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(OHIO) A new part of our life ft. Isacine

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Capucine se mit à bouder légèrement. C'était bien cruel de laisser son chien dans une grande. Il n'avait même jamais dormi dehors, pas même le jardin de sa maison à Londres. Du moins pas la nuit. Rags n'était pas un chien de ferme mais un chien de la ville. Et il avait l'habitude de dormir au pied du lit de Capucine, voire parfois sur le lit, prenant toute la place. Même si elle savait que ce n'était pas bien, elle s'en fichait. Rags était son gros bébé. Un petite boule d'angoisse se forma dans sa gorge à l'idée que son chien allait devoir dormir dans une grange. Enfin, visiblement elle n'avait pas son mot à dire. Mais il ne fallait pas que quiconque se plaigne si jamais Rags chouinait toute la nuit et réveillait toute la communauté. Mais Isaiha l'acheva presque en lui annonçant qu'ils allaient probablement faire chambre à part. « Ah bah super... » Voilà une idée qui ne l'enchantait. Elle était pas amish elle, pourquoi elle devait se plier à leurs règles. Surtout qu'elle n'avait jamais demandé à venir ici et que c'était de la faute de Isaiha. La jeune femme poussa un lourd soupir mais n'ajouta rien. De toute manière, elle sentait bien qu'elle n'avait pas son mot à dire sur la question. Mais tout ça n'allait pas durer. Elle allait finir par rentrer à Boston sans Isaiha en lui disant de l'appeler quand il serait de nouveau lui même. Capucine soupira de nouveau. « Bah dis donc, c'est pas très amusant la vie d'un amish... Pas d'animaux domestiques, pas de musique, pas de chauffage, pas d'électricité, pas de sexe, pas de modernité en somme... C'est triste... »

Enfin, tout ça n'empêchait pas Capucine de coller Isaiha contre elle. La jeune femme le laissa la soulever pour la mettre dans l'eau chaude, soupirant d'aise. « Ah, voilà une chose agréable ! » Et il n'y avait rien de meilleur qu'un bain pour se réchauffer et se remonter le moral. Quoi qu'une clope et un verre de vin serait le bienvenu aussi. La brune laissa le Lowell s'installer dans son dos, se collant alors contre lui quand il l'attira contre lui. Elle aimait toujours autant être dans ses bras, c'était encore mieux que d'être dans un lit. Il fallait dire que Isaiha faisait un parfait matelas. « Oui, c'est comme d'être dans une autre époque mais je suis avec toi, donc ça va. Et puis, j'ai vraiment hâte de connaître toutes les choses que tu veux me montrer ! » Capucine haussa alors les sourcils, levant son visage vers Isaiha. Est ce qu'il s'imaginait qu'elle allait demander à sa mère si elle pouvait essayer de lui trouver le meilleur médecin de la terre pour la soigner ? Et puis, comment elle allait pouvoir dire à ses parents ce qu'elle faisait dans la vie si elle ne pouvait pas parler de son travail ? Ni même de celui de ses parents ? « Et je réponds quoi si elle me demande ce que font mes parents ou même moi ? Je dois mentir ? Parce que je te rappelles que c'est dans le sang des Vickers d'être dans la médecine. » La Dunster se tourna vers Isaiha en se redressant, l'observant. « Dis moi... Tu as honte de moi vis à vis de tes parents ? Je veux dire... Je sais que je dois quand même me plier à vos « règles » mais je suis pas Amish moi. Alors, je veux bien être respectueuse mais ce serait bien de ne pas oublier que je suis... moi. Une fille du monde moderne. Une fille qui dort avec son chien, qui travail à la morgue et qui adore manger avec les doigts si elle le peut... J'ai pas envie d'être dénaturée parce que tu crains que tes parents ne m'aiment pas. Tu penses sincèrement que leur avis va compter pour nous deux ? » Dans un sens, elle, elle avait que Isaiha lui donne une réponse positive à la question. Capucine voulait qu'on l'aime pour ce qu'elle était et pas pour ce qu'elle laissait paraître. Elle n'était pas Amish, elle ferait certains efforts mais il ne fallait pas pousser. Et si cette épreuve devait briser son couple alors que Isaiha avait décidé de faire parti de son monde à elle et non des Amish, elle ne voyait même pas l'intérêt pour lui de quitter sa communauté.
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Capucine,

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Isaiha n’était pas stupide, il savait très bien comment cette nuit allait se terminer : Capucine faisant le mur pour aller dormir dans la grange et lui, la rejoignant pour être certain qu’elle puisse dormir au chaud sous une bonne couverture. Il voyait déjà le tableau et ne cherchait même pas à polémiquer sur le sujet car il savait combien ce chien était important à ses yeux. Lui-même ne pourrait pas se passer de son petit chat. Texas lui manquait déjà affreusement bien qu’il essayait de ne pas y penser. « Je pourrais jouer les mauvais fils et te rejoindre dans ta chambre mais je sais que je ne t’y trouverai pas » la taquine-t-il afin de lui arracher un sourire. Le blond avait conscience également que cette vie amish n’était pas pour lui convenir et il n’avait pas besoin de l’entendre pour en être convaincue. « C’est parce que tu vois ça d’un œil extérieur. Tu as vécu avec tout cela alors t’en priver te parait triste… Moi, j’ai grandi sans et je n’en ai pas été malheureux pour autant » hausse-t-il des épaules car après tout, on ne peut pas manquer de ce que l’on ne connait pas ?! La vie amish était à bien des égards agréables d’après lui. Pas de pollution, pas de drogue, pas de violence. Il y avait de l’entraide, du respect et une liberté totale car personne n’était dépendant de la technologie. Combien de personne voyait-il marcher le nez dans leur smartphone sans même faire attention aux autres passants ?

« J’espère que cela te plaira » murmura-t-il avec un léger sourire tandis qu’il profitait à son tour du bain. Il n’y avait pas mieux qu’un bon bain chaud pour se relaxer -et si on pouvait le partager avec une femme extraordinaire, que demander de plus ?! « Hein ?! Mais non, tu m’as pas compris » rigola-t-il avant de secouer la tête. « Il faut dire que je me suis exprimé comme un pied. Je n’ai pas honte de toi et je ne te demande pas de cacher ce que tu fais. Je me fiche bien que mes parents comprennent ou acceptent ton travail… Je voulais simplement dire… Il peut être tentant pour une étudiante en médecine de chercher à vouloir soigner quelqu’un, de vouloir faire la promotion de la médecine moderne. Je voulais simplement éviter cela auprès de ma mère car elle est profondément croyante et pour elle, si dieu décide de la rappeler à lui alors elle attendra son appel » dit-il avec une pointe de tristesse dans la voix. « C’est tout ce que je demande. Après, je n’ai rien contre le fait que tu parles de tes études tout comme je ne vais pas te forcer à changer pour leur plaire bien au contraire. Je suis fier de la femme que j’aime et de tout de manière, ce n’est pas comme si je m’attendais à leur bénédiction. Je ne suis plus un amish » répondit-il en la faisant se retourner pour qu’elle puisse lui faire face. « Capucine, je t’aime comme tu es ! Si j’avais voulu d’une femme effacée, d’une femme qui appartienne à ce monde alors je serais resté et j’aurais épousé Anna. C’est toi que j’ai choisi et je suis certain que tu leur plairas bien que je ne doute pas qu’il y aura un choc des cultures » plaisante-t-il en caressant l’arrête de son nez pour mieux tapoter le bout de ce dernier accompagné d’un sourire tendre.

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Capucine leva les yeux vers Isaiha. En effet, il avait parfaitement raison. Capucine ne serait sûrement pas dans sa chambre si elle se retrouvait séparer de son chien et de son petit ami. La jeune femme se contenta de soupirer doucement. Voilà un séjour qui n'allait pas être facile à vivre pour elle et qui risquait de vite l'agacer. Elle pouvait faire l'effort de se plier à certaines règles mais pas quand il s'agissait de totalement dénaturer les habitudes de l'anglaise. Amish, c'était bien sympa mais au bout d'un moment, Capucine sentait que ça allait vite l'ennuyer et qu'elle deviendrait assez désagréable. Elle se retenait de dire à Isaiha qu'elle allait rentrer à Boston et qu'il la rejoindrait quand il aurait terminé ce qu'il avait à faire ici. De toute manière, ici ou ailleurs, ils n'avaient même pas le droit de dormir ensembles. La jeune femme fit une moue boudeuse. « J'ai pas passé ma vie à baiser non plus Isaiha... Je sais m'en passer. » La preuve était qu'elle s'en était passée durant quatre longues années. Pour le reste, elle avouait parfaitement qu'elle n'arriverait probablement pas à s'en passer, y étant bien trop habituée.

Cependant, le séjour n'allait pas être de tout repos. La jeune femme sentait bien que le choc des cultures allaient se faire et elle allait devoir faire un gros travail sur elle même pour ne pas péter une durite. Mais Isaiha ne l'aidait pas beaucoup. Certes, il s'exprimait peut être mal mais Capucine comprenait surtout qu'elle ne devait pas être trop elle même pour éviter de s'attirer les foudres de la communauté. Elle se foutait pas mal de ce que ces gens pouvaient penser d'elle mais le problème était qu'elle ne voulait pas faire honte à Isaiha. Même s'il ne faisait plus parti de la communauté, il n'en restait pas moins un ancien membre et elle ne voulait pas qu'il parte en ayant une grosse honte sur les épaules à cause d'elle. Capucine était étudiante en médecine, oui c'était un fait qui n'était plus à présenter. Mais elle était surtout étudiante en médecine légale qui n'avait rien à voir avec ce dont Isaiha parlait. Elle se demandait d'ailleurs si elle devait réellement batailler avec lui concernant le fait que les étudiants en médecine étaient tous des cinglés qui souhaitaient soigner tout le monde. Pinçant les lèvres, Capucine fit une moue boudeuse. « Oui, d'accord. J'ai compris. Mais je suis en médecine légale. Si j'avais voulu soigner les gens, j'aurai choisi une autre branche tu sais. » Capucine observa Isaiha. Sa peine lui creva le cœur, consciente que ça ne devait pas être simple pour lui d'accepter la mort de sa mère. Mais ce n'était pas dans le caractère de Capucine de vouloir sauver la veuve et l'orphelin. Elle, elle se contenterait d'être présente pour lui et de le réconforter du mieux qu'elle pourrait, tentant maladroitement d'apaiser sa peine quand sa maman déciderait qu'il était temps pour elle de quitter ce monde. Capucine ne pouvait pas le comprendre, n'étant pas à sa place, mais elle avait beaucoup de compassion pour son petit ami et elle voulait l'aider dans cette épreuve prochaine. Capucine se tourna pour lui faire face, se penchant pour venir l'embrasser avec beaucoup d'amour. « Je t'aime aussi mon amour... Je vais faire de mon mieux pour que tu n'aies pas honte de moi et que tes parents sentent qu'avec moi tu seras bien... Mais... » Elle pinça les lèvres, se retenant de sourire. « Je ne veux pas que Rags dorme dans la grange... Sinon, je dormirai aussi dans la grange. Ou pire, je vais à l’hôtel... » Non, elle n'irait jamais à l’hôtel mais elle irait dormir dans la grange, ça Isaiha pouvait en être certain.
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Capucine,

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Isaiha grimaça au terme choisi par Capucine. Il n’aimait pas vraiment quand « baiser » sortait de sa bouche, il avait tendance à trouver ce mot plus que vulgaire. Il préférait de loin « faire l’amour » ou à la limite « coucher » avec quelqu’un. Baiser, c’était comme si l’acte n’était que bestial. « Je ne parlais pas de sexe Capucine, je me doute bien que tu es capable de tenir une soirée sans que nous fassions l’amour » soupire-t-il. Pourquoi était-elle autant sur la défensive avec lui ? Isaiha avait l’impression que la moindre de ses paroles était prise de travers. S’exprimait-il aussi mal ?! « Je voulais dire par là : la technologie et tout ce qui a fait ta jeunesse comme je sais pas, la télévision, les sorties etc. » nuança-t-il ses propos pour qu’elle comprenne qu’il parlait surtout des habitudes de vies et non de sexualité. Le Lowell s’emmêla les pinceaux en beauté au sujet de la médecine. Par moment, il avait dû mal à faire la différence tant il y avait de filière dans la branche médecine. Pour lui, tout ce qui portait une blouse blanche était médecin et désireux de sauver la planète. « Désolé, pour une fois, c’est moi qui ait fait une généralité » grimaça-t-il pour s’excuser. La dernière chose qu’il souhaitait, était qu’elle s’imagine qu’il pouvait avoir honte d’elle.

« Arrête, tu ne me feras jamais honte ! » répondit-il en secouant la tête de droite à gauche comme pour ponctuer son affirmation. « J’ai pas plus envie que tu dormes dans la grange ou que tu ailles à l’hôtel. J’ai envie de rester avec toi… Je vais voir pour que Rags dorment ici. Je ne te promets rien… par contre, il va falloir qu’on le nettoie car là c’est sûr qu’il ne rentrera pas boueux » soupire-t-il. Sa mère pousserait un hurlement d’effroi si elle voyait le chien sale en train de s’agiter dans tous les sens. Misère, il avait complétement oublié que les repas ici était en famille. Capucine allait devoir se farcir tous les Buchanan et participer à la préparation du repas étant donné que les femmes s’occupaient du foyer. Il allait peut-être attendre avant de le lui dire sinon, elle allait partir en courant. « Je suis en train de me dire qu’en voyant ma famille, tu vas vouloir partir en courant… Finalement, c’est peut-être moi qui vais te faire honte tant tu vas avoir l’impression de vivre à une autre époque » marmonne-t-il en rêvant de se noyer dans l’eau de la baignoire. « Au pire, on peut se rejoindre à l’hôtel demain matin et retourner sur Boston ensemble ? » propose-t-il en essayant de lui épargner un choc des cultures qui peut-être la poussera à se dire qu’il est perdu pour les Etats-Unis.


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La conversation dans le bain n'était pas réellement celle que Capucine attendait. Elle était encore pas mal stressée de ce qu'avait fait Isaiha. Elle ne lui en voulait plus bien sur mais la tension restait un minimum palpable. La jeune femme soupira doucement et préféra se taire, se collant de nouveau contre son Lowell. Tout ce que voulait l'anglaise, c'était d'être de nouveau en paix avec l'amour de sa vie. Elle en avait déjà perdu un, très brutalement et la crainte que ça ne recommence se faisait bien sentir. Isaiha était probablement à des années lumières de ce que ressentait la brune pour lui. Il se doutait bien qu'elle était amoureuse, elle le lui montrai bien assez comme ça pour qu'il n'en doute pas et sa réaction suite à son départ surprise en était la preuve. Mais le problème était que Capucine avait toujours très peur de le perdre, de redevenir cette coquille totalement hermétique. Paris savait ce que Capucine encourait à rouvrir son cœur de la sorte, il l'avait vu sombrer, au plus bas, dans des états pitoyables. C'était même presque un miracle qu'elle n'ai pas finit par coucher à droite à gauche comme l'aurait fait les autres. Capucine s'était simplement fermée aux autres, jetant la clé dans le vide pour ne jamais la retrouver et ne plus jamais souffrir. Isaiha n'avait assisté qu'à la fin de son malheur et quand il était entré dans sa vie par le biais de Sofia, Capucine s'était sentie de nouveau bien. Même s'il avait fini par s'attacher à une autre femme qu'elle, Isaiha était resté dans son cœur. Aujourd'hui, il était son petit-ami et Capucine n'avait pas envie d'un autre homme que lui. Et elle se sentait elle même avec lui, jamais bridée. Aussi, les règles strictes et inutiles des amish la contrariaient quand même pas mal.

La jeune femme redressa doucement son visage pour l'observer. Elle ne faisait pratiquement jamais de caprices, étant quand pas mal facile à vivre sauf quand elle faisait sa tête d'âne, étant particulièrement têtue. Mais là, ça concernait Rags, son amour de chien. Et elle n'avait envie d'être séparée ni de Rags ni de Isaiha. « Oui, bien sur qu'on va le nettoyer... » Capucine avait envie de faire un compromis. Rags n'était plus le chien fougueux de sa jeunesse et Capucine l'avait très bien dressé. Il ne venait jamais réclamer à table sauf si Capucine l'appelait. Aussi, s'il devait se retrouver couché dans un coin de la salle à manger et attendre que sa maîtresse termine son repas, il le ferait. Capucine n'avait juste pas envie de couper les habitudes de son chien, ça pouvait être très traumatisant. Même l'animal avait mis du temps avant de comprendre que Jorah ne reviendrait jamais. « Tu racontes n'importe quoi Isaiha. Je n'aurai jamais honte de toi ou de ta famille. Je sais ce que vous êtes, je l'ai très bien compris, ne t'en fais pas... Je ne veux pas qu'on soit séparés ni te séparer de ta famille pour le moment. Je suis contente d'être ici, je ne veux juste pas que Rags dorme dans la grange. Et qu'on fasse chambre à part. Après, si je dois m'habiller comme une amish et me couper de la technologie le temps de vivre ici, je le ferai sans problème. » Sans problème... C'était bien vite dit. Capucine ne se rendait absolument pas compte de ce que c'était de vivre comme un Amish.
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Isaiha ne pourrait jamais avoir honte de Capucine. Il savait pourtant qu’elle dénoterait avec les femmes amish mais n’était-ce pas pour cela qu’il était tombé amoureux d’elle ? Elle était la seule femme à pouvoir le gifler sans qu’il ne parte dans une colère noire. En fait, elle pouvait faire tout et n’importe quoi de lui tant qu’elle restait aussi amoureuse de lui qu’il ne l’était d’elle. Il était tout de même rassuré qu’elle n’ait pas honte de lui car accepter qu’il était un ancien amish était une chose mais se confronter à son ancien monde en était une autre. « Tu sais, j’ai toujours voulu jouer les mauvais garçons et escalader le mur d’une maison pour y retrouver ma petite-amie. Cela pourrait être l’occasion rêvée d’essayer » dit-il avec un sourire amusé avant de l’embrasser tendrement pour mieux attraper le salon et commencer à la nettoyer avec délicatesse. « Je sais que Rags est un chien bien éduqué alors on ira le nettoyer et je parlerai à mon père. Je vais en avoir des choses à lui dire : Rags, toi… pas forcément dans cet ordre » plaisante-t-il tout en la repoussant de sorte à pouvoir nettoyer son dos, jouant de ses mains savonneuses pour la masser. « Au fait, ma sœur va nous rejoindre demain. Elle voulait faire partie du voyage mais elle avait un empêchement. Nous avons décidé de dire au revoir à notre famille en même temps » lui annonce-t-il. Isaiha avait encore beaucoup de choses à lui dire mais il n’avait pas envie de gâcher leurs retrouvailles par des détails inutiles songeait-il alors qu’il la rinçait pour lui ôter le savon. « Je pourrais m’habituer à ce genre de vie… Je veux dire prendre soin de toi au quotidien… Cela me plait » partageait-il. Casey lui avait reproché de passer trop de temps en compagnie de Capucine mais il n’arrivait pas à s’en empêcher car il l’aimait tout simplement. C’était la première fois qu’une femme lui donnait envie de vivre sa propre vie et d’arrêter de s’inquiéter pour les autres ou pour sa sœur. Auprès d’elle, il avait tellement envie de s’émanciper, de prendre son envol. Malheureusement sa sœur n’était pas encore prête à cela. « J’arrive de moins en moins à te quitter… j’aimerai pouvoir te garder dans mes bras » dit-il avec un petit sourire attendri.

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Capucine observa Isaiha un court instant avant de se mettre à rire, secouant son visage. « Bon si c'est un de tes fantasmes... On peut s'arranger pour faire chambre à part si tu me promets de venir me rejoindre. Par la fenêtre ! » Elle se fichait pas mal de la façon dont il la rejoignait, tant qu'elle ne se retrouvait pas à dormir toute seule. Elle n'avait pas voulut d'un petit ami si c'était pour faire chambre à part quand ils étaient sous le même toit. Déjà que ça lui crevait le cœur quand il devait rentrer chez lui pour passer du temps avec sa sœur. Mais bon, Capucine ne disait rien. Casey était là, présente dans la vie de son blond alors elle se devait d'accepter que de n'être placée quand second dans sa liste de préférence. Et puis, elle n'était que sa petite amie, c'était bien logique qu'elle ne soit placée qu'en second. Ça lui permettait de bosser ses cours ou de jouer à la console. Au moins, elle prenait un peu de temps pour elle, essayant de le faire passer plus vite pour vite retrouver son amoureux. Elle n'aimait pas être loin de lui et elle tentait de ne pas penser à lui, de ne pas le harceler de SMS pour éviter que sa jumelle ne la trouve trop envahissante. « Je sais que tu sauras trouver les mots. » Capucine sourit doucement, laissant Isaiha la laver. « Ah oui ? Oh, j'ai hâte de la voir alors ! J'espère qu'elle ne m'en voudra pas d'être là alors ! » Lança t-elle en grimaçant un peu. Pas sûre que Casey apprécie que Capucine soit dans la maison de son enfance. Mais après tout, ce n'était pas prévu. Et peut être que ça pouvait les rapprocher. Capucine n'avait jamais trop aimé aller chez Isaiha, même quand ils étaient de simples amis. Casey lui avait toujours fait sentir qu'elle dérangeait un peu alors elle avait toujours évité un maximum d'aller chez l'Amish si Casey était là. Mais maintenant que Capucine était amoureuse et en couple, elle aurait aimé pouvoir se rapprocher de sa belle famille. La brune sourit doucement, se penchant pour embrasser son adorable Lowell. « J'adorerai ça aussi tu sais... Je n'aime pas être séparée de toi.. » La brune lui caressa doucement la joue puis la nuque. Chaque fois qu'elle le regardait, elle avait des fourmis dans l'estomac. Son cœur battait la chamade dans sa poitrine. Elle adorait se tenir près de son amoureux, lui parler, l'écouter parler, le voir sourire et l'entendre rire. Isaiha était un véritable rayon de soleil dans la vie grise de Capucine. La petite brune n'avait jamais imaginé pouvoir se sentir de nouveau heureuse et rien ni personne ne pourrait les séparer, elle en était presque certaine de ça. Peut être qu'à leur retour, Capucine pourrait envisager que Isaiha emménage avec elle.
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Capucine,

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Ce qu’il appréciait avec Capucine, c’est qu’il pouvait dire toutes les bêtises du monde, elle ne le jugeait pas. Au contraire, elle était toujours partante pour lui permettre de faire de nouvelles expériences comme aujourd’hui. « Je savais bien que j’étais tombé sur la plus merveilleuse des femmes… J’ai l’impression d’être capable de soulever des montagnes grâce à toi » dit-il avec un tendre sourire. « Tu es toujours partante pour me suivre et me permettre de réaliser des envies que je ne pensais jamais combler » ajoute-t-il avec un sourire toujours aussi amoureux. Isaiha vivait un rêve éveillé auprès de sa petite brune. Il n’avait jamais pensé qu’un couple pouvait être aussi fusionnel mais ce n’était pas pour lui déplaire. Auprès d’elle, il avait l’impression de réussir sa vie et surtout de se rapprocher de son idéal sentimental à savoir le couple formé par ses parents. Le jeune homme avait toujours souhaité connaitre ce même bonheur et il y était parvenu. Le seul point noir à ce tableau était l’attitude de Casey envers Capucine. Isaiha ne savait pas comment régler le problème tant sa sœur pouvait se montrer butée. « Je ne lui demande pas d’aimer, tu es là et c’est le principal à mes yeux » répondit-il sans hésitation. Sa sœur devait accepter la présence de Capucine car pour une fois, il ne voulait pas se sacrifier. Il était heureux alors si elle l’aimait autant qu’elle le lui disait depuis des années, elle serait heureuse pour lui, pour eux. Là dans ce bain, Isaiha mesurait combien sa compagne avait pris une place importante dans sa vie. Il éprouvait de plus en plus de difficulté à être loin d’elle. Il voulait passer le moindre temps en sa compagnie mais aussi pouvoir la tenir dans ses bras la nuit. Le jeune homme voulait vivre avec elle. Mais n’était-ce pas trop tôt ? Peut-être que ce sentiment finirait par devenir moins présent avec le temps ? Mouais, il avait bien plus l’impression que cela ne ferait qu’empirer plutôt car son amour pour Capucine ne cessait de s’accroitre dans son cœur. « Finalement, j’adore les vacances car ce sont durant ces moments que nous pouvons rester ensemble. J’ai pris trop goût au fait de dormir avec toi. Je crois que mon père pourrait tout barricader autour de toi, je trouverai encore un moyen de me glisser dans tes draps » plaisanta-t-il avant de l’embrasser tandis que ses mains caressaient ce magnifique corps, s’attardant sur la rondeur d’une hanche. « Est-ce mal si j’ai envie de réaliser un nouveau fantasme ? » rigole-t-il en frottant le bout de son nez contre le sien. « J’ai follement envie de te faire l’amour dans mon ancienne chambre… C’est mal ? »

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Capucine haussa les sourcils, un peu étonnée tout de même. Isaiha avait déjà eu l’envie de rejoindre une fille dans sa chambre en passant par la fenêtre. Elle peinait un peu à y croire tellement le Lowell était bien trop sage à ses yeux. D’ailleurs, elle aurait aimé qu’il soit plus souvent un vilain garçon mais elle n’avait aucune envie de le brusquer. Elle préférait qu’il devienne ce qu’il avait envie de devenir par lui-même et non parce qu’elle le lui avait suggéré. « Tiens donc, parce que c’est une envie qui te poursuit depuis longtemps ? » Le taquina-t-elle en plissant les yeux avant de sourire. Elle n’avait pas envie qu’il le prenne mal, surtout qu’elle se fichait un peu de ce dont il avait eu envie par le passé. Enfin, contrairement à Jorah, Isaiha était un saint. Capucine savait parfaitement que Jorah et Paris s’étaient mutuellement influencés et qu’ils avaient été tous les deux des queutards. Heureusement pour elle, Jorah n’avait pas joué avec son cœur comme il avait pu le faire par le passé avec ses conquêtes. Et Capucine s’était toujours vantée d’avoir réussi à poser Jorah sentimentalement. Isaiha était complètement différent. Très sage et assez réservé, parfois même choqué de ce que Capucine pouvait lui demander. Mais c’était ce qui plaisait à la Dunster. C’était même parfois très amusant.

Casey devait arriver le lendemain et Capucine savait pertinemment que la sœur jumelle de Isaiha n’allait pas du tout apprécier sa présence. Mais il fallait bien qu’elle se fasse une raison à un moment non ? Enfin, Capucine avait toujours eu ce sentiment de malaise vis-à-vis de Casey à partir du moment où elle avait fait partie de la vie du Lowell. Pourtant, elle n’avait jamais tenté de les séparer ou de se mettre entre eux. Enfin, elle espérait tout de même que Casey ne fasse pas un scandale de sa présence ici. Capucine ne disait rien pas parce qu’elle n’avait rien à dire mais parce qu’elle estimait que tout ça ne la concernait pas réellement. Enfin, c’était à Isaiha de régler ce souci avec sa sœur et non à Capucine. Mais elle sentait bien qu’un jour elle allait devoir s’en mêler. Pour le moment, elle voulait surtout profiter de son Lowell et ne s’occuper que de lui. Un rire franchit les lèvres de la Dunster avant qu’elle ne se penche pour l’embrasser. « Ah ! Je te reconnais bien là mon Yaya !! Et j’aime savoir que tu ferais n’importe quoi pour me rejoindre !! » La petite anglaise se mordit la lèvre en admirant le grand blond. Puis, elle se leva et quitta la baignoire en prenant une serviette pour enrouler son corps avec. Elle fit mine de se regarder dans le miroir avec la plus grande indifférence. « Hum… Je ne sais pas trop. Peut-être que Dieu te pardonnera si on se dépêche avant le retour de tes parents… » Après tout, elle, elle n’allait pas dire non. Elle n’était pas croyante et ses parents ne lui interdiront jamais de faire ce qu’elle veut dans sa chambre tant que ça ne nuit pas au bien-être familial. Doucement, elle laissa la serviette tomber sur le sol avant de jeter un regard en coin à Isaiha, partant lentement vers la chambre de ce dernier. « Je vais aller m’étendre toute nue sur ton lit !! » Bon dieu que cet endroit pouvait l’exciter. Le fait d’être comme dans une autre dimension lui donnait des idées folles. Et Isaiha ne l’aidait absolument pas avec ses fantasmes.
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Capucine,

you fill my lungs with sweetness and i fill my head with you





Isaiha avait éclaté de rire à sa question. « Oh non ! Du tout… je m’étais juste dit que si un jour, les femmes m’intéressaient, je serais amusé par le fait de braver un interdit. Je pense que c’était mon côté rêveur. Il m’arrivait souvent de me dire : qu’est-ce que tu ferais si tu tombais un jour amoureux ? Je m’étais figuré plein de choses et au final, je n’ai absolument rien fait de tout ça car avant de partir, aucune femme n’avait provoqué d’étincelles. J’avais même commencé à me demander si je n’étais pas attiré par les hommes. Tu ne peux pas savoir comme j’ai été soulagé en me rendant compte que ce n’était pas le cas » dit-il avec un sourire amusé. Isaiha avait un peu de mal avec l’homosexualité étant un croyant convaincu mais il aimait se dire qu’il gardait un esprit ouvert. « Et toi, quelle est la folie que tu serais prête à faire par amour, à moins que tu l’aies déjà faite ? » lui demanda-t-il curieux. Avec le recul, le jeune homme n’avait commencé à devenir un peu fou au contact de Capucine. Avec Amanda, il était resté sur la réserve, comme s’il savait en son for intérieur que l’amour existait entre eux mais que ce n’était pas celui qui le révélérait en tant qu’homme. Aujourd’hui, il se sentait pleinement épanoui et confiant si bien qu’il osait les choses, developpant une nouvelle facette de sa personnalité plus encline à la sensualité.

Casey pensait que Capucine le changeait en mal mais lui, au contraire, se sentait vivre pour la première fois de sa vie. Auprès de sa brune, il avait l’impression d’être à sa place, d’avoir enfin un but dans la vie autre que ses bouquins ou ses plantes. Sa Dunster avait conquis son âme, son cœur ainsi que son corps. Il lui appartenait corps et âme qu’importe que cela ne plaise pas à Casey. Sa sœur pourrait au moins être heureuse pour lui soupira-t-il intérieurement. La seule chose qu’il espérait, c’est bien que sa petite-amie ne se mette en tête de le quitter pour empêcher l’implosion des jumeaux. Il en était certain qu’elle préférait se sacrifier plutôt que de le voir souffrir à cause du fossé qui s’installait peu à peu entre sa sœur et lui. Le problème c’est qu’Isaiha pouvait plus se passer de sa brune adorée. « Tu sais que j’adore quand tu m’appelles ton Yaya… La première fois que tu m’as appelé comme ça, je me suis senti accepté pour la première fois de ma vie par une autre personne qu’un membre de ma famille » avoua-t-il avant qu’il ne se laisse aller à un nouveau fantasme. Il n’en fallait pas plus pour sa petite-amie pour qu’elle quitte la baignoire et ses bras pour gentiment l’allumer. « Petit démon » rigole-t-il avant de se lever pour se sécher brièvement et la rejoindre dans sa chambre, la fermant à clé au passage. « Tu ne pourras pas m’échapper comme ça… Je serais un peu le gardien de cette chambre » plaisante-t-il en plaçant la clé au-dessus de son armoire pour mieux s’approcher d’elle et venir s’étendre sur elle pour l’embrasser langoureusement.


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