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Waves of Past

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JONATHAN & BENJI

► WAVES OF PAST
The wind blew strongly and made high waves

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Lorsqu'il me demande les plans de la soirée, je lui explique ce que je compte faire. Les questions vont attendre à demain. Il commence à être trop tard pour trouver ceux qu'on veut sans qu'il y ai pas foule chez eux. La baston, j'en ai plus ou moins le goût, même si c'est quasi inévitable vu où on doit aller. Mais a choisir, c'est évident que je préfères que le comité soit moins gros. Et je me considère encore trop claqué pour bouger. Je risquerais de me prendre un coup stupide parce que je ne l'ai pas vu venir. Vu que je préfères autant éviter les problèmes supplémentaires et risques inutiles, je suis obligé de demander à Jonathan ce qu'il a prit. Pas que ça me dérange particulièrement, juste que c'est à calculer dans la balance. Aussi, je lui demande d'être honnête. Il me fixe un moment et lorsqu'il bouge à nouveau, ses mouvements sont lents et posés. Par contre, ses explications ça laisse à désirer. Lorsqu'il me sort qu'il prend des "pilules magiques", je secoue légèrement la tête, découragé. Pour le coup des prescriptions, j'en rirais presque par contre. Je sais pas s'il voulait me rassurer sur une quelconque légitimité de la chose mais… Come on, men! J'ai vu des tas de personnes avec des prescriptions et y'en a pas une qui venait de chez le médecin! Et son histoire de condition…

Étrangement, quand il se redresse, il en devient plus précis, acceptant de m'affronter ou d'affronter la vérité et m'expliquer qu'il a bel et bien une condition. Un trouble de l'attention, doublé d'hyperactivité. Et j'ai absolument aucun problème à le croire. J'hoche la tête, vaguement, puis prends le temps de croquer une nouvelle bouchée, mâcher et avaler avant de m'adresser à lui.

- C'est le Jonathan-renfermé-dans-sa-tête-et-relativement-calme qui t'a grillé, confirmais-je. Tu bouges plus que ça normalement, même quand tu fais rien.

Ou à tout le moins de ce que je le connais. Il donne toujours l'impression d'avoir besoin de bouger, de ne pas tenir en place. Un tic, une hésitation, une parole, un léger mouvement… Comme si son corps ne pouvait pas retenir toute son énergie. C'est sensiblement ça l'hyperactivité, non?

- Et... tu souris moins quand tu prends tes pilules, notais-je au passage.

Parce qu'il a l'air du genre "éternel souriant". De mon côté, on m'a déjà comparé à un pitbull, alors on ne se classe vraiment pas dans la même catégorie! Pas que j'ose même essayer d'y prétendre. Ma place me convient très bien. Continuant de manger, je finis tout de même par me rappeler un truc.

- Si tu cherches quoi faire ce soir, commençais-je, j'ai l'ordinateur portable et le cellulaire de mon père dans mes affaires. T'as dit que tu pourrais probablement l'ouvrir, même si j'avais pas le code, lui rappelais-je. Y'a une autre machine au manoir et une chez Skelton Intercorp. dans son bureau, mais c'est un début.

J'ai tellement aucune idée de si ça lui prend des gadgets ou des trucs spéciaux qu'il a peut être pas en sa possession présentement, et je sais pas plus combien de temps ça lui prendra, mais bon, je propose.

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The wind blew strongly and made high waves


La serveur me rapporte mon coca, et me regarde bizarrement. Je lui rends son regard, un peu plus dure peut être parce qu’elle pose la commande et s’en va.
Ramenant mon attention sur la table, je me rends compte pourquoi … J’ai devant moi un thé glacé commandé avec le pancake, et maintenant un coca. Les deux verres étaient côte à côte.
Peu importe, pour l’instant je suis juste … intrigué par ce que Benji vient de dire.
Ou peu être la façon dont il l’a dit. A croire qu’il me connait plus que je ne le penses :
“Tu bouges plus que ça normalement, même quand tu fais rien”
C’est … exactement ça.
Je le regarde, portant le verre de coca à mes lèvres, quand il continue et la … Je souris.
Je ne sais pas pourquoi, mais sa remarque me fait vraiment sourire, comme pour lui prouver que je n’étais plus sous médication. Que ce Jonathan renfermé et calme n’était plus la. Lentement, je repose mon verre, et l’écoute.
Il me liste un peu ce qu’on peut faire ce soir, puisqu’on ne va filer personne, et qu’on ne fera de descente chez aucun de nos suspect … Champs lexical de la police oui j’ai remarqué. A la place il me propose de farfouiller un peu dans les gadgets électronique d’Oncle fred. Et je n’en suis que plus intéressé.
Quelque chose ou je me débrouille assez bien, me permettra de me reprendre. Même si la tout de suite je suis beaucoup mieux qu’il y a une heure.

Je vais les ouvrir oui. Ca sera facile, mais je vais aussi faire des recherches sur Tayler si tu me le permet, vu qu’on a ses coordonnées maintenant.

Ce mec doit passer sous mon microscope ! peut importe ce que Benji penses.

***



Quelque part, le nom Taylor Rayan avait perdu de son sens. Après quelques heures à faire des recherches sur ce mec, tout ce que j’ai c’est de la frustration, une nuque anchylose, mes yeux qui se ferment tout seuls, et les fesses endolories.
Ouais parlons en de mes fesses. J’ai l’habitude de travailler sur le sol, je le fais à peu près tout le temps, mais la … j’ai oublié de mettre un oreiller entre mon beau fessier et le tapis design de cette chambre d’hotel.
Résultat je sens la morsure du froid plus qu’il ne le fait. Et à 1h du matin, je crois que mon bas du dos est devenu aussi plat que … n’importe quel autre chose plate dans cette chambre.
Je bouges ma tête d’un côté puis de l’autre pour cracker ma nuque. Pour le deuxième côté, mes yeux restent fixé sur Benji, un instant.
Il est allongé sur le canapé, et semble plus silencieux que d’habitude si c’est possible.
Quand je me concentre sur des recherches, ou un hack, je perds la notion du temps, de l’espace, jusqu'à ce que j’en ai marre, comme à l’instant.
Par exemple la, je sais qu’il est 1h du mat, que le sol est dure, et que la télévision que j’avais mis en marche comme bruit de fond, passait un film … tirant vers l’érotique.  
J’avais débloqué l’ordinateur d’Oncle fred un peu plus tôt dans la soirée, juste après notre retour du restaurant, puis l’avait passé à Benji, pour qu’il surfe dessus. S’il veut enlever des informations que je devrais pas voir, ou autre. S’il veut connaître son père à travers son ordinateur, Bref s’il veut juste regarder ce qu’il y a dessus …
Après ça je ne me suis pas du tout intéressé au filleule de mon père. N’avait pas suivi sa progression. Mais j’avais eu une conscience quasi constante de sa présence. derrière moi, sur le canapé où j’étais adossé.

Tayler Rayan. Ecris je encore une fois sur la barre de recherche.
difficile de traquer quelqu’un qui a un nom et prénom pouvant tous deux passer pour des prénoms. Cela dit je ne suis pas resté sans rien faire, j’ai assez d’informations sur lui pour dire … que j’ai perdu mon temps.
Allez une dernière fois.

DEV NERD GIRL

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On peut pas brûler les étapes et aller voir l'ex de ma mère ce soir. Ça serait trop dangereux. Alors j'ai lancé l'idée secondaire. Et s'il semblait entêté à l'idée d'aller poser des questions le plus tôt possible, l'idée de fouiller l'ordinateur et le téléphone de mon père n'est pas pour lui déplaire. C'est déjà ça de gagner! J'aurais pas à essayer de le retenir ou à jouer les babysitters pour éviter qu'il lui arrive un truc. Ça serait stupide de sa part de foncer tête baissée, mais je m'en voudrais peut-être un peu s'il lui arrivait quelque chose. Parce qu'il est pas censé être à Miami. Ni mêlé à ça. Et s'il est là, c'est parce qu'il m'aide.

***

- C'est volontaire de l'écrire comme ça? demandais-je après avoir jeter un coup d'oeil sur son écran, par-dessus son épaule. Parce que de ce qu'il a écrit tantôt c'est R-Y-A-N T-A-Y-L-O-R.

Oui, bah c'est ce qu'il m'a tagué sur la main en tout cas. Sauf que je sais pas si Jonathan doit pas essayer trente-six milles variantes pour trouver ses infos. C'est lui le Whiz Kid, moi je suis niveau dinosaure. L'informatique et les bidules électroniques, ça a jamais été ma force. Faut dire que j'ai un réel manque d'intérêt envers ce genre de trucs aussi.

De retour à l'hôtel, je suis passé par ma chambre pour aller chercher la mallette de mon père, avant de revenir à la sienne. Question de principe, parce qu'il a tout son matériel et qu'il sera probablement plus à l'aise, tandis que moi, je m'en fous un peu. Et si j'ai rien compris des manipulations qu'il a fait, assis par terre et fortement concentré sur le laptop et ce qui défilaient à l'écran, je suis impressionné de voir la vitesse que ça lui a pris pour que la fichue machine décide de coopérer. C'est peut-être rien. Je suis peut-être con de trouver ça rapide. Mais bon, chacun son domaine d'expertise.

Il a fini par me passer l'appareil et s'est à nouveau concentré sur le sien, cherchant pour de nouvelles informations. Il est resté installé par terre, tandis que je restais assis sur le canapé, ou j'ai fini par m'allonger à moitié pour être plus confortable en essayant de parcourir les divers documents. Y'a des trucs qui ont des demandes de codes, que j'ai pas, mais au lieu de demander au brun, je met de côté. Je dois être rendu à une dizaine de trucs à lui montrer. Il a dit avoir un déficit d'attention, mais les ordinateurs, ça semble bien l'occuper. Alors autant pour moi de pas briser ça. Sauf que quand il s'est étiré, j'ai automatiquement tourné les yeux vers lui et puisque j'ai vu son écran, je me suis permis de commenter. Un gémissement me fait lever la tête pour enligner la télé. Ha, bah tiens. Joli choix le film de cul comme trame de fond! Un soupir amusé m'échappe et je retourne à ce que je faisais. Pour ce que ça m'intéresse ce genre de films. Quelques clics sur le pavé et je finis par lâcher un soupir.

- Okay, fis-je en fermant le couvercle. Je suis plus capable.

J'ai les yeux qui brûlent, c'est pire que de rouler toute la nuit! Un coup d'oeil à ma montre et je comprends sensiblement. Fait des heures qu'on est là! Déposant l'ordi par terre, je m'assure néanmoins qu'il soit pas dans le chemin pour ne pas qu'on mette un pied dessus. Manquerait plus que ça! Me redressant, je m'assois sur le canapé, pour finir par me lever et s'étirer, les mains jointes et les bras dans les airs pour faire craquer les articulations. C'est pas du luxe! Tournant la tête vers le brun, je lui propose de se changer les idées aussi. Reste à savoir si ça l'intéressera.

- Je vais me baigner. Ça dors mieux après. Tu viens?

L'eau, j'adore. Ça me calme, ça m'apaise. Alors c'est évident que ça m'aide à dormir. L'eau de l'océan est peut-être un peu froide en ce moment, mais dans le pire des cas, la piscine convient très bien pour le moment. Je resterai pas trois heures, je veux me lever tôt pour aller parler à quelques personnes.

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C’est la dernière fois que je vais écrire ce nom. la dernière fois que je vais faire cette recherche…
Voilà ce que je me suis dit.
Jusqu'à ce que j’entende la voix de Benji tout proche de mes oreilles . Mes doigts sont tétanisé au dessus du clavier, et je n’écris plus rien. Au début, parce que cette proximité m’a pris de court, et que je suis surpris de l’entendre parler depuis le début de la soirée.
Mais une fois que j’entends ses mots .
PUTAIN. P-U-T-A-I-N !
Comment est ce que j’ai pu ne pas penser à ça.. Aux variantes de ce nom. Décidément je déteste ce Ryan Taylor !  
Je m'empêche de faire un Facepalm. Ne surtout pas montrer que j’ai merdé. Même si c’est assez obvious.

Ah ouai … non mais j’essaie … différents trucs

je mentais.

Je l’entends plus que je ne le vois fermer le clapet de son ordinateur après avoir statué qu’il n’en pouvait plus.
Oui ben après sa premiére remarque j’ai un peu buggé devant l’écran, alors moi non plus j’en pouvait plus.
Il se redresse et s’étire, je tourne la tête vers lui, et me trouve nez à nez, ou plutôt nez à abdo, vu qu’en s’étirant son pull avait remonté, et révélé sa tablette de chocolat.
Le mot “Miam” me vient à l'esprit. Et bien vite je remonte les yeux pour rencontrer les siens.

Je vais me baigner. Ça dors mieux après. Tu viens?


Dormir… Pour lui ça doit être la chose logique à faire, à 1h du matin. après je ne sais plus combien d’heur passé sur la route.
Pour moi c’est une éventualité qui me fait peur, vu que j’ai systématiquement des cauchemars, après avoir pris les pilules.
Pourquoi pas essayer sa méthode?

Je te suis. Je dois juste me changer…

Miami ! Biensure que j’ai apporté mon maillot.

Tu m’attends ici?


Je me lève, et désigne le canapé sur lequel il était encore. J'allais me changer dans la salle de bain....

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Je suis juste incapable de continuer à fixer l'écran de l'ordinateur. C'est pire que les lumières des voitures sur la route, la nuit! J'ai les yeux qui brûlent bordel! J'ai beau avoir ne pas avoir trouvé des trucs supers intéressants sur mon père - le plus gros des documents étant professionnels et liés à Skelton Corp. - j'ai simplement l'impression de commencer à cerner un peu plus qui il était. Un truc que je vais devoir vérifier, c'est l'espèce de carnet de notes électronique installé dessus et qui a l'air de vouloir communiquer avec son téléphone. Mais ça aussi y'a un mot de passe. Et j'ai eu beau faire deux ou trois tentatives, ça a rien donné. J'ai juste pas insisté, au risque de bloquer tout et que ça soit compliqué de tout faire fonctionner ensuite. La raison pour laquelle j'aimerais l'ouvrir, c'est que y'a l'air d'avoir des notes à la main dedans. Main électronique, mais main quand même. Des flèches, des annotations, des gribouillis... que je suis pas capable de lire parce que c'est ultra flou quand ça demande le mot de passe et que ça montre pas autrement. Ou c'est qu'une image générique et je vais tomber sur des notes de rapports emmerdantes. Mais bon… Dans tous les cas, c'est pas ce soir!

Là tout de suite, ça s'enligne pour un tour dans l'eau et, ensuite, dormir. Tant qu'à être à Miami et avoir la plage et/ou une piscine à proximité, c'est certain que je ne me gênerai pas! Pas avec tout ce que ça implique pour moi. Parce que je suis certain de dormir tranquille ensuite. C'est mieux que les relaxants pharmaceutique ou autres beaucoup moins legits. Et tant qu'à se changer les idées, je partage mes intentions avec le brun assis à mes côtés. Qui acquiesce, précisant qu'il doit simplement se changer. J'hoche la tête simplement et le laisse se préparer. Lorsqu'il pénètre dans la salle de bain, je finis par décollé du divan, me lever et m'étirer pleinement en faisant quelques torsions pour le dos. La télévision continuant à diffuser, un son me parvient encore aux oreilles et lorsque je tourne la tête, j'en lève les yeux. Super réaliste, félicitations. Attrapant la manette, je ferme le poste avant de reposer le tout et récupérer le portable, le téléphone, flanquant le tout dans la mallette, puis choppe mes baskets que j'ai enlevé en rentrant. J'attends Jonathan et on se dirige ensuite vers ma chambre. Le sac sur le meuble, je récupère un maillot et file à la salle de bain à mon tour pour retirer mes vêtements prestement et me changer. En sortant, j'attrape une serviette au passage et envoi jeans, t-shirt et bas sur le banc au pied du lit, m'assurant simplement de garder la carte de la chambre et de prendre une veste à capuchon que j'enfile sans l'attacher.

- Piscine, ça te va? demandais-je. La plage me semble stupidement trop loin ce soir, confiais-je.

C'est con, c'est même pas 10 minutes de marche. Mais j'ai pas à ce point envie des vagues. C'est pas un besoin irrépressible comme parfois. Je veux seulement relaxer dans l'eau. Alors, nu pieds, la serviette sur l'épaule, je sors avec Jonathan, m'assurant, comme à mon habitude, que la porte est verrouillée. Même si dans un hôtel, y'a toujours trente-six personnes qui peuvent ouvrir. L'ascenseur, le hall presque vide avec la fille trop occupée par son téléphone pour réaliser qu'il y a du monde qui ne dort pas, le couloir et finalement dehors. Je me rapproche de la piscine, les yeux fixer sur l'eau calme. La veste et la serviette vont rapidement atterrir sur la première chaise longue à disposition et je m'élance dans un plongeon sans la moindre hésitation, pour ressortir plus loin, passant une main sur mon visage puis dans mes cheveux, un sourire franc sur les lèvres. Putain que ça fait du bien!

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”Take me all the way down tonight...”


Benji attends que je finisse ce que j’étais entrain de le faire : Me changer, porter mes baskets parce que je n’ai pas ramené de tongs, et un tee shirt … parce que j'ai rien d’autre.
Je me rends compte de mon mauvais choix de vêtements quand je le vois avec une veste à capuche et pied nu… au moins j’avais moi aussi apporté une serviette.

Piscine c’est cool oui .  

je lui réponds.
Pas parce que c’est plus proche que la mer, comme il vient de le dire. Pour ce que j’en sais, la mer est toute près, puisqu’on est passé à côté en allant au bistrot un peu plus tôt dans la journée. Cependant, pas de sable dans les basket, pas de risque de se perdre dans le noir. Ou de se noyer s’il y a trop de vagues.
Attention je sais nager.
Mais je reste Mister catastrophe… Gentleman Calamité.

Je le suis dans les couloirs de l’hôtel, me rappelant avoir vu une pancarte signalant la piscine quelque part dans l’établissement, mais ne sachant où exactement. Il doit s’en rappeler lui, puisqu’en le suivant on arrive vite à destination.
Pendant le trajet je regardais ses mouvement, je le suivait des yeux et peut être est ce la fatigue, tous les événements de la journée, et la nouvelle proximité avec lui… Ou peut être rien de tout cela, qui me rendait aussi … Silencieux.
Je me reprends, arrives à sa hauteur et marches à côté de lui.

Tu le fais souvent?

... ma phrase n’est peut être pas compréhensible . J’ajoute

Nager la nuit?  

Je rajoute  

Parce que pas moi. Jamais essayé.  

Ou peut être que si. Pendant mes années amnésique?? Je préfère me dire, que puisque je m’en rappel pas, je ne l’ai pas fait.

Arrivant devant l’eau. Benji enlève ce qui le recouvrait, et je le regarde torse nu. J’en souris, parce que je ressens son plaisir quand il voit l’eau. C’est comme une vague de bonheur contagieuse, que je ne saurais l’expliquer.
Peut être à cause de son empressement à se jeter à l’eau ?
Ou alors le sourire qu’il à en remontant?
Je n'ai même pas terminé d’enlever mes chaussures, mon Tee shirt, à ce moment la. 3 minutes plus tard, mes vêtements sur une chaise, je fait le même mouvement que Benji, plonge gracieusement dans la piscine, et remonte à une courte distance de lui.

La lumière de la piscine avait un reflet bizarre sur ses yeux bleu, presque surréels. Je lui souris encore, et m’approche un peu, d’un mouvement de la tête, je rejette mes cheveux en arrière.

ça revigore !

Dis je.
Deux secondes plus tard, je commence à claquer des dents. L’eau n’est pas particulièrement froide… mais je suis frigorifié.

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Arpentant le couloir pour se rendre jusqu'à la piscine, Jonathan m'emboite le pas sans discuter, la piscine étant pour lui aussi une solution valable. Juste l'idée que je vais pouvoir nager me rassure et me calme. Et chaque pas qui m'y conduit y aide. J'ai déjà repèrer comment accéder à la piscine, quand on revenu du bistro. Parce que c'était certain que j'étais pour finir par aller faire un tour. Ou aller sur la plage. Le brun soudainement à ma hauteur, sa curiosité transparaît en un instant. Un vague sourire en coin fait retrousser le coin de mes lèvres à sa question à volet.

- Souvent, répondis-je simplement laissant les souvenirs me revenir.

Ça fait un moment que j'ai découvert que ça me calmait, que ça me permettais de réfléchir et d'évacuer le négatif. Ça part vers le drain ou est partiellement effacé par les vagues comme un message écrit dans le sable. Ça atténue.

- Que ce soit en Californie ou en Floride, j'étais souvent debout à l'aurore, les deux pieds dans l'eau à regarder le soleil se lever. C'est une tout autre atmosphère la nuit : tout est plus calme, expliquais-je. Tu verras, lui promis-je en tournant brièvement la tête vers lui. Tu retrouveras jamais ça de jour. Et surtout pas dans un hôtel.

Dans le jour, c'est la vie qui reprends son cours. Les gosses rient et cours partout, les parents jacassent et parfois leur hurlent dessus, plus on avance dans la journée, plus l'alcool se mêle au sang et plus les fêtards sortent. C'est qu'arrivé à un certain stade que tout se calme. C'est peut-être encore un peu tôt aujourd'hui, mais vu le rythme du restant de l'hôtel, ça l'air encore pas si mal.

Une fois dehors, mes effets prennent rapidement le large, pour le peu que j'en ai et je plonge avec plaisir dans l'eau. Savourant le changement d'élément avec délectation. Ha men! Je ressors un peu loin, où j'ai pied, passant un main sur mon visage pour enlever un surplus, m'ébourrifant les cheveux avec amusement. Ça ne prends pas beaucoup de temps et Jona me rejoins, m'envoyant une rincée en replaçant sa crête d'un mouvement de tête, affirmant que ça revigore. Totalement vrai! J'ai beau touché le fond et, si je me redresse avoir de l'eau jusque sous les bras environ, je préfère encore me caller un peu plus, avoir de l'eau jusque sous le nez, me laissant juste assez d'espace pour respirer. Je profite. Les yeux rieurs, je finis cependant me sortir la tête de l'eau au complet lorsque mon vis-à-vis se met à claquer des dents.

- C'est le choc thermique, l'informais-je en rigolant doucement. Reste dans l'eau et fais plaisir à ton côté hyperactif : bouge un peu. Ça va se placer.

Le pire qu'il peut faire c'est arrêter totalement de bouger, ça aidera momentanément parce que la chaleur de son corps restera là, mais dès qu'il bougera, il ressentira la fraicheur. Moi c'est loin de me déranger pour le moment.

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Il fait si froid ! j’en suis à me frotter les mains sous l’eau. Et je le regarde.
Benji semble tellement dans son élément, que je me remet à repenser à son surnom : Iceberg. Il ne me semble plus aussi froid qu’avant. Je ne le compare plus à un glaçon, je le compare plutôt à la partie immergé qu’on ne voit pas du premier abord.

Je ne l’aurais jamais associé à quelqu’un d’aquatique. Je n’y ai pas pensé à vrai dire. Sauf que d'après ses dires il avait l’habitude de ces virés nocturnes, ou plutôt des virées à l’aube, il le faisait souvent, pour l'atmosphère… Parce qu’il appréciait le calme.
Bizarrement moi aussi.
Je ressens ce calme dont il parle. Un calme sans artifice ou pilules et pas le calme du silence qui nous entoure, plutôt son calme à lui.
Pour la deuxième fois depuis notre rencontre, je puise cette sensation en le regardant.
On n’entends que la clapotement de l’eau qu’on est entrain de bouger, il a les yeux rieurs, et cette simple constatation me captive.

Voyant l’effet de la température sur moi, il me donne des conseils, que je ne penses pas pouvoir suivre. Bouger? dans mon état? Jamais…
Bon... je me suis déjà obligé à pire, ce n’est pas un petit crawl qui va me faire peur. N’est ce pas?  
Je me lance.
La morsure du froid au début, me tétanise, puis petit à petit mes muscles se délient, mes gestes sont plus fluides, j’arrive au bord de la piscine, ressort souriant, je suis un peu plus chaud, et beaucoup plus heureux en revenant vers mon point de départ.

Elle est bonne

j’ai le souffle saccadé à cause de l’effort, les cheveux sur les yeux que j'enlève d’un revers de main… je dois avoir une drôle de tête, et je m’en fous.

Ce bain de minuit est l’un des meilleurs bains de ma vie . Je me met sur le dos pour faire la planche et regarder le ciel d’encre.

Merci

je murmure.

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- Je te l'avais dit, ne puis-je m'empêcher de lui faire remarquer en souriant tandis qu'il arrête de nager tout près du bord.

Il avait l'air dubitatif quand je lui ai dit de bouger, mais il a quand même fini par faire ce que je lui ai dit. Il s'est lancé dans un crawl pendant que je continuais tranquillement mon surplace. Contraste d'énergie. Même s'il ne me dérange pas pour le moment. Au contraire, ça m'amuse de le voir un peu malhabile tandis que je suis aussi à l'aise. La pluie, en particulier les orages, la mer, l'océan… peu importe la violence de leur actes, je m'y sens toujours bien.

L'entendant murmurer, je le suis un instant du regard, me demandant si je ne l'ai pas halluciner ou si c'est même à moi que ça s'adresse. On est que tous les deux ici, je le sais bien, mais… je connais pas ses croyances, et je sais pas vraiment pourquoi il me remercierait. C'est juste ...normal ce que j'ai fait.

- De rien, répondis-je simplement et faiblement en haussant les épaules avant de m'immerger à nouveau.

Quelques brasses sous l'eau pour me rendre jusqu'au bord. J'y prends une respiration puis continue dans une direction hasardeuse, m'immergeant à nouveau. Tranquillement, en larges mouvements, je me déplace, ne remontant seulement une fois de temps en temps pour prendre un respire. Passant près de Jona, je remarque que, en faisant la planche et en se laissant porter par le faible courant du filtreur, il retourne vers le bord. Ma main va rejoindre sa tête pour stopper sa dérive, tandis que j'émmerge pas trop loin de son épaule, juste assez pour m'éviter de manger un coup, s'il sursaute.

- Tu vas te cogner si tu continue, l'informais-je avec un sourire en coin.

Le choc aurait pas été super rapide, mais ça reste que c'est du béton, c'est pas super confortable.

- Je crois pas que tu veux tester si ta crête va amortir l'impact, me moquais-je doucement.

Soit il se redresse, soit il se donne une poussée dans une autre direction.

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Je ne penses plus. Je suis à la limite de l’amorphe que j’étais cet après midi.
Seul différence je suis allongé dans l’eau à regarder les étoiles dans le ciel noir de la nuit. Et j’adore ça.
Je n’ai plus à penser à mon hyperactivité, aux pilules, à ma mère, aux études, aux recherches, à Taylor R-Y-A-N. Ou au PC d’oncle fred.
C’est limite si je pense à Benji, qui nage en long et en large dans la piscine.
A dire vrai, je sens sa présence, un peu plus à chaque mini vague d’eau me renvoie, et je ne comprends pas tout à fait pourquoi.

Mais je n’y penses pas. Je me délecte juste de cette sensation, que je ne sois pas seul, et que je me fasse bercer. Voilà tout. Je referme les paupières un instant, me rendant à peine compte qu’il s’est approché de moi , jusqu'à ce qu’il me touche la tête, et me parle.
J’ouvre alors les yeux, et le regarde un instant, upside down, avant d’assimiler ce qu’il voulait me dire.
Vu d’ici, son regard est beaucoup plus surréels. Quand il continue sur son idée, me proposant de voir si ma crête pouvait absorber le choc, je lui rends son sourire, et tourne la tête à droite pour voir à quel point j’étais proche du bord.
La réponse est : très.
Ce geste me fait un peu perdre l’équilibre, je me relève donc, et me retrouve en face de lui.
Plus proche qu’on ne l’était tout à l’heur.
Je ne veux pas m'éloigner.

Cette proximité ne me semble pas malvenue. Que nos yeux soit presque à la même hauteur, et que je sente ma respiration effleurer son corps, me faisait un peu plus sourire. Je ne sais pas… Peut être parce que je sais que … je peux avoir une chance avec lui?
Et mon affirmation de tout à l’heur? que je n’étais pas gay ? A qui est ce que je mentais… j’ai toujours su que je ressentais quelque chose pour les hommes.
Voilà pourquoi ma relation avec Aurora m’a toujours semblé… étrange.
Pour l’instant, debout, ici dans la piscine d’un hotel à Miami, devant un jeune homme à la carrure si bien définie et à l’apparence si … calme. Tellement imposant que je me sentais tout petit. Et si proche que je me réchauffait de sa chaleur… J’en avais rien à foutre de l’autre Jonathan, celui qui sortait avec les filles, et que ma mémoire à effacé.  
Seul les réactions de Benji à ce rapprochement allaient compter.

DEV NERD GIRL

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