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DENEYA ৩ fais un voeux !

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« Eh ! C'est le rencard au McDo que j'essayais d'éviter là pas un autre... » Elle s'arrêta en plein milieu de sa phrase se rendant trop compte de ce qu'elle venait d'avouer. Elle avait envie de passer plus de temps avec lui, elle ne prenait pas peur quand on lui parlait de rencard et elle en redemandait encore. Tais toi Mel, tais toi. Surtout que Denys n'avait pas l'air d'avoir envie de se dévoiler si facilement, il ne crachait pas son voeux lui... Trop secret qu'il était. Il restait joueur cependant et elle aimait cela. Ni une ni deux en l'entendant dire que même sous la torture il ne dirait rien elle se releva, se mettant à califourchon sur lui et bloquant ses deux bras au niveau de sa tête avec ses propres mains. « Là je suis en position de force ! » Dit elle en venant titiller le bout de son nez du sien. Elle ramena les mains du jeune homme sous ses genoux pour les bloquer et passa ses deux mains sous son tee shirt, les remontant tellement doucement qu'elle s'en faisait languir elle même. Elle le vit grimacer et s'en amusa : « Résister à la torture tu as dit ? » Ses lèvres vinrent se poser dans le coin de ses lèvres avant de descendre dans son cou pour y déposer des baisers plus sensuels, où sa langue s'autorisait à venir titiller sa peau alors que ses mains s'attardaient sur les extrémités de ses pectoraux, sachant cette zone sensible à la chatouille. « Nouvelle règle : je ne vois plus les étoiles alors tu n'as pas le droit de faire le voeux que j'arrête avant que tu n'en aies dit plus sur ton voeux ! »
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  Elle voulait me prendre au piège et ce fut moi qui la piégea, en me vexant de manière un brin puérile à ses mots, l’obligeant ainsi à révéler involontairement son envie d’un futur rencard, puisqu’elle précisa que dans la manœuvre, c’était seulement le mac do qu’elle avait tenté d’éviter. Un petit sourire victorieux étira mes lèvres, sourire qu’elle ne put probablement pas apercevoir car j’avais roulé à nouveau sur le dos pour zieuter le ciel, refusant de répondre, de dévoiler mon vœu, mais laissant ouvert le champ si torture elle voulait me faire subir… Elle grima sur moi, s’amusant à souligner sa position de force alors qu’elle bloquait mes bras. « Je ne parlerais pas… » m’obstinai-je alors, large sourire aux lèvres, une lueur plus qu’amusée dans les yeux alors qu’elle m’offrait un bisous d’esquimau du bout du nez. Sauf que la torture ne commença vraiment que lorsqu’elle glissa ses doigts sous mon T shirt… Mes sens s’activèrent et je sentis aussitôt l’excitation augmenter en écho avec mon pouls. Ses lèvres dans mon cou, ses murmures sur ma peau étaient tout aussi excitant que ses baisers, si bien que le sens de ses mots m’échappa dans un premier temps, paupières closes, je m’étais contenté de savourer les sensations qu’elle faisait naitre en moi. Je rouvris les yeux quand elle annonça une nouvelle règle, avouant : « Je vais plutôt souhaiter que tu continues en fait… » Et puis, puisqu’il était question des principes de la jeune femme, j’en profitais pour objecter : « Et puis, je croyais que tu ne posais jamais de question… » Et d’un coup elle me questionnait sur mon vœux. Fallait croire que j’étais doué pour mettre à mal ses règles.
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« Tu parleras ! C'est moi qui te le dis ! » Elle était tellement sérieuse dans sa bêtise, tellement sérieuse dans sa grande partie de rigolade et elle avait tellement envie de le faire craquer qu'elle en oubliant complètement le lieu dans lequel ils étaient : un golf public, un golf où tout le monde vient jouer pour enfiler des balles dans un trou, pas pour venir admirer les étoiles ou pour se chercher comme ils étaient en train de faire bien qu'ils se soient déjà embrassés. « Que je continues ? Vraiment ? » Ses mains firent remonter son tee shirt et lorsqu'elle fut en bas de son cou, c'est sa langue qui passa sur son torse et plus particulièrement sur l'extrémité de l'un de ses pectoraux pour venir le titiller et le mordiller tout en restant bien installer sur le bas de son torse ses mains bloquées sous ses genoux. Elle sentait ses joues s'empourprer à cause de la chaleur qui montait en elle dans cette position et à cause de ce qu'elle faisait mais elle tenta tant bien que mal de contenir tout cela. « Avec toi, y'a jamais rien qui marche comme d'habitude, il va falloir t'y habituer... » Elle avait interrompu son petit jeu quelques secondes avant de le reprendre sur l'autre pectoraux puis de descendre, doucement, très doucement et de remonter, s'attardant pour mordiller son oreille puis revenant vers ses lèvres, les frôlant avec minutie, les humidifiant en laissant sa langue les caresser mais n'y déposant pas les siennes, retenant son envie de l'embrasser follement comme à chaque fois qu'elle le voyait.
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  Non, je n’allais certainement pas souhaiter que ça s’arrête… c’était plutôt tout le contraire et ce n’était pas son petit jeu de langue contre ma peau, contre mes pectoraux qui me ferait lui supplier d’arrêter… Je sentais juste que la pression commençait à monter un peu plus bas, et je me disais que finalement, en terme de lieux publics, on avait presqu’été plus discrets lors de notre première fois dans les vagues… Mais au final, on avait beau être en plein milieu du golf, ça ne freinait pas mon envie que ses caresses et baisers avaient du éveiller en moi. Mon cœur battait à tout rompre dans ma poitrine, même si j’essayais de bluffer ma tortionnaire en ne laissant pas trop entrevoir mon trouble, vu la position de la demoiselle à califourchon sur moi, la bosse que je sentais grossir dans mon pantalon n’allait pas tarder à me trahir… Je tentais de lui rappeler ses propres règles, celle du –pas de question- qu’elle venait d’enfreindre pour essayer d’obtenir l’info sur mon vœux. Sa réponse me fit sourire… « J’aime bien quand tu perds le contrôle avec moi… » Puis elle s’attaquait à mon oreille, à mes lèvres qu’elle frôlait habillement en prenant bien soin de ne pas les toucher des siennes… Mais d’un geste, je brisais les quelques millimètres qui nous séparaient pour m’emparer de sa bouche, de ses lips charnues qui me narguaient et me torturaient depuis tout à l’heure, les capturant avec envie dans un baiser chargé de passion… Match nul en quelque sorte : j’avais cédé à l’appel de ses lèvres, mais je n’avais toujours pas parlé…
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Elle mettait tout en oeuvre pour le faire craquer. Elle commençait petit à petit à connaitre son corps et ses points sensibles et elle tentait d'en jouer. De toute manière, elle savait très bien que ses mains parcourant sa peau ne le laissait pas insensible, elle savait très bien que sentir son souffle chaud dans sa nuque faisait battre un peu plus fort son corps et que ses lèvre sur les siennes lui faisait retenir son souffle. Elle l'avait compris dans leur dernière entrevue, aux termes de cette belle soirée qu'ils avaient passé tous les deux à discuter et s'ouvrir un peu plus et qui avait finalement fini au lit comme si c'était normal, comme si c'était juste un rencard réussit alors qu'ils allaient tous les deux à reculons dans cet optique là. Lorsqu'elle fut prise de court et qu'il s'empara de ses lèvres avec fièvres elle n'eut pas le temps de dire quoi que ce soit et ne put s'empêcher de lui rendre son baiser. La torture qu'elle lui faisait subir n'avait pas un effet que sur lui, elle faisait aussi monter son désir à elle, un désir encore plus ardent du fait qu'elle doive le contenir. « Là c'est toi qui vient de perdre le contrôle et tricher... » Elle retira ses mains de sous son tee shirt et les glissa dans les poches de son bas pour balancer tout autour d'eux tout ce qu'il y avait, dont des préservatifs. C'est ça qu'elle lança le plus loin, regardant tout de même où ils tombaient, par pure précaution bien sûr. « En bas aussi ça perd le contrôle et c'est bien dommage que tout soit maintenant éparpillé dans la pénombre... » Parce qu'avant elle pouvait bien l'exciter, il savait qu'il n'avait qu'à prendre un bout de plastique magique et s'emparer de ses hanches pour assouvir son envie provoquée par la torture mais maintenant c'était plus dur. Elle l'embrassa à nouveau avec ardeur avant de revenir s'allonger sur le plaid, sans le toucher, les bras croiser sur la poitrine et les yeux dans le vide des étoiles déclarant simplement : « Je boude. » Impossible de le faire parler en le torturant de manière sensuelle, elle tentait une autre approche.
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 Après ce supplice délicieux, ma détermination à garder le silence était toujours intacte, mais je sentais Mel déterminée et décidée à obtenir mes aveux. Quel meilleur moyen de m'empêcher de parler que d'occuper ma bouche à toute autre chose ? Parce qu'après son petit jeu, cette douce torture dont le but n'était que d'attiser un peu plus mon désir, je n'avais plus en tête qu'une seule chose... Et c'est donc dans un baiser chargé d'envie que ma bouche retrouva la sienne... J'avais perdu, et en même temps j'avais gagné, puisqu'elle répondait à mon baiser c'était qu'elle avait oublié mon vœux... Elle objecta que j'étais celui qui perdais le contrôle, que je trichais... "J'avoue... Mais c'est agréable parfois, de perdre le contrôle..." Et dieu sait que j'excellais dans le domaine... D'ailleurs, je ne me serais pas lassé de perdre encore et en encore le contrôle avec elle, corps contre corps, souffle contre souffle. Mais la jeune femme avait autre chose en tête. Si l'espace d'un instant, mon pouls s'accéléra sous le feu de l'excitation en sentant ses mains descendre jusqu'au poche de mon bermuda, se saisirent de ce sans quoi habituellement je ne sortais jamais, l'excitation tomba lorsqu'elle envoya les fameux sachet de préservatifs voler sur le gazon alentour. "Hey!" protestai-je en me redressant alors qu'elle s'éloignait. La petite Mel de 5 ans faisait son Côme back. La brune avait croisé les bras en annonçant qu'elle boudait. J'aurais pu rire de sa bouderie, de sa petite moue fâchée trognon sauf qu'en posant mes mains sur mon short désormais vidé, je ne sentis plus la forme familière de la clé de mon bungalow. Je me levai du plaid d'un bon en m'exclamant : " Merde mes clés !!!" Je n'avais pas mon téléphone sur moi pour éclairer la pelouse environnante alors c'est à tâtons que je me lançais dans ma recherche. "T'exagères Mel, je vais être obligé de squatter chez toi..." Allez, même si je retrouve mes clés, je ne lui dirais pas. J'avais l'excuse parfaite pour passer une nouvelle nuit avec elle comme ça.
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« J'ai pas dit le contraire.... » Lui avoua la brunette en haussant les sourcils. En même temps comment pouvait elle oser dire un tout petit peu l'inverse alors qu'il lui faisait perdre à chaque fois ? Qu'importe ce qu'il faisait, un regard, un mot, une attention, elle finissait toujours par se dévoiler ou craquer à l'appel de ses lèvres qu'elle avait appris à adorer beaucoup trop rapidement. Un baiser et ça avait été bon, un baiser et son feeling, la bonne humeur de leur rencontre s'était petit à petit transformé en coup de coeur qui s'était confirmé lorsqu'il était rentré dans son jeu, ne sachant pas s'arrêter et la menant jusqu'à l'orgasme. Toutes les soirées terminaient ainsi, sauf celle là maintenant que les préservatifs étaient éparpillés dans la pelouse, les golfeurs allaient être contents et la new yorkaise ne remettrait pas les pieds ici de si tôt de peur qu'on la voit sur des caméras de surveillance ou je ne sais quoi qui pourrait faire qu'on la repère. Maintenant elle faisait la boude et même si la tentative de Denys pour la faire sortir de sa moue était bien jouée, elle savait qu'elle n'avait pas touché ses clés. « Je n'ai pas envoyé ta clé dans l'herbe. Et y'a pas de souci pour chez moi le canapé est confortable comme je boude toujours... » Elle lui fit une petite grimace et plongea sa main dans le paquet de fraises tagadas qui piquent qu'elle avait pris. Elle les adorait mais elle faisait toujours la grimace lorsqu'elle mettait la première à la bouche. « C'est dommage ça aurait pu être parfait... Toi, moi, les étoiles, un peu de romantisme comme tu dis... Et op tout file ! » Elle continue de bougonner, de faire celle qui boude parce qu'il ne lui dit rien. Combien de temps va t elle tenir avec ses jeux de mots idiots ? Elle est sûre qu'il peut la faire céder rapidement, c'est même pas drôle. « Ah ! Une étoile à moi le voeux ! » Elle ferme les yeux et se met à réfléchir, compliqué de trouver un voeux quand on est concentrée à bouder un mec aussi sexy et désirable positionné juste à côté de soi.
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Le côté agréable de nos pertes de contrôle n'était pas remis en question, non. Et un petit sourire étira d'ailleurs mes lèvres à sa réponse jusqu'à ce que, joueuse, la demoiselle fasse voler le contenu de mes poches autour de nous, étalant ainsi les sachets de préservatifs sur la pelouse. Sauf que je réalisais alors ne plus avoir mes clés... Je ronchonnais donc contre la jeune femme qui elle, continuait de bouder. Elle nia être en cause dans cette histoire de clé ce qui n'arrangea rien à mon petit coup de flipe. "J'ai du les laisser sur la porte alors..." Ouais peut être, rassure roi comme tu peux Den... N'empêche que voilà, j'allais devoir réveiller Lyra pour qu'elle m'ouvre quand j'allais rentrer ou alors... m'inviter chez la brunette. Sauf qu'elle me condamna au canapé en disant qu'elle boudait toujours. "Toi, moi, les étoiles, un peu de romantisme et beaucoup de capotes." recitiai-je en ajoutant ce dernier détail en riant. "Oui ça aurait pu être parfait... ." acquiesçai-je en prenant le même ton qu'elle avant d'attraper une sucrerie à mon tour et de la lui lancer en essayant de la faire sortir de sa bouderie. Sauf que les yeux rivés sur le ciel, elle ne fit pas le bonbon arriver et elle ne pût sûrement que le sentir se glisser dans son décolleté. En plein dans le mille. Grand sourire vainqueur aux lèvres, je commentai avec un petit rire en me rapprochant d'elle. "C'est pluie de tagada filantes en fait ce soir..." Elle avait vu une étoile d'ailleurs et avait donc droit à un vœu. "Si tu es en train de souhaiter que je t'aide à enlever le bonbon de là, je vais le réaliser ton vœu." Et sans attendre qu'elle me réponde, je me lançai dans ce nouveau jeu de pêche à la tagada. Mes lèvres se posèrent dans son cou, entre baisers et guilis pour glisser lentement mais sûrement sur son buste, sa poitrine, ma langue venant se perdre dans l'échancrure de son T shirt, venant m'emparer du bonbon sucré que je maintenais entre mes dents alors. Je revins vers ses lèvres pour déposer la fraise entre ces dernières et lui soufflai : "Arrête de bouder Mel, ça ne te va pas du tout..."
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Et beaucoup de capotes. Non mais alors ce Denys... Il allait toutes les faire... Elle ne put s'empêcher de rire mais tenta de se contenir comme elle pouvait pour qu'il ne voit pas que son boudage était surfait. Compliqué de bouder vraiment face à sa bouille de clown. Et puis même concentrée sur les étoiles, tentant de faire abstraction de lui, c'était impossible de ne pas sentir la fraise tagada venir se glisser dans son décolté après un lancé soigneusement paramétré du jeune homme. Mais elle n'allait pas aller la chercher, pour faire genre elle n'avait rien vu, sauf qu'il se chargea lui même de ce détail s'approchant d'elle doucement, venant embrasser son cou, laissant sa langue la chatouiller quelque fois avant d'arriver jusqu'au bonbon et le prendre des ses lèvres pour venir lui poser sur la bouche. Elle l'ouvrit pour manger la tagada mais ne laissa pas filer Denys pour autant passant l'une de ses mains dans sa nuque et venant lui donner le même baiser pour lequel il avait cédé tout à l'heure, peut être un peu plus passionné, un peu plus langoureux et surtout plus long parce qu'elle avait du mal à le laisser filer. Lorsqu'elle écarta ses lèvres des siennes elle finit par lui dire : « Je vais continuer de bouder jusqu'à ce que tu parles alors, tu auras pas trop de mal à rester loin de moi comme ça non ? » Son regard avec une étincelle d'ironie, d'amusement se planta dans le sien alors que sa main toujours dans sa nuque lui donnait de petites caresses. Elle était bien là, elle aurait presque envie de tout oublier.
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Tentative de déconcentration de bouderie avec ce tir malin de sucrerie et cette séance de repêchage où j’en profitais bien pour laisser courir mes lèvres sur sa peau… Et puis, elle attrapa le bonbon qu’elle avala et je sentis ses doigts me retenir en se posant contre ma nuque. Et la seconde suivante, nos bouches s’unissaient à nouveau pour mon plus grand plaisir, mes lèvres répondant aux siennes avec la même envie, ma langue venant s’amuser à jouer avec la sienne pour ce baiser au goût sucré. Mon visage resta tout proche du sien après cela alors qu’elle annonçait la couleur : elle allait continuer de bouder, puisque d’après moi ça ne lui allait pas, et qu’ainsi j’aurais pas trop de mal à rester loin d’elle… « Oui, ça marche très bien comme technique, regarde la grande distance que j’arrive à mettre entre nous. » soufflai-je tout contre ses lèvres… Nos regards s’accrochèrent un instant. Ma main se risqua alors à venir caresser sa joue avec tendresse avant de céder : « Ok, t’as gagné, tu voulais savoir quoi déjà ? » Parce que pris au jeu de sa bouderie, j’en avais presque oublier l’enjeu premier et les aveux qu’elle avait voulu m’extorquer.
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