Deirdre ☆ Emprisonne moi dans tes draps de satin

Elle te fait un truc c'est pas possible, qu'est qu'elle te fait réellement ? T'es pas bien, t'as trop chaud, t'as trop froid aussi, t'es pas bien du tout et tu lâches même des sons bizarres alors que tu déglutis difficilement, tu aurais du te lever direct en fait. Ton corps qui réagit à chacune de ses caresses en fait, à chacun de ses actes. Alors que ses lèvres s'approchent de ton cou, tu le décales légèrement en fermant les yeux mais ses lèvres sont déjà à ton oreille et tu déglutis lentement J'ai chaud pire que la douche en fait, c'est bizarre, c'est insupportable et t'es trop serré dans ton sous vêtement, merci la taille pourrie. Mais en fait pas du tout, tu viens tourner les yeux vers elle puis vers ton entre-jambe alors que tes mains enlèvent lentement sa prise finalement. Sauf que tu ne sais pas pourquoi ça marche pas, peut-être pas que tu n'as pas assez de force ou alors tu ne forces pas du tout, mais c'est agréable, c'est tout ce que tu as retenu. Et encore un autre frotement et un son bizarre pour toi mais de désir pour elle. T'arrives pas à ne pas te contrôler. Et pour rappeler, il est que 10h du matin quoi ..

Tu as bien conscience que toutes ces sensations c'est nouveau pour lui. Forcément, le plaisir ressenti doit être assez fort en en même temps, une certaine peur doit s'emparer de lui. Mais toi,tu laisses tes mains errer sur son corps, plus précisément sur la partie la plus sensible qui soit et tu restes sourde aux assauts de raison qui tentent de te dire que tu ferais mieux d'enlever ta main. Alors tu le suggères qu'il le fasse de lui même et effectivement il pose ses doigts sur les tiens mais n'y parvient pas. Tu souris discrètement tout en posant tes yeux sur lui. Tu apprécies le spectacle qui s'offre à toi et en bonne égoïste, t'espère rester jusqu'à la fin. « Tu peux me toucher si tu veux. » que tu dis provocante en accentuant tes gestes à toi. Peut-être qu'il se saisira de l'occasion ou non. En tout cas, tu ne veux pas qu'il s'en empêche mais si tout ça doit suffisamment le bousculer.

T'es pas bien, vraiment pas bien du tout, elle te touche, elle te caresse d'une façon si provocante que ça t'arrache des dizaines de frissons et de sensations nouvelles. On peut arrêter s'il te plait .. Mais t'as trop chaud, t'as tellement chaud, ta tension au maximum et surtout que là, tu en peux plus. Tu n'aimes pas ça d'habitude les nouvelles expériences, t'es du genre à rester dans les chemins déjà tracés à pas t'aventurer dans ses sentiers impossibles pour toi, et pourtant, tu la suis dans ses endroits si sombres que tu te perds tout seul. Ton corps se tend légèrement, tu as du mal à respirer avec ton souffle court et cela empire quand tu la regardes. Les courbes de son visage, ses lèvres, oui ses lèvres J'ai envie de t'embra.. Mais le geste tu le réalises. D'habitude tu as envie de nourriture, de musique, de faire du sport mais là, tu as envie de l'embrasser. Et tu te perds aussi dans ce baiser, bien plus que quelques choses d'autres. Tu as du laisser ton envie, ton désir ou même cette tension dans ce baiser. Il t'arrache tellement plus, tellement mieux c'est insupportable d'être aussi faible et naif face aux autres mais tu ne peux pas te détacher d'elle parce que c'est elle qui te rend comme ça, si fragile, si interdit et t'en veut plus.

T'es un peu perdue quand il te demande d'arrêter en même temps t'as jamais été aussi décidée. Tu lui dis qu'il peut te toucher en guise de réponse et il avoue avoir envie de t'embrasser et s'exécute aussitôt. Sa réaction te prend de court et tu prends plus vraiment de précaution, tu lui rends son baiser et tu as l'impression de t'enflammer davantage encore, si toutefois c' était possible. Tu prends une de ses mains dans le feu de l'action et vient la poser sous ton tee-shirt, directement sur ta poitrine avant de laisser ses doigts libres d'errer ou non. T'es juste complètement folle, et tu as envie qu'il te touche et ce besoin devient impérieux. Un léger gémissement s'échappe d'ailleurs de tes lèvres et autant dire que t'es sage par rapport à d'habitude mais sans doute bien trop téméraire pour lui.

T'es allongé comme un idiot alors que tu la retiens presque de ne pas faire ce qu'elle a vraiment en tête avec ton erection en fait, c'est bizarre mais t'es vraiment en train de le faire. Tu te retiens ou tu te fais violence de ne pas sortir du lit et partir en courant parce que l'aventure ça te connait pas, mais là c'est trop quand même. Ta main se dépose, grâce à la sienne sur son corps et tu es rétisant en premier, mais tes doigts touchent sa peau, entièrement, sa poitrine et remonte même jusqu'à ses clavicules. Tes lèvres n'ont pas quitté les siennes, tu restes stagner ta main dans le creux de sa poitrine, sans pour autant vouloir bouger de ce que tu fais mais tu ne bouges pas d'ailleurs. Néanmoins quand tu entends son son, tu t'arrêtes d'un coup pour la regarder Je t'ai fait mal c'est ça ? Pardon, je voulais pas, pas du tout et .. Jamais le temps de finir ses phrases ici bordel de merde, mais tu t'en fiches, tes lèvres sont encore accrochées aux siennes pour un énième baiser. Et c'est maladroit à chaque fois, tu descends ta main, plus bas que sa poitrine, encore plus bas que son ventre, encore plus bas que son nombril. Oui vraiment bas mais tu t'arrêtes pas parce que t'as peur. Elle te fait faire des trucs de dingue Deirdre, c'est pas possible, t'es en train de faire ensorceller mais tu retires ta façon et même celle de ton entre-jambe d'un coup. Ouais, tu laisses tout tomber d'un coup comme ça pour la regarder dans les yeux Tu m'as fait quoi être comme ça ? tu veux des réponses, même si tu es assis sur son lit, face à elle, tu sens toute cette tension, tu sens même ton souffle te quitté toutes les trois secondes et ton envie de continuer parce qu'il te manque quelque chose .. Elle a brisé ta bulle elle ..

Tu contrôles plus vraiment ce qu'il se passe, tu laisses parler la noirceur dans tes gestes et tes attentions. Tu le prends en otage de la plus douce des façons mais en otage tout de même. Tu es trop égoïste Deirdre. Alors tu attrapes ses phalanges pour les déposer sur le laiteux de ta peau, là à l'abri du tissu. Tu ne t'exposes mais tu imposes son contact sur ton corps. Forcément, un murmure t'échappe parce que le feu attise un peu trop et que tu retiens toutes tes pulsions pour ne pas le brusquer. Tu es bien consciente que tu ne le ménages pas pour autant mais il semble y prendre un certain plaisir également même si il ne comprend pas ce qu'il se passe. Tu sens ses doigts remonter puis descendre, tu sens ton désir pour lui monter un peu plus et il lâche prise. D'un coup, prise sur ton corps, et ta prise sur le sien cesse. Il s'assied haletant et tu n'es pas mieux pour être honnête. Toi tu te redresses, tu bondis debout, parce que tu ne sais pas quoi faire. Parce que ce rejet est trop violent. Parce que quelque part il t'abandonne, mais il ne se doute pas de ça. Tes billes absinthes s'abaissent à lui, tu l'observes en silence un certain temps. « Je t'ai fait ce que font un homme et une femme quand ils éprouvent du désir l'un pour l'autre. » Comment expliquer ça. Tu as perdu les pédales, mais c'est lui aussi qui t'a fait quelque chose. Tu contournes le lit pour t'approcher de lui. Tu te baisses légèrement sans trop l'approcher. « Tu éprouves du désir pour moi non? » Tu sais ce truc qui nous relie depuis le départ. Ce truc qui fait que je range mes griffes et que tu brises ta bulle.

Tu t'es redressé d'un coup sans réellement savoir ce qu'il se passait parce que tu flippes en fait, tu ne sais pas réellement ce qu'il se passe, tu ne comprends rien du tout et tu te retiens même d'être aussi bizarre finalement. Ton corps te dicte d'aller vers elle et de continuer ce que vous étiez en train de faire mais ton cerveau est plus fort que toi. Vous êtes dans cette mauvaise situation, cella où tout explose et que tu te contrôles entièrement Ca ? Avoir chaud ? J'arrive plus à respirer en plus t'es vraiment pas bien en fait, c'est trop bizarre mais elle fait le tour du lit et tu ne bouges pas finalement, parce que tu n'as pas peur d'elle, même si elle se penche vers toi. Je sais pas ce que c'est Honnêtement ? Toujours. Tu te laisses même regarder ton erection qui est bien plus importante que tout à l'heure et tu lèves les yeux en rougissant en fait, espèce d'idiot quoi, tu viens de comprendre en deux petites secondes Oui je crois Mais y'a rien chez elle qui te montre la même chose, peut-être qu'elle ne ressent rien et tu finis par te mettre sur tes genoux pour l'observer, dans les yeux, t'es proche d'elle, trop proche d'elle peut-être Et toi ? Autant dire que tu restes coincer si c'est pas le cas et tu te barres même, c'est décidé, si la réponse est négative, tu te casses .. Bon si elle est positive, tu sais pas ce que tu fais mais bon oups

Tu t'es d'abord éloignée mais tu n'as pas pu t'empêcher de contourner le lit pour te rapprocher à nouveau de lui. Tu es faible Deirdre. Tu te baisses même vers lui alors qu'il te dit ne pas comprendre. Naturellement ton regard s'abaisse là entre ses jambes. Alors lui également. Et il semble tout à coup comprendre la mécanique des choses. Tu l'observes alors qu'il se met à genoux pour se rapprocher de toi. Tu sens ton souffle rester en suspens l'espace de quelques secondes. Tu dois à nouveau maîtriser ce penchant qui te conduit inévitablement vers lui. Alors tu te concentres, tu te canalises comme tu peux. « Oui. » que tu réponds doucement alors que tes prunelles s'abaissent pour se figer sur ses lèvres puis sur son corps. « Beaucoup trop. » Pour quelqu'un d'innocent comme toi Valentin. Ce feu qui m'embrase, il détruit tout sur mon passage et c'est un miracle que je parvienne à le maîtriser. « Tellement que c'est douloureux quand je veux le faire taire. » De ne pas le toucher, de garder tes distances, de rester en suspens là alors que tout avait si bien commencé.

Ton corps entier est en suspens de cette question et finalement, elle répond positivement, elle répond tellement positivement que tu t'approches encore d'elle et elle fait de même. Tu as sans vouloir du l’ensorceler toi aussi, elle l'a bien fait. Et tu ouvres légèrement tes lèvres pour ajouter quelque chose mais tu ne trouves pas malheureusement. C'est trop dur de réfléchir maintenant. Je veux pas que tu es mal ta voix est si faible, si délicate, tu finis refermer tes lèvres mais c'est pas ce que tu fais réellement. Tu lèves tes yeux enfin de ses lèvres pour venir la regarder dans les yeux et ensuite l'embrasser. Et c'est repartit pour un autre baiser aussi violent que le précédent, mais tu la touches pas, juste ses lèvres, tu trouves ça encore bizarre, encore plus que d'habitude, mais tes mains se déposent sur ses hanches comme pour essayer, tester, entreprendre mais c'est trop dur de savoir faire ça à la perfection comme elle le fait si bien. Mais t'es tellement perdu dans ce baiser que tu te loupes presque pour tomber sur le lit, idiot mais tu l'as emporté dans ta chute sans le vouloir. Hors de question de la lâcher comme ça aussi, tu veux la garder aussi, tous les jours, tout le temps que tu puisses être toi. Tu ne sais pas encore combien de temps mais tu veux l'avoir pour toi, seulement pour toi. Et voilà que tu as de nouveau chaud, t'es presque transpirant à l'idée de savoir que tu as mal dans le bas de ton corps et qu'elle a mal que ça en devient douloureux quand elle veut le faire taire.. Mais tu sais pas quoi faire pour la soulager..

Tu es rarement si honnête mais avec lui c'est une constante qui s'impose. Tu dévoiles jamais ce que tu ressens de la sorte. Tu souris presque tristement quand il t'avoue ne pas souhaiter te voir avoir mal. Si il savait, la douleur c'est une chose que tu as l'habitude d'endurer, de porter. « Pourtant, elle inévitable. » Que tu réponds en le regardant. Ta main se tend vers lui mais tu t'arrêtes en chemin. « Mais tu peux m'aider à avoir moins mal oui. » En m'aidant à assouvir ce feu brûlant. Il s'empare à nouveau de tes lèvres comme il vient juste de le faire et  tu sens ses mains se poser sur toi. Tu t'empares du tissu qui recouvre ton corps et t'en débarrasse parce que oui tu t'offres à lui et parce que tu veux sentir ta peau contre la sienne. Il manque de vous faire tomber quand vous vous retrouvez sur le lit et ça t'arrache un petit rire parce que t'aimes qu'il montre un certain empressement à la chose. C'est que quelque part, il y prend goût mais si il a encore des difficultés pour apprivoiser tout ça. Tu prends sa main pour venir la poser sur ton cou. « Quand tu me touches là, ça fait moins mal. » Tu descends sa main à la naissance de ta poitrine. « Là aussi. » Puis vient la laisser caresser l'arrondi de ton sein. « Et là encore moins. » que tu chuchotes avec un petit sourire. Tu fais la fière mais tu l'es pas tant que ça en fait, alors tu laisses ses phalanges glisser sur ton ventre. Tu viens maintenant poser tes doigts là où ils étaient précédemment sur son corps à lui. « Et toi, ça te fait moins mal quand je te touche là ? » Que tu demandes doucement avant de recommencer tes caresses. Il va encore avoir chaud, ça c'est une chose certaine.