phrase, mais tant pis, c’était ainsi et c’était dit. Puis après les mars glacés le jeune homme se fit clasher comme un putois, d’ailleurs ça ne lui plus pas forcément, pour ne pas dire pas du tout. Batiste descendit du plan de travail après avoir englouti son mars pour aller s’assoir dans le salon en tournant le dos à la jeune femme, elle demandait de la refreiner et quand il le faisait elle était vexée, c’était le pompom, c’était peut-être ça façon a elle de le rejeter et de lui dire qu’il n’était qu’un boulet. D’accord sa perdait de son sens, mais dit comme ça c’était pire que tout, ensuite il l’avait embrassé mais elle aussi. Batiste apprenait a la connaitre mais pas assez a en croire ce qu’elle disait, sur un coup de colère certes, le jeune homme ouvrit la fenêtre de l’appartement avant de s’assoir sur le bord , et de sortir sur l’escalier de secours , il s’assit sur les escaliers et s’alluma un joint pour se détendre, après tout c’était un simple mather, il n’y avait que la drogue, le sexe et l’alcool pour lui. Alexander s’allongea sur le balcon de fortune en continuant de fumer doucement, ses objectifs de la journée avait une fois de plus changés, il recommencerait a peindre dans une demi-heure et partirai dans a peu près deux heures et demi. C’était surement mieux d’adopter cette situation même si dans le fond, il n’était pas contre le fait de faire connaissance avec la jeune femme, c’était juste pas son genre
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On parlait de soirées, on parlait d’être sage, ou plutôt de ne pas l’être et c’est là qu’il me proposa de venir aux soirées Mathers, je lui fis un petit sourire avant de répondre :
-Et bien pourquoi pas !
Et puis on vira sur le sujet jacuzzi, je lui proposais de le faire la semaine prochaine étant donné que de toute façon nous n’avions pas cours suite à l’attentat, il m’avait alors répondu qu’il était d’accord, que je devait emporter mon maillot de bain et qu’au pire je l’enlèverais après, décidément il ne perdrait vraiment pas cette idée de la tête. Je n’y répondis pas, ne voulant pas plus m’enfoncer dans le sujet, puis je me lançais dans une réflexion personnelle tout en mangeant mon mars, et puis finalement je décidais de partager ma réflexion de ne pas la garder pour moi car elle la concernait entièrement, ma réflexion pouvait ne pas lui plaire j’en étais consciente, ça pouvait être pour lui comme une sorte de rejet de ma part, mais ce n’était pas le cas… il se levait et alla vers la fenêtre sans me regarder avant de finalement aller sur le balcon, je restais un instant dans la cuisine, a réfléchir comment aborder le sujet, comment lui dire, lui expliquer ce qui m’est passé par la tête, lui expliquer ce que je ressens.
Après ma méditation qui dura quelques minutes je décidais de le rejoindre, à ma grande surprise il était en train de fumer, j’aurais du m’y attendre en fait, mais je ne m’habituais pas à ça, je vins à côté de lui, enfin pas trop près non plus pour ne pas me manger toute la fumé. Je ne voulais pas qu’il change, si il aime fumer ce genre de chose c’est son droit, je veux vraiment qu’il se montre comme il est, tant qu’il ne le fait pas devant mes filles, ce n’est pas le fait qu’il fume qui changera la personne qu’il est. Je me lançais alors dans mes explications :
--Batiste je suis désolé, ne crois pas que je veux te repousser, car ce n’est pas le cas. En fait je ne voudrais pas faire une bêtise et faire passer mon attirance pour toi, ainsi que mes désirs avant de réellement te connaître, c’est peut-être un peu con comme pensée de ton point de vu. Je ne veux pas tout gâcher, je ne regrette en rien tout ce qu’il c’est passé jusqu'à aujourd’hui, et je ne veux pas arrêter de te voir, je veux passer du temps avec toi, je veux apprendre à te connaître, je veux te donner toute ma confiance avant de te donner mon corps et avec les pensée qui m’envahissent dernièrement ce n’est pas dans ce sens là que ça allait… pfff je ne sais pas si je suis clair…
Je passais ma main dans mes cheveux, un peu perturbé, je ne savais vraiment pas comment l’expliquer, je ne savais pas si ce que je venais de dire était vraiment représentatif de ce que je ressentais, et je ne savais pas surtout comment il allait y réagir.

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Alexander ne prit pas de temps de répondre a la jeune femme pour le jacuzzi, il le réserverait point barre, puis il vit Jones venir s’installer à côté de lui, bizarrement il n’avait aucune envie qu’elle vienne près de lui, amis il allait faire avec, il l’écouta attentivement avant de finir doucement son joint, vexer de croire qu’il la voulait juste pour son corps. Batiste jeta son joint fini avant de répondre à Andy en restant couché sur le balcon. « Franchement, je ne te pensais pas ainsi…Si j’avais voulu te sauter ca serait fait depuis pas mal de temps, mais après si tu ne vois que ça quand tu me regarder, moi je propose qu’on ne se parle plus…Pour ce qui est de te connaître, je suis pour a cent pour cent, mais seul je n’y arriverai pas…tu as probablement raison sur le fait qu’on est une bêtise, c’est très clair pour moi en tout cas…» Batiste rentra par la fenêtre pour aller se remettre au travail, il voulait rentrer chez lui être loin d’Andy et de ce qui l’entoure. Elle ne voulait pas le repousser mais l’avait quand même fait assez largement et ouvertement, de plus il en avait assez de la confiance, ça aussi il avait bien comprit qu’elle ne lui referait plus jamais confiance, les jumelles étaient superbes et adorables mais leur mère ne voulait pas d’Alexander, il l’avait compris comme ça surement a tort, le beau brun se remit a peindre la chambre de la jeune femme, la première couche était sèche sur deux murs, il commença par ceux-là, se moquant d’où pouvait être la jolie blondinette, son message était clair, rien n’était possible entre eux hormis être amis et faire connaissance, il n’avait pas tout écouté de sa phrase, il avait juste retenu qu’elle ne voulait pas de lui car pas confiance.
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Je l’avais vexé suite à mes premières paroles mais je ne savais pas comment lui expliquer, je l’avais alors rejoins sur le Balcon pour me faire plus clair, et apparemment ça ne l’était pas plus, je n’avais fait qu’aggraver les choses à écouter ce qu’il avait à dire après avoir jeté son joint. Il m’annonça qu’il ne me pensait pas ainsi, que s’il avait voulu uniquement me mettre dans son lit ça serait fait depuis un moment, il continua en disant que si c’était ainsi on ne devrait plus se parler, il disait que j’avais raison de dire qu’on était une bêtise, mais ce n’est pas du tout ce que je voulais dire, je ne l’ai d’ailleurs pas formulé ainsi, il annonçait que désormais c’était clair pour lui. Il se levait et repassa par la fenêtre… mais non non non, il n’avait absolument rien comprit, il avait tout mélangé…
Je restais là planté sur l’escalier de secours me demandant une énième fois ce que je voulais… je voulais construire quelques choses avec lui, mais je voulais ne pas prendre le risque de faire passer le sexe avant de faire passer entièrement la personne qu’il est… je me prends prends et reprends la tête dans les mains, comment pouvais-je lui faire comprendre, voilà maintenant plusieurs jour qu’on se parlait, qu’on se voyait, j’avais envie, sincèrement envie de construire quelques chose avec lui, mais je savais pertinemment que je n’en savais pas assez sur lui. Ce qui me perturbe c’est de l’embrasser ainsi, qu’il me prenne dans ses bras de la façon dont on le fait, car on a envie de faire quelque chose ensemble de construire quelques chose, mais je trouve étrange d’être dans cet entre-deux. Bien évidement il m’attire, mais j’en suis pas non plus au point ou je ne vois que le sexe en le voyant, ah je ne savais décidément pas comment lui expliquer, mais je décidais une nouvelle fois de me lever et de repasser par cette fenêtre pour le rejoindre. Je me postais devant la porte de ma chambre et prononçais son prénom :
-Batiste !
Histoire de capter son attention et tout en avançant vers lui j’essayais de lui expliquer encore :
-Je sais que tu ne pense pas à me « sauter », ce n’est pas du tout ce que j’ai voulu dire, et je ne vois pas ça en te regardant, et je refuse de ne plus te parler, je m’embrouille toute seule dans mes pensée, Nous ce n’est pas une bêtise, je suis loin, très loin de penser ça. Je sais que tu fais des efforts, ce que je dis c’est que je n’en fais pas assez et que je me contente de profiter de ta présence alors que je t’ais dis que je voulais apprendre à te connaître, j’ai dis ça et c’est toi qui fais les efforts que je fois faire… je veux vraiment construire quelque chose avec toi, car simplement en quelques rendez vous je t’ai redonné ma confiance, je veux savoir d’où te viens, savoir ce que tu aime hors mi la nourriture ça je sais déjà …
Et là je restais en suspens alors je ma main venait de se poser sur son biceps je plongeais mon regard dans le sien et attendait à nouveau de voir sa réaction.

(c)lili
[/quote]
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Batiste ne voulait pas de ca, être juste le mec qui lui fait faire des bêtises et qui est une bêtise, oui il n’avait entendu que ce qu’il voulait, mais ca lui allait loin dans un sens, mais le meilleur allait arriver quand elle arriva et dit son prénom instantanément le jeune homme répondit « Jones ! » sans même détourner la tête de son mur ou il appliquait la seconde couche. Le jeune canadien l’écouta dire ce qu’elle avait a lui dire, soudainement, elle voulait plus et lui avait rendu sa confiance, c’était la meilleure celle-là, il avait envie de rire, la chose qu’il aurait le plus de mal a récupérer il l’avait réussi curieusement ici et maintenant. « Andy, arrête, tu le sais comme moi qu’on va se faire mal, je suis dingue de toi et tu ne le vois même pas juste parce que tu t’emmerdes a vouloir contrôler tes sentiments et a remettre le passé sur l tapis… » Elle voulait donc savoir des choses sur lui, ça c’était facile pour lui de répondre, rapidement et sèchement. « Batiste Nino Alexander, Canadien, divorcé, second enfants d’une famille de trois, mather et fier ainsi que super salopard junkie… Autre chose sur mon CV ? » Batiste était clair car il souffrait, mais c’était peut-être mieux ainsi, voir surement mieux, elle allait pouvoir continuer a donner tout son temps aux jumelles, il bougea son bras quand elle posa sa main déçu, l’air de dire, ne me touche pas…il continua de peindre. Il en avait vraiment gros sur la patate de la savoir si proche, mais pour rien a priori, juste parce que la confiance entre eux n’était plus possible.
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Batiste & Andréa


Ça devenait sérieusement compliqué, et j’avais besoin qu’il comprenne ce que je voulais dire, lorsque j’avais prononcé son prénom il avait prononcé mon nom sans même daigner me regardé, j’avais alors continué mes explications, il ne m’avait pas regardé un seul instant tout le long où je m’étais expliqué… Et puis c’est là qu’il dit la chose qui me marqua le plus, il m’annonça clairement qu’il était dingue de moi, il me dit d’arrêter, il me dit que je ne vois pas tout ça car je ne cesse de contrôler mes sentiments, et ses mots, ses phrases tournèrent, tournèrent, encore et encore dans ma tête… il n’avait pas besoin de comprendre, il n’avait rien besoin de comprendre, c’était à moi de comprendre, d’ouvrir les yeux encore et de voir ce que je faisais, je me bloquais encore, je voulais contrôler chacun de mes sentiments, je demandais à le connaître, mais on est jeunes on a le droit de faire des erreurs… il faut se lancer que rien ne nous empêche de faire connaissance après, qu’au final avant ou après ça ne changerait rien, je voulais contrôler cela pour ne pas avoir mal et c’est au final lui que je fais souffrir, je posais ma main sur son bras et il le retira immédiatement me faisant clairement comprendre qu’il ne voulait pas que je le touche, il se plongeait dans cette peinture, il avait mal de ce que je lui avais fait et j’avais mal de lui avoir fait ça… encore une fois il avait raison on se faisait mal.
J’avais peur que le chut de notre relation me fasse mal, mais au final par ma faute c’est le début qui était tellement compliqué, et je le regardais s’acharner sur ce mure au lieu de faire ce qu’il devrait faire, s’acharner sur moi… c’est moi qui le faisais souffrir et depuis le début je l’accueillais et le repoussais sans arrêt et il encaissait, je lui disais alors :
-Batiste lâche ce putain de pinceau.
Il n’avait pas vraiment l’air décidé à le faire, je lui arrachais alors de main et me mettais face à lui, je ne le touchais pas vu qu’il ne voulait pas que je le fasse, pour une fois j’allais faire ce qu’il voulait faire car je réalisais que depuis le début ça se déroulait dans l’autre sens :
-Batiste va y ! Dis moi ce que tu as à me dire, dis moi ce que je mérite d’entendre après ce que je t’ai fais endurer… je n’avais rien à te faire comprendre, j’avais besoin de comprendre, j’avais peur de souffrir et je nous ai fais mal avant même de commencer alors vas y, dis moi tout ce que tu as sur le cœur…
Je restais la face à lui, un regard intense plongé dans le sien

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Andréa s’énerva sur le jeune home, avant de prendre le pinceau et de le jeter dans la pièce, il n’avait qu’une envie hurler et partir mais ça c’était beaucoup trop facile a faire a vrai dire, il continua de l’écouter sans qu’elle ne le touche, Batiste la regardant dans les yeux sans cligner sans broncher avant de lui dire d’un air stoïque. « Mais tu veux quoi Jones ? Que je te dise que j’en ai assez de me faire jeter alors que ce n’est pas vrai, enfin si un peu, que je veux plus que peindre ta chambre ? Ou alors que j’en ai assez qu’on complique ce qui peut être simple ? Mais ca ne sera jamais simple tant que tu ne me laisseras pas une place dans ta tête et dans ton cœur…après si tu ne sais pas ou ne veut pas de moi, dit le moi et je te laisse tranquille et ça sera plus simple… » Batiste venait de laisser parler son cœur mais avec un peu de retenue, il ne voulait pas lui faire mal, il l’appréciait trop pour ça et c’est surement pour ça qu’il pourrait partir sans rien dire, préférant laisser ce qu’il ressent au oubliette pour être le seul a souffrir, il avait l’habitude depuis son divorce de souffrir en silence et dans son coin, c’est d’ailleurs pour ca qu’il était devenu si fort en football américain, c’était sa thérapie, son échappatoire quand la vie n’allait pas bien, mais en ce moment il aurait bien fait un super jogging a s’en faire pêter ses points suture.
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