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Four five seconds ~ AILUS

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Embrasse-moi, j’en meurs d’envie. Mais il ne semble pas comprendre, que vous courrez déjà vers une petite auberge, c’est quoi ? Une invitation ? T’es perdue, tu as tellement de questions et si peu de réponses. Il pleut de plus en plus, tu es trempée, mais tu t’en fous, ce n’est pas ça le plus important, et voilà que vous sprintez jusqu’à l’auberge, pour vous mettre à l’abri. Une chance que vous ayez vos sacs avec vous. Parce que sinon vous seriez obligés de ressortir pour récupérer vos affaires sèches.

La petite auberge est tout à fait charmante, plus pour des couples venus se promener ici le week-end en amoureux, trempés de la tête aux pieds, comme deux idiots, n’ayant pas pensé à prendre des parapluies pour votre sortie improvisée. Et tu as envie de rire quand la vieille propriétaire vous sort que c’est un endroit calme, rire qui s’échappe de tes lèvres alors que Gus est à moitié mort de rire. Et ça t’fait du bien de rire, déjà être dans cet état, trempée, ça te fait rire, mais le froid te ramène vite à la réalité « On sera sages madame, c’est promis. » tu rajoutes à la suite de la phrase de Gus. Encore une chambre pour deux.

Se mettre au sec, ouais bonne idée, te caler sous les couettes et penser à autre chose, ne pas penser que tu te retrouves encore seule dans la même chambre que lui. Devant la porte de la chambre tu attends qu’il ne passe la carte magnétique pour ouvrir cette dernière, priant pour que ça ne soit pas encore un lit double.

La porte grince lentement, et vous donne enfin accès à une petite chambre typiquement prête pour un couple, jeunes mariés, tout c’que vous voulez, des fleurs un peu partout, un lit…double. Tu te mords nerveusement les lèvres, te tourne vers Gus, gênée, ou presque, pas totalement. « Tu comptes me porter comme une jeune mariée ? » tu lui demandes te sentant un peu bête de lui avoir posé cette question, sans y avoir vraiment réfléchi.
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Il est rare de trouver une chambre double avec deux lits séparés. De toute façon, nous sommes assez matures pour ne pas nous tripoter sous la couette sous prétexte d'être dans le même lit. Enfin, je pense non ? Quand j'ouvre la porte, nous découvrons une chambre adorable, très "couple". J'étais sorti cinq ans avec Juniper et nous n'avions jamais eu un tel cadre idyllique. Je restais stoïque, la remarque d'Aileen m'avait encore plus figé sur place. J'avais aussitôt abandonné son regard pour lui répondre de manière très faible et décontenancée " Non ne t'en fais pas, je ne suis pas un bon parti, je dois faire un mauvais mari ". Je ne voulais pas être blessant, j'espérais profondément qu'elle ne se fâcherait pas mais j'étais encore une fois "ailleurs".
Suite à ceci, j'étais entré dans la pièce, entendant la pluie s'abattre sur la large baie vitrée qui donnait sur un ravissant balcon. Des bourrasques de vent s'infiltraient dans le moindre petit trou non bouché. Un sifflement se faisait d'ailleurs entendre vers la fenêtre. Quelle tempête ! C'était vraiment la saison, ça ne s'arrêtait pas. Je découvrais l'endroit, curieux, le nez en l'air. " Tu veux la salle de bain en premier ? " demandais-je à la blonde. Nous n'avions pas pris une bonne douche depuis plus d'un jour, j'imaginais qu'elle avait envie d'un brin de toilette la pauvre. Et puis, j'étais toujours trempé jusqu'aux os, pendant qu'elle se laverait, je me débarrasserais de mes vêtements et j'attendrais patiemment dans le peignoir.   
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Qu’est-ce qui t’as pris franchement de plomber l’ambiance comme ça ? Alors c’est silencieuse que tu découvres le reste de la chambre, une immense baie vitrée, s’il avait fait beau vous auriez pu passer la soirée sur le balcon, à discuter, de tout et de rien. Mais au lieu de ça, dehors il continue de pleuvoir, une belle tempête qui s’annonce, les éclairs qui déchirent le ciel sombre, tu as toujours détesté ça, l’orage, la foudre… Tu frissonnes, cherchant désespérément du regard la salle de bain, Gus qui te demandes si tu souhaites y aller avant lui. « Si ça ne t’embête pas oui, je n’en ai pas pour longtemps, le temps de me réchauffer un peu. » Tu allais rajouter si lui ne souhaitait pas te réchauffer, mais les phrases stupides de ce genre, ça suffit pour le moment.

Tu balances tes chaussures dans la chambre, te tournes vers le jeune homme pour déposer un baiser sur sa joue « J’reviens, sois sage. » tu lui adresses un sourire complice, et files vers la salle de bain, retirant au passage tes fringues. La salle de bain est immense, à la limite d’être luxueuse, une grande douche, deux peignoirs… Ouais c’est vraiment une chambre pour un jeune couple marié. Et ça t’met vraiment mal à l’aise, alors tu te diriges rapidement vers la douche, une serviette sur ton corps que tu laisses glisser par terre, referme la porte de la douche derrière toi. L’eau chaude qui coule sur ton corps, ça te fait du bien, tu en as presque oublié la phrase de tout à l’heure, mais t’as aussi oublié que tu as mal fermé la porte de la salle de bain.

Sous la douche, tu penses à plein de choses, aux questions que tu te poses, à ces regards échangés avec Gus au resto de ce matin, à cette envie que tu avais de vouloir l’embrasser, lui arracher ses fringues. A comment réagirait ta grande sœur en apprenant que tu es attirée par un type un peu plus âgé que toi, et à cette pensée tu sens un pincement au cœur, retiens douloureusement des sanglots.
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Souhaitant me retrouver seul face à moi-même et surtout afin de lutter contre les souvenirs lointains de Juniper, je proposais à Leen de se doucher. Elle était d'accord, sereine malgré mon caractère ambigu, elle me redonnait le sourire en dépit de la situation. Elle s'était d'abord débarassée de ses chaussures, puis elle m'avait déposé un léger baiser sur la joue avant de m'abandonner dans la chambre. J'avais à peine eu le temps de découvrir la naissance de ses fesses avant qu'elle ne disparaisse dans la salle de bain. Mon imaginaire tournait à plein régime, écartant rapidement ma mélancolie. Pourquoi je ne culpabilisais pas ? J'avais des pensées perverses pour une autre femme... J'avais l'impression de tromper Juniper rien que par le fait de fantasmer.
Lorsque j'allais ôter mes vêtements pour me mettre enfin au sec, je comprenais que le peignoir qui devait me couvrir le temps que Leen finisse était dans la salle de bain. J'avais tapé ma paume de main contre mon front, quel crétin. Si j'arrivais à être assez discret, je pourrais l'attraper sans mal sans qu'elle s'aperçoive de ma présence. J'avais alors ôté mes chaussures puis je m'étais rendu jusqu'à la porte entrouverte sur la pointe des pieds. J'avais glissé mon nez dans l'embrasure, m'assurant que le rideau était bien tiré. Ah ça oui, il était bien tiré mais assez transparent pour dévoiler les courbes pittoresques de Leen. Ses hanches étaient creusées à la perfection, soulignant une paire de fesses rebondies. Panique à bord et dans le slip. Je m'étais forcé à poursuivre ma mission, lorgnant la pièce dans les moindres recoins. Finalement, le peignoir était accroché juste derrière la porte, je l'avais donc entraîné à moi en le tirant de derrière l'autre côté de la cloison. Bingo ! Il était tombé à terre, je n'avais plus qu'a le rapatrier de l'autre côté. Une fois fait, j'avais refermé la porte, et cette salope avait grincé. J'avais plissé les yeux, priant pour que l'américaine n'ait pas entendu ce couinement. Non, je n'étais pas un obsédé merde. Enfin, tout dépendait du contexte, c'était toujours relatif. Je m'étais ensuite écarté de la porte, me déshabillant plus loin pour enfiler le manteau blanc. Je l'avais noué à la taille pour camoufler la bosse de mon caleçon. Pour éloigner les soupçons, je m'étais jeté sur le lit, prenant une position à moitié naturelle. " Tu t'en sors Leen ? " lui criais-je tout en continuant par murmurer " Tu voudrais pas que je te frotte le dos ou autre chose ". Je me faisais rire à moi même, fallait le faire.  
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Tu laisses l’eau chaude couler, ça te permet de t’enfuir un peu, te créer ta bulle et oublier le sale temps de dehors, oublier tout ce qui peut bien te passer par la tête en ce moment. Mais tu n’es toujours pas à l’aise en sachant que Gus est de l’autre côté de la pièce, attendant que tu ne termines de prendre une douche bien chaude. La situation entre vous deux ne serait pas ambiguë tu lui aurais bien proposé de te rejoindre sous la douche, et rien que cette pensée te fit violemment rougir. Quelques secondes plus tôt tu sentais que tu allais craquer, un trop plein de sentiments refoulés, cette douleur que tu ressens presque tous les jours, depuis le décès de ta grande sœur, et depuis quelques jours tu l’oublies. Depuis que Gus est subitement entré dans ta vie, tu vas un peu mieux, tu ne sais pas trop tout ce que ça signifie, mais tu n’as pas franchement envie de te prendre la tête avec tout ça.

La porte qui grince te fait sortir de ta réflexion, tu pensais l’avoir fermée donc forcément ça t’étonnes un peu, mais tu ne bougeras pas pour autant. Sauf que tu as eu l’impression d’avoir entendu Gus, ou alors c’est ton imagination et ta fatigue qui te jouent un mauvais tour. Tu soupires, et quelques minutes plus tard tu te décides enfin à sortir de la douche, quittant l’eau chaude à contrecœur. « Oui oui, j’ai fini, tu peux entrer si tu veux. » tu lui réponds derrière la porte de la salle de bain, enfilant rapidement une serviette autour de ton corps. Les cheveux trempés maladroitement séchés avec une petite serviette, à la recherche du deuxième peignoir.
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Je prenais de ses nouvelles, pépère sur le lit, cherchant par la même occasion la télécommande pour allumer la télévision, on ne sait jamais, cela renforcerait mon alibi pour le coup du peignoir. J'avais mis la main sur la zapette au moment où elle avait répondu, frisant la crise cardiaque. J'avais appuyé sous la peur et l'écran s'était allumé. Je pouvais vraiment venir ? Non, peut être qu'elle était encore entrain de se sécher. Je prenais donc le temps pour me rendre à la salle de bain, frottant mes pieds sur le parquet au ralenti. Puis j'avais toqué pour la prévenir avant d'entrer. Surprise, elle était simplement vêtue d'une serviette autour de son corps encore tiède et humide. La pièce était embuée, je me battais contre le brouillard pour ne pas me focaliser sur la silhouette de Leen. " Hum, t'en es sûre que tu veux pas plus de temps ? " lui demandais-je en masquant à moitié mon regard tout en pointant mon doigt au hasard vers elle. Bien entendu, je la voyais pratiquement bien, c'était par respect et fausse pudeur. J'avais envie de lui soutirer ce simple morceau de tissus et découvrir la perfection de son corps, le bouffer, lui faire du bien et tout un tas de choses peu catholiques. Au lieu de ça, je réprimandais mes sombres instincts en me cachant derrière l'auréole d'un saint sans arrières pensées " J'ai allumé la télé, ça te fera de la compagnie le temps que je prenne ma douche, bon elle sera pas aussi bonne que la mienne je l'avoue ... " expliquais je en retirant mon peignoir et en essuyant le miroir recouvert de buée. J'apercevais alors son minois de chatte en détresse, entouré de ses longs cheveux humides. J'avais même imaginé être cette goutte d'eau qui s'était infiltré dans le creux de ses seins. Non mais elle implorait que je lui fasse l'amour ou quoi ? Je m'étais ensuite retourné, appuyant mon postérieur contre le meuble accueillant deux grands lavabos. Les bras croisés sur ma poitrine nue, je dévorais sa frimousse des yeux, attendant malheureusement qu'elle quitte la pièce.  
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Pourquoi tu viens de lui dire qu’il pouvait entrer dans la salle de bain alors que t’es même pas correctement couverte ? A quoi tu joues Aileen ? Tu n’as pas le temps de revenir sur ta phrase, lui dire d’attendre encore un peu qu’il débarque déjà dans la salle de bain, paye ton malaise, lui qui cache à moitié ses yeux pour ne pas te regarder complètement. Ton cœur qui s’affole, c’est vrai quoi, il va penser peut-être aussi que tu cherches à le chauffer, alors que non, t’es juste pas très maline pour le coup. « Excuse-moi, j’aurais peut-être dû enfiler le peignoir juste avant… » Il ne te regarde pas, ou du moins essaye de ne pas te regarder complètement, ça va t’es juste en serviette, ce n’est pas comme si tu étais toute nue sous ses yeux. T’es là, coincée devant lui, tes pieds qui n’arrivent même pas à te faire bouger, tu devrais pourtant vite sortir d’ici avant que ça ne dérape, mas t’y arrives pas.

Il bouge enfin, quitte son peignoir et tes yeux se perdent sur son torse, encore, tu peux même apercevoir quelques tatouages, tu aimerais bien connaître leur signification, les tiens en ont, si jamais il veut les connaître tu serais déjà prête à lui en parler. Tes yeux se relèvent pour observer son reflet dans le miroir, tu souris bêtement, là en train de le mater, pas de façon très discrète d’ailleurs. Me regarde pas comme ça… tu aimerais le lui dire, ta raison te hurle de quitter la salle de bain, mais ton cœur te dis le contraire. Il se retourne « La télé oui… je devrais pouvoir être patiente jusqu’à ce que tu reviennes. » tes yeux bleus croisent les siens, tu n’arrives toujours pas à le quitter des yeux, « Qu’est-ce que t’es beau putain… » tu murmures plus pour toi-même en espérant qu’il ne t’entende pas, soupire et lui tourne enfin le dos. Tes doigts attrapent le peignoir, tu quittes avec peu de conviction la salle de bain.
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Je me demandais bien jusqu'à quand j'aurais le courage de lui résister. C'était plus qu'un jeu, c'était de la souffrance pure et dure que nous nous occasionnons. Je l'examinais avec envie et elle le savait mais elle aussi se contenait. Son regard n'était pas neutre, il respirait la convoitise, chose qui ne m'était pas arrivée depuis plus de deux ans. Alors qu'elle s'apprêtait à s'évanouir dans l'autre pièce, elle marmonna une phrase que je fis semblant de ne pas avoir saisi. Enfin, pas sur le coup, j'avais attendu qu'elle s'en aille, puis je m'étais appuyé face au miroir, lâchant l'air que j'avais contenu dans mes poumons. Puis, je m'étais mis à sourire comme un idiot, elle me faisait de l'effet et je jouais à l'indifférent. J'hésitais à faire mon retour pour l'embrasser avec passion mais j'avais filé sous la douche. J'enclenchais la poignée en acier et de l'eau tiède vint courir le long de ma peau glacée. J'avais poussé un soupir de bien être, faisant shampouiner mon cuir chevelu puis frottant énergiquement l'ensemble de mon épiderme. Je me dépêchais, ne souhaitant pas laisser Leen seule. Environ cinq minutes plus tard, j'étais sorti de la douche, épongeant l'eau de mon corps. Et là, ce fût le drame, j'avais oublié mon slip tout neuf. Je m'étais donc emballé de nouveau dans mon peignoir, sortant en catimini de la salle de bain. Aileen s'était allongée sur le lit, regardant à peine la télévision. Je lui avais jeté un clin d'oeil, puis je n'avais pu résister à sa bouille trop chou. J'avais escaladé le lit, arrivant à elle sur les genoux. Puis je lui avais déposé un baiser franc sur la bouche. Fallait que je le fasse, c'était insupportable. Mes lèvres avaient heurté les siennes avec ardeur " Toi aussi t'es belle " chuchotais-je à quelques millimètres de son visage avant de m'écarter de nouveau, à la recherche d'un nouveau boxer dans mon sac. Une fois la main dessus, je l'avais enfilé en dessous de mon manteau puis j'avais enfin pu m'en débarrasser. " On commande à manger ce soir ou on descend au restaurant ? " la consultais-je en la rejoignant près d'elle, épaule contre épaule, avec une vue splendide sur la tempête.
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A peine avoir quitté la salle de bain que tu sens que tu peux respirer normalement, la tension dans la pièce d’à côté était palpable, l’envie de se sauter l’un sur l’autre était bien présente, cette envie qui s’installait petit à petit entre vous. Tu soupires, soulagée d’être enfin sortie de la salle de bain, t’as une volonté de fer, plus ou moins inébranlable, mais t’as quand même résisté à ces pulsions. Tes cheveux sont encore trempés, tu aurais bien pris le temps de bien les sécher, mais tu n’aurais pas tenu une seconde de plus dans la salle de bain, avec Gus torse nu.

Une main dans tes cheveux, l’autre contre ta poitrine, contre ton cœur qui s’affole, tu t’éloignes peu à peu de la porte de la salle de bain après avoir entendu l’eau de la douche couler, enfiles tes fringues sèches. Puis finalement tu te laisses tomber sur le lit, calée devant la télé, le temps d’attendre qu’il ne revienne dans la chambre. Qu’est-ce qui t’as pris encore de sortir ce compliment quelques minutes plus tôt, et honnêtement tu espères qu’il ne t’ait pas entendue. Franchement le programme à la télé n’est pas franchement intéressant, et tu sors de tes rêveries lorsqu’il sort de la salle de bain. En peignoir, et ça t’fait rire, ça lui va tellement pas ce truc, on dirait un papy.

Un sourire sur tes lèvres lorsqu’il te rejoint sur le lit, et finalement tu l’as eu ton baiser, avec ardeur, tu as senti une bouffée de chaleur, tes joues qui rosissent lentement, puis son compliment. « Gus… » tu as un sourire idiot collé aux lèvres, mais il n’y a pas de suite à ce baiser, faut savoir se tenir quoi.
« Je t’avoue que je préfère manger ici, je vais avoir la flemme de descendre ou de quitter la chambre. » Son épaule contre la tienne, vue sur la tempête dehors. Vous êtes coincés ici pour un bon moment, pas question de reprendre de suite la moto, trop dangereux.
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Elle lisait dans mes pensées, je n'avais pas envie de bouger non plus. Nous étions bien dans notre nid douillet, au chaud. " Ça marche, j'appellerais bientôt ! " Nous fixions côte à côte le ciel menaçant, elle était beaucoup plus vêtue que moi, j'étais juste en caleçon, ce qui commençait à me gêner. Je m'étais donc relevé pour chercher un tee shirt XXL qui me servait de pyjama. Puis j'avais de nouveau sauté dans le lit, ouvrant les couettes pour me cacher à l'intérieur et forçant même Leen a en faire de même. Il faisait noir et dans quelques secondes, nous manquerions d'oxygène mais la proximité était excitante. J'avais pété un câble, la chatouillant dans tous les sens, mélangeant mon nez dans sa chevelure propre. Et puis j'avais reçu un coup de pieds dans les bijoux de famille. " Aie !!! je meurs, mes couilles " me lamentais-je en retrouvant l'air libre. J'avais probablement une larme au coin de l'oeil mais Leen ne devait pas être au courant, j'avais éliminé cette goutte salée d'un revers de poignet, serrant les dents tout en respirant à toute vitesse. " On aura jamais de gosses maintenant " plaisantais-je les mains sur mon engin endolori.
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