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A nous le ski et bien plus encore ..
Elle s’approchait de moi et sans crier garde, elle m’embrassait sur les lèvres. Je n’avais jamais imaginé qu’on allait s’embrasser, mais à ce moment là ce n’était plus le Calvin raisonnable qui parlait à ma place. C’était quelque chose de plus viril, plus primaire. C’était la faiblesse de tous les hommes. Il y a bien longtemps que j’avais compris qu’elle aimait les défis. Un sourire malicieux se dessinait sur mon visage et d’un mouvement, je passais mon bras autours de sa taille tout en l’attirant à moi. Je lui rendais son baiser, mais ce dernier était beaucoup moins chaste que le sien. Puis j’interrompais notre étreinte, en entendant la voix d’Anya qui, à l’entendre avait amené de quoi passer une bonne soirée. J’avais totalement oublié que l’on n’était pas seul et que quelqu’un aurait put nous voir. Avant de m’éloigner d’elle, je lui chuchotais quelques mots à l’oreille : «Vous embrassez plutôt bien. »Je vidais ma coupe de champagne. «Vous avez prévu une suite au programme ? Je vous ressert du champagne ? »
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Je sortis de la chambre fermant la porte derriere moi. C’est vraiment tres bizarre comme situation, emmener une fille que je connais a peine. Depuis, j’avais pu apprendre qu’elle etait mariee. De mieux en mieux, moi je vis dis. Je ne l’avais invite qu’a cause du pari, mais j’allais tout de meme apprendre a la connaitre. C’etait la moindre des choses tout de meme. Je descendis alors en bas pour demander a un homme de main de monter nos valises a l’etage. Je sortis alors dehors pour regarder le paysage. C’est vrai que les montagnes francaises changeaient beaucoup de celle d’Allemagne et d’Autriche. C’etait different, mais restait sublime tout de meme. Chaque pays avait son charme après tout. Je restais quelques minutes dehors, tirant sur une clope que j’avais allume. Je ne voulais pas trop m’imposer sur Viktoria, ne voulant pas qu’elle pense des choses. Je rentrais a nouveau dans le chalet après avoir ecrase ma clope, et montis a la chambre. Je trouvais la jeune Ukrainienne la, et lui adressai un petit sourire. “Hey, est-ce que cela te dit d’aller visiter les environs?” lui demandai-je. 
Tu ne savais pas trop si tu venais de commettre une erreur ou pas. Oui tu en avais envie, ce n'était pas ça qui te manquait. Mais tu avais toujours en tête que c'était ton professeur et que tu n'aurais jamais dû être aussi proche de lui. Apparemment, tu n'avais pas respecter les limites que tu avais essayé de te fixer. Tu l'embrasser rapidement et te reculait, souhaitant voir sa réaction. Il t'attrapait et te poussait vers lui pour te rendre ton baiser. Cette fois, il dura plus longtemps et était beaucoup moins chaste. Quand il interrompait ce baiser, tu souriais malicieusement, oubliant tout le reste. Il te chuchotait quelques mots à l'oreille, complimentant ta façon d'embrasser. Tu affichais toujours ce même sourire quand il te demandait la suite du programme. « Il faudrait sûrement aller rejoindre Anya et les autres.. Même si j'ai une terrible envie de rester ici. » Sur ce, tu déposais quelques baisers sur son cou. « J'vous laisse le choix de la suite du programme tiens. »
Sans même que je m'y attende, mon frère me lâcha d'un ton sec Pourquoi tu agis à ce point comme une gamine alors que tu t'égosilles à me faire comprendre que tu n'en est plus une ? J'arqua un sourcil, interloquée. Il n'avait pas tout à fait tord, mais rien que pour cette phrase, je lui en voulais. Je crois qu'on était bien partis pour ce petit jeu de celui qui frapperait le plus fort, celui qui ferait le plus mal, bien que ce n'était pas nos intentions premières. ' Selon toi, en vouloir très fort à quelqu'un c'est un truc de gamin ? ' Je me leva de mon lit, puis m'approcha de lui, le toisant ' Si t'es venu ici pour te donner bonne conscience, tu peux repartir à Dathmouth, Junior, ta petite soeur va très bien ! '
Je souris, amusé par les commentaires d'Apple. Qu'il se casse les deux jambes ? Ben c'était du propre tiens de souhaiter que son frère finisse en fauteuil roulant. Elle se défit de mon étreinte et commença à ranger aussi sa valise, me demandant si je connaissais la suite du programme. J'allais répondre que non, quand j'entendis Anya dire qu'elle était de retour avec des provisions.