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(Navîn) Don't you know that I'm toxic ?

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C’était ce que j’étais, une coquille vide et le vide me faisait si mal que le seul moyen que j’avais trouvé pour calmer cette douleur était de faire mal aux autres. Je n’étais pas vertueuse, certains me qualifiais même de salope sans cœur, s’ils savaient à quel point ces mots étaient en réalité rassurants pour moi. Cela voulait dire que, aussi vide que je pouvais être, j’existais encore, j’arrivais à user d’un certains pouvoir sur les autres. J’avais trouvé un moyen d’exister dans la destruction et non seulement j’y excellais mais j’adorais ça. Seulement depuis quelques temps, je n’avais plus mon partenaire de crime et le vide m’avait submergé à nouveau et ça me terrifiais, si bien que je n’arrivais à penser correctement et que j’avais l’impression de suffoquer tout le temps. Je regardai Adesh du coin de l’œil alors qu’il avait les yeux baissés et à ses mots, un sourire mélancolique vint se loger au coin de mes lèvres. Il y pensait à quitter tout ça, en même qui n’y avait pas pensé au moins une fois, qui ne c’était pas posé la question de la finalité de ce qu’on endurait. Lui et moi n’étions pas différents et notre similitude, m’inquiétais et me rassurait à la fois. Je savais que dans d’autres circonstances, nous nous serions appliquées à enterrer l’autre sous une masse de propos piquants, d’attitudes fourbes et d’humiliations, cependant, là alors qu’il sentait que j’étais au bord du gouffre il avait décidé comme moi de ne pas s’adonner à cette guerre qui aurait sans doutes fini par nous abimer tous les deux. Ma main vint se poser la sienne, j’ai toujours été tactile, toujours un peu trop et je ne savais pas si au fond c’était pour compléter quelque chose qu’il me manquait à l’intérieur de moi. C’était comme si mon corps était en permanence demandeur de chaleur. « N’y va pas … sur cette autre planète … » je finis par retirer ma main expressément, me souvenant de la difficulté qu’il avait avec le contact et ne voulant pas en jouer ce soir « … la connasse égoïste que je suis est rassurée de savoir qu’elle n’est pas seule à ressentir tout ça ». Je faisais honneur à mon égoïsme, je ne lui demandais pas de ne pas quitter ce monde pour lui, ou encore pour ce qu’il pourrait y vivre mais parce que moi, j’avais besoin de croire que les gens comme nous pouvaient finir autrement que comme ça. Je tirer une nouvelle fois sur ma clope avant de murmurer « Tu peux rester … » un silence qui marquait que je ne savais pas si je devais continuer ma phrase « J’ai besoin que tu restes », dans un murmure presque honteux.
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Sa main sur la tienne te fis la regarder du coin de l'oeil. Elle faisait ça un peu comme pour te retenir sur cette planète là, la planète Terre. Que tu ne décides pas de t'en aller. Est-ce qu'elle se retrouvait vraiment en toi elle aussi ? Tu continuais de la fixer sans un mot, sans expression particulière. Vous vous étiez sacrément bien trouvés tous les deux hein... le connard froid et la connasse égoïste. Ha ha ha... beau duo. Dans un sens tu avais hâte de voir ce que ça pouvait donner sur la durée ce genre de relation. Si vous alliez parfois chercher à vous détruire ou si ce serait toujours un peu de soutien de la sorte... ce serait certainement un peu des deux. Ni toi ni elle n'était sûrement prêt à abandonner ce côté manipulateur cassant qui vous va si bien.

Voilà qu'elle manifestait clairement son envie que tu restes avec elle. Et là... tu en venais à te demander exactement ce qu'elle attendait de ta présence. Plusieurs fois elle avait cherché le contact, la chaleur au final, quelque chose de rassurant... tu baissais de nouveau les yeux. Etais-tu vraiment apte à ça ? Ou n'étais-tu bon qu'à combler le silence de paroles, le vide d'une présence fade ? Tu hésitais à demander dans un sens. La réponse ne te faisait pas spécialement peur, mais c'était plutôt que tu te sentais un peu stupide de devoir demander ce genre de choses. Ta clope se consumait lentement mais sûrement pendant que tu réfléchissais... tu ne savais pas quoi en faire d'ailleurs, ni où tu pouvais trouver un cendrier ici. Tu te sentirais con de balancer ça dans le jardin en-dessous.

Tu toussotas alors. Te frottant un peu la nuque sans la regarder, tes yeux verts balayant le vague pendant que tu cherchais tes mots. "Qu'est-ce que..." Comment finir ? "Qu'est-ce que tu attends de moi, et de ma présence ?" Pouah la la... c'était la meilleure formulation que tu avais pu trouver. Bon sang les relations sociales c'était vraiment compliqué.
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Toute personne me connaissant de façon plus ou moins bien n’aurait pas cru à la scène qui se jouait maintenant. J’ai toujours cette attitude impressionnante, celle qui faisait croire que je ne craignais rien qu’il ne suffisait que d’un regard pour que j’obtienne ce que je voulais et en général c’était vrai. J’en avais fait plié des gens, tellement, qu’au final leur visage n’étaient qu’un souvenir flou dans mon esprit, je ne me souvenais des gens que j’avais manipulé ou blessé peut-être parce que cette sensibilité de gosse que j’avais voulait rester loin de tout le mal que je pouvais faire. C’était étrange de se retrouver face à soit même, déjà plus tôt dans la soirée Adesh m’avait donné l’impression d’être face à un miroir et j’avais détesté ça parce que ça me rappelait à quel point je pouvais être vide. Mais là, là c’était différent, c’était en partie rassurant parce que je savais que tout près de moi, il y avait quelqu’un qui avait ce trou noir à l’intérieur de lui. Sa question me fit doucement rire et en tirant une dernière bouffée sur ma cigarette je finis par me pencher pour prendre le cendrier qui se trouvait à l’intérieur de ma chambre. Je le scrutais, alors que son regard semblait éviter mon visage, il avait l’air … perdu ? Les choses étaient bien plus simples que ce qu’il pouvait ressentir.  Qu’est-ce que j’attendais de lui ? La vérité était que je ne le savais pas. Je savais que j’avais besoin que quelqu’un donne à mon âme de quoi l’apaiser, je voulais arrêter de ressentir cet énorme trou dans ma poitrine comme si on m’avait arraché le cœur, je voulais que cette nausée perpétuelle qui trahissait mon angoisse disparaisse. Je voulais un répit, juste un répit de quelques heures avant de plonger dans l’enfer à nouveau. Cependant, jamais je ne lui demanderais de m’apporter ça, déjà parce que je ne saurais pas comment et enfin parce que je ne voulais pas prendre le risque de le faire fuir. Alors la réponse à sa question était simple « Je prendrais tout ce que tu veux me donner  » et un  doigt vint se poser sur son menton afin de tourner son visage vers le mien et plonger mes yeux verts dans les siens « Alors la question est … qu’est-ce que toi, tu veux me donner ?  ».
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Cendrier. Tu en avais profité pour écraser ce qu'il restait de ta clope et laissait le silence pesant t'englober. Tu essayais de savoir ce que tu comptais faire, ce que tu avais envie de faire ici ce soir. Tu tentais de faire le tri dans tes pensées chaotiques. Elle prendrait... tout ce qu'il voudrait bien lui donner. Mais il était toujours aussi coincé au final... parce qu'il ne savait pas, justement. Devait-il lui apporter la chaleur qu'elle recherchait ? Devait-il... stop. Tu sentais elle portait ses doigts à ton menton pour te faire la regarder. Elle te transperçait de ce regard incroyable qui t'avait donné envie de jouer tout à l'heure. Parce qu'il était perçant, parce que malgré le brouillard qui y régnait, malgré l'angoisse qui l'habitait... il restait celui d'une jeune femme qui avait du caractère, intelligente et qui ne se laissait pas marcher sur les pieds.

Serais-tu un peu attiré Navîn, à la regarder de la sorte ? A détailler enfin chaque trait de son visage sans plus aucune analyse, juste pour le plaisir ? Ses pommettes, son nez fin... Ses grands yeux... elle était élégante. Tu la trouvais élégante. Il y a des personnes comme ça, qui ont des traits plus naturellement fins que d'autres. A vrai dire tu appréciais ça. Tu appréciais vraiment ça. Est-ce que tu pouvais te le permettre, de te laisser aller à... te rapprocher ? Est-ce que tu ne risquais pas gros avec les idées qui commençaient à naître dans ton esprit ? Sûrement, en plus tu avais une chance sur deux de te faire rejeter en bloc, brutalement. Mais tant pis... tant pis tu étais déjà en train de te pencher vers elle.

Complètement perdu dans les méandres de ton esprit, l'instinct gagnait. Tu posais tes lèvres contre les siennes, pour goûter, pour essayer, pour voir. C'était timide, un peu maladroit, un peu étrange et sorti de nul part. Mais tu finis par reculer après quelques secondes de contact. Tu reculais et revenais tout doucement à la réalité et à la terre ferme. Tu venais sincèrement de faire ce que tu croyais ? Sérieusement ? Tu la dévisageais un peu avant de baisser les yeux comme si tu venais de faire la pire des conneries. Tu n'osais pas parler. Tu avais peur de briser un truc ou d'aggraver les choses si tu prononçais seulement un mot.
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J’avais posé mon doigt sur son menton, l’invitant à tourner son visage vers moi et après mes mots, je vis ses yeux me détailler. Son regard avec quelque chose de particulier, je ne savais pas mettre de mots dessus mais dans toute son étrangeté je le trouvais beau. Je me demandais ce qu’il pouvait bien lire dans le mien, s’il pouvait y apercevoir autre chose qu’une âme blessée et qu’un cœur à l’agonie. Il hésita, je le sentais hésiter à mesure qu’il détaillait les traits de mon visage et puis … il déposa ses lèvres sur les miennes. C’était étrange, un peu maladroit comme un adolescent lors de son premier baiser, qui ne savait pas s’il avait eu raison de le faire ou encore si c’était le bon moment. Qu’est ce qui se passait ? Est-ce que, alors que je côtoyais l’enfer, l’obscurité et la peine je pouvais ressentir une certaine attirance pour lui. Lui qui m’avait agacé au début de la soirée, qui avait joué à retourner mes pires travers contre moi. J’étais perdue, peut être comme lui. Son baiser n’avait rien à voir avec le jeu que j’avais essayé de jouer avec lui plus tôt … il semblait juste … innocent, de ceux que l’on donne quand notre cerveau arrête de nous contrôler, quand nos actes ne sont plus réfléchis. Il recula, me détaillant une dernière fois, lisant certainement la surprise sur mon visage avant de baisser les yeux. Je restai là, sans rien dire, essayant de trouver une explication à ce qui venait de se passer, puis je finis par abandonner, par arrêter de réfléchir et de tenter d’éteindre toutes ses pensées qui m’auraient fait fuir habituellement. Ma main vint effleurer ses cheveux, puis sa joue et je finis par tourner son visage à nouveau vers moi, venant à mon tour déposer mes lèvres sur les siennes. Un baiser simple, nu, dénué de toute fioriture et superficialité, je ne savais pas ce qui se passait mais ça m’était bien égal. Il était là et étrangement, j’avais ressenti autre chose que ce trou noir dans ma poitrine, j’avais été attiré et j’avais désiré. Mes lèvres se décollèrent des siennes et le dos de ma main caressa à nouveau sa joue. « Personne ne te fera de mal ici ce soir Adesh », comme pour le rassurer,  je ne le blesserais pas, je ne l’écraserais pas et je ne lui demanderais pas de partir. Ce soir il pouvait être aussi différent qu’il le voulait, aussi étrange qu’il était personne n’allait en jouer. J’avais besoin de lui, de cet inconnu insupportable, que j’avais croisé quelques heures plus tôt en buvant un rouge sans saveur.
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Elle aurait pu se foutre de ta gueule, de te maladresse digne d'un débutant... mais au lieu de ça elle t'avais rendu un baiser. Tu étais étonné, vraiment. En temps normal tu n'agissais pas comme ça quand quelqu'un te plaisait. Mais là, la situation était tellement étrange et tirée par les cheveux que tu n'agissais pas de façon réellement cohérente. Tu avais l'impression d'être désarçonné et de tâtonner sur un terrain pourtant connu. C'est fou ce que l'angoisse peut faire. C'est fou comme l'angoisse peut te transformer et te faire retomber à un stade plus bas que terre. Pourtant, elle tentait de te rassurer, te donnant dans un certain sens le feu vert pour te laisser aller, pour te montrer qu'elle avait juste besoin de ça, de chaleur et qu'elle ne jugerait pas.

Est-ce que toi tu étais prêt à lâcher prise ? Tu n'étais ni bourré, ni shooté. Et tout devenait un peu plus compliqué sans ça. Elle faisait preuve de tendresse, de douceur. Alors, dans un élan de courage, tu avais choisi de dire quelques mots : "Navîn. Mon prénom c'est Navîn. Mais je préfère Adesh." Voilà qui était fait. Dire la vérité puisqu'apparemment les masques étaient tombés. A quoi bon continuer de faire semblant ? Tu te sentais un peu plus léger après cette déclaration. Doucement, tu posais une main sur sa joue pour retrouver ses lèvres encore une fois. Surréaliste, tout était franchement surréaliste. Tu embrassais Ajita ou quelque soit son prénom de façon un peu plus sûre de toi, prononcée, passionnée. Si le thème de la soirée était au bizarre, alors autant continuer.

Si cette soirée devait finir comme ça, alors que ça arrive. Demain serait assez vite là, les questions, les souvenirs  aussi. Peut-être les remords ? Allez savoir. Pour l'instant tu te rapprochais d'elle, glissant ton autre main dans le creux de son dos. Tomber dans les bras d'une inconnue, elle dans ceux d'un inconnu... s'oublier un peu le temps d'un soir. Moment salvateur où plus rien n'existe, où la pensée s'efface pour laisser place aux gestes.
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Ma main sur sa joue se voulait, douce, tendre et rassurante, cela tranchait avec la personne que j’étais habituellement. J’étais bien plus du genre à intimider qu’à rassurer et comme si mes gestes lui avaient donné confiance il me donna son prénom, un léger sourire vint se loger sur mes lèvres « Si tu préfères Adesh, alors je t’appellerais comme ça ». J’en venais à me souvenir que lui non plus ne connaissait pas mon prénom, pour cause, il m’en avait donné un qui en temps normal définissait parfaitement ma personne. « Mon prénom … c’est Gabrielle » puis je marquai une pause avant de continuer «Mais j’aime être invincible … » en référence au nom qu’il m’avait donné. Sa main se posa sur ma joue, cette soirée était étrange, complétement improbable et je ressentais même cette petite pointe de remord, celle qui voulait me dire que je ne pouvais pas vivre parce que l’esprit de Noah était perdu je ne savais ou. Puis ses lèvres se posèrent sur les miennes, son baiser se faisait plus assuré et après avoir été hésitantes, mes lèvres finirent par suivre les siennes dans un ballet passionné. Je sentis sa main se poser sur le bas de mon dos et me collant à lui, la mienne vint se poser sur sa nuque. Qu’est-ce que je foutais ? Je n’en savais absolument rien mais au moins, ce trou noir énorme me laissait un répit aussi court était-il. Je sentais sur son souffle sur ma peau, alors que le mien venait s’écraser sur la sienne et quelque chose d’étrange se passa. C’était comme si mon corps avait profité de ce moment salvateur pour se laisser aller. Une larme, puis deux coulèrent le long de mes joues, alors que mes lèvres étaient encore collées aux siennes et si ça pouvait paraitre dérisoire par rapport à ce que je ressentais, seule moi savais à quel point cela pouvait me soulager. Ce n’était pas un sanglot mais au moins la douleur sortait, ne serait-ce qu’un peu. Consciente que cela pouvait le surprendre et par peur qu’il ne finisse par fuir je murmurai contre ses lèvres « ce n’est rien, ne t’arrête pas … ». Je ne voulais qu’il s’arrête, je ne voulais qu’il parte et si je ne savais pas où cette soirée allait nous mener, je savais que quand il était là, contre moi je n’avais aucune envie de m’en détacher.
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Elle serait donc Ajita, et tu resterais Adesh. Soit, ça t'allait plutôt bien comme ça. Vous saviez tous les deux l'identité de l'un et de l'autre, mais aviez choisi de rester à ce qui vous plaisez le mieux. A croire que pour ce soir vous aviez vraiment décidé tous les deux d'en avoir rien à foutre de tout, de faire un énorme doigt au monde et de le vivre à votre façon. Et vous vous embrassiez comme pour vous retenir l'un à l'autre et éviter de tomber dans un gouffre. Tu n'avais pas vu, ni senti tout de suite ses larmes, ce ne fut que lorsque tu t'étais reculé pour reprendre un peu ton souffle que tu avais vu les perles. Du pouce, tu cherchais à les effacer en écoutant ses paroles. Tu savais bien pourquoi elles étaient là.

Tu n'étais pas dupe, ni idiot, tu n'étais pas de ceux qui fuient pour un élan d'émotivité que certains auraient pu penser mal placé. Toi tu t'en fichais que ce soit pas conventionnel, que ça ne rentre pas dans le moule. Elle pleurait parce qu'elle arrivait enfin à se détacher du vide, elle pleurait parce que la glace fondait pour un peu de chaleur. Quel con aurait-il été de faire marche arrière pour si peu, ou encore de le prendre pour lui. "Et si on rentrait ? Je me les gèle à vrai dire." Tu avais souris un peu, amusé, avec ton air de gamin innocent. Il est vrai qu'en t-shirt, tu avais connu mieux. Tes bras étaient gelés, alors tu gardais la main de la jeune femme dans la tienne pour l'inviter à te suivre dans la chambre.

Et maintenant ? Allais-tu oser aller plus loin ? Allais-tu oser te lancer pour de bon ? Allez, tu ne risques rien. Tu ne risques rien. Tu te le répétais mentalement alors que tu approchais de l'immense lit de Gabrielle, ou Ajita pour ce soir, pour toujours peut-être. Tu te rapprochais à nouveau pour embrasser ses joues encore humides de larmes et l'étreindre, la serrer contre toi. Tu avais bien envie de partir explorer, découvrir, encore et encore. Alors tu goûtais maintenant son cou en laissant son parfum venir t'enivrer. Des baisers, encore... et finalement, tu l'invitas à s'allonger sur ce nuage rectangulaire. Oui, tu avais toujours vu les lits de cette façon. Comme des nuages.
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Ses doigts vinrent s’égarer sur mon visage, cherchant à effacer mes larmes, j’avais eu peur qu’il tourne les talons, mais je le voyais dans son regard, qu’il avait compris pourquoi ces larmes coulaient. Il me proposa d’entrer et je ne pouvais qu’approuver parce qu’autant son t-shirt que la robe que je portais n’étaient adapté à la température qui avait déjà baissé depuis. Je hochai légèrement la tête avant de prendre sa main et le laisser m’entrainer dans la chambre. Les questions se bousculaient dans ma tête, qu’est-ce que j’allais faire ? Qu’est-ce qu’on allait faire ? Et après cette soirée? Est-ce que je n’allais pas ressentir le vide encore plus fort, est ce que mon réveil demain matin ne serait pas plus douloureux ?  Je craignais d’une façon un peu bête que le vide ne finisse par me rattraper et qu’à mon réveil j’en vienne à regretter de m’en être éloigné. Comme une plaie qui ferait souffrir beaucoup plus après que l’anesthésie soit passée. Il déposa un baiser sur mes joues et je décidai de ne penser qu’à l’instant, le regarder lui et pas mon possible lendemain. Là maintenant, je le trouvais beau, lui et son regard particulier, je prenais plaisir à regarder les traits de son visage, à me laisser troublée par ses yeux clairs. Je laisser échapper un soupire alors que ses lèvres s’enquirent de mon coup et ses lèvres contre ma peau, contre mes lèvres, semblaient rappeler à mon corps qu’il était encore vivant. Mes joues rougirent, je rougis toujours stupidement dans ce genre de situation, et je me laissais allongée sur le lit prenant sa main dans la mienne, l’attirant sur le lit avec moi, contre moi. J’ai toujours trouvé ridicule d’avoir un lit aussi immense alors que j’y étais seule, d’ailleurs je n’y dormais que rarement, ça me stressait et je préférais souvent le canapé du salon. Une fois qu’il se trouvait à portée de mes lèvres, je vins attraper les siennes de nouveaux, ma main caressant son visage avant d’aller se perdre dans ses cheveux, puis sa nuque pour finir par oser descendre un peu plus jusqu’à se glisser au-dessous de son t-shirt, le faisant remonté lentement.
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Oui, je réveil allait être brutal, mais est-ce que ça ne valait pas le coup de se laisser juste aller à rêver de temps en temps ? Laisser la réflexion de côté pour ne plus qu'agir, suivre ses envies sans concession, s'oublier totalement avec quelqu'un, s'abandonner dans les bras de quelqu'un d'autre... tu en crevais d'envie là. Au final, ta soirée n'aurait pas pu se finir plus bizarrement... plus étrangement que ça ni mieux que ça. Tu étais bien là, à savourer sa peau, à trouver ses lèvres encore, chercher sa langue de la tienne de temps en temps, taquinant par ci par là. Tu serrais sa main dans la tienne, proche, tout proche. Sa chaleur, la sentir était agréable, elle montait en toi également, un frisson te prit alors que tu sentait ses mains sur ta peau, et ton t-shirt qui se faisait évincer de la partie tout doucement.

Tu stoppais ton baiser pour pouvoir la laisser te l'enlever totalement. Tu étais loin d'être un apollon comme certains autres types ici, elle avait certainement du en voir des bien mieux foutu que toi, mais à vrai dire... tu n'en avais jamais rien eu à foutre de ça. Tu te plaisais de la sorte, et ça ne t'avait jamais empêcher de faire quoi que ce soit dans ta vie. Et toi... tu avais envie de la découvrir elle à présent... un peu plus. Alors, tu détaillais les traits de son visage rougi encore une fois, et lâchais sa main pour la glisser sous sa robe, la soulever, lui enlever, la dévêtir. Partir à la découverte de cette invincible vaincue que tu tentais de faire redevenir Ajita.

Décidément... sa peau était loin d'être aussi piquante que ses mots du début de soirée. Douce, très douce. Tu appréciais, tu découvrais, observais... caressais son ventre. Tu avais envie d'essayer là aussi pour voir, alors tu déposais quelques baisers autour de son nombril, sur le creux de ses hanches, sous son soutien-gorge. Chaleur, frissons... bien-être... tu te laissais enivrer par la jeune femme, porter par ses courbes.
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