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Four five seconds ~ AILUS

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Deux gamins sous les couettes, lui qui a décidé de t’attaquer en traître avec ses chatouilles, c’est injuste, tu crains tellement ça que tu n’arrives plus à respirer correctement, entre les pleurs tellement tu ris, et les cris comme quoi tu le supplies d’arrêter. Forcément à force de te tortiller sous son attaque en traître, un coup de pied est vite parti, sans le faire exprès, mais tu as pu ressentir la douleur de Gus. « Merde ! J’suis désolée, Gus tu vas survivre ? » tu lui demandes, mais tu es morte de rire ne pensant pas un mot que tu viens de lui dire. Mon dieu tu t’en veux quand même, il semble quand même avoir mal, tu n’arrives pas vraiment à imaginer la douleur que ça peut procurer.

Il ressort de sous les couettes, toi, tu essaies de ne pas continuer de rire, mais la situation ne t’y aides pas franchement, tu ressors des couettes juste après lui, tout de même inquiète. Mais la suite de ce qu’il te dit te stoppe net, tu es un peu troublée « Quoi… ? Qu’est-ce que tu viens de dire ? » Bah ouais, ce n’est pas vraiment le genre de choses que l’on dit pendant une sortie telle que la vôtre. « Dis pas de bêtises, ça va aller respire un grand coup. » tu te redresses un peu et te rapproches de lui, glissant une main dans ses cheveux. « Tiens, j’te fais un bisou pour me faire pardonner. » Et tu joins le geste à la parole, un baiser sur sa joue. « Tu vas survivre, t’es un grand garçon. »
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Bah voyons, rigoles bien pendant que je souffre le martyr Leen ! Mes castagnettes étaient réduites à néant, du moins c'était la sensation que j'éprouvais. J'avais voulu faire un peu d'humour sur la fonction de mes robignoles et bien entendu, ce n'était pas tombé dans l'oreille d'un sourd. " J'ai rien dit, rien de rien " niais-je en bloc en fixant le plafond avec un sourire en coin prêt à exploser. Je m'étais ensuite plaint, croyant apercevoir la lumière blanche au bout du tunnel. Quand je me faisais mal, je pouvais en faire des tonnes pour qu'on s'apitoie sur mon sort. Cela avait apparemment fonctionné avec Aileen puisqu'elle m'avait déposé un bisou magique sur ma joue. Une joue rouge écarlate, pas seulement à cause de notre mitoyenneté mais parce que mon sang n'avait fait qu'un tour suite au coup. En apparence j'étais un grand garçon mais au fond je n'étais qu'un gamin. " Qu'est-ce que t'en sais t'es docteur ? Tu veux pas m'ausculter pour vérifier tout ça ? Ok, blague de merde, fantasme de merde. " avouais-je en basculant sur le côté pour pouvoir croiser de nouveau son regard espiègle. Nous étions de nouveau face à face, à une distance minime que je souhaitais faire disparaître. Finalement, j'avais posé ma tête sur sa poitrine pour écouter son coeur et ses mystères. C'était tout moi, une minute avant je riais aux éclats, la suivante j'entrais presque dans un état mélancolique. " Dis donc il carbure ton palpitant ! " soulignais-je en levant les yeux vers son visage. " Tu crois qu'on se reverra quand on rentrera chez nous chacun de notre côté ? " l'interrogeais-je en plaçant ma main sous son sein pour la maintenir encore plus fort contre moi.  
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Y’a bien cette complicité qui s’installe entre vous, ça te fait quelque chose bien évidemment, et ça ne te déplaît pas non plus, tu aimes bien, tu n’as pas ce genre de complicité ambiguë avec ton meilleur ami… D’ailleurs ça fait un moment que tu ne l’as pas revu, il serait peut-être temps que tu lui envoies un message. Enfin, pour l’instant tu n’as pas la tête pour penser à ça, tout ce qui compte c’est ces quelques jours de passés avec Gus. Puis il te taquine, comme quoi tu devrais l’ausculter, tu lèves les yeux au plafond, soupires et lui met un coup dans les côtes. « Arrête de dire des bêtises, j’imagine déjà ta tête si je décidais de vraiment le faire. »

Mais si jamais plus tard vous avez une histoire ensemble, ouais un soir tu enfileras le costume d’une infirmière sexy pour faire semblant de l’ausculter, si c’est ça son fantasme. Rien qu’à cette pensée, tu as envie de rire, mais tu es surprise lorsqu’il pose sa tête sur ta poitrine. « Qu’est…qu’est-ce que tu fous ? » tu lui demandes, perturbée, n’osant plus trop bouger par la même occasion, alors qu’il écoute les battements de ton cœur. Tu t’en mords les lèvres, tes mains, ton corps tout entier qui tremble, mais tes doigts qui glissent lentement dans ses cheveux encore trempés. « C’est d’ta faute si il bat aussi vite…idiot. » Si vous allez vous revoir après votre virée ? « Pourquoi est-ce que tu me poses cette question… ? Je suis certaine que tu connais déjà la réponse idiot. » Tu redresses son visage vers le tien « J’arriverais pas à me passer de toi. » tu lui avoues, tes yeux qui se mettent légèrement à briller à cause d’un début de larmes qui pointent leur nez.
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Ce que je foutais ? Je m'imprégnais d'elle au cas où il n'y aurait pas de prochaine fois. La vie est imprévisible. Je peux en témoigner. Naturellement, je lui avais demandé si nous nous croiserions de nouveau dans le futur car l'idée ne m'était pas déplaisante. Sa réponse avait fait battre mon coeur à dix mille à l'heure. Je la regardais à l'envers, ses yeux bleus brillaient, était-ce le coup de l'émotion ? Je lui rendais son regard affectueux, caressant le dos de sa main, me laissant vivre sans réfléchir. Je m'étais déconnecté de mon petit monde, ne sachant plus ce qu'il passait ailleurs. Enfin si, les news avaient débarqué sur l'écran, un débat entre Clinton & Trump allait démarrer. Ces deux là commençaient déjà à me fatiguer et pourtant un de deux des allaient diriger le pays. " On s'commande à manger ? " demandais-je tout en me redressant sur le lit et en tournant sur moi même pour attraper le combiné sur le chevet. J'avais décroché et composé le numéro de l'accueil, la femme de toute à l'heure répondit. " Nous aimerions dîner dans la chambre ce soir si c'est possible, nous prendrons le menu du jour et une bonne bouteille " , la dame avait noté notre commande puis j'avais raccroché. " Dans une heure quelqu'un viendra nous apporter tout ça ! " lui confiais-je en tapotant sur sa cuisse, un sourire enjôleur aux lèvres. Pourtant, je pensais déjà au lendemain et au retour à la vie quotidienne car j'avais un agenda bien rempli, des rendez-vous professionnels entre autre. Le stress grimpait de plus en plus quoique je fasse pour lutter. Aileen m'avait bien aidé jusque là. Pourtant je me sentais angoissé, comme si j'aurais dû bosser mes entretiens plutôt que de m'amuser. J'attrapais alors mon téléphone pour regarder l'ordre de mes entrevues que j'avais planifié. Un long souffle s'échappa de mes lèvres, le boulot, voilà une chose qui me manquait tout de même. J'espérais vraiment que mon passé de taulard n'entacherait pas la possibilité d'être embauché.
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Tu n’arrives pas à le lâcher du regard, alors qu’est-ce que ce sera demain lorsque vous devriez reprendre la route pour ensuite rentrer chacun de votre côté ? Tu vas avoir le cœur déchiré, comme si tu avais déjà des sentiments pour lui, mais ça, tous ces sentiments qui se bousculent dans ta tête comme dans ton cœur, ça t’fait grave flipper en vrai. Mais tu te tais, tu étouffes ce début de quelque chose, pour ne pas aller droit dans le mur, pour ne pas trop t’attacher à lui, tu aimerais lui proposer de rallonger ce séjour, sauf que ça serait trop égoïste de ta part.

Tu restes silencieuse lorsqu’il commande à manger, l’observes alors qu’il est face à toi, ou plutôt dos à toi, ce dos qui te paraît si rassurant, ses épaules sur lesquelles tu aimerais poser ta tête dessus, pour te sentir en sécurité ne serait-ce que quelques secondes. T’autoriser cinq secondes de bien-être, oui, tu le sais, ce serait trop lui demander. Tu étais sur le point de le faire, de caler ton menton sur son épaule pendant qu’il passe la commande, mais il raccroche trop rapidement le combiné, se retournant vers toi. Tu sursautes, recules de quelques centimètres, mais tu bloques sur son sourire, ce sourire dont tu n’arriveras pas à te passer une fois rentrée au loft. Et Anna qui te posera 36 000 questions, qui te demanderas probablement où est-ce que tu étais partie. « Arrête de sourire comme ça ou j’vais te bouffer. » tu lui sors tout naturellement alors que sa main vient tapoter ta cuisse. Puis ce geste disparaît vite lorsqu’il attrape son portable, semblant ailleurs, comme si tu n’étais plus dans la chambre. « Tout va bien ? » tu te risques à lui poser comme question.
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Leen, si je souris comme ça parce que tu me rends fou. J'avais pourtant abandonné ce rictus quand je m'étais souvenu de la triste réalité. Demain je retrouverais mon appartement, tout seul, mangeant quelques conneries sur le pouce. Oui, les saveurs d'aujourd'hui ne seraient plus qu'un souvenir douloureux. Aileen avait perçu mon spleen et pour une fois, je me sentais apte à partager mes inquiétudes. " Demain j'ai deux rendez-vous pour un job, je ne sais plus comment me vendre. " constatais-je en faisant tourner mon mobile entre mon index et mon pouce. Mes yeux noisettes se perdaient vers l'horizon au loin. Je détestais ce genre de sensation, elle venait s'en prévenir et s'installait insidieusement. J'étais dans une sorte de monde parallèle où tout devenait flou, c'était troublant. Pour reporter mon attention dans le présent, je devais soulever des charges énormes d'énergie. " Puis je serais loin de toi et de tes conneries, ça va me manquer. " poursuivis-je en réussissant enfin à me séparer de mon moment de flottement.

Quelques minutes plus tard, quelqu'un avait toqué à la porte, nous faisant sursauter alors que nous étions en train de rêvasser devant la télévision. La pluie s'abattait toujours et l'orage ravagé tout sur son passage. J'avais sauté le lit, faisant attention de ne pas écrabouiller Leen au passage, puis, j'avais ouvert la porte au groom. Il était alors entré avec un chariot qui sentait divinement bon. Je m'étais frotté le ventre, impatient de déguster ces mets. Puis, le serveur nous avait poliment salué avant de disparaître de notre refuge. " Mademoiselle je vous en prie... euh d'ailleurs quel est ton nom de famille ? " demandais-je à la blonde tout en installant la table dans un coin de la pièce. Ce soir, nous aurions un vrai tête à tête romantique. Mais, tout à coup, les lumières de la chambre faiblirent. Cette baisse de tension précéda bientôt une coupure générale. La télévision et les lampes s'étaient éteintes, nous plongeant dans une faible pénombre car la large baie vitrée était encore ouverte. Heureusement, il y avait des bougeoirs disposés un peu partout dans la chambre. Je m'étais donc précipité vers mes affaires pour me munir de mon briquet puis je m'étais mis à faire le tour de la pièce pour allumer les bougies. L'ambiance allait être muy caliente.  
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Tu vas lui manquer, mais lui aussi va te manquer. Tu ne sais toujours pas comment expliquer ça, c’est fou l’effet de dingue qu’il a sur toi. Et pourtant vous vous connaissez toujours aussi peu, mais c’est ça qui t’rends comme ça… L’inconnu, le mystère qu’il représente à tes yeux, tout ça t’intrigue. « On se reverra je te le promets. » cette phrase qui sonne comme une grande promesse, comme celle que l’on fait lors d’échanges de vœux à un mariage. A quoi tu penses Aileen encore ?
« J’passerais te voir après mes cours si tu veux bien d’ma présence. » tu lui adresses un clin d’œil et alors que tu te penchais pour lui voler encore un baiser sans de vraies raisons que ça toque à la porte de votre chambre. Tant pis. Un chariot, de la nourriture, de la vraie, parce que les gaufres de ce matin, ça ne t’as pas franchement nourrie. « On a faim, on a faiiim ! » tu lâches avant de te mettre à rire, puis il te demandes ton nom de famille. Ah oui tiens, c’est pas bête comme question, puis ça fera une info en plus sur toi. « C’est Walker, mais j’te donne mon nom complet c’est Aileen Sacha Walker, comme ça tu en sais plus sur moi aujourd’hui encore. »

Et dans la chambre ça sent bon, sauf que voilà, plus de lumières dans la chambre, rien, alors forcément ça te fait sursauter, t’as toujours eu horreur des orages… « Gus… » mais tu n’as pas le temps de trop paniquer qu’il a déjà allumé quelques bougies présentes dans la chambre. Tu soupires, rassurée, alors qu’il est là devant toi, les lueurs des bougies qui éclairent son visage. Tu peux admirer tous ses traits, ses cils bien dessinés, son nez, ses lèvres… Tu t’y attardes d’ailleurs sur ses lèvres…et mords les tiennes maladroitement.
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Je préparais notre repas lorsque la tempête s'en est mêlée. Elle nous priva d'électricité sans prévenir mais au moins, je connaissais désormais le nom complet d'Aileen. Je percevais une crainte dans sa voix quand les ténèbres nous avait enveloppé, Leen avait peur du noir ? C'était à peine croyable, je m'étais imaginé qu'elle était une femme... si forte, solide, indestructible. Je m'étais une fois de plus trompé, elle était vivante et elle suivait à quelque chose près les stéréotypes communs à toutes les filles. Heureusement d'ailleurs, j'avais une utilité, celle d'un protecteur admiré. Je n'allais pas non plus en jouer mais cela me plaisait d'avoir ce rôle de réconfort. Planté devant elle, éclairé par les lueurs orangés des bougies, je m'étais perdu dans le bleu lagon de ses yeux, finissant par caresser sa joue de mon pouce pour la tranquilliser. " Allons manger, on oubliera à quel point c'est le déluge dehors " exprimais-je en la guidant vers notre table minuscule. J'avais alors tiré sa chaise en arrière pour qu'elle s'assoit (gentleman) puis je l'avais poussé vers l'avant pour qu'elle s'installe correctement. J'avais à mon tour rejoint ma place, face à elle, mes jambes avaient effleuré les siennes en dessous. Soulevant les cloches, des effluves chatouillèrent mes cellules olfactives. C'était appétissant. Pendant que nous nous servions, il était temps de papoter, comme si nous nous connaissions depuis toujours. " Ça va te faire loin entre le campus & chez moi non ? " demandais-je pour remettre sur la table le sujet. J'avais pouffé de rire pour ne pas me montrer trop sérieux sur ma volonté profonde de la revoir régulièrement. Pourtant j'en avais terriblement envie. " Quoique tu as la moto, c'est bien pratique. "  complétais-je en cisaillant ma volaille dans mon assiette. " Toi tu vis en colocation c'est ça ? " me renseignais-je tout en dégustant ces mets si raffinés.    
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C’est dingue toutes ces émotions qui traversent ton esprit, tu n’arrives pas à réaliser à quel point il t’attire, à quel point c’est difficile de résister à cette tentation, à te retenir de lui sauter dessus. Tu n’y es pas habituée à tout ça, en général, les hommes tu as du mal à leur faire confiance, sauf exceptions, comme ton meilleur ami, et Gus, qui est entré dans ta vie sans crier gare. Et qu’il te plaît. Tu te doutes un peu que c’est réciproque, deux baisers échangés, deux baisers volés, un de chaque côté, des câlins, des rapprochements qui n’étaient pas prévus. Tout ça, ça te plaît, tu y prends goût, d’ailleurs tu t’étonnes toi-même d’être aussi facilement attirée par un homme de son âge, même si la différence n’est pas si importante que ça.

Son pouce qui caresse ta joue, ce sourire qui se veut rassurant de sa part, ce sourire qui te fait doucement craquer pour lui, vos jambes qui s’effleurent « innocemment » sous la table. Rien que ces petits gestes feront partie de cette virée plus ou moins improvisée, des souvenirs que tu garderas de votre première sortie ensemble. Pas en tant que couple, mais ça s’y approche.

« Humm, ça sent super bon. » tu souris telle une enfant, le ventre qui crie famine, installée en face de lui, tu essaies de te concentrer sur le plat sous tes yeux, alors que c’est lui que tu veux dévorer des yeux. Et pas que. « Non pas tant que ça, et en général je termine les cours tôt, puis en moto ça sera rapide. » tu le rassures à ton tour, toi aussi tu veux le revoir, plus qu’il ne peut penser. Tu mords dans un bout de la volaille, c’est cuit parfaitement bien « C’est ça, avec Anna, une bonne copine, et un autre garçon, un type plutôt sympa, qui est arrivé à la coloc quelques mois après moi. »
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J'ai dû planter mon couteau froidement dans ma viande quand elle a parlé d'un type dans sa colocation. J'ai complètement omis cette variable dans l'équation. Je sentais déjà que mon imagination vagabonde allait tourner à plein régime une fois chez moi. Pour l'instant je l'avais en face de moi, rien qu'avec moi alors tout allait bien.

Après s'être gavé comme des oies, nous avions trouvé un paquet de carte dans une commode de la chambre, nous avions enchaîné les parties jusqu'à tomber de sommeil. Le mauvais temps avait dû nous casser en deux. Lorsque les premiers rayons de soleil s'étaient pointés, nous nous étions réveillés à quelques minutes d'intervalle, en réalité, je l'avais observé de longues minutes dans son sommeil, elle était si paisible. Après quelques viennoiseries prises dans une boulangerie plus bas dans la rue, j'avais reçu un sms d'alerte. Mon premier rendez-vous commençait dans une poignée d'heure, le temps de faire la route et de récupérer mes affaires à l'appartement. Revenus à nos bécanes, j'avais dû lui dire au revoir. Un moment bouleversant qui m'avait déchiré le coeur. " À bientôt Aileen, prends soin de toi. " j'avais ensuite embrassé sa joue avec force puis nous avions fait quelques kilomètres ensemble avant de nous séparer.

#finderppourrie #jemerattraperais
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