(jaley 6 ♥) Party time !

L’alcool me montait rapidement à la tête, moi qui pensais que lorsque j’étais Harley, l’alcool avait diminué, me voilé bien surpris de sentir l’effet contraire. Nous marchions, côté à côté en plissant des yeux de manière à observer ce qui nous entourait. Honnêtement, je savais que si nous devions avoir une quelconque emmerde, j’étais préparé et vu mon état mon temps de réflexions serait bien bas. Je soupire, presque de soulagement en pensant à l’idée de rentrer chez nous. J’aimais sortir, certes c’était la pure vérité. Sauf que là, j’avais qu’une hâte et c’était celle d’être étalé sur le lit accompagné de mon futur mari. D’ailleurs, celui-ci prit la parole, et je dû m’arrêter quelques instants pour comprendre ce qu’il me disait. Passer par des ruelles ? À cette heure ? J’allais emmètre un point négatif avant qu’il m’attire dans une ruelle sombre. Je n’étais pas inquiet, mais je me disais que la longueur du chemin ferait probablement le double plutôt que d’aller tout droit. Je me tourne vers le profil parfait d’Harley, son joli petit nez retroussé que j’admire même en étant totalement bourrer. Je m’approche, je le colle contre le premier mur se tient à côté de nous. Et je nous ma bouche à la sienne en poussant la barrière de ces lippes afin que ma muqueuse s’infiltre dans sa cavité buccale. Je laisse nos muscles valser entre elles, alors que mes mains agrippent presque sauvagement ces poignets en les plaquant contre le mur à côté de son visage. « Mm… C’était une bonne soirée… » Je sais que j’articule à peine, que l’accent brésilien revient aussitôt. Et je me mets à rire comme un con en me laissant aller dans les bras de l’homme que j’aime. Je niche mon visage dans le creux de son épaule et de sa nuque en plantant quelques doux baisers enflammés par quelques coups de langues habiles. Je me remets droite, avec une difficulté certaine. Je me maintiens contre le mur derrière Harley, en lui offrant un de mes plus beaux sourire. Du moins, c’est l’image que j’avais de moi bourré. « Tu sais, que tu me plais toi ? » Puis un deuxième rire et je réussi à me dégager de l’appui. J’enfouis mes mains dans mes poches en fronçant les sourcils. Merde. « J’ai pas de boxer ? » J’ai fait quoi de mon boxer ? Je tourne autour de moi, avant de réfléchir à mes derniers actes. Je viens de comprendre, et je croise les bras sur mon torse en titubant. Abordant un sourire alcoolisé.