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JONATHAN & BENJI
► WAVES OF PAST
The wind blew strongly and made high waves
The wind blew strongly and made high waves
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Levé et douché, j’ai profité un peu de l’eau chaude pour m’aider à me réveiller et pouvoir être moindrement efficace. Je mentirai pas : j’ai pas encore la totalité de mes facultés. Mais pour le moment, mes priorités, c’est prendre un café et manger. Ensuite, ça ira peut-être mieux. J'ai texté Jonathan pour le prévenir que j'étais réveillé et savoir s'il a déjà mangé et que je fais couvert seul. J'entends la notification de la réponse alors que j'ai balancé le téléphone sur le lit et que je suis retourné accroché la serviette dans la salle de bain. J'ai le choix, mais il veut manger. Je ne connais pas cet hôtel, l'un de ses points positifs, alors je ne sais pas quel genre de nourriture on pourra bien y trouver, mais de ce que j'en sais, on trouve toujours mieux dans les restaurants autour. Et puis, ça me permettra de me mettre un peu dans le bain, de prendre le pou de la ville. Savoir un peu si ça a changer depuis que je suis parti. Miami et Fairbanks, c'est deux modes de vie totalement différents. Boston, ça se rapproche encore un peu plus de Miami, mais même à ça... les villes côtières, la plage, le surf, les touristes... c'est pas la même chose. Pas la même énergie. J'ai besoin de retrouver cette énergie pour passer sans trop me faire remarquer et ne pas me griller. Parce que j'ai besoin de savoir ce qui s'est tramé et qui a pu envoyer la lettre a Frederick. J'ai rien trouvé au manoir. Rien dans ses filières, rien dans ses tiroirs. Pas la moindre trace de cette lettre et l'avocat m'assure qu'il sait pas où elle est passé. Je le crois pas. Mais j'ai fait le mec déçu qui savait pas trop où chercher et qui insistait pas. Je veux pas l'avoir sur le dos.
Ma nouvelle réponse envoyée au brun, je glisse mon cellulaire dans ma poche avant. Vu l’heure qu’il est, j’arriverai probablement pas à me trouver de quoi me faire un petit déjeuner et devrai sauter directement au diner, mais on finira bien par trouver quelque chose qui n'implique pas que je doives avaler trois tonnes d’oignons au réveil. Je récupère une nouvelle paire de bas dans mon sac, puis m’assois sur le lit pour les enfilé avant de virer ceux de la veille de mes chaussures pour pouvoir les mettre. Par habitude, je flanque mon linge salle dans l’une des poche de sac. À peine le mouvement terminé que ça cogne à ma porte. Je m’assure que j’ai bien tout mes trucs, attrape mes lunettes de soleil et sors dans le couloir, refermant derrière.
- Salut, fis-je simplement.
Un signe de tête vers le bout du corridor et je me dirige vers l'ascenseur. Normalement je pendrais les escaliers, mais autant avoir l'air d'un client normal pour ce genre d'endroit. J'enclanche le bouton pour le rez-de-chaussé et appuyé au fond de la cabine, je tourne la tête vers le copilote.
- Tu veux quelque chose en particulier? Le questionnais-je.
Pitié me dit pas un resto cinq étoiles. De toute façon, en jeans et t-shirt, on me laissera jamais entrer.
Ma nouvelle réponse envoyée au brun, je glisse mon cellulaire dans ma poche avant. Vu l’heure qu’il est, j’arriverai probablement pas à me trouver de quoi me faire un petit déjeuner et devrai sauter directement au diner, mais on finira bien par trouver quelque chose qui n'implique pas que je doives avaler trois tonnes d’oignons au réveil. Je récupère une nouvelle paire de bas dans mon sac, puis m’assois sur le lit pour les enfilé avant de virer ceux de la veille de mes chaussures pour pouvoir les mettre. Par habitude, je flanque mon linge salle dans l’une des poche de sac. À peine le mouvement terminé que ça cogne à ma porte. Je m’assure que j’ai bien tout mes trucs, attrape mes lunettes de soleil et sors dans le couloir, refermant derrière.
- Salut, fis-je simplement.
Un signe de tête vers le bout du corridor et je me dirige vers l'ascenseur. Normalement je pendrais les escaliers, mais autant avoir l'air d'un client normal pour ce genre d'endroit. J'enclanche le bouton pour le rez-de-chaussé et appuyé au fond de la cabine, je tourne la tête vers le copilote.
- Tu veux quelque chose en particulier? Le questionnais-je.
Pitié me dit pas un resto cinq étoiles. De toute façon, en jeans et t-shirt, on me laissera jamais entrer.
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FICHE BY LAVENDER J. TREVENA
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(Invité)