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(laurandy) ✽ You learn to take life as it comes at you... to make each day count.

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Il était vrai que ça aurait pu paraître abrupte comme approche. Mon père est mort. Boum. Le truc c'était que je faisais pas partie de ces gens qui y accordaient de l'importance, qui regrettaient de ne pas l'avoir connu, qui passeraient leur vie à se demander comment il était... non. Je lui accordais bien sûr plus plus d'importance que le temps qu'il faisait dehors, mais ce n'était pour moi pas une grosse révélation, ni une grosse confidence. Mais c'en était une tout de même, pour briser la glace. Une confidence qui m'avait façonné, parce que j'avais vécu seul avec une femme de fort caractère, qui rêvait de l'Amour avec un grand A, qui avait tout donné pour moi quand mon père s'était défait de ses responsabilités, parce que les hommes le pouvaient, avaient le droit d'être faibles. C'était pas juste, et ça n'avait fait que renforcer le respect que j'avais pour les femmes avec le temps. Je continuais à dessiner tes formes, me concentrant sur tes yeux alors que tu me parlais à ton tour. Je t'écoutais en silence, songeant qu'effectivement ça n'avait pas dû être facile... mais tu avais su gérer. Tu avais réussi à te fondre dans la masse, sans perdre ton éclat. Le regard des autres pouvait être destructeur. L'enfer, c'est les autres... j'esquissai un léger sourire avec ma citation de cet auteur français que j'aimais beaucoup. Sartre n'avait jamais eu autant raison qu'avec ces quatre simples mots, et tu étais probablement aussi d'accord avec lui. Mais ça m'en disait davantage sur ce que tu avais pu traverser, et je comprenais mieux ta volonté de fer et ton caractère bien trempé. Je pense que tu es une femme magnifique, et je ne parle bien sûr pas que de ton physique avantageux. J'étais concentré, mais complètement sincère. J'observais ton visage, le moindre détail, mais surtout ton expression à ce moment précis où tu me parlais de toi. C'était ce que je cherchais, capturer ce moment où tu étais complètement toi-même, où tu étais sincère avec le monde qui t'entourait. Ce moment où on faisait tomber les masques, toi et moi. T'as une vision du monde différente des autres... n'est-ce pas ? Toi aussi parfois tu étais effarée de voir comme nous marchions sur la tête. On pourrait au moins être cyniques et se moquer des autres ensemble, j'aimais bien cette idée-là. A quel moment devions-nous redouter une fille parce qu'elle pouvait être belle et intelligente à la fois ? Je n'ajoutai rien de plus, fronçant les sourcils avec les yeux rivés sur ma feuille. J'étais vraiment dans le détail de ton visage et l'espace d'un instant, ma concentration me fit oublier tout le reste. J'ai bien avancé. Tiens bon, repris-je avec un sourire. J'imaginais bien que ses muscles devaient être tendus à force de rester immobiles.
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L'enfer, c'est les autres. Sartre a bien raison, mais je ne sais pas jusqu'où cette citation s'applique sur moi... Je ne me suis jamais servi de ce que pensent les autres pour me définir, mais je suppose que c'est inévitable par moment, pour tout le monde et pas rien que moi. Tu me complimentes, mais ne complimentes "pas que" mon physique avantageux. Je souris, ravis de te l'entendre dire. Maintenant, je sais ce que tu penses de moi et pas rien que de quoi j'ai l'air... et c'est tout de même flatteur, considérant que j'ai encore les nichons à l'air actuellement. J'suis surtout ravis que tu prends le temps de complimenter autre chose que mon apparence, aussi. Ta question m'en amène d'autres. J'crois... oui. Je trouve ça ridicule, de voir les gens se presser autant, stresser autant pour des conneries. Dès qu'il y a un article dans le journal avec un titre dans le style "Une nouvelle étude scientifique dit que..." tout le monde se met en ligne droite comme des robots. Le pire, c'est quand c'est une mode rien que pour deux semaines et qu'après les gens retournent à leur routine ordinaire. Personnellement, je sais que les pizzas bien grasses ne sont pas bonnes pour le cœur - pourtant, ça ne m'empêche pas d'en manger. Je sais que dire des gros mots c'est "pas beau", mais je les dis quand même. J'aime pas qu'on me dise quoi faire. Je n'ai même pas peur de mourir, c'est pour dire. Mais bon, ça viens d'une fille qui a été ressuscité après plus ou moins 30 minutes d'arrêt respiratoire. Bref, je me suis moi-même perdue dans mes pensées, mais ta voix qui m'encourage à tenir bon, me sors de mes idées. Pas de soucis, prend ton temps. Je commence à avoir froid, dans ma demi-tenue d'Ève. Je m'humecte les lèvres avant de poursuivre la conversation... Tu dois être proche de ta mère, si j'en déduis bien.
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J'avais eu beaucoup d'occasions de réfléchir au monde, surtout depuis que j'étais à la rue. Quand on se fait éjecter d'une société, que du jour au lendemain j'étais passé d'étudiant en droit sans histoire à mendiant qui dort dans sa voiture et qu'on essaie de cacher parce que ça fait mauvais genre, ça fait réfléchir. J'avais retourné la situation dans tous les sens, philosophé sur tout ce que j'aimais et tout ce que je détestais dans ce monde. Et j'étais clairement pas d'accord sur beaucoup de choses avec la majorité... Je t'encourageai à tenir bon, nous avions fait une bonne partie du dessin maintenant. Je pourrai peaufiner les traits plus tard. Généralement un dessin pouvait se faire sur plusieurs séances, là je me contentais d'une seule mais nous pourrions toujours nous y remettre une prochaine fois pour le détailler le plus possible. Ton corps à demi-nu se dessinait sous mes doigts et mes yeux descendirent vers ta poitrine. Awkward moment quand ce fut pile à ce moment-là que tu évoquais ma mère, euh... Très, oui. J'esquissai un léger sourire en y pensant. Elle me manquait. Et connaissant son caractère, elle serait révoltée de voir la situation dans laquelle je me trouvais. Je suis fils unique alors forcément, on s'est serré les coudes. Jusqu'au bout, on pouvait le dire. Je reportai mon attention sur toi, détaillant tes épaules et ta poitrine avant que mon attention ne s'arrête sur une cicatrice. Pas très grosse, pas très voyante, mais on ne se fait pas une cicatrice au niveau des côtes en tombant d'un vélo. Comment tu t'es fait cette cicatrice ? demandai-je un peu intrigué.
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Si ton père est décédé, que tu as vécu le reste de ta vie seulement avec ta mère, c'est que tu dois sans doute en être proche. Tu confirmes, tes yeux sont toujours sur ton dessin que tu continues de gribouiller. T'es fils unique en plus, vous vous êtes serrés les coudes. Je souris. Si seulement ça aurait été comme ça avec mon père... À la place, j'ai dû le voir pleurer toutes les nuits, jusqu'à ce qu'un jour il décide de ne plus passer ses nuits à la maison. Aujourd'hui il est remarié à une Coréenne que j'adore et je ne les vois vraiment pas souvent puisqu'ils sont encore en France tous les deux. Je suis enfant unique aussi, mais j'ai deux demi-sœurs que je n'ai pas vu bien souvent dans ma vie. Au bout d'un petit temps de silence, tu me demandes comment je me suis fait la cicatrice sur ma côte et je baisse les yeux pour la regarder. Oh. Ça ? C'est rien. Je ris un peu. Je pense que j'ai ça depuis que j'suis bébé, j'm'en rappelle plus du tout. Je te regarde de nouveau et affiche un doux sourire sur les lèvres. Ça doit faire environ une heure que je suis assise comme ça, qu'on se parle parfois et qu'on s'observe en silence. J'commence à avoir faim... tu crois pouvoir faire une pause le temps de manger ? Je n'ose pas encore bouger, mais je commence aussi à avoir un peu froid et les frissons qui apparaissent sur le haut de mon corps ne m'aident pas à le cacher.
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Ta cicatrice n'était vraiment pas voyante du tout, mais c'était mon taf à ce moment précis de la regarder, de remarquer les détails. Un grain de beauté qui fait la différence, une expression, une cicatrice, un regard. Ces petites choses qui nous rendent uniques et qui pour certains, montrent notre personnalité. Mais cette cicatrice ne semblait pas avoir d'histoire. Moi qui espérais une information croustillante, genre tu t'es battu avec la mafia lors d'un voyage au Japon, répondis-je avec un sourire amusé. Tu n'étais donc pas une héroïne masquée qui souvent les États-Unis chaque nuit. Marvel et DC nous mentent. J'aurais parié sur Catwoman pourtant. Oui attend je finis juste un truc... Je terminai de gribouiller sur ma feuille avant de relever la tête. C'est bon. Mais on est bien d'accord que tu ne le vois pas tant qu'il est pas fini, n'est-ce pas ? dis-je en refermant la pochette sur le dessin pour que tu ne l'aperçoives pas. Je tentais de faire abstraction des frissons qui parcouraient ton corps et la réaction évidente de ta poitrine à un petit courant d'air. Je ne voulais pas te mettre mal à l'aise, mais je fus bien obligé de le remarquer et je n'y étais pas insensible. Je détournai donc la tête, m'étirant les bras et récupérant ma bière, que je n'avais pas terminée de sorte à te tourner le dos pour que tu te rhabilles sans te sentir observée. Elle n'était plus très fraîche cette bière, mais tant pis, c'était pas chaud non plus au moins. Rappelle-moi quand c'est ton départ pour le Summer Camp ? On allait pas se recroiser pendant deux mois, alors. Ça fait long pour une personne qu'on vient de rencontrer, on s'oublierait peut-être d'ici-là. Puis il s'en passe des choses pendant un Summer Camp... C'était pas vraiment de la jalousie, c'était trop tôt pour qu'on l'appelle ainsi, mais je ne me voilais pas la face et j'étais bien forcé d'admettre que ça ne me faisait pas plaisir.
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Nope, la cicatrice n'avait aucune valeur sentimentale, aucun souvenir, aucune vie. Elle ne signifiait rien, pour moi du moins. Peut-être que mon père sait ce qu'il s'est passé, peut-être que ça a été traumatisant pour mes parents de voir leur petit fille se faire mal, si tôt dans sa vie. Je ris en écoutant tes espérances et malgré moi, je pense à ce que je m'empêche de te raconter depuis que tu as évoqué la mort de ton père. C'est le genre d'histoire croustillante auquelle tu t'attendais, sans doute, mais ce n'est juste pas le genre du protagoniste de dévoiler trop tôt dans les pages, son petit secret, non ? Oh mais je me suis bel et bien battu avec la mafia, juste, en Italie. J'affiche un petit sourire et hoche la tête lorsque tu me demandes si je suis d'accord pour que tu gardes ton dessin secret, tant qu'il n'est pas terminé. Ça me semble logique. Tu te retournes, me laissant un peu d'intimité pendant que je me rhabille. J'en profite alors pour prendre mon soutien-gorge, mon haut et tout remettre sur moi. Tu peux te retourner Murmurai-je, en me levant du tabouret. J'avais, moi aussi, pas terminée ma bière alors je la prend pour boire une gorgée. Erk, c'est chaud. Il me semble que c'est début Juillet. Je passe ma langue entre mes lèvres et ajoute : Mais je n'y restera pas tout l'été. On m'a demandé de bosser cet été à l'hôpital, puisque tous les internes partent pour le Summer Camp. Et comme j'suis pas du genre à refuser plus de chirurgie... j'ai acceptée ! Mais je vais rentrer chez moi en France quelques semaines, ça fait longtemps que je n'ai pas vue mon père. Et mon chien. Je souris avant d'attraper le téléphone dans ma poche pour composer le numéro d'une pizzeria à proximité. On se met d'accord pour des frites, avec la pizza ? Demandai-je, avec le téléphone sur l'oreille.
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En Italie ? En vrai, tu avais sûrement déjà dû y aller vu que tu étais Française. Si y avait bien deux pays Européens que je rêvais de visiter, c'étaient ces deux-là. Le mythe autour de ces pays étaient juste.... magiques et efficaces, je devais l'avouer. Je devais bien avouer que moi aussi je commençais à avoir super faim. Mon dernier repas avait pas forcément été des plus nourrissants, surtout que malgré moi, j'avais un grand gabarit à nourrir. Je me retournai quand tu m'en donnas le feu vert, buvant une gorgée de plus dans ma bière presque vide désormais. Début juillet... J'écoutai ce que tu me disais alors qu'on quittait la chambre pour retourner dans le salon. J'étais plutôt content en fait, tu ne resterais pas si longtemps à ce Summer Camp, et tu rentrerais avant les autres. Ça voulait rien dire mais c'était toujours ça de pris. Ça marche. La chose grandiose c'était qu'j'avais même pas de téléphone pour savoir quand tu serais rentrée. Qu'est-ce que j'aimais ma vie parfois. Voyez un peu la maman gâteau... J'eus un léger rire en t'imaginant avec des photos de chien sur ton bureau. Je m'assis sur un canapé alors que tu prenais ton téléphone pour appeler la pizzéria. C'est nickel pour moi, acquiesçai-je en sortant mes cigarettes. J'peux fumer à l'intérieur ou je vais au balcon ? Je préférais demander, dans le doute.
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Je ne resterai pas tout l'été au Summer Camp... de toute façon, je n'ai jamais réellement apprécié les sorties de groupe. J'suis plutôt ce qu'on appelle un loup omega, j'agis toujours seule dans mon coin, personne ne me dit quoi faire. Tu ne démontres aucune réaction, alors je ne cherche pas plus que ça. J'ai aucune idée de si ça veut dire qu'on va se revoir bientôt ou quoi. J'suppose qu'encore une fois, ça dépendra du temps et des circonstances. Maman gâteau ? Pas du tout ! Je ris un peu. Mais c'est vrai que mon chien, je l'aime comme un bébé. Mais je ne suis pas le genre de meuf qui poste 150 photos de son chien sur instagram dès qu'elle le voit. J'appelle la pizzeria et te demande si tu veux des frites. T'acceptes en sortant les cigarettes de ta poche, puis me demande si tu peux fumer à l'intérieure. Balcon. Et garde-m'en une, je te rejoins dans une minute. Je ne fume qu'en cas de stress normalement, mais pour accompagner mon nouvel ami, je peux faire une exception. Puis le modeling à poil pendant presque une heure a usé de mon énergie en quelques sortes. Bref, après avoir commandé la pizza, je te rejoins avec deux nouvelles bières jusqu'au balcon et referme la porte patio derrière moi. Les autres étaient chaudes. Tiens. Je t'en tends une. Au fait, maintenant que tu m'as vu à poil, j'crois que j'peux réclamer ton numéro de téléphone ? T'as quand même vu mes tétons hein ! Je ris en ouvrant le bouchon de ma bouteille, à l'aide d'une bague.
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Tu m'assurais que tu n'étais pas une maman gâteau, et ça me faisait d'autant plus rire parce que tu avais tout de même évoqué le chien juste après ton père. Mais je trouvais ça attendrissant. D'un ridicule attendrissant, voilà, surtout que c'était loin d'être exagéré donc ça restait mignon. Ou peut-être que je ne voyais pas ça d'un œil totalement subjectif et que je trouvais ça mignon parce que c'était toi, mais peu importe. J'acquiesçai quand tu me répondis que tu préférais que je fume dehors et me rendis donc sur le balcon en attendant que tu m'y rejoignes. J'allumai ma clope pensivement et peu de temps après, tu rouvris la baie vitrée avec deux bières dans les mains. En voilà une bonne idée, merci. Et tiens aussi, dis-je en te tendant la cigarette que tu m'avais demandée. Quel troc ! A ta question, j'eus un bug. Je ne m'y attendais pas... enfin si, mais pas maintenant. Je te regardai un moment silencieusement puis esquissai un léger sourire en me rappuyant contre le dossier de la chaise. Excuse-moi, j'pensais que tu avais deviné que j'en avais pas... En fait j'en savais rien. Non c'était stupide, bien sûr qu'elle ne pouvait pas deviner, c'était exactement pour cette raison que j'lui avais pas dit que j'en avais pas. Je repris une taffe et soufflai longuement avant d'ajouter : Et par extension, pas de maison non plus. J'ai une plaque d'immatriculation si tu veux, mais je suis pas certain que ça t'aide beaucoup. Voilà; c'était dit. Au moins j'avais évité le côté mélodramatique qui accompagnait généralement ce genre de déclaration et que je détestais tant. Là je mettais les deux pieds dans le plat, et le sourire aux lèvres. Pas que j'étais content de potentiellement griller mes prochains rendez-vous avec toi, mais au moins... je savais que si continuait à se voir après, je n'aurais pas à te le cacher.
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Je ne suis attachée à rien, ni à personne, sauf à la chirurgie peut-être. C'est probablement l'unique chose auquel je tiens et si un jour je perdais l'usage de mes mains, ma vie serait ruinée. Alors non, je ne suis pas maman gâteau. Je ne suis pas maman tout court et probablement que j'le deviendrai jamais. Je termine l'appel et te retrouve sur le balcon avec deux bières fraiches. Content d'en avoir une neuve, tu me remercies et me donne même une clope en échange. Merci ! Vite-fait, j'emprunte ton briquet et m'en sers pour allumer le bout du bâtonnet. Ma question te perturbe pendant quelques secondes, puis tu finis par m'avouer que tu n'en a pas. Oh ? Non, je savais pas. C'était donc rien que ça ? Pas le fait que je ne lui plaise pas, alors. Un autre silence s'installe, avant que tu n'avoues que tu n'as pas de maison, non-plus, rien qu'une voiture. Je ne sais pas si je dois te prendre au sérieux, surtout vu la tête que tu tires, je n'oserais pas me mettre à rire... mais je ne comprends pas ton sourire, avec une annonce pareille. Moi j'ai une maison et pas de voiture. On partage ? Je regarde la baie vitrée, ou plus précisément, le canapé dans le salon. Enfin si t'es sérieux, t'es pas obligé d'me dire comment et pourquoi... Mais mon canapé est confortable, si tu veux. Et mon lit aussi. Tu peux l'emprunter quand je serai parti en Europe. J'suppose que tu ne dois pas vivre dehors depuis bien longtemps, t'as l'air plutôt propre et même complètement insensible au fait d'être sdf. Une embrouille avec ta mère ? Ta copine peut-être ? J'connais pas ta vie, pas assez pour me permettre de t'ouvrir à moi sur les détails du genre. Mais si ça se trouve, tu te paies ma tête complètement. Je porte la clope à mes lèvres et la coince entre elles, pour prendre une bouffée. Comme j't'ai dis : j'suis sure que tu t'entendrais avec mes colocs.
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