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 :: Corbeille :: Archives 2012-2019
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Batiste & Andréa


La dernière fois que j’avais vu batiste c’était lors de notre journée au théâtre, c’était vraiment une superbe journée, et elle aurait pu être complètement parfaite si je n’avais pas tout gâché avec mes paroles sur la défensive, on s’était quitté fâché et gêné et je n’aimais vraiment pas ça, je n’avais pas osé lui envoyer de message, l’appeler où aller le voir dans la semaine qui suivit, puis il y a eu cet attentat, alors que j’étais partis à l’aéroport pour ma sœur. Il y avait eu ce message de Batiste, qui voulait faussement m’inviter juste pour s’assurer que je n’étais pas sur le campus et que je ne craignais donc rien de cet attentat.
Ce jour là j’étais complètement morte de trouille, j’étais heureuse de ne pas subir cet attentat, mais j’avais vraiment envie de le rejoindre là bas pour m’assurer qu’il allait bien, que Valentin allait bien, j’avais tourné en rond comme une malade jusqu'à savoir qu’il allait bien, que les bombes ne l’avait pas touché. Ce jour là j’ai ressentis ce besoin, d’être à côté de lui, d’être dans ses bras, je voulais qu’il aille bien, je voulais l’embrasser, je voulais tellement de chose c’était étrange et ça ne me ressemblait pas, certainement à cause de la peur, toujours est-il que deux jour après je l’avais appelé pour l’inviter à venir à la maison, pour qu’on fasse la peinture de mon appart et il n’avait pas refusé.
Becca était partie avec les filles pour la journée, alors que je ne lui avais absolument rien demandé, a vrai dire elle ne voulait pas voir le tête de batiste et elle ne voulait pas laisser les filles sachant que je serais occupé à la peinture.
J’étais donc à l’appart à l’attendre quand j’entendis un moteur et un silence, je regardais par la fenêtre et c’était lui, je ressentis comme un soulagement, lorsqu’il sonna enfin à la porte de mon appart, j’allais rapidement ouvrir après avoir vérifier que c’était lui, et sans vraiment savoir expliquer pourquoi je lui sautais dessus après avoir ouvert cette porter, enlaçant mes jambes autour de ses hanches et mes bras autour de son cou tout en annonçant :
-Anh Batiste !
Réalisant que ma réaction était peut-être un peu excessive et certainement déplacé je me décollai de lui fis un petit sourire gêné et tout en lui faisant signe de rentrer dans l’appart je m’excuser et lui disait d’un air hésitant :
-Désolé, c’était euh… déplacé...
Je lui lançais un regard et ferma la porte derrière lui.

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Batiste avait promis d’aider la jeune femme a repeindre son appartement, bien qu’il n’en avait aucune envie maintenant, mais elle lui avait sonné plusieurs fois, d’ailleurs il n’avait pas répondu une seule fois, mais elle lui donnait rendez-vous chez elle aujourd’hui pour peindre. Il avait envoyé un simple message avec un « Okay » . Même lors de l’attentat il l’avait remballé par texto, il savait qu’elle n’était pas en danger c’était le principal pour la vie de la jeune femme. Bat enfila un vieux jeans, un t-shirt blanc et un vieux pull avant de mettre des bête baskets et de partir en moto chez la jeune femme, il se gara devant et monta jusqu’à la porte que la jeune femme avait indiqué lors de son appel. Alexander sonna, très vite Andréa lui ouvrit et lui sauta dessus, le jeune canadien ne la toucha pas, il la laissa en singe autours de son torse avant de la voir redescendre puis elle s’excusa, ce qui l’énerva assez bien, il rentra dans l’appartement en lui répondant. « Oui, déplacé comme tu dis ! Je ne veux pas plus de ton désolé que de tes excuses…Je suis juste venu parce que j’ai beaucoup de défauts mais ce que je dis, je le fais ! » Batiste, posa son casque sur la table avant de mettre son portefeuille et ses clefs dedans. Le jeune homme mit son portable en silencieux avant de le lancer de son casque, il tira son pull pour être plus a son aise avant de demander a Andréa « Je dois peindre quoi ? Et en quelle couleur ? » Mais il continua de lui tourner le dos, il avait toujours mal, et puis son ventre le faisait encore un peu souffrir quand il enfilait et retirait ses pulls, les points qu’il avait reçu devait encore être tenu au moins une semaine.
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Batiste & Andréa


J’avais réagis un peu excessivement en le voyant, c’est vrai mais j’avais eu tellement peur pour lui, je sais que c’était compliqué entre nous et à cause de moi, je voulais attendre, apprendre à le connaître et a lui redonner ma confiance, je m’excusa alors mais sa réponse alors là je ne m’y attendais pas du tout, c’était froid, dure, je ne l’avais pas forcé à venir ici, je lui ai proposé, je m’en voulais d’avoir dis ce que j’avais dis, si je l’avais invité pour faire ça c’était pour passer un bon moment ensemble, je pouvais très bien peindre toute seule. J’affichais une mine complètement dépité, je n’avais pas encore répondu à ses première paroles, il enleva son pull et me demanda ce qu’il devait peindre, où et en quelle couleur… Et tout ça même sans me regarder, alors ça non, c’était hors de question que ça se passe comme ça, si il ne voulait pas venir alors il n’avait qu’a rester chez lui, j’étais à la fois gêné et énervé, je n’avais pas réagis à ses paroles au théâtre sur la vengeance qui n’en étais pas une, mais là… franchement pourquoi était-il venu ?
Je m’approchais de lui le tira par la main rapidement pour qu’il n’a pas le temps de réagir, sa forcé étant bien plus élevé que la mienne je n’aurais pas pu le faire assoir sur le canapé sinon. Je le regardais droit dans les yeux avant de lui dire :
-Tu es venue ici ! Autant que sa serve à quelques choses … je te demande juste de m’écouter jusqu’au bout et tu pourras partir, car c’est tout ce dont tu as envie… Batiste je t’ai blessé je l’ai compris, je pourrais m’excuse te dire que je suis désolé des milliers de fois mais tu refuse de l’entendre, j’ai compris le message. Je vais faire un petit retour en arrière, je n’ai rien répondu au théâtre, mais il mes paroles n’étais pas une vengeance, je n’ai jamais eu l’intention de me venger batiste. Je ne t’ai pas forcé à venir, je ne t’ai pas invité pour te voir faire la gueule et me tourner le dos, je t’ai invité… parce que je voulais passer un bon moment avec toi, parce que j’avais besoin de te voir… parce que je voulais voir que tu allais bien, car je me suis inquiété comme une folle pendant cet attentat de malheur, que j’avais envie ce jour là d’être avec toi, je voulais que tu me prenne dans tes bras, parce que je tiens à toi …
A chaque parole je m’énervais un peu plus, mon cœur s’accélérait, et puis quand je me suis mise à parler de l’attentat, je repensais aux émotions que j’avais ressentit ce jour là et quelques larmes vinrent glisser sur mes joue, je me levais alors et lui lançais :
-Je sais que ce que je t’ai dis t’a fais mal, et je ferais n’importe quoi pour me faire pardonner… j’ai envie de peindre avec toi, mais tout ce qui m’importait c’est le avec toi, alors si tu ne veux plus me voir, ne viens pas je ne t’y force pas…
J’étais énervée et affaiblie oui je me sentais faible, car je lui avais dit, tout ce que j’avais ressenti, je lui avais qu’il comptait pour moi, que je m’étais ouverte à lui, j’avais enfin ouvert le porte et que j’avais l’impression que sa ne servirait à rien. Je partis alors à la cuisine et m’appuya sur le bord de l’évier, m’attendant à entendre la porte de l’appart claquer…

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Batiste lui en voulait vraiment de la situation qu’elle avait provoquée lors de leur soirée, nuit et réveil au théâtre, il savait très bien au fond de lui qu’il avait eu peur pour elle lors de l’attentat, de la perdre, que les jumelles n’aient plus de maman, mais il se fit entrainer dans le canapé, pour régler les comptes, Alexander laissa sa chance à la jeune femme de s’expliquer, elle commença par le théâtre mais ca il s’en moquait sa devenait intéressant la partie ou elle donnait ses impressions sur la bombe. « Andréa, j’ai eu l’impression d’être un inconnu, ou pire un violeur un pédophile, je ne sais pas me sortir ta phrase de ma tête, tu m’as fait mal c’est vrai… » Puis il la gifla doucement sa claqua a peine, il voulait qu’elle se rende compte de plusieurs choses « …Tu vois cette gifle, tu ne l’as surement pas méritée mais elle te fait mal sur l’instant pas plus, moi tes mots ils raisonnent toutes les nuits…juste parce que tu n’as pas le cran de me laisser essayer de t’aimer, de t’apprécier ! Il faut que je sois un danger pour que tu ais envie de me prendre dans tes bras, mes dires des choses gentilles… » Batiste caressa la joue de la jeune femme en la regardant dans les yeux. « …tu vois tu n’as déjà plus mal, mais moi aussi je tiens a toi et tu le sais très bien ! » Batiste la regarda se levé avant de continuer a la regarder, il lui en voulait pour les mots, mais il était à la fois sous son charme, le jeune homme se leva avant de la rejoindre, il voulait peindre avec elle, c’est pour ça qu’il était venu, passer du temps avec elle. Alexander remarqua les larmes de la jeune femme qu’il essuya de son pouce. « Je devrais partir loin de toi, mais je n’ai aucune envie de partir, j’ai eu peur de te perdre aussi Andy » Le jeune canadien sera la jeune femme dans ses bras avant de lui dire tout bas « Je veux peindre avec toi Jones, mais ne me dit plus jamais que tu n’as pas des tout confiances en moi… »Il posa sa main sur le cœur de la jeune femme « Et laisse-moi un peu de place la… Et excuse-moi pour la gifle Andréa ! »Bat embrassa doucement la joue de la jeune femme avant de la serrer contre lui
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Batiste & Andréa


La situation était bien loin de celle que j’imaginais vivre aujourd’hui, plus triste et douloureuse que ce que j’avais imaginé, et puis Batiste répondit à mes paroles, m’indiquant qu’il avait eu l’impression d’être un inconnue, un pédophile, ma phrase avait eu beaucoup plus d’impact que je ne l’imaginais, je n’imaginais pas un seul instant, pas le temps de répondre que je me pris une mini gifle…mais ça restait une gicle, redressant ma tête vers lui je le regardais les yeux grand ouvert, un regard noir et choqué, mais je l’écoutais m’expliquer pourquoi, je l’écoutais me dire que les mots que je lui avais prononcé raisonnait dans sa tête chaque nuit… il me disait que je ne voulais pas le laisser m’aimer, qu’il avait besoin d’être en danger pour que je lui dises des choses gentil, des choses gentil je lui en disais, ce qu’il entendais surtout pas là je pense que c’était des choses en rapports avec mes sentiments. Oui je bloque mes sentiments, oui je ne les laisse pas m’aimer, mais ça il le sait, je ne sais pas comment faire, je suis borné buté et refuse de souffrir, l’amour pour moi est relié à ça et c’est vraiment horrible, je m’en veux tellement de lui faire subir ça.
Puis il caressa ma joue avant de me dire que je n’avais plus mal, ce qui est d’ailleurs vrai, avant d’appuyer sur le fait que je savais que je comptais pour lui… mais suite à mes dernière révélation j’étais partie à la cuisine et avait légèrement craqué je devais l’avouer. Mais a ma grande surprise au lieu de partir il était revenue vers moi, il avait essuyé mes larmes m’indiquant qu’il devrait partir mais qu’il ne le voulait pas, il me prit dans ses bras, et ajouta qu’il ne voulait pas que je lui dise encore que je n’avais pas confiance. Je n’avais toujours aucun mot à prononcé, trop de sentiments m’envahissaient, et puis il posa sa main sur ma poitrine au niveau de mon cœur, me demandant de lui y faire une place avant de s’excuser pour la gifle il me serrait à nouveau contre lui avant que je dise enfin :
-Je ne voulais pas dire ça Batiste, j’ai regretté mes paroles au théâtre à l’instant même où je les ai prononcé. Tu sais que je suis une coincé des sentiments et surtout en ce qui concerne l’amour, mais je ne veux pas te perdre ! Je crois que je peux enfin y arriver, je ne serais pas expliquer j’ai senti comme un truc de changé, désolé d’en passer par tout ça !! Je me sens tellement mal que tu ais ressentit ça …
Je glissais ma main dans son cou, je me hissais sur la pointe des pieds et déposais un baiser sur ses lèvres, léger, timide et furtif… maintenant que je savais ce qu’il avait ressenti c’était encore pire qu’avant, je me sentais encore plus mal.
-Batiste je tiens tellement à toi, et il n’y as pas que quand tu es en danger que je ressens le besoin que tu m’embrasse ou que tu me prennes dans tes bras, c’est juste que c’est la première fois que je te le dis…
Honnêtement je ne me sentais plus du tout le cœur à peindre, je me sentais mal en vers lui et savoir qu’il avait pensée ça c’était horrible et je ne voyais pas ce que je pouvais faire contre.
-Batiste je me sens mal, dis moi ce que je peux faire…

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Batiste, devait absolument y voir clair dans sa tête, et ca devenait de plus en plus clair pour lui, il avait deux solutions, la première était de fuir comme un nul pour la seconde fois, ou rester auprès de la jeune femme, il avait fait en quelque sorte son choix en lui essuyant ses joues et la serrant dans ses bras. Bat l’écouta se défendre sur ses paroles en la serrant contre lui, elle avait laissé beaucoup de blanc entre eux mais elle ouvrit enfin la bouche. « Andréa, pourquoi tu ne m’as pas dit tout ça au théâtre ? ! Je m’en fous que tu sois une coincée des sentiments ou non, fait-moi confiance juste une fois, je n’ai aucune envie de rééditer mes gestes passés, tu ne comprends pas quoi la dedans ? » Batiste la laissa s’approcher de lui et l’embrasser doucement, il posa ses mains dans le dos de la jeune femme avant de la lever du sol pour l’embrasser tendrement, il n’en avait pas assez eu de ce petit baiser furtif. Puis elle continua de lui dire qu’elle tenait a lui avant de lui dire qu’elle voulait des bisous et se sentir bien dans les bras de la jeune femme. « Jones, j’aurai aimé que tu me le dises ça, plus tôt que de tenir tes propos… » Il était toujours amère de la phrase de la jeune femme, mais il sortit de ses pensées quand une petite douleur se fit sentir dans le bas du ventre, mais il ne fit mine de rien. Puis la jeune femme continua de parler, elle se demandait ce qu’elle pouvait faire, il se décolla de la jeune femme avant d’enlever doucement son t-shirt et de prendre la main de la jeune femme pour la poser sur propre cœur. « Alors déjà, celui-là tu le ménages et tu ne lui fait plus aussi mal… »Ensuite le jeune homme descendit la main de Andréa sur sa blessure du a l’explosion avant de lui dire doucement. « J’aurai aussi aimé que tu sois présente quand on m’a mis les points… » Batiste reprit la jeune femme dans ses bras avant l’embrasser pour l’amener dans la chambre, bon il entra d’abord dans la chambre des jumelles avant d’aller dans celle de la jeune femme il la posa doucement sur le lit sans quitter les lèvres de la jeune femme. Alexander sourit avant de dire doucement « Alors on la met en quelle couleur cette chambre ? » Le jeune homme posa un bisou dans le cou d’Andy en attendant sa réponse.
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Batiste me demandait pourquoi je ne lui avais pas raconté tout ça au théâtre ! Il me disait qu’il voulait que je lui fasse confiance et me demandais ce que je ne comprenais pas dans le fait qu’il ne voulait pas recommencer ses actes, je baissais la tête avant de répondre :
-Je ne sais pas pourquoi je ne te l’ai pas dis, et j’ai compris… je suis juste trop têtue, Batiste je n’ai pas peur de toi, j’ai bien compris que tu ne me referais pas le cou, c’est de l’amour que j’ai peur…
J’avais déposé mes lèvres furtivement sur les siennes, c’est là qu’il posa ses mains dans mon dos, et que je quittais le sol, il m’embrassa tendrement et je lui rendais ce baiser, ça m’apaisait, un simple baiser de sa part m’apaise, une étreinte également, j’avais besoin de lui au plus profond de moi. Je lui avais expliqué ce que je ressentais et il me disait que j’aurais du lui dire à la place de ce que j’avais dis, je ne répondais rien à cela car je savais qu’il avait raison.
J’étais apaisé mais toujours mal vis-à-vis de ce que je lui avais fait vivre par mes paroles, je ne comprenais pas vraiment alors ce qu’il se déroula, il enleva son tee-shirt et prit ma main pour la poser au niveau de son cœur, avant de me dire qu’il fallait que je ménages son cœur et que je ne devait plus lui faire mal, je lui fis un petit sourire et répondis alors :
-Promis !
Puis il fit descendre ma main sur sa cicatrice, que je ne connaissais pas, d’où elle sortait encore celle là ? Je relevais les yeux jusqu’au sien tandis qu’il m’annonçait qu’il aurait aimé que je sois présente lorsqu’on lui a mit, je le regardais dubitative avant de lui dire :
-Mais batiste quand t’es tu fais ça ? Je croyais que tu n’avais pas été blessé lors de l’attentat ?
Il se saisit à nouveau de mes lèvres avant de me porter et d’avancer à travers l’appart, il entra dans la chambre de mes filles ce qui me fit sourire car j’étais persuadé que ce n’était pas somite but, puis il ouvrit la porte de ma chambre, ile me déposa sur le lit sans cesser de m’embrasser avant de me demande en quelle couleur on peignait ma chambre et je lui répondis tandis que ses lèvres se posait dans mon cou :
-Vert et Taupe, mais je dois avouer que je n’ai plus très envie de peindre maintenant ! tu es conscient qu’il est vachement difficile de faire preuve de volonté pour peindre face à ton corps
Je lui fis un sourire avant de me saisir à nouveau de ses lèvres et de les embrasser tendrement.

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Batiste sourit tendrement quand elle lui promis de ne plus trop le faire souffrir. C’était mine de rien déjà une victoire…Il acquit de la tête en regardant la jeune femme. Puis elle fut un peu stupéfaite de la nouvelle cicatrice du jeune homme. « Andréa, je t’ai juste dit que j’étais en une pièce, j’avais pas envie de te dire, que mon arcade sourcilière était ouverte et que j’étais ouvert sur huit centimètres au niveau du bas du ventre, et puis j’étais fâché… » Bat lui fit un clin d’œil en replaçant la mèche de cheveux de la jeune et jolie blondinette. Ensuite Alexander tomba de haut quand elle annonça qu’elle ne voulait plus peindre, simplement parce que le jeune canadien enfin surtout son corps lui plaisait beaucoup trop, il passa ses mains sous le tee-shirt de la jeune femme en souriant. « Mademoiselle Jones, je suis venu peindre votre appartement et vous m’annonçais a droitement que vous préfériez faire des folies de votre corps avec moi…Ce n’était pas dans le marché ça… » Batiste embrassa doucement la jeune femme en la poussant délicatement pour qu’elle se retrouve coucher sur le lit, le jeune architecte détacha des lèvres de la jeune femme avant de lui faire un autre sourire et de dire doucement. « On met rapidement la première couche de peinture puis on fera ce que tu veux de nos corps en attendant pour mettre la seconde couche, tu en penses quoi ? » Alexander, passa sa main sur le ventre de la jeune femme en continuant de lui poser des bisous dans le cou pour lui permettre de répondre a sa proposition qu’il trouvait très intéressante et aussi séduisante que Jones et puis au pire, le jeune brun pourrait renfiler son t-shirt pour ne pas laisser son torse distraire la jeune blonde.
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Batiste & Andréa


J’étais surprise de la cicatrice que Batiste avait, je ne l’avais jamais vu celle là et elle était plutôt impressionnante, il m’expliqua qu’il m’avait avertit qu’il était en une seule pièce et qu’il n’avait pas envie de détailler ce jour là, surtout qu’il était fâché, je fis une petite moue compréhensive tandis qu’il m’adressait un clin d’œil et que ses doigts décalait une mèches de mes cheveux.
J’avais annoncé à Batiste que j’avais du mal à résister à son corps, il fallait dire qu’il avait un corps bien foutu, mais je ne m’attendais pas à ce qu’il régisse comme ça, je ne pus pas m’empêcher de frissonner lorsqu’il passa sa main sous mon tee-shirt, je lui fis un sourire suite à ses paroles avant de répondre sans tarder :
-Ah mais je ne savais pas qu’on avait un marché !!
Puis il me poussa légèrement sur le lit tout en m’embrassant, et je pensais un instant à ce que je venais de dire, l’histoire du marché, il fallait absolument que je donne à batiste ce que j’avais fait en rentrant du théâtre la dernière fois, mais je n’eus pas le temps de lui dire qu’il me proposa de mettre la première couche de peinture, puis de faire ce que l’on voulait ensuite, je lui répondis alors tandis qu’il déposait des baiser dans mon cou :
-Je trouve cette proposition complètement raisonnable, mais j’ai d’abord un truc à te montrer.
Je le repoussais délicatement et alla jusqu'à mon armoire, j’ouvris le petit tiroir qui étais à l’intérieure et en sortie une feuille, je lui tandis avec un crayon, le sourire aux lèvres avant de lui dire :
-Voilà ce que j’ai fais en rentrant du théâtre la dernière fois, j’ai pensée à toi et j’ai écris ton pacte avec le diable, tu n’as plus qu’a le signer et je ne pourrais plus te refuser cela tant qu’on essaye de construire une relations ensemble !

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Batiste était content de toujours faire autant d’effet à la jeune Jones, il avait senti sous ses doigts le corps de la belle trembler, ce qui lui fit continuer de plus belle, c’était sure elle avait envie de lui autant que lui avait envie d’elle, a un tel point que le jeune homme ne voulait rien brusquer à ce niveau-là. « Nous avons un marché tacite… En restant ici avec toi, j’ai pris la décision de peindre ton appartement, comme c’était prévu. » Génial, elle était entièrement d’accord sur sa proposition de commencer a peindre et puis de faire ce qu’ils voulaient ensemble, mais elle devait lui montrer quelque chose, il décida de se coucher sur le lit pour la regarder chercher dans son armoire. « Raisonnable nous serons alors…Un truc a me montrer…d’accord. » Le jeune brun prit son temps pour bien dévisager et mater Andy qui fouillait après un papier. Il ouvrit des grands yeux, déjà pour le pacte ensuite pour le essayer de construire une relation ensemble, il se redressa avant d’attirer la jeune femme a lui. Bat l’embrassa langoureusement et posant ses mains sur le bas du dos de Jones. « Tu sais que si tu me fais pactiser avec le diable, je risque de souvent vouloir être avec une jolie diablesse blonde…Je ne suis pas d’accord, je ne veux rien essayer de construire avec toi… » Alexander descendit encore un peu plus ses mains pour les poser sur le derrière de la jeune femme en l’embrassant tendrement avant de continuer, « Je veux construire avec toi et aussi le monde qui t’entours… » Le canadien garda la jeune femme près de lui, c’était mieux que leur soirée au théâtre enfaite, parce qu’ils se parlaient vraiment, ou du moins plus ou moins mais ils se parlaient de chose importantes entre eux.
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