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la douceur de cette rencontre était surement ce qui me perturbait le plus. je pensais apprécier les choses dures, violentes... garder le parfait contrôle d'une situation. soupirer, gémir quand je le décidais et non quand le corps le réclamait.
avec mark, c'était différent, je pouvais libérer mon esprit et mon corps, m'octroyer le droit de ne plus rien contrôler.
mark c'était ma force tranquille, et ma drogue de surcroit. il épousait les valeurs que j'appréciais : liberté, sans attache, aucune question, aucune obligation... zéro jalousie. mais il était aussi cette personne qui rendait folles mes hormones... et apparemment, mon cœur avec.
je préfère oublier tout ça, le mettre dans un coin de ma tête. et la réalité vient doucement frapper à la porte, me raccompagnant dans une vie bien plus grise et sombre. malgré sa proximité, ses rires et son parfum, j'avais l'impression que j'avais fait n'importe quoi.
je me souviens bien des mots qui ont franchi mes lèvres. et je suis déçue de moi-même. déçue par cette envie irrépressible de le lui jeter à la figure... et cette réponse en retour qui m'avait remué le cœur.
le pense-t-il vraiment ?

sa main glisse doucement sur ma joue, le pouce sur la pommette me force à le regarder dans les yeux et je hausse un sourcil. « tu plaisantes, n'est-ce pas ? » que je demande en dessinant un sourire à la commissure de mes lèvres.
je me redresse doucement, roulant sur le côté pour me laisser tomber sur le dos en regardant un bref instant mon plafond, la respiration toujours courte. « je ne fume pas. » j'ai toujours détesté l'exercice et encore plus l'odeur qui avait avec elle un souvenir indélébile.
je m'assoie et finis par me lever pour récupérer des vêtements dans mon armoire, j'enfile un pull trop grand qui me tombe à mi cuisses, et c'est tout. « donc je t'invite prestement à rejoindre la terrasse. » que je dis en ne pouvant m'empêcher de détailler son corps. il était très beau, magnifique homme. de son âge, j'étais sûre de tous les détester. il est vraiment spécial.
mais dire pourquoi... aucune idée. « tu m'as répondu que tu m'aimais aussi... on est d'accord que c'était simplement pour le jeu ? » que je demande en ouvrant la porte de ma chambre, les jambes légèrement tremblantes. à cause de l'ébat ou de ma question qui me donne envie de vomir.
assurer que rien ne dépasse... et que l'amour ne franchisse pas les mauvaises barrières. c'était important.
aimer, c'était détruire le seul moment de bonheur que j'avais de le retrouver autant que je le voulais. l'avouer, c'était le perdre... malgré cette drôle de réciprocité durant le sexe.
je suis persuadée qu'il ne m'aime pas comme je l'aime. et vaut mieux que je garde ça pour moi.


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Oui, c’est vrai qu’elle ne fumait pas. Il avait oublié ce détail et espérait qu’il ne lui tienne pas rigueur de l’avoir oublié. Sans réellement savoir pourquoi, après l’amour il avait toujours cette envie de partager ce moment, destructeur certes mais qui pouvait être tellement bon en même temps. Il se redressa, le corps mine de rien fatigué, et enfila son jeans sans ses sous-vêtements avant de sortir sur la terrasse et de s’allumer une cigarette. Il la regarda avec un petit sourire. Ce gros pull lui donnait un air plus jeune et la rendait craquante, beaucoup plus innocente qu’elle ne l’était vraiment.

Il sourit en soufflant la fumée et eut un regard pour la ville avant de froncer un peu les sourcils à sa dernière question. Il laissa un moment de silence… C’était une question complexe et il avait besoin de réfléchir à comment exactement il voulait répondre.

- C’est plus compliqué, finit par dire. C’est pas que du jeu. C’est que… ce que je vis physiquement avec toi, ça transcende juste une bonne baise. Et y a pas vraiment de mots pour décrire ça. J’ai pas juste envie de dire « t’es bonne » dans ce genre de moment.

Il prit une nouvelle taffe sur sa cigarette et croisa un peu les bras, en continuant à mettre des mots sur sa pensée :

- C’est pas un « je t’aime » qui veut amorcer une relation classique pour aller vers le train-train mariage-gamins tout ça mais c’est… comment dire… Une expression naturelle de ce que je ressens parce que je suis tellement bien… J’aurais pu dire « j’aime l’alchimie qu’on a quand je suis à l’intérieur de toi » mais ça aurait été un peu long et un peu chelou à balancer comme ça en plein milieu de l’acte,
finit-il par ajouter avec un petit rire. Tu vois ce que je veux dire ?

Sa tentative de formulation n’était pas forcément très convaincante mais c’était la vérité. Il était infiniment bien quand ils étaient ensemble, quand ils étaient unis et c’était quelque chose d’assez unique dans sa vie pour qu’il utilise ces mots-là avec elle, rien qu’avec elle. Même si la question avait été un abrupte et qu’il ne s’y était pas préparé, ce n’était sans doute pas une mauvaise idée de mettre ça sur le tapis immédiatement.

- Toi, c’était juste pour le jeu alors ?
finit-il par demander en continuant à fumer.
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l'arrêt que je fais entre lui et la terrasse témoigne de ma grande surprise. surtout cette façon qu'il a de décrire notre relation unique... et d'envoyer balader cette zone de confort d'un quotidien bien trop pénible. alors pourquoi ça me blesse de voir qu'il n'aimerait pas faire de moi une femme accomplie et de bonne famille ? capable d'avoir des gosses et d'être heureuse avec.
parce que je suis bien trop cassée pour réussir à aimer un enfant. trop cassée pour accorder du temps au bien-être d'un autre que moi.
alors pourquoi je m'imagine parfaitement cette vie à ses côtés ? pourquoi est-ce que je pourrai éventuellement revoir ma façon de vivre, juste pour lui ?
c'est déroutant. mais quand il reprend, je fronce les sourcils. « je vois oui. » que je dis en levant les yeux au ciel.

de toute façon, je ne pouvais pas non plus m'attendre à de grande déclaration d'amour. je n'avais rien fait pour qu'il le fasse. j'étais simplement bonne au lit... et mon expérience est ce qui parle le mieux pour moi, surement. je me sentais différente avec lui, de toutes mes expériences c'était la plus douce... la plus stimulante.
la cigarette rentrait dans la maison, et même si je la détestais, je l'associais désormais à lui.
je reprends mon verre de vin et ouvre le frigo pour en sortir une bouteille de rosé que je débouche avant de verser le contenu dans les deux verres.
je le rejoins sur la terrasse en lui tendant son verre et regarde la ville s'illuminer de toute part. la nuit ne fait que commencer après tout.

et je prends bien le temps de ne pas répondre tout de suite à sa question logiquement retournée contre moi. d'un côté j'aimerais lui dire que je le pensais sincèrement, que je suis folle de lui. tout comme je suis folle de jalousie et d'une possessivité rare. néanmoins, je sais qu'il partirait en courant... ou qu'il me rassurerait avec de belles paroles avant de prendre la fuite. quoi qu'en était le résultat, c'était la fuite et l'abandon.
et je le comprendrai. je serais la première à me carapater si on me venait m'offrir ce ramassis d'amour qui n'a de sens que dans le commun des mortels. « c'était le jeu. » que je finis par dire froidement, buvant une gorgée ne quittant pas la fenêtre de la voisine en face qui se déplace de pièce en pièce. « voir ce que ça donne de n'appartenir qu'à un seul homme. » et c'était déroutant... « mais c'était que le jeu. » que je répète pour y donner plus de sens.
un simple et sombre jeu. « tu as faim ? » que je demande en prenant mon téléphone sur le comptoir avant de revenir sur la terrasse.
je lève mon doigt, compose un numéro. « c'est alyson. ça va. dis moi tu peux me remplacer ce soir ? oui. demande à fallyn. j'en ai que deux ce soir. c'est ça. si y a un problème demande à gros diego d'appeler. merci. bonne soirée à toi. » un mouvement de cheveux et je jette mon téléphone sur le canapé, lui offrant un sourire enjôleur. « je suis toute à toi pour toute la nuit. » que je dis en me collant à lui, glissant ma langue de long de son cou avant de venir lui voler un baiser langoureux entre ses deux taffes, sentant encore le goût et l'odeur de la cigarette, jusqu'à quelques dernières fumées qui s'échappent de ses lèvres.



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Il sentait que quelque chose la tracassait malgré tout, comme si derrière ses yeux bleus perçants mille choses se disaient alors que les mots qui étaient finalement exprimés étaient limités et formulés de manière presque abrupte. Pourtant, il savait qu’il n’avait rien à se reprocher sur ses dires : il avait été sincère. Non, il ne voulait pas du train-train quotidien, du mariage et de tout ce qui s’en suit… Il avait voulu ça, très jeune. Du haut de ses 19 ans avec sa copine de 16 ans enceinte, il aurait tout donné pour vivre cette histoire-là pleinement. Mais en donnant sa fille à l’adoption - parce qu’en la reconnaissant il aurait été en prison pour détournement de mineurs - il avait trop souffert, s’était trop autodétruit que pour repenser à cette possibilité. Maintenant que, 24 ans plus tard, sa fille était revenue dans sa vie, il était d’autant plus chamboulé sur ses désirs car les souvenirs de ces envies-là refaisaient surface.

Il avait de toute façon déjà assez à faire avec le retour de sa fille que pour penser aux relations amoureuses. Et en plus de tout ça, il avait lu cette phrase qui l’avait particulièrement fait réfléchir : « Les histoires d’amours, par essence, finissent toujours en tragédie. » Ce qui était vrai. Qu’elles se finissent par une rupture ou par la mort de l’un des deux, c’était une tragédie.

Il dut sortir de ses pensées lorsqu’elle reprit la parole. Le jeu. Ce n’était que le jeu. Il était presque déçu que pour elle ce ne soit que ça. Il vivait quelque chose qui transcendait le concept de jeu avec elle, qui était intense et vrai et le fait que pour elle ne se soit « que ça » était presque blessant. Il opina doucement en acceptation de cette information.

- D’accord, dit-il avant de reprendre une bouffée de sa cigarette.

Il ne voulait pas avoir l’air déçu mais avait l’impression que malgré tout ça se lisait sur son visage. Il releva la tête lorsqu’elle parla de nourriture.

- T’as vu ma carrure ? J’ai toujours faim moi
, sourit-il, soulagé qu’elle ait changé de sujet.

La laissant ensuite passer son coup de fil, il sirota le rosé tranquillement. Il n’était vraiment pas fan d’habitude mais celui-ci était presque gris et vraiment pas mauvais. Il lui faisait confiance sur l’alcool et sur la nourriture de toute façon.

- T’as des trucs au frigo ? Tu veux que je cuisine ? Ou on commande ? demanda-t-il lorsqu’elle eut fini son coup de fil.

Il passa un bras autour de sa taille lorsqu’elle vint se coller à lui et sourit doucement.

- Attrape pas froid pour mes mauvaises habitudes hein,
dit-il doucement en jetant sa cigarette et en resserrant son bras sur elle avec force et tendresse à la fois.

Fermant les yeux sous sa langue, il répondit avec passion à son baiser avant de glisser une main sous son pull pour caresser le bas de son dos et se diriger avec elle à l’intérieur. Il ne faisait pas chaud après tout et si ce n’était pas pour fumer, autant ne pas traîner trop longtemps sur la terrasse.
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je m'en voulais de ressentir des sentiments disparates qui me propulsait dans un autre mood que celui de l'amusement et de la liberté.
quel intérêt de nous enchaîner ? parce qu'au fond, malgré ce passé difficile à porter... j'ai toujours voulu fonder une famille. me sentir en sécurité, aimer... de pouvoir me reposer sur quelqu'un.
j'avais détruit ma fratrie avec mes bêtises, mais je ne pouvais pas faire autrement. j'étais quelqu'un de destructeur, je n'arrivais pas à faire autrement. j'avais ce besoin de voir le monde malheureux... après tout, j'étais très esseulée malgré les apparences.
mais aimer mark en silence suffisait largement comme changement dans mon quotidien. m'enquérir de ce qu'il faisait, avec qui il était... j'espérais ne pas virer folle.
j'étais capable de toutes les pires actions. n'importe quoi pour qu'il me reste unique.
mais chut, c'est dans l'ombre qu'on exerce. dans le mensonge qu'on se faufile.

j'avais la chance de me faire remplacer ce soir, parce que je n'avais pas l'habitude de me défiler. mon rôle dans le réseau était très important et si le gros diego appelait en personne, j'étais dans l'obligation de partir. et je ne réfléchirais pas. j'étais une femme forte, mais certainement pas inconsciente.
le doigt sur la lèvre, toc de réflexion, je jette un œil à l'intérieur de mon appartement comme si je pouvais scanner mon frigo d'où j'étais. est-ce que j'avais seulement envie de cuisiner pour commencer ? « on commande. » que je finis par trancher. je n'avais pas la force de cuisiner, même si je cuisinais très bien.
c'est la vaisselle qui s'en suivait qui ne me tentait pas.
puis la chaleur de son corps, les frissons qui parcouraient mon échine chaque fois qu'il dessinait mes formes... ça n'avait pas de prix, et il était hors de question que je perde un temps précieux derrière les fourneaux.
et sa main qui se balade, soulève mon pull offrant le spectacle aux voisins curieux. peu importe, qu'ils nous jalousent, qu'ils nous envient... qu'ils se fassent plaisir de voir nos corps s'imbriquer avec perfection.
mais on glisse vers l'intérieur de la maison et je relâche doucement ses lèvre, fermant la baie vitrée derrière lui et tirant les rideaux pour revenir à notre intimité.

je prends mon téléphone que j'avais jeté sur le canapé un peu plus tôt et m'assoie, croisant la jambe. « alors. » que je dis attrapant la main de mark pour qu'il vienne s'assoir près de moi.
une fois fait, je monte sur lui à califourchon, laissant mon pull remonter le long de mes hanches, laissant découvrir quelques parties nues qui feraient mieux de rester encore cachées, mais il me connaissait par cœur, il pourrait me voir évoluer nue toute une journée. « qu'est-ce que tu veux manger ? » que je demande en tournant l'écran de mon téléphone vers lui. il y avait toutes les livraisons possibles, et tout plein de restos disponibles. « j'ai une préférence pour l'italien, mais je t'avoue que je mangerai n'importe quoi. » et mon ventre se mit à gargouiller, une main se plaqua immédiatement dessus et mes yeux s'ouvrent en grand. « ah bah ça... c'est la première fois qu'il réagit à mes pensées. » que je dis sans une once de sourire. gardant un calme olympien qui ne dure que quelques secondes avant que je me mette à rire.
c'est rare que je l'offre au monde. qu'on en profite.


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Mark se laissa embarquer vers le canapé en souriant. Il posa son verre de rosé sur la petite table à côté du canapé et laissa Alyson grimper à califourchon sur lui avec plaisir, glissant ses mains sur ses fesses instinctivement. Il la regardait, oubliant rapidement la petite vexation qu’il avait ressentie à la remarque que tout cela n’était qu’un jeu. Il avait d’ailleurs été étonné qu’elle ne lise ce léger reproche sur son visage, elle qui était toujours si perspicace. Mais sans doute qu’elle avait assez en tête pour ne pas remarquer ce genre de micro-expressions.

Il se retrouva bientôt avec le téléphone devant son nez, le sortant immédiatement et irrémédiablement de ses pensées pour décider de la commande. Il haussa ses grandes épaules et sourit.

- Si tu connais un bon italien, c’est parfait, acquiesça-t-il.  Je suis chaud pour une pizza géante ! Rien que d’y penser, je salive, ajouta-t-il avec un sourire.

La laissant commander, il eut un petit rire lorsque son ventre gargouilla. Il caressa sa taille de ces grandes mains, sous le pull qui tenait sa peau au chaud. Il adorait cette peau. Le grain en était extrêmement fin et il en était d’autant plus conscient que ses mains était durcie par le travail : le contraste était fou. Lorsqu’elle se mit à rire, il ne put s’empêcher de la regarder avec admiration. Autre que lorsqu’elle jouissait, les rires étaient les moments les plus vrais qu’il pouvait voir chez elle. Il aimait donc en profiter et les vivre pleinement.

- T’es belle, dit-il doucement en caressa sa joue et sa nuque avant d’attirer son visage vers lui pour l’embrasser lentement… tendrement…

Presque comme un animal, il glissa un peu son front contre le sien comme on pouvait parfois voir faire les chats ou les lions. En ces temps troublés pour lui, Mark avait peut-être besoin de plus de tendresse que ce qu’il n’osait vraiment demander. Il n’avait jamais demandé de toute façon, jamais supplié,… Il s’est occupé de lui-même aussi longtemps qu’il puisse se souvenir et s’était formé cette carapace solide dans laquelle sa part fragile pouvait se réfugier en sécurité.
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sentir ses doigts sur ma peau était la meilleure caresse que l'on puisse m'offrir. je n'arrivais plus à me concentrer sur autre chose, cette douce impression de redevenir enfant et de profiter d'une jeunesse voler. moi qui pensais que ça n'existait que dans les bras des jeunes gens... qui eut cru que ça se ferait également dans les bras de mark ?
je le laisse dessiner mes formes alors que mon ventre gâche le moment pour finalement me laisser pantoise et rire d'un rire cristallin qui résonne dans la pièce, peu habituée à l'entendre et ça ricoche de bonheur sur les murs et l'atmosphère devient plus légère.
les interrogations disparaissent. après tout, il était tout à moi là. il m'appartenait un peu, en soi. il était sous mon toit, nous convenions d'un diner, j'annulais mes plans pour lui, il s'était libéré pour moi... nous venions de faire l'amour et il n'était pas parti comme un voleur. alors en soi, j'avais un peu de ce que je cherchais. de cette relation unique et stable que nous sommes censé haïr plus qu'autre chose.

et ce compliment qui tombe alors qu'il caresse doucement ma joue me tire un sourire tendre. j'aimais me sentir belle à ses yeux, j'aimais lire ce brin de tendresse dans son regard que je pouvais parfois apparenter, par erreur, à de l'amour. j'aimais me sentir unique à ses yeux... la plus merveilleuse. et pas cette bombe à retardement que chacun attendait de voir un jour exploser.
j'étais en sécurité dans ses bras, et je me sentais autrement plus vivante que ce que le monde souhaitait m'offrir. je n'avais pas envie de me droguer, je n'avais envie de personne d'autre que lui... et bien, oui. j'étais amoureuse. il fallait bien y mettre les mots.
l'avouer c'était une autre étape à franchir, et je n'étais pas sûre d'un jour le faire. pour quoi faire ? le perdre. hors de question.
je préfère vivre de façon malsaine, que loin de lui.

mes lèvres touchent doucement les siennes, pour un baiser bien plus tendre que ceux déjà échangés. mon cœur manque un battement, et mes mains glissent doucement sur ses épaules alors que je me serre davantage à lui, me lovant dans le creux que forme son bassin, fermant les yeux pour me laisser porter par cet élan d'affection.
quittant ses lèvres pour le laisser s'imprégner de moi comme un animal. « je te ferai l'amour plus souvent si tu es aussi tendre après. » que je dis, un sourire aux lèvres.
je l'embrasse à nouveau, plus rapidement. glissant ma main sur sa joue, soufflant alors que mon regard de glace tombe dans le sien plus sombre. « tu es beau aussi, mark. » j'aimais dire son prénom dans ma tête, à voix haute... il semblait plus réel comme ça. un tu es beau qui s'apparente bien plus à un je t'aime.

je prends mon téléphone pour commander avant d'oublier et le laisse gésir sur le canapé alors que j'entoure la nuque de mon homme de mes mains. « j'ai menti. » que je souffle finalement. rougissant légèrement comme une ado. « c'était pas qu'un jeu, c'est juste... que je l'explique pas. » je fronce les sourcils en gonflant les narines, soufflant ma contrariété. « tu n'es pas un jeu. j'ai été irrespectueuse. excuse moi. » que je dis finalement, regardant vers le bas un bout de tissu du canapé, les mains sur sa nuque triturant la manche de mon pull.
m'excuser était rare... en fait, tout ce que je faisais avec lui... je ne le faisais jamais à personne d'autre que lui.


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Alors qu’elle se love, féline, contre lui, il l’enveloppe de ses grands bras et la garde au creux de son torse. Il aimait pouvoir la prendre ainsi dans ses bras, comme si il était soudainement capable de la protéger de tout et de tout le monde. Il sourit en baissant les yeux vers elle, le regard pétillant de bonheur de ce moment privilégié.

- Je suis un gros ours en vrai… sourit-il en embrassant le bout du nez de la jeune femme.

Il ferma un peu les yeux sous sa main, penchant un peu la tête pour y glisser son visage. Rouvrant les yeux ensuite pour les plonger dans ceux d’Aly, il sentit son compliment se poser délicatement sur lui, lui causant une émotion qu’il n’attendait pas. Il savait qu’il plaisait, que son look et son physique "fonctionnaient" chez les filles mais… Il ne savait pas pourquoi mais l’entendre dire ces mots le touchait.

- Merci, murmura-t-il avant de la laisser commander, glissant encore ses mains sur ses cuisses et dans son dos.

Déposant un baiser dans sa nuque, il releva un peu la tête lorsqu’elle lui dit qu’il avait menti. Il fronça un peu les sourcils ; de quoi parlait-elle ? Il voit ses joues rougir alors qu’il essaie de se remémorer sur quoi elle aurait pu mentir, puis écoute patiemment ses explications. Il eut un petit sourire en la voyant prise au dépourvu comme un adolescent qui a fait une bêtise. Il vint doucement embrasser sa joue et resserra ses bras autour d’elle pour être le plus rassurant possible.

- Je suis heureux de te l’entendre dire… dit-il doucement avec un sourire. T’es vraiment unique Aly et je me sens avec toi comme je me suis jamais sentie avec quiconque… Et j’aime bien… J’aime ce que je ressens, j’aime qui je suis avec toi, j’aime comment je me vois dans tes yeux…

Au fil de ses paroles, Mark se sentait envahi d’une immense émotion pour elle. Il inspira profondément et souffla lentement comme pour essayer de la réguler, puis eut un petit rire nerveux. Il avait rougi, comme si il avait eu un énorme de coup de chaud en disant ces choses – comme si il avait eu peur, ou que ça l’avait excité, ou même donné envie de pleurer – il ne savait pas exactement.

- Ouf, pardon. J’ai un coup de chaud, dit-il avec un petit rire.  
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