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(L&L) ✽ I had to fall, To lose it all

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    Loïs alla fouiller un peu dans ses placards à la recherche de quelque chose que je pourrais porter pour ne pas être à poils en attendant que ma lessive se termine. Elle finit par me présenter presque fièrement un short kipsta et je ne pus retenir un petit rire. Je pourrais être à poils pourvu que mes vêtements soient lavés, c'est toi que ça aurait le plus dérangé, répondis-je en riant de nouveau. Je terminai mon verre de vin et allai le poser à mon tour dans l'évier après avoir récupéré le short qu'elle me tendait. Je la suivis dans la salle de bain, où elle me montra où se trouvait tout ce dont je pourrais avoir besoin. Merci, t'assures. Bon courage pour tes cours. Je lui passai une main dans le dos en remerciements et entrai dans la salle de bain, refermant la porte derrière moi quand elle tourna les talons. Ça allait me faire un bien fou. Déshabillé, je me glissai dans la douche sous l'eau chaude en soupirant. J'y passai un instant. Pas trop histoire de ne pas abuser, mais assez tout de même pour en profiter comme il se devait. Une fois lavé de la tête aux pieds, je ressortis de la douche serviette autour de la taille et m'observai un instant dans le miroir. A ce moment-là, j'me revoyais comme avant tous ces événements. J'avais pas de fringues qui me trahissaient, pas de petits yeux fatigués, pas de cheveux emmêlés. Y avait pas à chier, ça faisait du bien. Je terminai de me sécher et enfilai le short, puis entrepris de me brosser les dents alors que je vérifiai ne rien avoir oublié. Mes affaires étaient dans la machine, j'avais récupéré mes clopes et clés de voiture, et je n'avais a priori rien laissé traîner d'autre... Quand j'eus terminé, je ressortis de la salle de bain, rejoignant Loïs dans la pièce à vivre. J'ai pas lancé la machine, au cas où tu voulais ajouter quelque chose dedans, dis-je en posant mes affaires sur le meuble à l'entrée. Ça fait trop du bien, dis-je avec un sourire. J'peux toujours pas fumer à l'intérieur je suppose ? demandai-je, un peu amusé. Ça me rappelait notre vie ensemble, tout ça, cette période où elle me faisait la guerre pour que j'aille fumer au balcon pour pas que ça imprègne les canapés.
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Il était vrai que tu n'étais pas du tout pudique donc ça me choquerait même pas de te voir l'oiseau à l'air, rien que d'y penser j'en riais. Je te donnais donc le short noir de foot et je te montrais la salle de bain et tout ce que tu pouvais avoir besoin pour une douche. T'étais le premier à te laver dans ma douche autre que moi, même Tom n'était pas venu.. On s'était vu en ville et mon appartement ne l'avait pas assez intéressé apparemment. Plus j'y pensais et plus je me disais que je devais vraiment mettre un terme à tout ça. Je méritais quand même mieux, j'avais juste besoin d'un électrochoc.

Pendant que tu te lavais, j'avais été lavé les deux verres à ballon de vin, puis je m'étais posé sur le canapé pour relire une page de mes cours du semestre. C'était hard cette année mais je me donnais les moyens d'y arriver donc je croyais en mon année et en moi, ça allait le faire. J'attrapais mon téléphone suite à une vibration, Tom qui me demandait ce que je faisais et si il pouvait m'appeler. Je soupirais en répondant que dans cinq minutes je l’appellerais.

Tu sortais de la petite salle de bain torse nu et c'était vraiment mon Lauri que je retrouvais là. J'imagine.. j'adore sortir de la douche moi.. cette sensation de sentir bon à plusieurs mètres et être fraîche! A ta question sur la cigarette, je me mis à secouer la tête en souriant. Tu vas sûrement me frapper mais.. ça m'arrive de fumer le soir et quand j'ai la flemme je reste ici.. je fumais pas de cigarettes, simplement des joints de temps à autre, même si c'était rare. A l'époque où nous étions ensemble, j'avais fumé, quotidiennement, clopes et joints, mais je m'étais arrêté, ça revenait beaucoup trop cher. Rapidement, je laissais mon regard glisser sur ton corps et ton torse, nu. T'étais toujours aussi sexy. Du coup, tu peux.. C'était pas comme si j'avais les hormones en ébullition et que j'avais une vie sexuelle aussi active que celle d'une bonne-sœur..
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    Loïs et les douches, c'était une grande histoire d'amour. Mais je ne pouvais que comprendre, surtout dans ma situation actuelle. La douche est très clairement un luxe, et un confort absolu. Je m'approchai avec ma cigarette et mon briquet et me retins de rire à sa révélation, la pointant du doigt avec un air accusateur. J'le savais. J'le savais ! Je finis pas rire et me laissai tomber sur le canapé à côté d'elle. C'était sûr que tu finirais par basculer du côté obscur de la force, c'est bien trop confortable de pas avoir à bouger. D'ailleurs, t'en veux une aussi ? C'était pas grand-chose. J'avais pas beaucoup à lui offrir, mais si j'pouvais au moins lui dépanner une cigarette, j'hésiterais pas. Je sentis alors son regard se poser sur moi. Elle était discrète, mais malgré le temps qui avait passé, je la connaissais trop bien pour ne pas m'en rendre compte. Je connaissais ce regard, et si on avait été encore ensemble, ça ne se serait pas arrêté là. Je sentis mon cœur accélérer un peu, à l'idée que finalement, je lui plaisais peut-être encore. Même sûrement, à en juger son regard. Mais elle avait un mec. Ce Tom... n'y avait-il vraiment plus de relation à sauver entre eux ? Je la fixai un instant, tiraillé entre ce désir brûlant de la retrouver, et ma conscience qui me chuchotait de ne plus m'immiscer dans sa vie, de ne pas y faire plus de ravages que ce n'était déjà le cas. Merci, dis-je doucement, un simple souffle. J'pouvais la remercier de tellement de choses. De s'être arrêtée quand elle m'avait vu alors qu'elle aurait pu continuer son chemin, d'être elle-même avec moi, de sa générosité... C'était déjà une femme superbe qui savait où elle allait quand nous étions ensemble, mais j'la remerciais de ne pas avoir changé. D'être, semble-t-il, restée celle que j'aimais.
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Tu riais en te foutant de moi à propos de la cigarette, repensant tout à coup que mon copain ne voulait pas que je fume, ni que je boive, enfaite il voulait juste que je sois parfaite. Chose que tu ne m'avais jamais reproché, si ce n'est pour ma santé, mais sinon, tu avais toujours voulu que j'sois heureuse, satisfaite de faire mes propres choix. Et Tom ne voulait pas de ça, il voulait que je sois à son image, et ça ne me convenait plus. Le côté obscur tout de suite les grands mots.. je te souriais, haussant les sourcils en soupirant. Non.. à moins que tu mettes autre chose que du tabac dedans.. du coin de l'oeil, je te faisais passer un message. J'imaginais bien que tu n'aies rien à fumer, ça coutait de l'argent, et t'avais d'autres priorité, mais bon sait-ton jamais. Attends.. il me semblait que j'en avais laissé quelque part, des restes d'une soirée que j'avais fais avec mes cousines il y a de ça quelques semaines. Je me levais pour aller fouiller dans un petit meuble à côté de la télé pour un sortir un peu, de quoi faire deux bon joints. Je te montrais le petit paquet en m'approchant du canapé lit. J'deviens une vilaine fille t'as vu.. j'ai mal fini moi aussi.. on était deux? Non, je te taquinais biensûr. J'avais essayé d'être une fille modèle ces deux dernières années mais j'avais des envies de tout envoyer chier par moment.

A chacun de nos regards, je sentais une certaine tension, je n'arrivais pas encore à décrire si c'était une alchimie, de la complicité que nous retrouvions ou un désir sexuel, mais fallait vite que ça parte, la nuit allait être compliqué sinon..

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    Bien sûr les grands mots, la guerre est finie, dis-je comme si on habitait encore ensemble et qu'on ne se battrait plus pour que j'aille fumer à la fenêtre. Je lui proposai une cigarette et elle la refusa, ne fumant visiblement plus de cigarette... mais des joints, ça semblait lui arriver encore. Un sourire étira doucement mes lèvres. J'ai bien de l'opium dans ma voiture mais c'est quand même pas la même paire de manche, j'le sors rarement, répondis-je avec un petit rire. Pourquoi j'avais foutu de la thune là-dedans ? C'était pas toujours facile d'être à la rue et même si j'm'en sortais pas trop mal au contraire de tous ceux qui finissaient alcoolique, parfois, j'avais aussi envie d'm'oublier le temps d'une soirée. Ça n'arrivait pas souvent, c'était l'essentiel pour moi, je contrôlais la consommation. Surtout qu'il était clair que si je finissais accro, je ne ressortirais pas de la rue d'aussitôt... mais je gardais la tête sur les épaules et je perdais pas de vue mon objectif, donc ça allait. J'observai la jeune femme qui avait récupéré un sachet de Marie-Jeanne. Il restait pas énormément mais c'était bien assez pour nous deux. Vous savez que vous allez devoir être punie mademoiselle ? demandai-je en penchant légèrement la tête sur le côté, dévisageant Loïs avec un petit sourire. Elle m'avait manqué, très clairement. Avant de devenir trop sentimental, je me redressai en récupérant le sachet et le grinder qu'elle me tendait. Je vais rouler, admire l'artiste, dis-je en allant récupérer mes cigarettes pour avoir du tabac.
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La guerre est terminée depuis un moment maintenant.. te regardant dans les yeux, ma phrase avait plusieurs sens. Dans la sens de la clope dans l'appartement biensûr mais en priorité notre couple, nous, c'était fini. J'avais cette rupture toujours en travers de la gorge surtout qu'on en avait pas parlé ouvertement encore, ni même à l'époque, y avait eu trop d'émotions d'un coup. De l'opium carrément? Je me mis à rire légèrement puis j'allais chercher de l'herbe qu'il me restait, pour te tendre ce que j'avais et te laisser faire. Je te laisse faire. moi j'étais pas douée en plus. Je m'asseyais en tailleur sur le canapé, face à toi. Il était bien large donc c'était confortable, et je te regardais faire, laissant encore mon regard glisser sur tes mains. Si tu me manquais? oui. Tu m'avais manqué et tout remontait à la surface aujourd'hui,c'était dérangeant comme sensation. Tu veux me punir? relevant mon regard au tien, je pinçais mes lèvres entre elles comme une enfant, et au même moment, mon portable sonnait, c'était Tom.

J'avalais ma salive, il me cassait ce moment avec toi. "Oui?" clairement, il me dérangeait. Je te faisais signe de pas faire de bruit et que j'allais dans la salle de bain. Tu pouvais m'entendre à travers la porte, ou du moins quelques mots. "Là j'suis posée à l'appart.. avec Lauri.. ouais, mon ex.." je faisais les 100 pas, je détestais mentir. "On s'est croisé en ville.. non c'était pas prévu." Tom connaissait mon histoire avec toi. Le ton commençait à monter, il me fatiguait. "Tu penses que t'as des leçons à me donner? Bah écoutes.. prends un billet d'avion et viens, comme ça on en parlera en face.." Je ressortais de la salle de bain, toujours au téléphone, pour m'avançer jusqu'au canapé de nouveau, me laissant m'asseoir comme une loque sur celui-ci "Ouais.. allez, à ce soir." raccrochant, je soupirais en laissant mon portable sur la table basse.
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    C'est vrai, elle l'était. Nous ne vivions plus ensemble, nous n'étions plus ensemble. Il pouvait bien y avoir des remords, de la rancœur, mais on ne pouvait plus véritablement parler de guerre pour quoique ce soit. Le temps avait fait son chemin, l'eau avait coulé sous les ponts et les colères d'adolescents avaient évolué avec nous, on savait faire la part des choses aujourd'hui. Je commençais à rouler alors que Loïs s'asseyait devant moi, la tension entre nous n'en étaient que plus palpable. Je lui jetais régulièrement des petits regards en coin et terminai de rouler, me rapprochant d'elle... et le téléphone sonna. Mon regard dévia et je vis apparaître le nom de Tom sur l'écran. Bah voyons. Je me reculai en silence vu son geste pour que je ne fasse pas de bruit et la suivis des yeux, amusé. Me voilà donc devenu le mec qu'on cache dans le placard. C'était clairement pas ce que j'avais imaginé comme retrouvailles. Je m'affalai de nouveau sur le canapé, faisant tourner le joint entre mes doigts en écoutant d'une oreille, encore et toujours cette curiosité maladive. C'était plus fort que moi. Si on continuait à se chercher avec Loïs et que ça devait déraper, je voulais au moins savoir si elle le regretterait, si elle était amoureuse de ce Tom et si je n'étais qu'un caprice. Alors, on va avoir de la compagnie ce soir au final ? demandai-je lorsqu'elle eut raccroché. S'il sautait dans un avion pour la rejoindre en ayant appris que j'étais là, elle y repenserait probablement à deux fois. Mais s'il ne venait pas, y avait bien plus de chances qu'elle craque. Et malgré moi, j'avais envie qu'elle cède, aussi égoïste que cela puisse être. Je coinçai le joint entre mes lèvres et l'allumai, mais je n'allais pas être le premier à en profiter. Doucement, je me rapprochai jusqu'à être collé à elle et le lui tendis. Tiens, je sens que t'en as bien besoin... A la tête qu'elle faisait, il n'allait probablement pas venir. Je me penchai au-dessus d'elle, frôlant ses lèvres pour inspirer à mon tour la fumée qu'elle venait d'expirer, et me ré-éloignai sans l'embrasser, quand bien même la tentation était forte. Je jouais. Avec elle, avec moi-même, avec nos nerfs. J'adorais toujours autant ça. Je nous ressers un verre ?
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Tom ne m'avait pas appelé depuis deux jours, il voulait simplement savoir ce que je faisais, moi, sa chose. Il n'était même pas jaloux, j'avais bien compris son manège et en matière de pervers narcissique il gagnerait le gros lot. Après quelques phrases échangées avec lui au téléphone, je raccrochais pour venir te rejoindre à nouveau sur le canapé, saoulé de cette conversation.

Non il tomberait des crapauds.. expression non utilisée depuis 1957. Il est pas jaloux tu sais.. du moins il le montrait mais c'était faux, il voulait juste que je sois à lui, rien de plus. Moi à l'époque où nous étions ensemble, si une fille t'approchait j'avais le coeur déchiré, c'était de la jalousie, de la vraie. Tu allumais le joint qui se trouvait entre tes lèvres pour finalement me le donner. Je ne me fis pas prier pour tirer longuement dessus en fermant les yeux et recracher doucement la fumée. Tu jouais à un jeu dangereux et je te voyais venir, on se connaissait par coeur, au final. Tu avais frôlé mon visage et ma bouche. Je rouvrais les yeux en te le tendant, souriant finement. Il a pas de quoi être jaloux de toute façon.. hein Lauri? Il va rien se passer, hm? Je glissais une main dans mes cheveux en m'accoudant au canapé, te fixant. Le regard que tu posais sur moi était bien plus puissant que tous les regards que Tom m'avait offert ces 6 derniers mois. Je m'ennuyais avec lui, et aujourd'hui avec toi je redécouvrais ce que ça faisait d'être désiré, qu'on me trouve belle. La base. J'avais besoin de ça, avec toi je l'avais, on adorait se chercher.

Mais merde, j'étais fidèle.. Reprenons notre conversation, je te répondais Euh, ouais, avec plaisir, j'ai soif..
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Des crapauds... outre l'expression dépassée qui m'amusait, elle me disait clairement qu'il n'allait pas ramener son cul dans cet appartement de si tôt, comme je m'y attendais. Je relevai les yeux vers elle quand elle évoqua le fait qu'il n'était pas jaloux, et je savais pertinemment ce qu'elle voulait dire par là. Elle pensait probablement qu'il ne l'aimait pas, ou en tout cas que ce n'était plus le cas. Était-elle dans une relation malsaine ? Je n'espérais pas. Mais Loïs avait son indépendance et ne se laisserait de toute manière pas enliser dans une relation mauvaise pour elle, j'en étais certain. Je m'étais relevé en récupérant ma cigarette, la coinçant entre mes lèvres alors que je séchais les verres qu'elle avait lavés un peu plus tôt. Y avait pas de quoi être jaloux... mouais. Je reposai les deux verres sur la table et récupérant la bouteille de vin, je me tournai vers elle. Non, y a pas d'quoi... y a juste ton ex qui se balade à moitié à poils dans ton appart, à qui t'as proposé de dormir ici et à qui t'as demandé d'être punie parce que t'es une mauvaise fille, expliquai-je en remplissant nos verres. Je relevai les yeux vers elle, provocateur. Non, je ne tournerais pas autour du pot. J'aimais l'idée de jouer au chat et à la souris, au cèdera, cèdera pas ? Mais on savait pertinemment tous les deux que y avait à 2000% de quoi se montrer jaloux. Si quand on avait été ensemble, on avait partagé ça avec quelqu'un d'autre, il y aurait eu un meurtre à coup sûr. Je terminai ma cigarette et revins auprès de Loïs pour l'écraser dans le cendrier, tendant à la jeune femme son verre au passage. J'te dis pas qu'tu vas l'tromper... mais prétend pas qu'il n'y a rien, ajoutai-je en fixant son regard. Ce serait se mentir à soi-même, même si j'comprenais qu'elle puisse être tiraillée par des désirs contraires.
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Tu te levais pour aller rechercher nos verres, au final je n'aurais pas du les laver mais bon, c'était mon côté très.. propre et un peu maniaque. Attrapant la bouteille tu l'avais emmené jusqu'à la table basse, bonne initiative parce que vu comme partait le début de soirée, ça allait mal finir.. Il y avait de quoi être jaloux? Oui. Tu sais, Tom aime être en couple avec moi pour s'afficher.. c'était dur ce que je disais mais je le pensais là en ce moment.

On se voit qu'une fois par mois ces temps-ci et c'est pas dans ses priorités de.. qu'on fasse l'amour. Si on peut appeler ça comme ça en plus.. merde, j'en disais trop. J'attrapais vite le verre que tu me tendais pour en reboire une gorgée. Il a pas a être jaloux, il est pas foutu d'avoir envie de moi. et hop, une autre gorgée et je t'arrachais le joint pour tirer une latte en te soufflant de très près la fumée, sur le visage. Ensuite, je souriais, malicieusement sans plus parler. Tu terminais le joint en l'écrasant dans le cendrier tandis que je te regardais faire, complètement pensive, perdue. Juste te regarder. Nos regards ne mentaient pas et je mourais d'envie de t'embrasser, tu m'attirais toujours, c'était indéniable.

Tes derniers mots étaient vrais mais durs. J'avais toujours été fidèle, toujours. Du coup, j'voulais dévier le truc sinon ça allait partir en couilles. Je t'ai jamais trompé.. et au final le seul retour que j'en ai eu ça a été de m'retrouver seule. Tu m'as rejeté.. j'oublie pas Lauri, et là.. non c'était pas cohérent ce que je disais, mes phrases n'avaient pas de sens. Je serrais ma mâchoire. Si tu m'aimais comme je t'ai aimé t'aurais jamais fais ça.. jamais.. et plus je m'énervais et plus j'avais envie que ça dérape.
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