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(jaley 6 ♥) Party time !

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Dansons, jusqu'au bout de la nuit.
Jaley.

why would you get so out of here while i'm mindin' my own businessman ? i'm just tryin' to do what i can to get in your head and understand. why don't you put yourself in my shoes and let me know just what you do. you get just what you give.


Quand il me rassure, je ne peux que sourire et reprendre un peu plus d'assurance. Ca me fait tellement plaisir de voir qu'il aime, et j'aime tellement lui faire plaisir. Ses mains sur mes hanches réchauffent mon corps et une fois ses lèvres contre les miennes, je pose ma main dans ses cheveux pour répondre à son baise, en gémissant faiblement lorsqu'il déchire ma lèvre, un geste que j'adore par dessus tout qu'il me fasse. Mes bras entourent son cou pendant le baiser auquel je m'applique, puis je tourne volontiers sur moi-même, dans un faible rire timide quand même, un peu enfantin. Je sais qu'il me détaille du regard et ça me plait, de sentir ce regard brûlant dont il me dévore. J'aime lui plaire, le séduire encore et encore, de toute façon, et je ne crois pas que je puisse cesser d'aimer le faire. Mon corps se colle contre le sien et de nouveau, j'entoure son cou de mes bras en soupirant d'aise, les yeux fermés, sous ses actes. « Avec plaisir.. » L'influence de l'alcool me rend beaucoup plus assuré, beaucoup moins gêné surtout, de porter ces talons. Et ses mains sur mes fesses m'excitent davantage, s'il savait à quel point. Je le suis vers le bar improvisé du salon, puis prends le verre en le remerciant, j'en bois une gorgée avant de presque m'étouffer à ses paroles. « Oh mon dieu.. Oh oui bien sûr que tu peux. »

Cela me surprenait qu'il me propose ce genre d'activités, mais agréablement. J'avais même hâte, mon ventre se contractait plus fort tout d'un coup. Je commence déjà à m'imaginer comment cela allait se passer, jusqu'à ce qu'il colle ses lèvres dans mon cou en souriant en coin. « Mh.. oui, c'est une idée intéressante.. J'ai vraiment hâte.. » Dis-je presque en gémissant avant de finir mon verre d'une traite et de lui prendre la main. « Allons-y alors. » Je l'aide un peu en prenant quelques trucs, puis me dirige vers l'escalier. Merde, j'espère que je ne vais pas tomber.. Au pire, il me rattrapera, comme mon prince charmant, qu'il était déjà.


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❝ Une soirée
peut-être Parfaite ou horrible ?

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Mon regard est brillant, ma bouche en devient toute pâteuse. Il me hâte de découvrir son corps avec quelques ingrédients en plus. Jouer avec lui, oui. Depuis le début de la soirée nous ne faisions que chercher l’autre mais cette fois, nous devions passer à l’action. Je prends le nécessaire, c’est-à-dire deux bouteilles de tequila, personne n’en bois et c’est toujours le seul alcool qui reste tellement que c’est fort. Je monte les marches derrière Harley, je me tiens à la barre en sentant mes pieds devenir lourds, tout comme mon anatomie qui se décale par moment sous l’influence de l’alcool. Je me sens bien, malgré tout. Nous arrivions à l’étage et quelques personnes passent à côté de nous, quelques femmes étaient presque dénudées et nous pouvions surtout entendre les gémissements prévenant d’une quelconque chambre, ainsi que la salle de bain bien remplit. Je dois avouer, me rincer l’œil, durant un laps de secondes en imaginant que cela sera moi, avec Harley dans quelques petites minutes.

Je m’empresse de dégager chaque personne qui s’installait dans la petite chambre. Un gars, qui me tends son joint mais que je refuse en le remerciant d’un hochement de tête. Je ne suis pas très joint, même si durant ma jeunesse c’était une des premières occupations en dehors des cours. La chambre sentait le sexe. Et juste à cette pensée, j’obligeais Harley à se tourner vers moi, que sa main vienne se plaquer sur mon érection alors que je pose l’une des bouteilles sur la table de chevet. L’autre que j’ouvre, avec difficulté. Je me mets même à rire en regardant cette silhouette magnifique qui n’est rien d’autre que l’homme que j’aime le plus au monde.  Je bois, une très longue gorgée. Je m’en étale sur la nuque en inclinant mon visage sur mon épaule droite. « Bois, je veux que tu boives. Je veux que tu te laisses aller, que tu te perdes dans mes mains. » Je sais qu’il n’était pas celui qui bois le plus dans notre couple, mais cette fois. Je le désirai. Je veux qu’il soit dans un état second, qu’il se lâche. Je le quémandais, en remontant sa main sur ma gorge, que je lui fais serrer. « Laisse-toi aller…Bébé. »
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Le couloir était rempli de gens qui venaient de sortir des pièces, des chambres, à ma supposition. Les filles étaient presque dénudées, et ça me faisait soupirer légèrement. Elles ne se donnaient même pas la peine de se rhabiller entièrement, comme si elles étaient fières de s'être fait baisée par un inconnu. Nous aussi, nous nous apprêtions à le faire, mais c'est différent. Nous ne sommes pas des inconnus. Et en plus, je pense avoir plus de classe qu'elles. Enfin, nous arrivons dans une petite chambre d'adolescent comme il m'avait promis, et il en dégage chaque personne avant de fermer la porte. Ile me tourne, et je me mords la lèvre alors que ma main atterrit directement sur son sexe gonflé par-dessus ses vêtements. Je souris quand même en le massant à cet endroit-là, ne le quittant pas de mes yeux brillants. Je commençais déjà à être un peu éméché, et je ris même avec lui, sans forcément de raison.

Lorsqu'il se verse l'alcool dans le cou, je ne peux m'empêcher de laisser un long soupir d'excitation traverser mes lèvres. Déjà qu'il est hyper sexy quand il sort de la douche, mais là, après tout ce qu'il vient de se passer entre nous.. Bordel, et ses ordres. Ma main vient se placer sur sa gorge, que je serre légèrement à sa demande, et puis je me colle contre lui, en posant mes lèvres dans son cou pour ingérer l'alcool. Sans y laisser une goutte, je laisse ma langue caresser sa peau jusqu'à ce qu'elle ne soit humide que de ma salive, et j'en profite pour le mordre, lui laissant un beau suçon d'un rouge vif exquis. Un sourire fier sur les lèvres, je me recule et déboutonne ma chemise le plus lentement possible, la faisant ensuite glisser sur mes épaules pour être torse nu, avant de prendre la bouteille pour en boire deux longues gorgées. Mes mains s'accrochent à son haut et je le tire vers moi en basculant sur le lit pour l'embrasser à pleine bouche, mes jambes caressant les siennes. « Tu me rends tellement fou si tu savais.. » Je le pousse après lui avoir mordillé la lèvre pour qu'il se redresse, et c'est en me trémoussant que je déboutonne mon jean, dévoilant un peu plus de chair de mon bas-ventre. Si lui me rendait complètement dingue, j'espérais bien le rendre tout autant fou. Je me redresse, prenant du sel que j'étale sur mes lèvres, avant de mordre un quart de citron entre mes dents. La bouteille dans ma main, je la soulève jusqu'à ce que le liquide se verse sur mon torse, mon ventre, sans ménagement, et je me tortille sous la fraîcheur, sans jamais le quitter du regard. Dans un regard allumeur, d'une lueur perverse que je ne peux pas cacher.


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❝ Une soirée
peut-être Parfaite ou horrible ?

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J’aime le sentir ainsi, contre moi. Sa main m’entoure et je me dois d’incliner le visage sur mon épaule en affichant un sourire des plus pervers. Je suis dingue de cet homme, comme jamais je ne l’ai été de toute mon existence. Ces lèvres, s’acharnent sur la zone de ma nuque, humidifiée par l’alcool que je sentis se faufiler sous mes vêtements. Mais peu importe, j’ai envie qu’il serre plus, qu’il sente mon souffle se couper jusqu’à que je cède à la tentation, que je le soulage comme je sais si bien le faire. Il se recule, et je le regarde de mes pupilles dilatées, j’approche lentement de lui pour l’admirer davantage. De son attitude à retirer paisiblement sa chemise, tout en la retirant ensuite. De sa manière de se coucher sur ce lit, je passe ma muqueuse entre mes lippes masculines, et quand il vint à étaler le sel sur ces chaires pulpeuses que le citron qu’il détient entre ces dents, soit installé, je le vois déverser de l’alcool sur son torse, ainsi que sur son ventre. Je serre les cuisses, putain de merde. Mon cerveau part dans tous les sens, j’ai à peine le temps de dire quoique ce soit que mon corps dégage la distance entre lui et moi. Nous étions tous les deux sous l’influence de l’alcool, nous venions de boire énormément, mais c’était sans doute pour cela que nous en sommes là. Honnêtement, je ne me serai pas privé de le prendre violemment, et ce, face à n’importe qui. J’aurai pu le provoquer encore plus. Je me mets à genoux face à son être. Je pose automatiquement une main sur son entrejambe que je caresse pardessus les tissus. Juste, très légèrement. Histoire qu’il sente ma présence et que tout son corps soit stimulé. Mon visage se penche, pour que ma langue sorte pour lécher avec gourmandise le sel, pour ensuite me redresser sur mes deux pieds et me loger entre ces cuisses que je remontais autour de mes hanches. Je frôlais ces talons aiguilles, dans un sourire pervers et malicieux. J'abaisse mon visage pour que mes lèvres aspirent le liquide qui s'écoulait sur les côtés. Je passe ma bouche sur son bas-ventre en y tapotant le bout de ma langue en sentant que je me rapprochais de la base de son entrejambe, puis j'attrape le citron qui me laisse défigurer les traits de mon visage alors que j'essaie de soulager la sensation de brûlure dans ma gorge. Mes mains, viennent se poser sur ses mollets. À genoux entre ces cuisses, ses jambes soutenues sur mes épaules. J'embrasse timidement le sommet de ses pieds en aillant retirer l'aliment entre mes lippes. « Je veux te prendre, avec ces talons. Tu es d'accord ? » J'avais le regard injecté de sang. Je parlais d'une manière un peu plus lente, mais malgré tout, mes gestes eux. Étaient bien précis.
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J'avais hâte de le sentir contre mon corps, j'avais hâte de sentir sa peau nue contre la mienne. L'alcool faisait que j'étais davantage excitait, ça tournait un peu autour de moi, et l'ambiance de fête qui régnait ne faisait qu'exacerber les sensations, car on entendait encore la musique dans des bruits sourds, et les basses faisaient vibrer les murs. Je ne le quitte pas du regard lorsqu'il vient à se placer au-dessus de moi, mes jambes passent autour de lui alors que je sens déjà sa bouche sur moi. Je me tortille, je soupire d'extase en le sentant ainsi, mes mains partent dans ses cheveux et quand il vient prendre le citron, je ne peux m'empêcher de l'embrasser rapidement par la même occasion, goûtant l'alcool qui perlait sur ses lèvres. Mes jambes désormais sur ses épaules, je lui souris et passe mes mains sous son haut pour caresser ses abdos et son torse, avant de le griffer lentement. « Bien sûr que je suis d'accord, ils sont là pour ça. »

Je me redresse, laissant mes pieds retomber sur le sol, et je le pousse de manière à ce qu'il soit désormais allongé sur le matelas. Mes yeux cherchent à travers la pièce, et je trouve un bandeau de soie qu'une fille a dû laisser là en partant. Je vais le chercher, puis reviens pour me placer à califourchon sur mon homme en le regardant d'un regard malicieux, le sourire en coin qui va avec. « Mais avant qu'on en arrive là, je veux que tu me laisse faire. Tu me fais confiance, mon lapin ? » Je délaisse le bandeau de soie pour passer mes mains sous son haut de façon à le lui enlever, dévoilant ainsi son torse musclé que je ne peux m'empêcher de mater allègrement. Assis sur son bassin, je bouge le mien sensuellement dans des ondulations qui ne le laisseraient, j'en suis sûr, pas indifférent. Je sais qu'il n'avait aucune idée de ce que je comptais lui faire, mais je sais aussi qu'il sait parfaitement que je ne dépasserais jamais les limites imposées. Je veux qu'il me fasse confiance, parce que j'ai bien l'intention de le rendre totalement fou.


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Une agréable soirée.

J’avais chaud, j’avais le souffle court. Tout en moi, réclamait cette homme sublime. Désirant plus que tout, que cette soirée se passe à merveille je ferai le nécessaire pour qu’il se souvienne de cette dernière. L’alcool, était puissant. Tout autour de moi, tournaient légèrement et ma vue était un peu flouté. Je ne parle pas de ma bouche qui est pâteuse et que lorsqu’Harley me demande me coucher sur le matelas je lui demande d’attendre quelques secondes, profitant de mouiller mes chaires masculines avec la bouteille de tequila qui descendait à mon amble avis assez rapidement. Je me laisse retomber, je ferme un court instant les paupières en voyant le plafond bouger dans des cercles imaginaires. Le bassin d’Harley vient se placer sur le mien, je me tends. Mon érection m’en faisait davantage mal tend mon jean était étroit. Mes phalanges se déportaient sur ces courbes en suivant le rythme de ces ondulations qui me firent perdre la tête, une plainte circulait entre mes dents, ma mâchoire contractée et cette folle envie de laisser mes pulsions s’exprimer. J’ai à peine vu ce qu’il tenait en mains, mais à sa question j’en viens à froncer les sourcils tout en me redressant pour m’imposer face à lui. Mes mains se faufilèrent sur l’arrière de son être, coulissant jusqu’à son fessier que je tenais robustement. « Oh oui bébé, je suis à toi. Tu es libre de me faire ce que tu veux. » J’ai les idées tellement en l’air, que je m’aperçois à la dernière minute que je suis déjà à moitié dénudé, cette réflexion m’affiche un sourire tordu par la large quantité d’alcool dans mon sang.

Ma bouche vient chercher la sienne, j’infiltre le bout de ma muqueuse pour qu’elles viennent se caresser entre elles. Je me permets de mordre à sang son inférieure, avant que je me retire en laissant des plaintes excessives s’évaporer. Mon être se relâche en arrière, mais sans réellement contrôler l’une de mes phalanges se cale entre lui et moi, entre ces cuisses où je parvenais à titiller son entrejambe du bout de mes doigts. Malgré le tissu qui me séparait du plaisir je serrais des jambes, mon bassin ondoyant contre lui à la recherche de quelque chose. J’avais besoin de boire, encore. De me sentir totalement libre de mes gestes. Je le regarde de mes yeux injectés de sang, qui pourtant étaient bercés sous une joie immense et une vulnérabilité que ceux Harley, avait la possibilité de voir. « Lâche toi bébé… »
S a n i e



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Seul le battement à l'unisson du sexe et du coeur peut créer l'extase.
©S a n i e
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