(ff) + after all these years (camion)

— and i never prepared for a moment like that in a second it came all back

— seattle, 2023
j’voulais des explications. quelque chose. n’importe quoi. j’voulais comprendre en fait parce que là, j’avais juste l’impression que tout partait en couille sans aucune raison. alors bien sûr que je le retenais parce que j’comprenais pas cette colère soudaine contre moi. bien sûr que c’était contre moi, j’étais pas bête. « je.. qu’est-ce qui s’est passé ? » comment est-ce qu’il ne pouvait plus rien avoir ? j’comprenais vraiment pas en fait. comment est-ce que tout pouvait changer comme ça, d’un coup ? « et je suis là. » alors non, j’étais paumé et ça revenait une nouvelle fois sur jack. c’était du n’importe quoi en fait. il comprenait toujours pas ? est-ce que ça voulait dire qu’il était seul ? célibataire ? que tout était terminé avec charlotte ? j’avais besoin de l’entendre de but en blanc pour y croire. j’avais sincèrement besoin qu’il le dise vraiment plutôt que péter un plombs et me taper une crise de jalousie. « c’est toi que je veux. tu sais que c’est toi que je veux. » alors non, c’était bête ce qu’il disait. bien sûr que j’avais quelqu’un mais dix minutes en arrière, j’étais encore supposée tourner la page. il l’avait dit lui même que j’avais laissé passer ma chance. là, il était en train de tout remettre en question. « dis le. si j’ai la moindre chance dis le mais arrête de jouer au con. » parce que c’était pas justifié ce qu’il était en train de faire et en soit, il n’avait qu’à dire quelques petits mots pour que je sois à lui. « dis le moi juste pluton. dis moi juste si tu me veux. regarde moi et dis le moi. »

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{after all these years // flashforward}
crédit/ tumblr ✰ w/camion

— seattle, 2023
C’était énervé que je m’étais levé, parce que rien n’allait actuellement dans ma vie et Camila en rajoutait une couche malgré elle. Qu’elle reste avec son mec sérieux, son patron. Et autant dire tout de suite que j’étais pas enchanté de la tournure de la soirée, tant j’étais dégoûté de la savoir avec d’autres. Avec un autre. Ma crise la faisait visiblement stresser mais elle était surtout dans l’incompréhension la plus totale. Je pouvais comprendre, j’étais pas le plus clair mais en même temps, elle pouvait comprendre l’énervement que j’étais en train de ressentir, moi qui la voyait embrasser un autre homme. Moi, j’avais eu le respect de ne pas embrasser Charlotte devant elle au moins. « Je t’aime et c’est toi que je veux. Sauf que t’es avec quelqu’un d’autre et je m’immiscerai pas… je m’immiscerai plus. » Parce que c’est bon, j’en avais assez. Me battre pour des personnes qui me passaient en second plan, j’en avais assez. C’était fini. Je séparais sa main de mon bras avant de passer ma main dans mes cheveux, soufflant en me tournant dos à elle. Je ne savais pas trop comment vivre tout ça mais il était clair que j’étais plus perdu que jamais. Que dire à celle que j’aimais ? Dans le fond, j’avais l’impression d’agir comme si elle était un bouche trou. Comme si elle était là pour combler un vide alors que pas du tout. Je l’aimais, depuis des années… mais on avait vécu beaucoup trop d’obstacles.

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— seattle, 2023
parce que moi, je ne comprenais pas. je comprenais pas qu’est-ce qui pouvait bien soudainement se passer pour avoir le droit à autant de colère de sa part. la jalousie elle sortait de nul part et en soit, il n’avait que quels mots à dire pour que je sois à lui. parce qu’au fond de moi, c’était exactement ce que je voulais. l’avoir enfin à moi. pouvoir le récupérer. et j’avais perdu espoir avec le temps. j’pensais sincèrement que plus jamais il ne me voudrait dans sa vie alors ouais, peut être que j’avais pas les bons mots, les bons gestes, les bonnes actions mais je ne demandais qu’à comprendre. et l’entendre dire ça ? ça enlevait un putain de poids. quelque part, j’avais l’impression de revivre en fait sauf que je n’avais absolument aucune idée de comment agir. parce que j’avais même pas le temps de dire quoi que ce soit qu’il retirait ma main de son bras et j’avais juste l’impression qu’il était en total désaccord avec ce qu’il pouvait dire. alors ouais, j’restais confuse parce que je ne savais pas ce qu’il attendait de moi. d’un autre côté, j’avais peur que garder le silence le fasse partir et qu’il soit juste trop tard, une nouvelle fois.  « je le quitterais pour toi. » que je lâchais soudainement. « maintenant si il le faut. » parce que moi, j’apprenais de mes erreurs et je voulais pas le voir m’échapper une nouvelle fois. « si t’as sincèrement envie de me laisser une chance, j’ferais n’importe quoi. j’ai jamais cessé de t’aimer une seule seconde. » alors putain, ouais, qu’il me dise juste quoi faire en fait parce que j’étais prête à tout. n’importe quoi si ça signifiait faire un retour dans sa vie. avoir le droit de l’avoir avec moi, de le toucher, de l’embrasser. ouais, j’pourrais vraiment faire n’importe quoi.

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{after all these years // flashforward}
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— seattle, 2023
Je me rendais compte qu'elle ne devait pas comprendre ce qui se passait et peut-être qu'en sachant la vérité, elle se sentira utilisée.. j'en sais rien. Je sais juste que j'avais eu bon espoir de retenter un truc avec elle aujourd'hui, ce soir, dans mon beau costume dans ce restaurant des plus chics de Seattle. Mais elle était avec un autre homme. Elle entretenait une relation avec son patron et j'en étais plus que malade. Pire encore, j'étais perdu. Perdu entre l'envie de tout envoyer péter, retourner en Suède et rencontrer une fille là-bas, oublier le fiasco que pouvait être ma vie... ou alors de l'embrasser, là, tout de suite maintenant. Lui dire tout ce que j'avais sur le coeur, que je n'ai jamais cessé de l'aimer, d'espérer. La regardant, le coeur battant, sans lâcher ce contact visuel, je me perdais dans mes pensées, avant de finalement tout couper. A quoi bon réfléchir ? Il fallait agir. Et je franchissais les derniers écarts nous séparant pour glisser ma main dans sa nuque et l'attirer contre moi pour l'embrasser, sans un mot. Je l'embrassais vraiment, comme lorsqu'on s'était fiancés tous les deux, comme lorsqu'on s'était retrouvés après les enlèvements. Je l'embrassais en lui montrant que je l'aimais et que c'était elle. Je l'aimais et j'avais encore perdu des années de ma vie à être loin d'elle, il était juste temps de rattraper tout ce qu'on avait pas eu.

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— seattle, 2023
mais j’avais besoin de savoir. besoin qu’il dise quelque chose ou bien qu’il agisse de manière à ce que je comprenne parce que là, je ne savais plus sur quel pied danser avec lui. le retrouver dans ma vie après tout ce temps, ça m’avait conforté dans l’idée que ouais, j’étais toujours amoureuse de lui malgré tout le temps qui avait pu passer. sauf que j’avais été claire et lui.. lui il était sur le point de se marier, papa, avec des projets et la construction d’une maison alors ouais, ça avait été plutôt claire sur le fait que je n’avais plus vraiment ma place dans sa vie. la crise de jalousie maintenant ? j’avais du mal à la comprendre. et c’était logique en soit parce qu’il disait rien. il était pas concret dans ses mots ni rien de tout ça. et moi, je le suppliais de me dire les choses. de me dire ce que je devais faire parce que j’étais prête à n’importe quoi. et soudainement, sa main venait se placer dans ma nuque, ses lèvres venaient chercher les miennes et je revivais. je revivais vraiment. je m’accrochais à lui me foutant totalement des gens autour de nous, des regards qu’on pouvait nous porter parce que concrètement, je le retrouvais lui. à bout de souffle, ma main venant s’agripper à la sienne avec force. « reviens moi s’il te plaît. je t’en supplie. » ouais, bien sûr que je le suppliais parce que j’avais peur de le voir soudainement me tourner le dos. « j’te promet de me racheter. j’ferais n’importe quoi pour que tu me pardonnes » mes erreurs, mes choix et la peine que j’avais pu lui causer.

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— seattle, 2023
Me retrouver face à Camila, après toutes ces années, c’était quand même perturbant. Perturbant parce que je l’aimais encore, malgré tout. Malgré tout ce qui s’est passé, malgré tout notre passif. Je l’aimais et je m’en suis rendu compte quand ses lèvres ont touché les miennes après tout ce temps passé loin d’elle. Non, je m’en suis rendu compte quand mon regard s’était posé sur elle. Le cœur battant, je m’étais approché de son bureau, avec cette envie de tout envoyer en l’air, malgré l’amour que je portais à mon ex. Mais non, je n’en avais rien fait et maintenant, je me retrouvais seul, je me retrouvais qu’avec mon fils et une maison abandonnée. Enfin, le projet était abandonné, heureusement. Et puis il y avait Camila. Je me sentais pas forcément bien en cet instant, sentant que je pouvais l’utiliser pour combler un manque alors que non. Surtout que je la connaissais et qu’elle allait piquer une crise si elle savait réellement ce qui se passait dans ma vie en ce moment. Si je l’avais embrassé en cet instant, je n’avais cependant rien dit, préférant rester silencieux. Mais elle parlait de nouveau et… il fallait bien que des mots sortent de mes lèvres. « Je veux te retrouver Camila… mais de la bonne façon. » finissais-je par dire, caressant le dos de sa main de mon pouce. « Tu dois savoir ce qui s’est passé, je veux pas te mentir ou tricher… on avisera ensemble » Parce que je ne veux pas tricher. Je ne veux pas me mettre en couple avec elle sans qu’elle sache la vérité. « Elle m’a trompé.. depuis des mois. Elle m’a trompé et est tombée enceinte d’un autre » Je lâchais alors la main de Camila, décidant de me rassoir et je l’invitais à en faire de même. « Elle… ne m’aimait pas dans le fond. J’étais juste le père d’Orion et restait avec moi par dépit » Je haussais les épaules, m’attendant à toute sorte de réaction de la part de l’architecte. « Et sûrement qu’elle s’est rendue compte de ce que je ressentais pour toi aussi, j’en sais rien » Je m’humectais alors les lèvres pour conclure. « Le jour même de notre dernière entrevue, avec son père… le soir, elle m’avouait la vérité » Et le pire dans tout ça, c'est que je n'osais pas la regarder.

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— seattle, 2023
est-ce que j’avais l’air pathétique à le supplier de la sorte ? probablement. j’en savais rien en fait mais je m’en fichais. tant pis si j’avais l’air misérable, c’était le dernier de mes problèmes. tout ce que je voulais c’était le récupérer. alors ouais, s’il fallait que je me mette à genoux en plein milieu de ce restaurant, c’était exactement ce que je ferais parce que j’étais pas capable de faire une nouvelle fois une croix sur lui. j’en souffrais trop à chaque fois et j’étais plus capable d’avancer de la sorte. sauf qu’il abordait soudainement un air grave et j’avais peur de ce que ça pouvait présager. plongeant mes yeux dans les yeux alors que lui détournait le regard, j’écoutais seulement ce qu’il avait à dire. qu’est-ce qu’il entendait par « de la bonne façon » ? parce que concrètement, j’étais un peu perdu, pas certaine de comprendre. « ok ? » je me mordillais la lèvre inférieure pas sûre de savoir à quoi m’attendre et ça tombait finalement. elle l’avait trompé. ok. donc ce soir c’était pour ça ? parce qu’elle l’avait trompé et qu’il avait besoin de se panser le coeur ? à ce moment là, j’pouvais douter de tout mais je ne disais rien m’asseyant de nouveau à la table puisqu’il avait lâché la main. « oh, je vois. » mais moi, ça me mettait dans quelle position en fait ? parce que quelques mois en arrière je t’avais dis que je t’aimais et toi, tu m’avais juste répondu qu’il était trop tard. et là, parce qu’elle avait batifolé derrière ton dos j’étais finalement une option à envisager ? « je suis désolée pour toi » que je finissais par souffler. parce que malgré les mots forts qu’on avait pu avoir l’un pour l’autre, jamais je ne lui avait souhaité d’être malheureux. alors ouais, j’étais désolée que les choses se passent comme ça pour lui. « comment tu te sens toi ? » j’voulais même pas qu’on parle de nous parce que j’avais l’impression que ce n’était plus vraiment d’actualité.

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— seattle, 2023
J’en avais marre de faire mal les choses à chaque fois, ce n’était bon qu’à blesser les filles qui m’entouraient. Alors aujourd’hui, je m’appliquais à faire ce que je m’efforçais de faire depuis quelque temps maintenant : agir pour le mieux. Mais je n’étais pas certain que Camila veuille entendre tout ça… Peut-être qu’elle changera d’avis quand à vouloir me reconquérir, que sais-je. Je finissais par tout lui raconter à propos de Charlotte, de la tromperie, des jumeaux qui n’étaient pas les miens. Juste Orion l’était et heureusement que j’avais mon petit bout. M’installant à nouveau sur la table, face à elle, je ne savais pas tellement comment elle le prendrait mais bon… avec un peu de chance, elle apprécierait ma franchise. « Libéré » Parce que malgré tout ce que j’avais pu prétendre durant les derniers mois, je n’étais pas heureux avec Charlotte. Je n’étais pas heureux et je m’étais dit que mon destin était d’être malheureux tout le reste de ma vie. Mais qu’est-ce qu’elle pouvait en dire Camila ? Elle va croire que j’étais hypocrite ou quelque chose comme ça… je sais pas, je suis perdu. « Elle est… loin d’être ce que j’avais imaginé. Enfin je l’aimais au début puis… je sais pas, elle a changé après la naissance d’Orion et je suis resté avec elle, pour lui » Je haussais les épaules avant de baisser la tête, triturant mes doigts sans trop savoir quoi dire avant de les poser sur la table, relevant le regard pour regarder Camila, face à moi. « Je sais que ça peut porter à confusion mais je voulais être honnête avec toi. Que tu n’apprennes pas ça par quelqu’un d’autre que moi » Je passais ma langue entre mes lèvres pour continuer. « Je peux comprendre que ça te refroidisse mais.. je sais pas, j’ai envie de réapprendre à te connaître. Passer du temps avec toi et pour une fois, ne pas se précipiter toi et moi. Reprendre doucement les choses entre nous et voir si ça peut réellement marcher cette fois » Parce qu’on avait tenté, à plusieurs reprises. En vain.

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— seattle, 2023
ouais. il venait de quitter la mère de son enfant parce qu’elle le trompait alors en soit, j’avais l’impression que j’étais juste supposée être le pansement qui allait l’aider à aller mieux. sauf que c’était pas ce que moi je voulais et je refusais d’être considérée comme ça. alors bien sûr, il comptait pour moi. c’était pour cette raison que je lui demandais comment il allait mais en soit, j’avais pas envie de faire le moindre effort pour reconstruire quelque chose avec lui parce que ouais, je mentirais si je disais que je n’avais pas été refroidi par ce qu’il venait de m’avouer. alors même le « libéré » qu’il sortait semblait complètement faux. « je vois. » sauf que j’avais l’impression qu’il me tenait deux discours différent. parce que la première fois qu’on s’était vu dans mon bureau, tout allait bien avec charlotte et il n’avait pas de place pour moi. alors ouais, j’arrivais pas à discerner le vrai du faux et clairement, ça me faisait chier. « yep, t’inquiète. » est-ce que j’étais froide ? peut être un peu. mais j’crois que c’était normal dans le fond. on venait d’échanger un putain de baiser et soudainement, c’était la douche froide. « ouais.. » j’haussais juste les épaules détournant le regard. déjà, ça voulait dire quoi reprendre doucement les choses ? se voir comme si on était des amis ? sortir voir un film, se balader, prendre un verre ? j’crois qu’on se connaissait assez bien pour savoir qu’on était pas capable de se cantonner à ça. alors à quoi ça rimait sa demande ? j’en savais trop rien et sûrement que je ne faisais pas spécialement d’effort parce que ouais, il venait de toucher à ma fierté. « tu commandes quoi ? » que je demandais attrapant la carte l’air de rien. la conversation et la finalité ne me plaisait pas forcément mais.. j’crois que je devais faire avec.

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— seattle, 2023
Je savais que j’avais mal fait de lui dire la vérité mais je savais que si je ne le faisais pas, elle allait finir par le savoir et m’en vouloir encore plus. Donc l’idéal restait tout de même l’honnêteté. Elle comprendra mon geste quand elle prendra suffisamment de recul sur tout ça. Mais du coup, je ressentais le froid qui venait de s’installer, sous prétexte que j’avais quitté ma fiancée après avoir appris qu’elle m’avait trompé. Peut-être que ouais, c’était mal interprété, peut-être qu’elle le voyait de la mauvaise façon, comme si elle était un bouche trou mais non. À mes yeux, Camila était bien plus que ça et il fallait que je rétablisse la vérité. Je ne la sentais cependant pas réceptive et c’était normal je crois, les efforts étaient à fournir de mon côté et peut-être qu’un jour, on réussira à devenir vraiment heureux tous les deux. J’y croyais tout du moins. Mais alors qu’on se positionnait à table, je cherchais son regard mais elle détournait le sien et ça me brisait un peu plus le cœur. Soufflant légèrement, de façon silencieuse, je me concentrais sur le menu comme elle le faisait et sa voix se portait jusqu’à moi. Je reposais ma carte, la regardant avec un air impassible et je posais ma main sur sa carte pour la reposer, l’obligeant presque à me regarder. « Je t’oblige en rien… Si tu veux pas être là, tu peux t’en aller » Parce que je sentais sa réticence soudaine et non, je ne voulais pas de ça. Je connaissais Camila quand elle ne faisait aucun effort et c’était plus agaçant qu’autre chose.