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i'm not yours. | ft. mark underhill

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je balais ce combat intérieur en le voyant s'assoir devant moi. je lui offre un sourire doux, fatigué aussi, et me laisse volontiers bercer dans ses bras alors que l'eau continue de ruisseler sur nos corps. « toi aussi. » que je réponds doucement, me redressant pour lui montrer ma mâchoire. j'avais le don de la déboîter et la remboiter, ça donnait une idée de la douleur ressenti pour qu'il vienne jusqu'à moi se donner tout entier. « j'ai faim, maintenant. » que je dis doucement en récupérant le shampooing qui dormait sur le sol à côté de lui.
me redressant pour les laver, je finis par glisser mes doigts dans ses cheveux et savonner à ce poivre-sel. « tu es beau, on te l'a déjà dit ? » que je demande, le sourire dans la voix.
évidemment qu'on le lui a dit, mais venant de moi, c'est différent non ?
je me rince et attrape une serviette, et la sonnette retentit. « merde. » que je jure entre les dents. « j'ai oublié le livreur. » et la bouffe par la même occasion. je trottine jusqu'à ma chambre pour prendre mon sac à main et cavaler en serviette jusqu'à la porte. « bonsoir. » que je dis doucement, légèrement essoufflée de courir partout.
le garçon n'a pas plus de dix neuf ans, c'est sûr. boulot pour couvrir des études ça. il reste planter devant ma porte et je m'impatiente. « oui ? je peux les récupérer ? » il revient à lui mais pas vraiment en fait, les yeux fixés sur la serviette.
je plisse doucement les yeux, levant le billet pour le lui remettre. « t'as deux secondes pour virer tes yeux de là où je te les arrache. » que je siffle entre les dents. mauvaise, tyrannique, le regard métallisé.



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Mais la sonnerie retentit, interrompant malheureusement leur moment intime mais avec le bon côté d’être le signal de l’arrivée de leur repas. Son ventre n'hésita pas à gargouiller pour saluer cette arrivée salutaire. Il laissa la jolie jeune femme filer s'occuper du livreur.

Ensuite, il éteignit l’eau après s'être rincé les cheveux et avant de prendre une serviette qu’il mit autour de sa taille, plus pour le garçon que pour quelque décence que ce soit envers Aly. Il rejoignit celle-ci à son aise dans le couloir de l'entrée et s’accouda à une des portes en regardant le jeune garçon buguer. La remarque que lui rétorqua Aly le fit rire.

- Petit, je ferais ce que dit la dame hein… tu veux pas éveiller le dragon, sourit-il, crâne.

Il s’étira, son dos et ses épaules craquant un peu, en se détournant vers le salon, un sourire amusé aux lèvres.

- Maiiis si tu l'énerves encore une fois, j'te fais descendre les escaliers sur le pif ! lança-t-il de dos au môme avant de disparaître dans le salon en se frottant le ventre en anticipation du repas. 
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c'était facile avec mark. y avait besoin de rien de plus que lui... et c'est là que c'est compliqué. qu'on tombe dans cet étrange sentiment que je ne connais pas vraiment, qui fait que là où mon monde tourne c'est où il est. je pourrai passer ma vie sous l'eau ou nue dans ses bras que ça m'irait. que je me sentirai chez moi.
pourtant je ne me sentais pas prête à être enchainée, à l'enchainer encore moins... et pourtant j'avais l'impression d'avoir besoin de lui pour respirer.
c'est absolument ignoble comme sentiment. mais soit, je suis prête à le taire et à la subir aussi longtemps que je le pourrai.
car je vais tout niquer à sortir ça comme ça... surtout que les déclarations à la con, j'ai jamais fait. surtout que j'ai jamais su dire quand j'aimais... j'ai oublié ces mécaniques là. maintenant je m'offre un peu, je donne ce que je veux donner. mon amour se résume à ça.
et quand tu sais que je donne tout à mark, vraiment toute mon âme... tu te poses plus trop de questions, hein ?

mais quoi qu'il en soit, c'est en serviette que je cours jusqu'à la porte en voulant récupérer mes pizzas qui ne viennent pas parce qu'il a décidé de regarder la serviette. j'ai beau agité le billet et siffler la menace, c'est surtout l'arrivée de mark qui semble ramener le gamin à la réalité. je plisse les yeux en lui arrachant les boites des mains sans prendre la peine de donner le moindre pourboire. « c'est le problème des gamins puceaux, ça. » que je dis en ronchonnant, fermant la porte du pied, perdant ma serviette par la même occasion.
je soupire en posant les boîtes sur la table de la salle à manger et trottine jusqu'à la chambre. « t'as un couteau ... bref, t'es chez toi, tu sais où. » que je dis quand je disparais dans ma chambre.
un shorty et ça suffira. je n'aimais pas trop me balader vraiment nue. mais les seins à l'air, rien à faire. néanmoins, je mets ma gilet en pour couvrir mes épaules. il ne faisait pas très chaud non plus, je retourne à la salle de bain en continuant de courir. une vraie gamine, je ne me reconnais pas.
je me brosse rapidement les dents pour enlever le goût de mon homme avant de me coiffer et de retirer le maquillage qui avait coulé durant la douche.
et je retourne près de lui.
déposant mes mains sur son torse, l'éloignant des pizzas pour l'embrasser et le faire déposer le couteau pour sentir à nouveau ses mains sur moi.
c'est une véritable drogue, quelque chose dont on se lassera jamais. en tout cas, pas moi.

mais la raison de l'estomac prend le dessus sur tout le reste et je le libère pour tirer le tout sur la table basse, allumant la télé sur une chaîne au hasard.
je le regarde en souriant, j'avoue que j'aurais pu tout vendre juste pour que cette soirée dure éternellement.
mais ça n'arrangeait pas mes affaires de voir mes sentiments grandir à mesure que le temps passait... il se passerait quoi demain ?


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Mark la laisser trotter dans l’appartement, la regardant filer de son pas sautillant. Elle était belle aussi dans cette légèreté et cette innocence. Toutes les émotions lui allaient si bien et la rendaient si belle. Il se prit à rêver au fait qu’il n’avait pas envie de quitter cet appartement, de quitter ce bruit de pas joyeux, ses mains si douces, ses yeux brillants, ses seins, ses fesses, sa peau, l’odeur de ses cheveux… Il secoua un peu la tête en reprenant ses esprits et poussa un petit soupire pour essayer de revenir à lui-même. En plus, elle revenait dans la cuisine, il ne pouvait pas avoir l’air bêtement d’un nigaud amoureux.

Il se laissa déposséder des pizzas et du couteau et la prit par la taille en souriant, répondant à son baiser avec langueur.

- Je sais pas de quoi tes lèvres sont faites Aly mais je crois que je pourrais littéralement mourir affamé et déshydraté pour ne pas m’arrêter de t’embrasser… ronronna-t-il contre ses lèvres avant de la regarder s’échapper vers la table basse avec les pizzas.

Restant un peu arrêté, il la regarda avec un petit sourire, se mordant un peu la lèvre. Ce sourire ne semblait plus vouloir partir de son visage, les yeux légèrement brillants d’une lueur qu’il n’aurait probablement même pas reconnue si on l’avait mis devant un miroir. Lentement, il vint la rejoindre et s’assit à côté d’elle, passant une jambe derrière elle pour qu’elle soit contre son torse. Il embrassa son épaule et prit une part de pizza en relevant les yeux vers la télévision.

- On regarde quoi ? demanda-t-il en souriant et en déposant un baiser sur son épaule.

Quelque chose était en train de bouger en lui, comme si petit à petit un bloc de glace fondait au milieu de sa cage thoracique et venait dénouer des choses qui étaient coincées depuis si longtemps qu’il ne savait pas ce que ça faisait de les sentir se dénouer. Son regard se perdit, il avait soudain chaud mais désagréablement chaud et une immense envie d’éclater en sanglots. Mais pourquoi ? Pourquoi ces sentiments immenses qu’il ne comprenait pas étaient en train de se bousculer en lui ? Il ne savait pas si il avait envie de fuir, de vomir, de hurler ou de se cacher dans ses bras… Sa respiration devenait haletante mais plus pour les merveilleuses raisons qui étaient celles qui la rendait haletante plus tôt. Il tremblait.

- Hmpf… Pardon… Je… Je vais aller sur la terrasse une seconde… J’ai très chaud… dit-il en se relevant, reposant la part de pizza et titubant jusqu’à être sur la terrasse, prenant au passage ses cigarettes qui étaient à portée de main sur son passage.
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les compliments qui glissent sur moi comme de la soie, caressant la peau et faisant frissonner chaque parcelle me rend folle à mesure qu'il donne de l'importance à cet amour grandissant, qui finit par défier les lois de la nature là.
ce n'est pas trop normal de se comporter comme un véritable couple, et pourtant, je m'y complais facilement. je pourrais m'habituer à cette vie faite de câlin, de sentiments étranges qu'on exprime de façon bien trop étranges pour être trop encombrants. on se le dit pas vraiment au final. on se le devine.
et je devine aisément entre ses mots qu'il est aussi perdu que moi. est-ce qu'il serait aussi chamboulé par l’appellation des sentiments ou comme moi il préfère occulter et s'enticher du présent ? peu importe, il était déjà mien. du moins pour ce soir. je souris à la douceur de ses mots, lui lançant un regard coquin alors que je me ramène à mon canapé, lançant la télé sur une chaîne au hasard.
je le laisse s'installer derrière moi pour qu'il se sente plus à l'aise, lui tendant une part de pizza et prenant la mienne en bouche avant de lever les yeux vers la télé. je hausse les épaules. « je ne sais pas. » que je dis en prenant la télécommande dans l'autre main pour commencer à zapper.
frissonnant avec son baiser sur l'épaule. je passe de chaîne en chaîne sans trouver quelque chose d'intéressant. puis le début de jurassic park II se lance sur une chaine du canal. « tiens, ça fait longtemps. »
mais je le sens gigoter derrière moi, et je me décale un peu pour le laisser s'enfuir, fronçant les sourcils. « chaud ? » que je répète alors qu'il faisait tout de même froid et qu'il était surtout encore vêtu que de sa serviette.
je le regarde se lever en soupirant doucement. je n'ose pas lui demander si ça va vraiment ou si je devais rester à ma place.
ce foutu cœur me dicte de me lever... de voir ce qui ne va pas. c'est frustrant, d'ordinaire, je lui aurais laissé de l'espace.
mais là je suis beaucoup trop inquiète.

je finis par poser la part entamée dans le carton et je regarde quelques secondes la gamine donner à manger à un compy avant qu'une armée arrive et je me lève.
je glisse doucement contre le cadran de la baie vitrée, croise les bras et les jambes. « ça va mieux ? » que je demande un sourire en coin, le sourcil légèrement soulevé. « tu bégaies rarement. » que je lui fais remarquer doucement. je regarde les lumières de la ville qui continuent de scintiller.
avancer ou reculer ? peu importe la cigarette. je me redresse et m'avance vers lui, glisse dans ses bras, posant mes mains sur ses joues, doucereuse. « si y a le moindre problème, tu en parles. même si on doit se disputer. » les assiettes ça se rachète.


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Après avoir galéré à allumer sa cigarette de ses mains tremblantes, il inspira profondément une bouffée de nicotine en regardant la ville. Son front était venu se perler de sueur et ses yeux brillants se perdaient dans l'horizon. Qu’est-ce qui lui arrivait ? Il ne pouvait pas se l’expliquer parce que ce qu'il ressentait était complètement physique, il ne liait rien de tout cela à des émotions. Alors que si il avait fouillé un petit peu, il aurait fait le lien que la dernière fois que les choses étaient si infiniment simples et bienheureuses, c’était avec la mère de sa fille lorsqu’ils n’étaient encore que des adolescents.

Il baissa les yeux pour regarder la rue en contrebas et entendit les pas de la belle s’approcher doucement. C’était normal qu’elle s’inquiète, il l’aurait suivie aussi si les rôles avaient été inversés. Il se tourna vers elle et opina doucement.

- Oui, ça va mieux. J’avais besoin d’air d’un coup… dit-il en ouvrant son bras pour qu’elle vienne se lover contre lui.

Il l’enferma contre elle tendrement et embrassa son front.

- Pour tout te dire, j’ai tapé un peu de C’ hier avec des potes, je crois que c’est juste un après coup… Désolé si je t’ai inquiétée, dit-il avec un sourire penaud. Je suis plus tout jeune, je peux plus faire des bêtises aussi impunément qu'avant, rit-il.

Et il ne mentait pas, il avait en effet touché à la diabolique poudre blanche et reliait sincèrement son état fébrile actuel à un reste de redescente. Mais vu la quantité qu’il avait prise, cela lui semblait néanmoins étonnant qu’il réagisse si fort. Peut-être allié à l’effort qu’ils venaient de fournir, au vin, au ventre encore vide… Aborder la question selon laquelle ce serait Aly qui le mettrait dans un état pareil était trop impressionnant pour lui pour le moment.

Jetant sa cigarette, il serra ses deux bras autour d’elle et posa un peu son front contre le sien en souriant doucement, fermant les yeux. Elle l’apaisait, c’était fou.

- Rentrons… Avant que les pizzas ne soient froides, dit-il avec un petit sourire.
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j'étais inquiète oui, après j'imaginais tous les scénarios possibles. je rêvais qu'il me dise qu'il voyait en moi la femme de sa vie. mais bien entendu, ce scénario était peut être tiré un peu trop par les cheveux. aussi je n'étais pas très étonnée de l'entendre parler de cocaïne et du fait de plus être tout jeune. je refermais mes bras autour de lui en soupirant.
je ne lui en voulais pas de se droguer de temps en temps. après tout c'est comme la cigarette et l'alcool, une bonne dose. même si j'avais tendance à me penser alcoolique sans l'avouer. je pourrai marcher au vin toute la journée... mais comme ce n'est pas un alcool fort, je le place dans la catégorie des inoffensifs.
je souris quand il rit. j'aimais ce son à mes oreilles, je trouvais ça reposant. c'était si mélodieux que je pourrais m'endormir sur ce son grave.

la cigarette rejoignait sa sœur précédemment fumée et son front se posa un instant sur le mien. j'ignore si c'est mon cœur qu'on entend tambouriner ou si c'est le t-rex qui vient chercher son gosse dans la tv. « j'ai raté le début de jurassic park en plus. » que je dis, légèrement bougon. mais rester là, front contre front, ça ne me dérangerait pas non plus. je ne suis même pas sûre de ressentir réellement le froid s'insinuer dans mon gilet ouvert sur une poitrine apparente aux yeux des curieux.
je me détache doucement de lui, pour lancer un dernier regarder à la ville, je me mords la lèvre et lui attrape doucement le poignet du bout des doigts. « j'en ai. » que je dis un peu bêtement. « sous mon matelas, j'en ai acheté à une dealeuse. » que je dis en déviant le regard. « j'ai testé une fois avec elle et puis... » je me triture la lèvre inférieur avec mes dents. « j'ai jamais osé y toucher toute seule. » que je dis en haussant les épaules. « si tu veux mettre ta jeunesse à rude épreuve. » je lui souris, les yeux légèrement brillants.
je trouvais la sensation agréable, cette sensation de retrouver une nouvelle énergie, d'être en forme et de repartir comme en l'an 40 me rendait folle. j'avais adoré ma première fois même si j'ai eu un lendemain assez compliqué. « c'est sans doute une mauvaise idée. oublie. » que je dis en le poussant à l'intérieur, refermant la baie et les rideaux derrière moi.

comme si nous allions en plus nous droguer.
je ne voulais pas vraiment révéler cette nouvelle tare à qui que ce soit, parce que se droguer seule c'était peut-être pas le bon filon, ni une bonne image. aussi j'avouais ne pas y toucher seule... et en réalité, je ne l'avais essayé qu'avec la dealeuse qui se trouvait adorable qui plus est. Izzy.
mais je me trouvais drôlement ridicule tout à coup. je regarde l'écran et la caravane se penche dangereusement dans le vide.
comme mon cœur, tiens.


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Aly était réellement le parfait mélange entre l’ange et le diable. Elle avait tous les gestes rassurants pour l’apaiser, ses mains douces sur ses joues, ses bras le tenant et le soutenant. Et l’instant suivant, elle lui proposait de prendre de la drogue ensemble… et le regrettait l’instant suivant. Il la suivit en souriant, la laissant le ramener jusqu’au canapé ou il s’installa près d’elle. Il l’enferma dans ses bras tendrement et reprit une part de pizza en guettant le film d’un œil ; l'autre oeil surveillant la jeune femme qui semblait regretter sa proposition. Il n’avait pas trop répondu à sa proposition histoire, justement, de la laisser patauger un peu dans sa semoule.

- Je suis mitigé en vrai, dit-il finalement en prenant la parole. Parce que j’ai envie de te faire l’amour toute la nuit et que la C’ pourrait m’aider à rester éveillé… même si je crois que j’en ai pas vraiment besoin parce que ce corps… incroyable… suffit largement !

Il avait pris bien le temps de dire « incroyable » en la regardant, toujours impressionné par sa beauté ahurissante, glissant sa main sous son gilet pour caresser sa taille avec son pouce. Il avait à nouveau les mains libres maintenant que sa part de pizza était gobée.

- Et d’un autre côté j’ai peur de trop parler, j’ai tellement de trucs à dire quand j’en prends. Je te jure... J’ai un pote, il m’a littéralement bâillonné pour me faire fermer ma gueule, ajouta-t-il en riant.

Il n'avait pas tellement peur de ce qu'il pourrait dire, du contenu, car il n'avait vraiment pas grand chose à cacher à la jeune femme. Mais plutôt de parler trop, de faire des discours interminables ou des corrélations pourries entre différents sujets de conversations.

Glissant ses lèvres dans son cou, il y déposa un petit baiser, gardant son visage près du sien. Il avait quelque chose d’un grand félin parfois, à vouloir être au plus près de son amante.

- Mais… si t’as envie… et que t’as pas envie de prendre seule… Déjà je suis incapable de dire « non » à de la C’ de base mais alors te dire « non » à toi ? On en demande trop à ma pauvre âme d’homme… sourit-il en glissant son visage contre sa joue. Ta décision ma beauté…

Il se remettait volontiers tout entier entre ses mains.
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il me laisse dans le flou, refuse de répondre. ou alors il obéit simplement à ma supplique, celle qui lui demande d'oublier ma demande.
je ne voulais pas être celle qui pousse son homme à se droguer même sous mon toit. je n'étais pas coutumière du fait, qui est. et si je me rendais ridicule ?
non, je l'ai déjà fait, je sais ce que ça fait. et même si je n'ai l'ai fait qu'une seule fois, je savais que je pourrais très bien recommencer sans mal.
on se rassoit et je regarde le pauvre eddie se faire manger par les parents t-rex. c'est la seule mort dans ce film que je trouve regrettable. aucun des autres ne m'a touché autant que ce pauvre eddie qui ne demandait rien de plus que d'aider son prochain, croyant avec ferveur en l'homme et la liberté de chacun.
et au lieu de quoi, il est le premier à mourir... sombrer dans un acte héroïque, sauvant trois personnes... pour finir par laisser vivre le connard jusqu'à la fin.
je n'aimais pas ce genre de moral.
je râle en détournant les yeux, soupirant nerveusement alors que je le vois reprendre une part de pizza. je n'ai plus très faim tout à coup.
mais je sens les frissons me parcourir l'échine quand il me dit vouloir me faire l'amour toute la nuit et je souris malgré moi.
j'étais k.o., mais j'étais inépuisable. insatiable. je pourrais littéralement mourir pour qu'il continue de me faire sienne.
les compliments fusent à nouveau et je ne peux m'empêcher d'arborer un sourire fier. « tu sais parler aux femmes. » que je dis doucement.
sa main m'arrache un soupire discret quand il la pose sur ma taille et je continue de fixer un point face à moi, écoutant ce qu'il dit, mieux m'approprier ses mots. sa vérité.
je lève un sourcil. parler. est-ce que je parlerai trop moi aussi ? est-ce que j'avouerai quelque chose que je refuse même de croire moi-même ? est-ce que je finirai pas dire que je l'aime mais comme on sera un peu stone, on sera capable d'oublier ?
outre cette petite inquiétude, je ne voyais pas de reproche à faire à quelqu'un de bavard, quand bien même la cohérence n'était pas respectée.
qu'est-ce que je me fichais de la cohérence ? « t'entendre parler à le don de me bercer, donc... »
je me love contre lui, le laissant s'approprier un peu plus mon corps alors que je réfléchis encore à la proposition que je venais de lui faire plus tôt.
bonne ou mauvaise idée... depuis quand on réfléchissait, nous ? depuis quand le bien avait le dessus sur nous ?
je me tourne doucement vers lui, grimpant à califourchon pour l'embrasser tendrement de ce goût légèrement acide de la tomate. langoureusement, amoureusement, oui, on peut le dire. avant de me lever et d'aller jusque dans ma chambre.

revenant avec le petit sachet et une carte de l'hôtel auquel je travaille, plus un cône de papier. « amusons-nous, cette nuit est à nous et rien qu'à nous. » que je dis en donnant le tout à mark, bougeant les cartons de pizza pour laisser de la place. « soyons fous ensemble. » que je dis en souriant en coin, le regard rempli de malice et de désir.



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L’observant avec un regard tendre, il sentait son investissement dans le film malgré le débat qu’ils étaient en train d’avoir sur le fait de se droguer ou non. Il laissa regarder le film un moment, un sourire aux lèvres jusqu’à ce qu’elle revienne vers lui. Il haussa légèrement ses grandes épaules avec un sourire.

- Vraiment, c’est comme tu préfères, dit-il avec un sourire.

Il ne forcerait ni même n’inciterait jamais quelqu’un à prendre ce genre de drogues totalement diaboliques. Il en avait essayé pas mal et même dealé quelques-unes mais celles était la plus traître de toutes car elle ne demandait pas une occasion particulière pour la prendre.

Alors que le joint avec quelque chose de convivial, la mdma et l’extacy quelque chose de festival et de sensuel, la C’ avait cet effet étrange qu’elle était parfaite à prendre pour travailler, pour faire la fête, pour n’importe quelle tâche qui aurait été longue et ennuyeuse, pour délier les langues lors d’une conversation, pour donner de la confiance lorsqu’on est stressé, etc. Les applications étaient infinies et la C’ semblait être une solution à tout. C’est pour ça qu’elle était complètement le diable et qu’il devait faire très attention à ne pas plonger trop profondément dans le terrier du lapin blanc.

Relevant les yeux vers elle, alors qu’elle grimpait sur lui, il répondit avec fougue à son baiser en caressant sa taille, remontant rapidement ses mains pour venir glisser ses pousses sur sa potrine. Elle lui échappa ensuite à son grand regret et il vit qu’elle se dirigeait vers sa chambre. Elle avait pris sa décision et il devait dire qu’il n’était pas mécontent. Cela lui permettrait de finir de chasser les symptômes de la veille. Il prit dans ses mains ce qu’elle lui tendit et lui vola un baiser avant de se pencher sur la table basse.

- Ne juge pas l’expertise de mes gestes, sourit-il.

Il savait qu’en faisant ces gestes, il avait l’air d’un parfait expert en la matière et si il n’était pas gêné par le fait de faire usage de substances illicites, il n’avait pas envie que la jeune femme le voit comme le dernier toxico. Il ouvrit le sachait, tapota en le penchant pour faire tomber un peu de poudre, claqua par petits accoups rapides le tranchant de la carte sur le tas de poudre pour casser les grumeaux et prépara ensuite quatre traces, fines et sans grumeaux.

- Je sais pas comment faisait ta dealeuse mais j’aime bien prendre des petites traces régulièrement que de prendre des grosses traces énervées, mais si tu trouves ça trop fin, prends en juste deux d’un coup, sourit-il avant de resserrer légèrement la paille de papier et prendre sa trace.

Il glissa ensuite son doigts sur le dépôt banc qui restait à l’endroit de sa trace et se le mit sur la langue.

- Dans les films, ils mettent souvent le dépôt dans les gencives mais ça nique les dents, vaut mieux le mettre sur la langue, dit-il avec un petit clin d’œil avant de lui tendre la paille.  
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