Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityThere's a reason why I carry on when I lose the fight; you • Denleigh - Page 5
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There's a reason why I carry on when I lose the fight; you • Denleigh

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Son baiser volé tu ne l'avais pas vu venir, mais vraiment pas. Et tu le pris à la plaisanterie, lui demandant si c'était une nouvelle façon de te remercier. Connaissant vos façons bien spéciales de sceller vos deals, pourquoi pas ? Il avouait juste en avoir eut envie, sans chercher à sortir une excuse bidon. Okay, tu approuvais la sincérité dont il faisait preuve, même si... ça tournait de plus en plus ambiguë entre vous. Loin de te déplaire, tu commençais peut être à prendre goût à ce jeu qui s'installait de plus en plus depuis des semaines. Surtout depuis le spring break. Et si la veille il n'avait pas vu venir ton plan du réveil en musique puis de la bouteille d'eau sur lui, là, il te faisait bien comprendre qu'il était prêt pour contre attaquer en cas de besoin. Bouteille toute prête sur la table de nuit, tu souriais, non sans le taquiner sur la veille, sur cette remarque qu'il avait fait sur ton haut collant ta peau et son envie de te voir l'enlever. 'Même pas cap', voilà les mots qui avaient envie de sortir d'entre tes lèvres, pour le défier de t'arroser comme la veille. Sauf que tu savais comment ça finirait : encore en bataille d'eau. Probablement même en plus que ça, avec cette tension qui était plus que palpable entre vous et vos deux corps mouillés. Tu te retins, parce que t'avais prévu tout autre chose pour lui ce matin, avec ce délicieux jus d'orange que tu lui avais si bien vendu pour qu'il ait envie d'y tremper ses lèvres. D'ailleurs, tu allais prendre le plateau pour le mettre sur le lit et le rejoindre, côte à côte, pour prendre ce troisième petit déjeuner, ensemble. Il restait quatre réveils, alors tu le questionnais sur ce qu'il aimerait avoir les jours suivants. Là encore, il te prit au dépourvu. Il voulait le même que celui de lundi, et à son regard, son sourire, tu savais qu'il n'évoquait pas le repas, plutôt la façon dont vous aviez utilisé ce repas pour remettre le couvert. C'est que lui aussi prenait goût à ce jeu, ne s'y cachant plus du tout. Donc pancakes aux pépites de chocolat, avec des fruits, jus d'orange et café ? Sourire remplit de malice, tu rapproches finalement ton visage de lui, pour souffler dans un murmure : ou tu veux dire, ce genre de petit déjeuner... et pour accompagner tes mots, tes lèvres frôlèrent les siennes pour déposer un simple baiser au coin de vos lèvres. Joueuse, tu te reculais finalement pour finalement le laisser boire son jus de fruit. Restant sérieuse, cachant tout sourire qui mourrait d'envie de se dessiner sur tes lèvres, tu l'observais du coin de l'oeil. C'est pas une petite gorgée qu'il prit, mais une bien grande. Sa tête tu ne la manqua pas. Grimace de surprise, peut être même d’écœurement, il porta sa main à sa bouche mais avala le tout. Tu éclatas ainsi de rire, alors que le nain grincheux en lui, prenait possession de son corps. Denys n'était pourtant pas décidé à se laisser faire aussi facilement. Menaçant, tu regardais sa main prendre la bouteille d'eau près de lui. Avant toute action, tu levas ton index pour le stopper dans son élan et ainsi prendre ta propre défense. Tu veux des petits déjeuners comme lundi non ? T'es pas au courant que c'est toujours meilleur ce genre de petit déjeuner après une dispute ou une guerre ? dis-tu avec ce sourire sournois, alors que tu rigoles à nouveau. Oh oui il doit bien s'en douter vu que lundi vous n'étiez justement pas en très bon terme quand vous avez fini par déraper. Tu le taquines donc, te doutant bien que quoique tu fasses, tu subiras les conséquences de cette vodka orange du matin...

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]Le mercredi...

  C’était naturel, c’était presque normal, ce baiser volé rapidement, furtivement, qui ne passait pourtant pas inaperçu puisqu’elle le soulignait. Mais la justification, simple, franche, directe, qui aurait surement pu la mettre mal à l’aise, passa tout aussi naturellement, noyée dans notre flot de taquineries habituelles et mes semi menaces sous fond de bouteille d’eau à portée de main. Et puis, on se concentra sur le repas, le plateau, le petit déj, tout en discutant de ceux à venir, de ce que je préférais donc pour les autres matinées. C’était tout aussi naturellement que je réclamais une répétition du réveil du lundi. Lorsqu’elle fit mine de ne comprendre que la partie gustative de la chose, répétant ainsi le menu, un large sourire amusé se dessina sur mes lèvres. « Des fruits surtout, des framboises… » Ca avait commencé par ça, les framboises et ensuite tous les autres fruits qu’on avait dégusté sur le corps de l’autre… Sauf qu’Ash avait très bien comprit, et elle s’approcha de moi, murmurant contre mes lèvres, me demandant de préciser si c’était au menu ou au reste que je me référais, ponctuant sa phrase d’un baiser au coin de mes lèvres… Lueur de désir dans les yeux, je la dévorais du regard avec envie. J’allais vraiment finir par le lui retirer son T shirt, même si il était complètement sec ce matin… Et c’est peut être aussi pour calmer un peu ce flot de pensées pas très sages qui me gagnait que je finis par me saisir de mon verre de jus d’orange, très bien vendu par la demoiselle, du frais, du pressé main, un régal pour mes papilles… Ouais ouais, je déchantais bien vite, grimaçant, retenant mon envie de tout recracher alors que la brulure typique de l’alcool dans ma bouche se faisait sentir. A cette heure là, au saut du lit, ça aurait pu être des coups à tout vomir… Mais la gorgée passa quand même, non sans gricher. Ni une, ni deux, je fondis sur mon ‘arme’ ma bouteille, commençant à en dévisser le bouchon, menaçant ma meilleure amie qui tenta de marchander, de me stopper, évoquant le petit déj de l’avant veille. « Je vais être bon joueur, je te laisse cinq secondes d’avance pour t’échapper, après je te préviens je te course et je m’assure de ta douche matinale… » rigolai-je, ne comptant pas la laisser s’en sortir indemne. Guerre ou pas guerre, dispute ou pas dispute, vodka ou pas, j’aurais toujours envie d’elle de toute façon.
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S'il avait eut cette envie soudaine de t'embrasser, juste comme ça, et s'il avait donc envie de continuer ce jeu d'ambiguïté, il allait être servit. Parce que quand il demanda le même petit déj que le lundi pour les jours à venir, tu t'amusais de la situation, reprenant le menu du premier jour du défi, alors que tu savais à la perfection qu'il ne pensait pas à ça. Tu le compris que plus quand il évoqua surtout les fruits et les framboises, dont il voulait le plus. Comme de par hasard quand c'était ces aliments qui avaient surtout servi de dégustation sur le corps de l'autre. Tu vins te rapprocher de lui donc, lui faisant comprendre ce qu'il entendait vraiment par le même petit déj que le lundi, frôlant ses lèvres, puis déposant un simple baiser sur le coin de sa bouche, histoire de lui donner envie d'un vrai baiser. Le narguer, attiser le désir, voilà à quoi tu t'amusais. Lui laissant alors l'espace nécessaire pour goûter au repas, le jus d'orange dans ses mains, ta plaisanterie à deux doigts de fonctionner... Bingo, il avala une bonne gorgée d'un coup, grimaçant, râlant même. Et toi tu ne pouvais que rire, devant cette image, ce piège que tu lui avais concocté. Mais le jeune homme n'était pas décidé à en rester là. Bouteille en main, bouchant dévisser, regard joueur et paroles menaçantes, tu le stoppais, histoire de prendre ta défense et qu'il ne fasse pas ce à quoi il s'apprêtait à faire. Tu avais plus de pouvoir que ça sur lui mais, pas ce matin, pas après cette blague. Il était plus que déterminé à te vider le contenu dessus, te laissant juste cinq secondes, pas une de plus, pour fuir. T'es sur de toi ? dis-tu en commençant à t'éloigner de lui, descendant du lit. Si tu fais ça, tu vas le regretter continues-tu, debout, face à lui, essayant d'être menaçante mais surtout le sourire aux lèvres. Tu partis aussitôt en courant, fuyant vers la cuisine, ouvrant le frigo, à la recherche d'une bouteille d'eau. Bien sur y en avait pas. Fait chier lâchas-tu. T'étais joueuse mais, mauvaise joueuse et perdante aussi. Tu vis alors la chantilly et l'attrapa aussitôt. Ca suffirait comme arme. Planqué devant le frigo, quand tu entendis les pas de Denys se rapprocher de l'objet, tu sortis de ta planque venant l'asperger de chantilly sur le visage puis sur les cheveux. Joueuse, une fois encore, tu ne pris pas la fuite, préférant venir avec ta main libre étaler la crème bien sur son visage, son cou, et t'essuyer la main sur son torse, riant de bon coeur.

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On se disait pas bonjour avec un baiser, aussi rapide soit-il, quand on était meilleurs potes. C’était typiquement le genre de truc qu’aurait fait flipper la jeune femme en temps normal, mais peut être que fier de mon statut de prince servi au lit je prenais mes aises, à moins que c’était le tournant plus qu’ambigu que prenait notre relation depuis le Sb. Ou alors un mélange des deux… Mais en tout cas, j’étais suivi par la jeune femme, qui s’amusa au même égarement de sa bouche, juste au coin de la mienne, quelque chose de trop furtif pour être vraiment qualifié de baiser, juste assez pour réveiller mon appétit. Appétit qu’aucune tartine sur ce plateau ne saurait assouvir.  J’étais en train de trouver un moyen de calmer mon esprit, mes pensées pas très chastes qui me gagnaient, en me concentrant donc sur le petit déjeuner. Le jus d’orange comme issue. Je n’allais pas être déçu du voyage. Parce que l’ambiance passa de sulfureuse ment ambiguë à… cours de maternelle. La boisson était truquée, piégée à la vodka, et il ne m’en fallait guère plus pour m’armer de ma bouteille d’eau. Grand seigneur, je laissais cinq secondes d’avance à la blonde pour filer, j’avoue que c’était aussi parce que j’avais pas encore envie que ma literie trinque de nos batailles matinales. Alors si la douche froide d’Ash pouvait avoir lieu ailleurs que sur mes draps, merci…  d'un coup, grimaçant, râlant même. Et toi tu ne pouvais que rire, devant cette image, ce piège que tu lui avais concocté. Mais le jeune homme n'était pas décidé à en rester là. Bouteille en main, bouchant dévisser, regard Elle fila et je la coursai après avoir à peine respecter l’avance annoncée, la suivant jusqu’à la cuisine sans prendre la peine de me couvrir, vêtu du simple calbut qui me servait de pyj’. Je la retrouvais dans la cuisine, elle déboula du frigo mais avait eu le temps de s’armer. Et si j’envoyai un jet d’eau de ma bouteille dans sa direction, c’était déjà trop tard je me ramassais de la chantilly en pleine figure, dans les cheveux, sur mon torse… Et alors qu’elle, elle me tartinait de crème fouettée, moi je finis de vider la bouteille au dessus de sa tête. Moi tout crémeux, elle dégoulinante. Nous deux hilares. Ashleigh 2 ans. Denys 3 ans. Tout va bien, rajoutez juste un 2 devant pour obtenir nos vrais âges… Quoi que, des gosses n’auraient pas la réaction que je commençais à avoir alors que ses mains étaient contre mon torse, que mes prunelles profitaient de la transparence de son T shirt…

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Tu avais voulu jouer, piégeant son jus d'orange avec un peu de vodka. Fallait donc s'attendre à ce qu'il réplique. Ca ne loupa pas. Il se fit menaçant avec sa bouteille d'eau, te laissant tout de même cinq secondes pour fuir. Direction la cuisine, tu cherchais de l'eau toi aussi, pour avoir de quoi lui jeter dessus en contre attaque mais, pas de bouteille. C'est la chantilly qui tomba dans ton viseur et qui allait faire l'affaire. Planqué, tu l'attendais donc et te jeta sur lui quand il se fit tout près du frigo. Bombe en main, doigt appuyé sur le 'viseur', tu reçus un jet d'eau, tandis que tu te chargeais de lui refaire le portrait de chantilly. Etalant avec ta main sur son visage, ses cheveux, tu sentais de ton côté l'eau dégoulinait sur ton crâne, trempant tes cheveux, ainsi que le haut de ton corps. Noyée, lui badigeonnait de crème fouettée, vous étiez beau à voir. Tu t'essuyais sur son torse pour enlever le restant de crème sur ta main, rigolant de plein coeur de vos bêtises. Y en avait jamais un pour rattraper l'autre. Mais c'était ça que tu aimais chez lui, chez vous. Cette facilité à rire, à partir en enfantillages, à faire des conneries, des batailles de tout et rien. Toujours avec le sourire, la bonne humeur. Votre complicité toujours présente, grandissante de jours en jours. Il était évident que vous vous entendiez à merveille et ça se voyait de par vos façons de vous chercher constamment, comme là. A croire que des années d'amitiés étaient derrière vous. Mais non, juste un lien plus que fort. Juste destinés à être sur le chemin de l'un et l'autre, après plus de vingt ans d'années manquées. Mes yeux sont là dis-tu au mather, pointant tes yeux de ton index et majeur, ayant bien vu son regard s'arpentait sur ton haut qui se faisait transparent avec l'eau. T'as eu ta vengeance c'est bon ? Sourire espiègle, tu t'approches un peu plus de lui, venant passer un petit coup de langue sur une de ses joues, afin d'attraper de la crème chantilly. C'est comme les framboises, ça a meilleur goût de cette façon le taquines-tu en attrapant à nouveau de la crème, cette fois ci avec ton index, portant ce dernier entre tes lèvres, de façon sensuel et provocante. Si on se fait virer de la coloc, ça sera ta faute. Tu rigoles. Kacy vous fera pas ça, bien que vu le bordel que vous faites sans cesse, ça pourrait se comprendre.

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Comme si la cuisine avait besoin de voir la tornade Aslheigh/Denys se déferlait sur elle. Entre l’eau qui éclaboussait la demoiselle, et arrosait au passage le carrelage de la pièce, et la chantilly qui s’échappait de la bombe pour me repeindre le visage, volant également un peu sur les meubles de cuisine autour de nous, on allait être propre et l’endroit aussi… Mais qu’importe, sur le moment, on se marre, on se venge, on s’amuse.  On se comportait comme deux gosses, sauf peut être mes yeux, mon regard un peu trop intéressé par ses courbes qui pour le coup n’avait plus rien d’enfantin. Elle le capta, et me signifia la localisation de ses prunelles avec amusement. « Je vérifiais juste que je t’avais suffisamment arrosée… » Excuse bidon pour justifier le matage. En tout cas, à sa question, j’acquiesçai : « En effet, j’ai eu ma vengeance, mais la chantilly ne faisait pas partie du programme normalement. Je vais devoir me re-veng… » Sa langue contre ma joue me fit perdre le fil de mes pensées, me coupant dans ma phrase, me stoppant… Et l’évocation des framboises… Ca + son T shirt transparent, non, fallait pas me faire ça au réveil, sinon je ne répondais plus de moi. « Ash, arrête ça… » la stoppai-je, sans réussir à détacher mes yeux d’elle pour autant, ne ratant rien de son petit jeu, de son petit geste, e sa façon sensuelle d’amener son doigts à ses lèvres pour goûter à nouveau un peu de crème fouettée. « Sinon, je t’assure que c’est moi qui vais te dévorer… Sans framboises et sans crème chantilly… » Juste ta peau, tes lèvres, toi toute entière dévorée par mes baisers… Et d’ailleurs, comme pour mettre mes menaces à exécution, mes mains s’ancrèrent sur ses hanches, la soulevant pour venir la poser sur le plan de travail juste derrière nous. Mon visage tout proche du sien, joueur, ignorant la réflexion sur notre potentielle expulsion de la coloc, bien trop obnubilé que j’étais par Ashleigh à cet instant précis, je lançai : « Tu l’as déjà fait sur le plan de travail d’une cuisine ? »

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Vous deux réunis, vous étiez comme des enfants en maternelle. Les enfantillages fusaient a tout va, avec une bataille d'eau et d'oreiller la veille et cette fois, remettant la bataille d'eau mais avec une de nourriture également. Au moins, vous vous amusiez. Et ça renforçait toujours plus votre lien, votre amitié, aussi particulière qu'elle était, surtout depuis les dernières semaines. Cette ambiguïté elle ne passait pas inaperçue. Entre sous entendus, regards évocateurs, gestes parfaitement choisis, c'était presque devenu naturel d'agir ainsi avec l'autre. Comme son regard sur ton haut transparent grâce à l'eau. Ou ta remarque comme quoi tu l'avais bien vu se rincer l'œil. Mais tu en riais, ne le prenant pas mal. Le prenant peut être même bien, voyant qu'il s'y intéressait, à ton corps, a tes formes. La séductrice en toi ne pouvait qu'apprécier ce regard qu'il posait sur toi. Tu en jouais d'ailleurs. Venant lécher sa joue, du bout de ta langue, afin de récupérer de la crème chantilly. Toujours joueuse, commentant que c'était une meilleure dégustation sur lui que tout seul. Continuant de jouer, portant ton doigt plein de crème fouettée, entre tes lèvres, de cette façon un peu aguicheuse, parlant d'un sujet des plus basiques, comme si tu faisais rien de spécial. Comme si tu le cherchais pas du tout. Ça marchait, parce qu'il demanda de stopper ton manège, sinon... Sinon il allait te dévorer sans besoin de framboises ou chantilly. Un sourire malicieux prit place sur tes lèvres, tandis qu'il déposa ses mains sur tes hanches, te déposant sur le plan de travail. Surprise, tu ne pus sourire que de plus belle. Tes yeux clairs plantaient dans les siens, tu soutenais son regard alors qu'il posa cette fameuse question que vous aviez prit un peu trop l'habitude de demander à l'autre, pour le tester... Prenant appuie sur le plan de travail à l'aide des paumes de tes mains, tu ne le lâchais pas pour autant du regard. Sur le plan de travail d'une cuisine ou, de cette cuisine... ? demandes-tu, sourire au coin des lèvres, joueuse, presque défiante, alors que tu te rapproches de lui, de son visage, dangereusement. Pour finalement venir prendre un peu de chantilly, avec ton pouce, glissant ce dernier sur sa lèvre inférieure, avant de le porter à ta bouche, prenant bien ton temps pour savourer la chantilly, exagérant bien, avec un huuuum d'une voix base, bien tempérée et calculée. Jamais, ni sur celui ci, ni sur un autre finis tu par répondre. Tu avais déjà jouais avec de la nourriture mais jamais à même dans une cuisine. Et toi ? Tu le teste, du regard, mais aussi de tes lèvres que tu humidifies, attendant sa réponse, tes mains chacune sur le côté de tes cuisses, prenant appuie sur le comptoir, fermant un peu plus l'espace entre vos deux corps...

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 De guerre enfantine, l’ambiance chavira à sulfureuse en moi de deux… Ash et ses courbes qu’épousait et sublimait son T shirt trempé, ses cheveux mouillés qui ruisselaient, le petit jeu qu’elle s’amusait à jouer, sa langue sur ma joue, puis son index qui amenait à sa bouche la crème fouettée… Ca et cette fixette sur le réveil de l’avant veille, les flashs encore de notre étreinte alors, c’est presque malgré moi que mes mains saisirent ses hanches pour la soulever et venir la poser sur le plan de travail. Et c’est toujours sur la même pente glissante que je nous entrainais avec la question de son expérience. C’était son jeu à elle à la base, elle qui l’avait commencé. Ses prunelles plantées dans les miennes, elle s’amusa à me demander des précisions sur ma question, paume contre l’assise sur laquelle je venais de l’installer s’approchant dangereusement de moi. Loin de me reculer, toujours victime de cette attraction qu’elle avait sur moi, mon visage restait tout proche du sien, la laissant jouer à nouveau avec la chantilly sur mon visage, sentant malgré toute ma volonté de contrôle, mes résistances diminuer chaque seconde un peu plus et la partie basse de mon corps qui se réveillait… C’est avec une certaine surprise que j’accueillis sa réponse : jamais. Jamais Ash ne s’était aventurée à le faire dans une cuisine que ce soit celle ci ou une autre… « Va falloir remédier à ça… » Je me porte volontaire maintenant ou maintenant ? Sauf que lorsqu’elle me retourna la question, je me crispais un peu… Parce que pour le coup, c’était à la positive que je devais répondre. Qu’en plus la fois dans une cuisine datait du SC. Je craignais qu’Ash m’en demande plus, qu’elle me questionne davantage et que ça brise un peu ce climat qui venait de s’instaurer entre nous. Mais comme je ne savais pas mentir, j’optai pour cette réponse : « Jamais sur celui-ci… » Ce qui sous entendait que sur le plan de travail d’une autre cuisine, par contre… « Faut remédier à ça aussi non ? » Incapable de résister davantage, ma phrase se ponctua de mes lèvres sur les siennes.
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Plus la bataille avait avancé et plus c'était devenu électrique entre vous. Tension palpable, regards qui en disaient longs, sous entendus qui n'étaient même plus des sous entendus. Oui, ce petit déjeuner prenait encore une fois un autre tournant. Comme le lundi, ça finissait plus par des allusions bien placées que par dévorer le repas. Ou peut être que le repas allait en effet être vos corps... Parce que ses mains qui s'ancrèrent sur tes hanches, te soulevant sur le plan de travail de la cuisine, ça déclencha des frissons sur ta peau. Et toujours joueuse, tu ne te stoppais pas. Tu continuais de t'amuser avec la chantilly qu'il avait sur le visage. Après ton coup de langue, après en avoir prit du bout de ton index, tu essuyais sa lèvre inférieure de ton pouce, le portant lui aussi à tes lèvres, toujours avec cette manière sensuelle, ce regard aguicheur, joueur. Tu le testais, complètement. Et il faisait de même. Quand tu répondais ne l'avoir jamais fait sur un plan de travail de cuisine, c'était vrai, pourtant tu avais eut l'occasion dans les cuisines d'Harvard, quand Milo avait réussit à piquer la clé du bureau du doyen mais aussi des cuisines. Vous aviez baptisés les lieux mais, pas sur le plan de travail en lui même. Et il fallait y remédier, selon ton meilleur ami. Quant à lui, il insistait sur le fait de l'avoir jamais fait sur CE plan de travail. Celui là même où tes fesses sont posées. Celui là même où tu étais 'prisonnière' devant le jeune homme. Et il voulait y remédier à ça aussi, à sa situation, à ce plan de travail qui n'avait pas fait les frais d'une partie de cartes... Pas le temps d'y répondre, juste de sourire, car tes lèvres firent bien vite capturées par les siennes. Ayant bien trop jouée, bien trop testée les limites, tu te prenais à ton propre jeu... Ta main se plaqua contre sa nuque, l'attirant un peu plus à toi, prolongeant ce baiser, ta langue cherchant la sienne. Avec fougue, envie, tu répondais, plus que réceptive. Tu veux y remédier maintenant ?demandes-tu en rompant le contact entre vos lèvres, ce sourire en coin, ce regard remplit de défi. N'attendant pas vraiment sa question, te doutant plutôt de la réponse, d'un 'oui', tu le pousses légèrement en arrière afin de faire basculer tes jambes à l'opposé du jeune homme. Changeant de coin sur le plan de travail, dos à lui, tu tournes seulement ton visage dans sa direction. Tu attends quoi ? Viens ! Joueuse, provocante, t'avais bien envie de le tester un peu plus. De te faire désirer, de lui mettre un peu plus l'eau à la bouche. T'avais envie de jouer un peu plus au chat et à la souris. Tu voulais pas lui donner ce qu'il voulait juste comme ça, si facilement. Alors tu le titillait, l'insistant à venir à nouveau jusqu'à toi s'il voulait y remédier. Dans la même position que précédemment, tu attendais, tranquillement, posée sur le plan de travail, juste à la symétrie verticale de ta place antérieure.

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  Entre allusions, petit jeu à la chantilly, tout ça agrémenté de son T shirt mouillé qui lui collait à la peau, c’était mission impossible pour moi de résister. Et d’ailleurs, quand j’appris que miss Strauss n’avait jamais eu l’occasion de le faire sur un plan de travail de cuisine, j’annonçais qu’il fallait y remédier, me servant aussi du fait que je ne l’avais jamais fait sur ce plan de cuisine là… Sa question était inutile, parce que franchement, entre le bas de mon corps qui commençait à réagir sous mon caleçon ou la façon dont je la dévorais des yeux à cet instant précis, c’était clair que je n’avais pas en tête l’idée de remettre ça à la semaine prochaine. Mais pour répondre, c’est une solution encore plus parlante que je choisis, plaquant mes lèvres sur les siennes. Ce baiser, elle y répondit avec la même envie, la même urgence, m’attirant à elle, sa main dans ma nuque, laissant nos langues jouer l’une avec l’autre… Jusqu’au moment où ses doigts glissèrent sur mes épaules pour me repousser légèrement. Un quart de seconde, je me fis la réflexion que j’avais déconné, poussais le jeu trop loin, qu’elle regrettait… Est-ce qu’elle regrettait le petit déjeuner du lundi aussi ? Est-ce que… Et je me souvins de notre deal d’alors : stop les questions, stop les interprétations. Arrêter de penser pour l’autre, se dire les choses, solutions qui nous avaient plutôt bien réussis donc qui me décidèrent à ne pas sur interpréter son mouvement. Et puis je la vis se retourner, je vis son regard joueur, amusé, son petit ton défiant quand elle me taquina en me demandant ce que j’attendais… Un petit rire, mes lèvres se posant furtivement sur son épaule, je contournais ensuite l’îlot pour me retrouver à nouveau face à elle…  « C’est pas facile à cuisiner une Ashleigh Strauss, ça se laisse pas facilement attraper… » rigolai-je alors en venant de nouveau m’emparer de ses lèvres une fois devant la demoiselle.
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