Tu fixes la jeune femme, tu la regardes pas de travers mais tu observes directement sur son corps entier finalement. C'est une chance de la voir plus simplement que quand elle porte tous ses vêtements. Tu la laisses fouiller dans son armoire pour pouvoir profiter de la vue qu'elle t'offre et tu récupères le t-shirt et l'enfiler, tu pinces tes lèvres en voyant qu'il est trop petit Je vais pas le mettre, il est trop petit et je veux pas l'abîmer ajoutes-tu avant de l'enlever finalement. Tu le replies correctement quand même, pour le déposer à côté de l'armoire et la laisser le ranger, parce que tu ne fouilles dans les affaires des autres et encore moins celle des filles. Et elle décide d'aller se doucher, tu la regardes dans les yeux, tu la fixes enfin t'essaie, mais t'es trop mal à l'aise pour dire quoi que ce soit, surtout que t'es dans la lune quand tu lâches un Oui sans réellement faire attention à la question. Mais tu fronces les sourcils en la regardant Euh .. J'ai pas entendu la question Parce que tu n'as pas entendu, trop fixer sur son corps finalement, c'est bizarre et très impoli de le faire Tu veux que je vienne ? Ouais autant demander parce que tu ne sais pas trop quoi faire à l'heure actuelle entre lui dire oui et non .. Et puis pour ajouter tout ça, la drogue que tu as dans le corps fait beaucoup plus d'effet qu tu ne l'aurais pensé ..
Tu l'observes alors qu'il enfile le tee-shirt et qu'il décide finalement de ne pas le porter car il se sent trop étriqué dedans. Tu souris. « Je ne vais pas m'en plaindre. » La vue te plaît suffisamment comme ça. Tu connais Valentin, il n'a sans doute aucune conscience de ce que son corps peut provoquer chez la gente féminine. Tu peux difficilement terminer ta journée sans une bonne douche, plus encore lorsqu'il fait froid comme en ce moment. C'est un petit moment de réconfort que tu t'octroies. Il ne semble pas t'écouter cependant et te répond d'abord par l'affirmative avant de te demander si tu veux qu'il vienne avec toi. Tu le regardes en te retenant de ne pas le toucher. Il veut bien t'accompagner mais il faut que tu tiennes un minimum. « Oui, je veux que tu viennes avec moi. » Et sans attendre sa réaction, tu vas vers la salle de bains attenante en entreprenant de te démaquiller rapidement avant la douche. « Viens ! » lance-tu à Valentin alors que celui-ci te rejoint. « Commence à faire couleur l'eau, j'enlève mon maquillage sous peine de ressembler à une chanteuse gothique. » Que tu dis en riant doucement.
Ton regard se pose sur la jeune femme alors que tu l'observes et que tu oublies presque le monde autour de toi, oui ça fait partit des joies de la vie d'être comme ça, surtout pour toi, tu observes et tu oublies. Et surtout quand elle te pose une question si important, tu la fixes un instant pour y répondre n'importe quoi alors qu'elle souhaite vraiment que tu sois là. Elle veut vraiment que tu prennes ta douche avec elle alors tu vas devoir le faire pour lui faire plaisir. Tu hésites une seconde, mais elle est déjà partie dans la salle de bain alors tu réfléchis quand même, un peu pour savoir quoi faire. Tu passes la porte, tu l'observes, tu hésites une nouvelle fois et comme un idiot, tu rentres dans la douche comme ça Toute nue et tout nu ? Quoi ? C'est une question stupide pour elle mais pas pour toi, tu flippes maintenant parce que tu avais pas pensé que la douche serait aussi grande mais d'un côté, ça veut dire que tu vas pas trop la doucher aussi. Tu fixes un instant le robinet et tu hésites de nouveau, tu vas devoir rester tourner pour éviter de la voir toute nuit non ? Et tu fais glisser ton caleçon directement vers le bas pour le mettre de par terre. Tu es dos à elle parce que papa dit qu'il ne faut pas être nu devant les gens et tu hésites quand même un instant à passer la tête derrière ton épaule pour la regarder mais tu te retiens en faisant couler l'eau.
Le coton nettoie ta peau alors que tu entends Valentin entrer dans la salle de bains. Il se rend vers la douche et sa question t'arrache un sourire. Heureusement, il ne le voit pas parce qu'il pourrait mal le prendre mais tu es sincèrement amusée de son innocence. Tu trouves ça touchant. Tu retiens une blague parce que tu sais maintenant qu'il ne capte pas forcément l'humour. « Oui tout nu et toute nue ! » Que tu rétorques vers lui alors que tu continues de nettoyer ton visage. L'eau commence à couler, finalement, il a du réussir à se décider. Voilà que tu as terminé. Tu enlèves ta culotte et ton soutien-gorge et te dirige vers la douche dans laquelle tu peux l'observer de dos. Tu refermes un peu tes poings sur eux-mêmes, ça va vraiment être compliqué de pas poser tes mains partout. Mais tu vas y arriver. Tu le rejoins sous l'eau et remarque qu'il se retient de te regarder. Ça te fait sourire à nouveau. « Tu peux me regarder si tu veux. » Toi tu es parfaitement à l'aise et d'ailleurs tu te prives pas pour le mater. « Les quelques choses d'autres se regardent et se touchent tu sais. » Oui on ne se douche pas nu devant n'importe qui mais dans ce contexte. Tu reprends doucement. « Tu peux déjà commencer par regarder. » Tu sais que le reste sera plus compliqué, alors tu mordilles légèrement ta lèvre parce que tu te demandes comment il va réagir. Peut-être que ton corps ne lui fera rien. Peut-être qu'il n'aimera pas ce genre de chose.
T'es réellement dans une douche avec elle ? Tout nu et toute nue. Elle doit réellement rire de toi c'est pas possible, d'ailleurs, tu vas tout ton possible pour éviter de partir en courant et c'est difficile. Tu fixes la jeune femme de derrière avant qu'elle rentre et maintenant que c'est vrai, tu ne sais plus ou te mettre, tu es mal à l'aise et légèrement enfermé dans toute cette douche. D'habitude seul c'est plus facile, tu te douches rapidement à chaque fois et ça va sans réfléchir. Tu finis par ajouter Non, j'ai pas le droit, faut pas regarder une fille qui est nue, c'est une règle .. Ah oui, les règles de ton père au début de ta vie, c'est compliqué mais t'es obligé de t'y tenir en fait. Et tu vas t'y tenir finalement, enfin essayer surtout. Mais elle te redit la remarque qu'elle t'a déjà fait auparavant, ils se regardent et ils se touchent alors que tu hésites et tu tournes juste la tête Oui je sais mais j'aime pas quand on me touche Parce que tu n'aimes pas ça, c'est plus fort que toi, c'est plus difficile que ça en a l'air. Tu hésites de nouveau, une seconde puis deux avant de tourner de nouveau la tête vers elle Je dois regarder quoi ? lâches-tu en pincer tes lèvres parce que si tu dois regarder c'est qu'est que tu dois regarder surtout ..
Tu l'invites à regarder parce que c'est ce font les gens comme vous entre eux. Tu t'es sentie investie de la mission de l'aider à grandir, à devenir un homme, à être plus libre et détaché des carcans familiaux et de ceux qu'imposent sa condition. Ce n'est pas une tâche facile mais tu es une femme d'ambition. Il n'y a qu'à constater les progrès déjà effectués. « Pas pour les quelques choses d'autre. » Que tu reprends finalement et ça a l'air de la calmer et de le décider en même temps. « C'est pour ça que je te parle que de regarder pour le moment, je sais que tu n'aimes pas ça, j'ai pas oublié. » Que tu répètes pour le rassurer parce que tu te doutes que c'est pas facile pour lui cette situation, surtout qu'en plus l'espace est un peu étriqué même si la douche est grande et tu sais qu'il peut vite paniquer. C'est pas le but. Il te demande où regarder, tu accroches tes yeux aux siens parce que ça le rassure et que toi aussi ça t'apaise. « Tu n'as qu'à observer et suivre mes mains pendant que je me lave. » Voilà, une chose simple et progressive. Tu prends un peu de shampoing que tu viens poser dans tes cheveux que tu masses rapidement avant de le rincer en te tournant. Puis tu prends le savon que tu appliques sur tout ton corps progressivement.
Elle est trop bizarre cette situation, tu n'as aucune envie de dire que c'est vraiment bizarre même si ça l'est totalement, mais tu ne sais pas, c'est pas si comme c'était simple en fin de compte. Tu passes ta main dans tes cheveux en réfléchissant à la meilleure des solutions qu'elle peut proposer et tu finis par te tourner légèrement. Si les quelques choses d'autres le font alors pourquoi tu le ferais pas. Mais tu as l'air ridicule d'être aussi peureux mais tu soupires légèrement D'accord .. Elle se tourne vers toi, elle te regarde dans les yeux et tu la regardes en te pinçant les lèvres, tu ne sais pas quoi faire d'autres en fait. L'eau coule entre vos deux corps comme si il avait compris que vous deviez vous rapprocher plus pour pouvoir profiter de l'eau et tu te tournes quand même à 90°, à la moitié à peine parce que tu n'oses pas plus, elle va trouver ça ridicule et stupide mais tant pis, quoi qu'elle ne juge jamais elle. Elle prend un peu de shampoing puis commence à se laver le corps mais tu es intrigué sur la mousse qui coule de ses cheveux et tu t'avances vers elle pour lui enlever la longue trainée qui allait arriver à ses yeux Désolé .. C'est juste que.. Ca allait te piquer les yeux après Mais en fait, t'es trop proche d'elle, à quelques centimètres, juste à peine, enfin quoi que. Et ton corps doit réagir au sien, surtout si proche. Et tes yeux se ferment légèrement quand tes mains veulent la toucher Tu es fâché ? Savoir si ton action la fâche ou pas, tu ne sais même pas réagir à cette proximité soudaine, c'est agréable, c'est même tellement agréable Je peux t'embrasser ? Et si c'est trop ? Trop pour elle ? Trop de proximité d'un coup ? Non tu paniques pas, tu réfléchis c'est tout, mais heureusement que la drogue est là ..
Tu te glisses sous l'eau et commence à te laver. Tu fermes les yeux naturellement lorsque tu t'occupes de ta chevelure, si bien que tu ne le vois pas arriver et que sa main sur ton front te surprend. Tu sursautes légèrement avant de sourire. Il ne te touche pas facilement d'habitude. Tu ouvres les yeux alors qu'il s'excuse. « C'est gentil. » Tu n'aimes quand ça pique les yeux comme tout le monde. Tu te retrouves très proche de lui et tu sens la proximité de son corps contre le tien, tu as envie de te blottir contre lui mais tu te retiens. Tu sais que ce serait trop pour lui. Tu souffles malgré toi parce que cette tension devient difficile à endurer. Tu sais pas vraiment qui fait le plus grand apprentissage ici. Il te demande la permission de t'embrasser. Tu le regardes à nouveau parce que ton regard s'était un peu trop fixé sur ses épaules musclées. « Oui tu peux. » Tu mords encore ta lèvre puis tu ajoutes. « Tu n'es pas obligée de me demander à chaque fois, j'aime quand tu m'embrasses et que tu me touches. Ça m'empêchera pas de te demander quand moi je veux t'embrasser ou te toucher. » que tu lui dis doucement. Tu tiens pas à ce qu'il parte en courant.
C'est compliqué d'être toi, c'est compliqué d'être malade mais tu peux pas t'empêcher d'être aussi gentil qu'aussi chiant. Tu n'aimes pas qu'on te touche, tu n'aimes pas quand on rentre dans ton espace vital et ça se voit par rapport aux autres, ils n'aiment pas parler avec toi parce que tu es comme ça. Là c'est la même chose, enfin c'est différent, c'est toujours différent avec elle. T'es à peut-être plus grand qu'elle mais tu ne peux pas t'empêcher d'enlever la mousse qu'elle avait sur le front pour éviter de lui tomber sur les yeux. Ta question la choque, ça se voit, tu le sens et tu te fais même tout petit quand elle accepte. Mais elle continue, elle parle parce qu'elle est stressée ? Ou parce qu'elle veut parler ? Pourquoi tu parles autant ? lâches-tu avant de sourire doucement, après tout c'est différent mais elle a les yeux fixés dans les tiens et inversement, tu t'approches néanmoins pour l'embrasser. Elle a dit oui, elle a dit qu'elle voulait bien, et tu peux pas t'empêcher de penser au fait que ton corps réagit carrement à l'eau chaude, à son corps trop proche du tien, deux centimètres doivent vous séparer et cette tension est insupportable en fin de compte..
Tu sens la tension parcourir ta peau, ton corps qui est appelé par le sien mais tu sais que son mental barre le chemin. Que tu dois le laisser venir à toi et non l'inverse. Tu dois réfréner ton désir et ce n'est pas évident pour toi. Tu as cette habitude de laisser libre-court à tes instincts. Tu le rassures néanmoins et lui explique qu'il n'a pas besoin de te prévenir à chaque fois et tu t'étonnes de le voir sourire. Il te demande pourquoi tu parles autant et tu te sens un peu bête alors tu baisses les yeux. Tu vois plus que son torse en fait parce qu'il est plus grand que toi. Il est assez grand d'ailleurs. Malheur, tu les aimes particulièrement quand ils sont grands. « J'ai peur que tu t'en ailles. » Que tu réponds parce que t'es honnête avec presque personne mais lui il fait partie des rares élus. Il vient alors t'embrasser et tu sens un espèce de feu naître en toi. Tu en as l'habitude mais là il est particulièrement intense et fort, si bien que tu as vraiment peut de ne pas te maîtriser. Alors tu passes tes mains derrière ton dos, tu les noues entre elles, ainsi t'auras plus la tentation de les laisser s'aventurer partout, tu te contentes juste du goût de ses lèvres contre les tiennes, un peu comme une affamée qui se contente d'une goutte d'eau. C'est bon l'eau non ?
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