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FEAT. AMANDA | Isaiha s’était toujours dit que le bonheur, il ne pourrait jamais le trouver en dehors de sa communauté, qu’aucune femme english ne pourrait lui convenir. Il s’était nourri de cette idée préconçue pour tout simplement ne jamais se tenter. Aujourd’hui, il était amoureux d’Amanda, une femme que le ciel avait placé sur sa route. Un amour qui l’emplissait de bonheur à chaque instant et cela même si sa compagne avait la fâcheuse manie de le taquiner et de le faire rougir comme à cet instant précis. « Hein ?! Mais non je n’ai absolument rien calculé du tout » protesta-t-il, un peu naif sur les bords avant de comprendre que c’était une plaisanterie. « J’ai encore plongé tête baissée dans une de tes taquineries. Un jour, je me vengerai petit ange » grommela-t-il en secouant la tête de droite à gauche. Toutefois, en parlant de nudité, Amanda lui offrit une vision des plus sensuelles qu’il tenta aussitôt de chasser de son esprit afin de garder la tête froide. « Je… oui je pense que l’on peut raisonner ainsi » dit-il en se raclant la gorge. Dieu qu’il la désirait. Le beau brun avait l’impression de ne plus penser qu’à cela et leur récente aventure dans la forêt n’avait fait que jeter de l’huile sur le feu de sa passion.
Aussi tenta-t-il de se changer les idées en s’approchant avec elle du feu histoire de se réchauffer. Amanda en vint à supposer que tout leur clamait de rester rien que tous les deux. « Oui, cela y ressemble beaucoup… J’aime beaucoup être ici avec toi. Je ne suis pas très à l’aise parmi les étudiants d’Harvard alors je ne vais pas m’en plaindre. Cette pluie est une bénédiction » murmura-t-il en passant un bras autour de sa taille et un baiser sur le sommet de son crâne. Un baiser qui fut bien vite suivit par celui d’Amanda. « Moi aussi, tu es devenue mon monde Amanda et jamais, je ne veux te quitter » avoua-t-il avec tendresse avant de l’embrasser tendrement, sa main libre venant relever sa couverture afin de pouvoir garder les idées claires et surtout ne pas la mettre mal à l’aise.©TOWNTROTTER.
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