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(jaley 6 ♥) Party time !

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why would you get so out of here while i'm mindin' my own businessman ? i'm just tryin' to do what i can to get in your head and understand. why don't you put yourself in my shoes and let me know just what you do. you get just what you give.





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Seul le battement à l'unisson du sexe et du coeur peut créer l'extase.
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C’était puissant, impossible de décrire ce que nous venions de vivre. Je suis affalé sur lui, sans lui admettre tout mon poids, je suis ailleurs, tant le plaisir venait de me soumettre. La bouche pâteuse, le corps engourdi par les efforts. Je reculais mon visage lentement afin d’admirer les traits de mon tendre. Il était beau ainsi, il avait les traits de jouissance gravé sur les traits de son faciès. C’était ce que je cherchais, je voulais marquer son corps de plusieurs manières et je sais au fond de moi, que j’ai réussi. Je me décale, afin de lui donner de l’aire, puisque je ne pense pas être tout à fait léger il me semblait que le mieux serait de le laisser reprendre, de revenir sur la terre ferme même si c’était loin d’être autant magnifique que la bulle que nous avions construit durant cet ébat. Je m’installe à côté, sur le ventre en posant mes mains sous mon visage pour me soutenir et avoir un champ de vision assez élargi, surtout pour l’avoir lui, cette image resterait éternellement gravée dans ma mémoire, je ne risque pas de l’oublier. Malgré l’alcool, qui à mon goût venait de descendre. Je reprenais petit à petit conscience. Nous étions dans une chambre d’adolescent, la musique frappait encore contre les murs et nous pouvions parfaitement entendre les bruits des gens derrière la porte. Je ne dis rien, je préfère garder ce moment silencieux. Ce silence n’est pas pesant, il est même nécessaire. Nous venions de tout donner, de donner cette violence qui nous était propre. Et maintenant, nos corps nous réclamaient une certaine paix. D’un bras, je passais ce dernier sur le ventre d’Harley, en posant mes doigts sur sa hanche que je caressais du bout de mes doigts. Abordant un sourire large mais lourd, tant mes traits étaient mélangés par l’orgasme et l’alcool qui faisait bon ménage. Je m’approche de lui, je parviens à peine à déposer de délicats baiser sur le bras le plus proche, humant son parfum qui s’écroulait dans mes narines. Il sentait le sexe, l’alcool. La clope, le bonheur. Je ne peux imaginer ma vie sans lui, imaginer un monde sans cette personne. M’imaginer seul, impuissant. En fait, ça me fout les boules de penser à ça. Parce que penser à ça, pour moi c’est réaliser qu’à tout moment cet être peut littéralement vous briser en deux. Et qu’au fond de vous-même, vous seriez capable d’accepter, tant qu’il reste près de vous.


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J'étais au paradis. Ce que nous venions de faire, c'était si divin que j'avais beaucoup de mal à redescendre. James était encore sur moi, et mes bras le serraient contre mon corps. J'appréciais sa chaleur comme jamais. Les yeux fermés, je soupire, d'un air heureux. Un petit sourire gravé sur mes lèvres. C'est dingue, c'est la première soirée à laquelle on va ensemble, et je l'aurais imaginé avec plus de vagues, mais tout avait été tellement parfait. Si James avait voulu me marquer, physiquement et mentalement, il l'avait fait à la perfection. Il se décale et je ne bouge pas, j'ai l'impression que mon corps est tout en coton. Mais je sais qu'au premier mouvement que je vais faire, je vais ressentir quelques courbatures, et un mal de chien aux pieds. Mine de rien, les talons, c'est dur à supporter, surtout ceux-là qui sont très hauts. Je tourne la tête pour le regarder, il est installé sur le ventre et le visage coincé dans ses mains. Il est beau, on dirait un dieu grec. Je tends la main pour caresser sa joue sans dire un mot, nous étions coincé dans un silence pas le moins du monde gênant. Je pense comme lui qu'il est aussi nécessaire. Après avoir tant hurlé de plaisir, il fallait que ma voix se repose, aussi. Sinon, demain, je n'ai plus de voix. Ses caresses me font frissonner, il se rapproche et ma main plonge dans ses cheveux pour les caresser lentement, le plus tendrement du monde. Et je referme les yeux pour poser un baiser sur sa tête, en humant l'odeur de ses cheveux. Je me décide ensuite à me tourner, en une grimace à cause des courbatures qui ne m'ont pas fait mentir, en nous plaçant correctement sur le lit. Je me blottis contre lui, ayant un peu froid je préfère largement profiter de sa chaleur. Une main sur son torse, mes doigts tracent des cercles invisibles tandis que mes lèvres, logées dans son cou, caressent sa peau. L'alcool me fatigue, mais il me met dans un état tel que je me sens en paix. Dans une paix incommensurable. Inégalable. Une paix que lui m'a fourni sans rien demander en retour, il l'a provoqué, et je me demande bien comment il a pu le faire. Mais j'étais plus qu'heureux qu'il sache me donner une paix telle que celle que je ressens. Cela prouve encore une fois à quel point il est fait pour moi, et combien je l'aime. Parce que je l'aime, et je pourrais tout lui donner s'il me le demandait.


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Il s’accolait à moi, une main sur mon torse pour caresser cette zone qui m’aie tant sensible. Je ne pouvais dévier mon regard de ces traits, il était si paisible. C’était comme si le poids qu’il avait sur les épaules venaient de disparaître. Que désormais il voyait la fin du tunnel et qu’il était prêt à accepter le bonheur. Peut-être que dans un coin de ma tête, j’espérais être l’auteur de cette joie, de ce bonheur, et honnêtement j’aimais énormément le croire. Je posais un baiser sur le sommet de son front, alors que quelques coups résonnaient contre la porte. Les sourcils froncés, je revenais sur la terre ferme en reprenant conscience que nous n’étions pas chez nous, mais dans une chambre d’un total inconnu et que là, j’imagine que plusieurs personnes voudraient utiliser cette chambre pour la même chose que nous. D’ailleurs, à cette idée je ne pus contenir d’enfuir mon visage dans le creux de la nuque d’Harley, en laissant un ricanement prendre place. Nous venions de prendre la chambre, pour je ne sais combien de temps et évidemment nos ami(e)s devraient savoir pourquoi. En mordant sauvagement la peau d’Harley, je parvenais avec une certaine difficulté de me hisser sur mes mains en tournant mon regard vers mon amant, couché et détendu à mes côtés. « On doit descendre, bébé… » Même si je n’avais guère envie, je plissais des yeux en voyant l’heure sur l’horloge disposé sur la table de chevet. Putain, il était passé 4h00 du matin. Et nous devrions rentrer tous les deux à pieds, c’est inévitable. Je me déplace, en glissant sur le lit pour me redresser. J’ai mal aux jambes, aux pieds. Au torse, aux bras. C’est infernal, et je n’imagine même pas l’état du corps d’Harley. Je lui tends ma main, ne pouvant m’empêcher de le détailler d’un regard malicieux et gourmand. « Ton sac est où ? Pour tes baskets. On descend, je bois un verre d’eau. Et on part ? » Je le questionnais, parce que peut-être qu’il voudrait rester un peu plus longtemps, même si cela n’est pas mon cas je préfère ne pas l’obliger à rentrer, surtout que nous sommes encore bien influencés par l’alcool et que nos sensations sont multipliées par deux. J’enfile mon jean, sans boxer. Pas le temps pour ça. D’ailleurs, je ne le trouve même pas. Chaussant mes baskets en mettant mes chaussettes, ainsi que mon tee-shirt. Le tout accolé contre le premier mur accessible, puisque le décor à mon avis, ne tournait pas autant qu’il tournait dans ma tête.


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J'aimais tellement ce genre de moments. On est calme. Tout est paisible entre nous. Seulement quelques caresses, quelques baisers tendres, nos respirations brisent le silence de cette chambre qui étouffe comme elle le peut la musique incessante de la soirée. Je ne peux pas me sentir mieux que maintenant, et pourtant, c'est de trop courte durée. J'entends frapper à la porte, mais je ne bouge pas d'un pouce. Je suis trop bien pour bouger, pour ne serait-ce qu'en avoir envie. James vient glisser son visage dans mon cou et je le tends, en affichant un sourire paisible. Il mord ma peau et je souris davantage en l'entourant de mes bras, riant légèrement et le serrant contre moi. Il est totalement nu, et même si j'ai les yeux fermés, je peux sentir son corps contre le mien. C'est la plus merveilleuse des sensations au monde. Mon amour se hisse sur ses mains et je le regarde enfin, mon doigt vient caresser son visage alors que mes yeux brillent d'une étincelle amoureuse. Je fais la moue quand il me dit qu'on doit descendre. « Déjà.. » Je ne bouge toujours pas, je préfère le mater sans vergogne quand il se redresse pour se rhabiller. En soupirant, je fais de même. J'enfile d'abord mon boxer, puis mon jean, et honnêtement, je galère à l'enfiler, l'alcool ne m'aide pas. Et surtout, il est trop serré. Alors je m'allonge sur le lit pour l'enfiler puis je me relève pour enfiler ma chemise. Ma veste est en bas, avec mon sac à dos. Mais il est hors de question que je remette ces foutues chaussures du diable. « En bas, si tu savais comme j'aime mes baskets à cet instant. » Je me déplace jusqu'à lui pour le recoiffer et lui voler un baiser. « Je suis complètement fou amoureux de toi, James Anderson. » Je lui souris tendrement, et puis je lui pince les fesses avant d'ouvrir la porte où un couple indiscret râlait pour avoir la chambre. Je ricane, et en prenant la main de James, je descends avec lui, attrapant une bouteille d'alcool pour en boire quelques gorgées. « Je vais chercher mes affaires. Va boire un verre d'eau ! Je t'attends dans l'entrée. »


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Je voyais Harley se redresser, quand il vint à ma rencontre j’inclinais mon visage sur l’une de mes épaules, alors qu’il me recoiffait et m’offrais toute sa douceur. J’abordais un sourire, un sourire honnête qui malheureusement était légèrement déformé par l’alcool qui circulait dans mes veines. Je voulais répliquer, mais il me devançait en ouvrant la porte tout en happant ma phalange. C’est là, où je remarquais un couple qui passaient après nous, le gars me tapotait l’épaules et je lui renvoyais la même claque histoire de lui donner du courage. Vu le bordel que nous venions de mettre j’étais persuadé qu’ils trouveraient un endroit ou une zone qui n’aurait pas été inscrite par nous. À cette idée, je ne pus contenir un faible rire en scrutant Harley qui prenait une bouteille pour en boire une longue gorgée. Loin l’idée que cela me plaise, mais il était déjà bien bourré et nous irions à rentrer à pieds. En fait, j’ai envie de profiter encore. J’embrasser sa bouche en lui ordonnant de s’approcher de moi, d’accoler son corps contre le mien alors que je mordille son inférieure. Je me recule, un clin d’œil puis je quittais son champ de vision pour m’approcher du bar où je pris un premier verre, que je terminais en quelques secondes, et ensuite un deuxième. Et pour finir un troisième en grimaçant. Je pensais que l’alcool avait descendu, mais je suppose que c’est juste dans ma tête. En ce moment, je peine à me tenir debout, mon épaule percute plusieurs personnes, et quelques fois je me surprends à m’adosser contre le mur en prenant une cigarette que je dispose entre mes lippes. Tirant dessus après l’avoir allumée, je fis voyager mon regard sur les personnes encore présentes. Oui bon, je voyais trouble, mais surtout tout le monde était lâché. On pouvait faire la différence entre le début de la soirée et maintenant, c’était totalement différent. Je fume tranquillement, faisant signe à mes yeux qui soulèvent leur verre en prétextant que je suis un génie, j’en ris à moitié, ne sachant pas vraiment s’ils se moquaient de mon état lamentable ou des heures passées avec Harley dans une chambre où tout le monde aurait pu entendre et voir par la serrure. Je m’avance à l’extérieur. La main dans la poche et l’autre tirant sur ma cigarette tout en recrachant cette fumée. Je sentais mes yeux me brûler, et ma bouche qui était toujours autant pâteuse.


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Lorsque James m'attire à lui, en bas des escaliers, je l'embrasse en collant mon corps contre le sien. Mes bras autour de son cou, je lui faisais parvenir le goût de ma bouche, le goût de l'alcool, jusqu'à la sienne avec plaisir. Il était peut-être tard, mais nous devions encore rentrer à pieds et je doute que ce trajet se passera bien, vu comment on est tous les deux entamés.. Mais je préfère remonter plutôt qu'être en pleine descente lors du trajet de retour. Je rougis légèrement à son clin d'œil et puis je vais chercher mes affaires en remettant mes baskets. Oh bordel que je bénis ce moment ! Mes pieds souffrent encore un peu, mais quel bonheur, ces baskets ! En comparaison, j'ai l'impression de marcher sur un nuage. Mais les talons, je les range précieusement dans mon sac à dos. J'aime les porter, surtout en voyant l'effet que cela fait à mon fiancé.. Et je finirais bien par m'habituer. En jetant mon sac à dos sur mon épaule, je retourne dans le salon et bois dans la bouteille que j'ai attrapé plus tôt. Je leur dis au revoir, en m'allumant rapidement une cigarette. Je jette ensuite un coup d'œil à travers la salle, pour apercevoir James au bar un peu plus loin. Qu'il est beau. Qu'est-ce que je l'aime. Un soupir heureux traverse mes lèvres, et je passe mes doigts dans mes cheveux pour me recoiffer, en adressant un sourire complice à mon amour. Je lui indique que je l'attends dehors, devant la maison par quelques gestes, et puis je pars, la clope au bec, dehors prendre l'air, accompagné de ma bouteille d'alcool. Il fait bon, j'ai remis ma veste, il ne fait pas trop froid et même si le ciel est nuageux, il ne pleut pas, et c'est plutôt une bonne chose. Les fêtes c'est bien, mais même si j'ai plutôt passé mon temps à jouer avec James, j'ai hâte de n'être qu'avec lui, dans le calme. Pour continuer dans cette atmosphère paisible, pour encore rester dans notre bulle à tous les deux. Pour lui dire en un regard combien je suis fou de lui. J'éteins ma cigarette, attends quelques minutes en buvant, mais ainsi bourré, le temps me paraît beaucoup plus long. Installé sur le muret, je me rallume une cigarette en soupirant doucement, attendant mon amoureux.


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Je regardais un peu les alentours. Je peinais à me poser sur mes pieds, et ma vision était légèrement brouillée par l’alcool. J’aimais, être dans cet état. C’était loin de me déranger. Nous avions passé une soirée des plus mémorables et j’avais hâte de rentrer et de jouer davantage avec mon fiancé. Je glisse mon bâton de nicotine entre mes lippes en m’approchant de l’extérieur après avoir signalé à tout le monde que je partais de la fête. Je pense honnêtement, que nous devrions refaire cela. À mon amble avis nous irons à avoir plus d’idées. Je fais jongler mon regard pour observer si je voyais la silhouette d’Harley. Et je ne loupais guère. Il était installé sur le muret, et je m’y approchais en posant mes pupilles légèrement teintées de noir sur la bouteille qu’il tenait précieusement. Nous avions dans un sens assez bu, mais dans un autre. J’estimais que nous devrions pousser nos limites, après tout. Nous étions entre nous deux, et je pourrai évidemment le protéger d’un quelconque souci. Il le savait, que mes sentiments et mes émotions étaient multipliés par le liquide, que quelques fois cela n’en jouait pas à ma faveur. Mais soit, nous ne sommes pas parfaits. Je me cale subitement entre les cuisses d’Harley, je lui prends la bouteille où je me permets de boire assez pour que mes lèvres soient imprimées de ce goût. Dans un élan, je plaque ma bouche à la sienne, je cogne contre ses lippes afin qu’il me laisse l’accès, pour que nos muqueuses valsent ensemble érotiquement. Je m’échappe, dans un faible rire, je bois encore une gorgée, puis je lui retends cette dernière, puisqu’il me semble bien attaché. « Aller, on y va. » J’ai du mal à articuler, mal à concevoir des phrases complètes, et je me trompe dans la prononciation. Mon accent brésilien, est toujours là. Sauf que durant ces moments j’ai l’impression qu’il se rebelle. Lui tendant ma phalange, je l’aide à prendre place à mes côtés en nous dirigeant vers notre appartement. Nous aurions bien pris un taxi, mais honnêtement ce n’est mieux pas. Je ne sais même pas si j’ai assez d’argents, et la carte de crédit ne sert pas à grand-chose, surtout que je risque de me tromper de code. J’accole le corps de mon compagnon contre moi, mes lèvres se plaquent quelques fois sur sa tempe, en mordillant avec plaisir sa peau. Il faisait sombre, les ruelles étaient bondées de gens, et c’était normal. Nous étions un samedi soir, et tout le monde profitait pour sortir de son quotidien, de leur routine infernale.


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